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1.INTRODUCTION
2.HISTORIQUE
4.DEFINITION
5.GENETIQUE
6.MODE DE TRANSMISSION
7.EPIDEMIOLOGIE
8.PHYSIOPATHOLOGIE
9.CLINIQUE
10.PARACLINIQUE
10.1.DIAGNOSTIC BIOLOGIQUE
10.1.1.TEST D’EMMEL
10.1.2.TEST D’ITANO
10.2.DIAGNOSTIC ANTENATAL
10.3.DIAGNOSTIC NEONATAL
10.4.DIAGNOSTIC DIFFERENTIEL
11.EVOLUTION
11.1.COMPLICATIONS AIGUES
11.1.1.INFECTION AIGUE
11.1.3.AVC
11.1.5.PRIAPISME
11.2.COMPLICATIONS CHRONIQUES
11.2.1.LITHIASE BILIAIRE
11.2.2.ULCERE DE LA JAMBE
11.2.3.COMPLICATIONS CARDIOVASCULAIRE
11.2.4.COMPLIACTIONS RENALES
12.TRAITEMENT
13.PREVENTION
1.1 FREQUENCE
RVD : Rendez-vous
INTRODUCTION
3. DEFINITION
La drépanocytose est une maladie héréditaire de la structure de l’hémoglobine caractérisée
par le remplacement de l’acide glutamique par la valine en position numéro 6 de la chaine
bêta de la globine, ce qui aboutit à la synthèse d’une hémoglobine anormale (HbS)[8].
4. GENETIQUE
La drépanocytose est une maladie génétique transmise selon le mode mendélien récessif
autosomique. Les sujets hétérozygotes AS sont dits porteurs sains du trait drépanocytaire. Les
homozygotes SS sont atteints par la maladie drépanocytaire. D’autres anomalies du gène β-
globine, en particulier l’hémoglobine C ou la β-thalassémie, peuvent s’associer au gène βS chez
un même sujet pour donner une hétérozygotie composite SC ou Sβ-thalassémique. Ces derniers
sont également atteints par la maladie drépanocytaire. La drépanocytose homozygote SS et les
hétérozygoties composites SC et Sβ-thalassémiques sont regroupées sous le terme global de
syndromes drépanocytaires majeurs[9]
4-1 MODE DE TRANSMISSION
La drépanocytose se transmet sur un mode autosomique récessif, signifiant que les deux
parents doivent être porteurs du gène (le gène S) pour le transmettre à l’enfant.
Deux individus AS présentent ainsi 1 risque sur 4 d’avoir un enfant souffrant d’un syndrome
drépanocytaire majeur (SS ou formes composites)[10].
5. EPIDEMIOLOGIE
La drépanocytose est l’hémoglobinopathie la plus anciennement connue dans le monde, la
plus fréquente et la plus grave en termes de santé publique. On estime que dans le monde
plus de 50millions d’individus portent le gène drépanocytaire[11].
L’Afrique sub-saharienne étant la zone la plus touchée. Ainsi LEHMANN a décrit la « ceinture
sicklémique » ou sickle beit qui s’étend en Afrique, du sud Sahara au nord du Zambèze, selon une
aire comprise entre la 15 ème parallèle latitude nord et le 20eme parallèle Sud[11].
6. PHYSIOPATHOLOGIE
En raison d’une mutation du gène codant pour la β globine, l’HbS a tendance à
polymériser lorsque la pression partielle en oxygène dans le sang diminue (hypoxie),
lors d’un épisode de déshydratation, d’acidose ou d’hypo ou hyperthermie. La
polymérisation se produit à partir d’une concentration seuil de désoxyhémoglobine S.
Cette désoxygénation induit une modification structurale de l’HbS qui va dévoiler un
AA hydrophobe, la valine. Celle-ci va alors se lier à d’autres AA hydrophobes
(alanine, 29phénylalanine, leucine) appartenant à une molécule HbS adjacente et
polymériser progressivement.
Les polymères d’HbS déforment alors les hématies et leur donnent cette forme
caractéristique de faucille (falciformation). Le processus prend un temps à s’amorcer
qui est inversement proportionnel à la concentration intracellulaire de
l’hémoglobine[12].
FIGURE :Mécanisme physiopathologique[12]
6. CLINIQUE
Les signes cliniques de la maladie font leur apparition dans les premiers mois ou les
premières années de vie. Des révélations tardives, après 4-5 ans ne sont pas exceptionnelles,
en particulier chez les hétérozygotes composites.
L’anémie est constante. L’ictère conjonctival est variable dans le temps et d’un cas à l’autre.
La splénomégalie est constatée dès les premiers mois de vie en même temps que s’installent
l’anémie et l’ictère. Cette splénomégalie persiste quelques années pour disparaître
spontanément (auto splénectomie) ; cependant 5 à 10 % des enfants drépanocytaires SS ont
encore une splénomégalie après 10 ans. En zone tempérée, la croissance staturo-pondérale
est normale, mais les enfants drépanocytaires homozygotes sont volontiers maigres.
Cependant leur morphologie est harmonieuse. En zone tropicale, le développement staturo-
pondéral peut être normal ; lorsque des parasitoses et des carences nutritionnelles majorent
l’anémie, il n’est pas rare d’observer des déformations du faciès et du crâne et des retards
staturo-pondéraux importants. Le développement pubertaire se fait de façon satisfaisante,
bien qu’avec un certain retard de la maturation osseuse et du début de la puberté par
rapport à la population non drépanocytaire du même âge. En zone tropicale, des retards
pubertaires sont souvent constatés chez les enfants dont la croissance staturo-pondérale est
également médiocre. Le développement intellectuel et cognitif est normal[9].
7. PARACLINIQUE
Une confirmation est obligatoire par le test de falciformation (test d’Emmel qui fait apparaitre les
drépanocytes parmi les GR incubés dans un milieu dépourvu d’O2) ou le test de solubilité (test de
précipitation de l’HbS en milieu réducteur
8-1-a-Test d’Emmel
8-1-b-Test d’Itano
Le test Itano est également essentiel pour confirmer la présence d’HbS. Il repose sur
le principe que seule l’HbS, réduite par action de l’hydrosulfite de Na, précipite dans une
solution de phosphate de potassium à 2,24 mmol/L (140). C’est une technique manuelle
facile à mettre en œuvre et rapide (< 10 minutes). Son interprétation est facile à condition
de prendre les précautions suivantes :
(i) travailler toujours par comparaison avec un échantillon témoin négatif (AA) et un
échantillon témoin positif (AS) dans chaque série
(ii)
laver soigneusement le culot globulaire en sérum physiologique, afin d’éliminer
tous les stromas cellulaires (risque de faux positifs).
En présence d’HbS, il se produit immédiatement un trouble net, le tube témoin
devant en revanche rester limpide . Ce test présente les mêmes risques de faux
négatifs que le test de falciformation quand le taux d’HbS est trop faible[13].
8.2. Diagnostic anténatal : Il est proposé aux couples exposés au risque d’avoir un enfant atteint
d’un syndrome drépanocytaire majeur. Ainsi la naissance d’un enfant drépanocytaire peut être
prévenue par l’interruption thérapeutique de la grossesse si les parents le souhaitent.
9.EVOLUTION
9-1-3 AVC
9-1-5 PRIAPISME
Le priapisme est une érection prolongée de plus de 4 heures. On distingue 3
types de priapisme : ischémique, non ischémique et intermittent. Le priapisme
Ischémique, souvent idiopathique, est le plus fréquent. Il nécessite une prise en
charge urgente afin de limiter le risque de dysfonction érectile. Les patients
drépanocytaires forment un groupe surexposé au priapisme (ischémique et
intermittent). Le priapisme non ischémique survient essentiellement après
traumatisme périnéal[17].
9-2-3ULCERE DE JAMBE
8. TRAITEMENT[16]
Le traitement comprend des mesures régulières d'entretien de la santé ainsi que des
traitements spécifiques des complications qui se présentent. Les complications sont traitées de
manière symptomatique. Il n'existe aucun médicament antifalciformation efficace in vivo. La
splénectomie n'a pas d'intérêt.
Les indications d'hospitalisation sont les suspicions d'infections graves (dont les infections
systémiques), les crises aplasiques, les syndromes thoraciques aigus et, souvent, la douleur
rebelle ou la nécessité de transfusions. La fièvre à elle seule peut ne pas être une raison
d'hospitaliser. Cependant, les patients qui paraissent gravement malades et dont la
température est > 38° C doivent être hospitalisés afin que les cultures puissent être obtenues et
des antibiotiques administrés en IV.
L'hydroxyurée est utilisée depuis 10 ans chez des patients drépanocytaires, adultes et enfants, pour
diminuer la fréquence des crises douloureuses. Attribué seulement, au début de son utilisation chez
les patients drépanocytaires, à la réactivation de la synthèse d'hémoglobine fœtale, cet effet
bénéfique s'est aussi avéré lié à de multiples autres processus, tels que la réduction de l'adhésion
excessive des érythrocytes à l'endothélium et sans doute la leucopénie relative induite par le
traitement... L'efficacité de l'hydroxyurée à réduire les crises douloureuses a été montrée par des
études randomisées tant chez l'adulte (où on a aussi montré une réduction des syndromes
thoraciques aigus et des transfusions) que chez l'enfant. L'indication classique est la prévention des
crises douloureuses (on propose ce traitement aux patients souffrant de plus de trois crises vaso-
occlusives sévères par an) et celle des syndromes thoraciques aigus. De nouvelles indications sont
discutées (telle la prévention des AVC chez les patients asymptomatiques révélés « à risque » par un
doppler transcrânien). Toute nouvelle indication doit toutefois faire discuter soigneusement le ratio
bénéfice/risque de l'emploi de cette molécule dont les effets à long terme ne sont pas encore connus
dans la drépanocytose[19].
9. PREVENTION
Non, on ne peut pas prévenir cette maladie héréditaire. Mais il est possible d’identifier les
couples à risque de donner naissance à un enfant malade, en particulier grâce au dépistage
à la naissance. De plus, la sensibilisation de la population sur le dépistage est primordiale.
L’information donnée à des personnes qui ne se savent pas malades et qui l’apprennent au
cours d’un dépistage est capitale s’ils désirent avoir un enfant.
METHODOLOGIE
1. Cadre d’étude
Notre étude a été menée au service de pédiatrie de l’hôpital Saint Jean de Dieu
particulièrement au pôle de néonatologie.
L’hôpital Saint Jean de Dieu est un établissement de santé de niveau 3 situé dans
la région de Thiès sis au quartier Diakhao.
C’est un hôpital privé diocésain dont la création a été à l’initiative de
monseigneur François Xavier Ndione, premier évêque de la région. Il a ouvert
ses portes en 1983. Plusieurs disciplines y sont exercées : médecine interne,
chirurgie générale, ORL, cardiologie, diabétologie, gynécologie et obstétrique,
pédiatrie, urologie, neurologie et neurochirurgie. On y retrouve également un
service d’imagerie médicale, de kinésithérapie et un laboratoire biomédical.
Le service de pédiatrie comprend :
- La consultation externe, dont la salle est située au dispensaire à côté des
autres consultations
- Les urgences avec une dépendance disposant de deux lits
d’hospitalisation.
- Les salles d’hospitalisation pour les enfants de 1 mois à 16 ans avec 3
options (cabine individuelle, salle à deux lits et salle commune) et d’une
capacité de 21 lits au total.
- La néonatologie, lieu de notre étude, composée d’une grande salle
d’hospitalisation à 3 compartiments : réanimation, berceaux et couveuses.
Comme équipement, on dénombre :
2 couveuses
8 berceaux
2 tables de réanimation
2 lampes de photothérapie et un tunnel de photothérapie
4 pousses-seringues
3 scopes
2 aspirateurs de mucosités
4 prises murales d’oxygène
Le personnel de la pédiatrie comprend :
deux pédiatres dont un PHU (praticien hospitalier universitaire)
des étudiants en médecine stagiaires en Master 2 et Doctorat 2
7 infirmières dont deux religieuses
5 assistantes infirmières
2-Type et période
Il s’agit d’une rétrospective menée de janvier 2019 au mois de mai 2023, soit
sur 53 mois
3-Critères d’inclusion
Ont été inclus, dans notre étude tous les enfants âgés de 0 à 16 ans, admis
dans le service de pédiatrie de l’hôpital, et dont le taux d’hémoglobine S est
supérieur à 50 % à l’électrophorèse de l’hémoglobine.
4-Critères de non inclusion
-Tous les enfants dont la drépanocytose n’a pas été confirmée par
l’électrophorèse et ceux dont le dossier est inexploitable ?
5-Collecte de données
*Technique de collecte de données
Pour la collecte de données, une fiche d’enquête contenant les différentes
questions a été élaborée.
*Matériels d’étude
On utilisait les registres de consultations et les dossiers.
6-Analyse des données
Les données recueillies ont été saisies et analysées par Word et Excel.
7-Ethique
L’analyse des données a été faite en respectant les principes de confidentialité.
RESULTATS
1.1 La fréquence
De janvier 2019 au mois de mai 2023, 70 dossiers ont été enregistrés pour un
diagnostic de drépanocytose. Le nombre de consultations durant cette même
période est de 12.287 ce qui représente une prévalence 0.57%.
Selon la répartition annuelle, l’année 2019 enregistre le plus grand nombre de
cas (comme l’illustre le tableau ci-dessous).
ANNEE NOMBRE DE CAS DE
DREPANOCYTAIRES
2019 52
2020 36
2021 29
2022 46
2023 10
0- 4 anse 1
16
1.3 La répartition selon le sexe
0 5 10 15 20 25 30 35 40
25
45
masculin feminin
La majorité des enfants de la cohorte sont issus du milieu urbain avec un taux à
75,71 %.
PROVENAN FREQUEN POURCENTA
CE CE GE
Urbain 53 75.71
Rural 17 24.29
4 Schéma 4 :
9
5 répartition selon
4 la profession des
5
parents
4
4
14
1
2
3
95%
notion de consanguinité
16 15
39
non renseigné
11 - 16 ans
05 - 10 ans
00 - 04 ans
0 5 10 15 20 25 30 35 40
Aux autorités :
-Reconnaitre la drépanocytose comme une maladie sociale et un problème de
santé publique majeur qui nécessite une prise en charge précoce
-Lutter pour le dépistage précoce en venant en aide les parents des enfants
drépanocytaires et réduire le cout de l’électrophorèse
Aux parents :
-Appliquer les mesures préventives à la maladie
-assurer le suivi du malade en respectant les RDV
-Eviter les facteurs favorisants la maladie
-Dépister tous les enfants issus de la même fratrie
BIBLIOGRAPHIE
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[11]Claudette Jossa TCHAMAGO, « DEPISTAGE NEONATAL DE LA DREPANOCYTOSE AU
SENEGAL », UCAD, 2006.
[12]Anne-Gael CORDIER, « IMPACT DE LA DREPANOCYTOSE SUR LES FONCTIONS ET LE
DEVELOPPEMENT PLACENTAIRE », UNIVERSITE PARIS DESCARTES, PARIS, 2019.
[13]FATOU GUEYE TALL, « DREPANOCYTOSE ET POLYMORPHISMES
GENETIQUE:EPIDEMIOLOGIE,PREDICTIONDE GRAVITE ET STRESS-OXYDANT »,
Université de Lyon ; Université Cheikh Anta Diop (Dakar), 2019.
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[16]H. Alaoui et al., « Syndrome thoracique aigu et accident vasculaire cérébral ischémique survenant
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[17]C. K. Fall, « Etude des propriétés anti-drépanocytaires d’un extrait hydro-alcoolique de feuilles de
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[19]M. de Montalembert, « Traitement de la drépanocytose par l’hydroxyurée », Hématologie, vol. 8,
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[20]A. Bah, « Aspects épidémio-cliniques de la drépanocytose chez l’enfant à l’hôpital Nianankoro
Fomba de Ségou », Mali Santé Publique, p. 101-106, août 2021, doi: 10.53318/msp.v11i1.1901.
[21]MADAME DIARRA ASSISTANT DOUMBIA, « ASPECTS EPIDEMIOLOGIQUES DES
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[22]I. Diagne et al., « Les syndromes drépanocytaires majeurs en pédiatrie à Dakar (Sénégal) », Arch.
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[23]Mme ABDAOUI Wissem, « CARACTERISATION BIOLOGIQUE ET MOLECULAIRE DES
HEMOGLOBINOPATHIES DANS LEZ NORD EST ALGERIEN », FACULTE DE SCIENCES
DE LA VIE ET DE LA NATUREET DE SCIENCES DE LA TERRE ET DE L’UNIVERS,
GUELMA, 1945.
[24]M. D. A. Doumbia, « ASPECTS EPIDEMIOCLINIQUES DES ENFANTS
DREPANOCYTAIRES SUIVIS EN PEDIATRIE DE 2005-2008 », 2008.
[25]S. O. Ouédraogo-Yugbaré et al., « Syndromes drépanocytaires majeurs chez les enfants de 0 à 15
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https://www.ajol.info/index.php/pamj/article/view/134156
[26]LUTHER DIONE, « LES ACTIVITES DE L’UNITE FONCTIONNELLE DE PRISE EN
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FACULTE DE MEDECINE DE PHARMACIE ET STOMATOLOGIE, 2005.
[27]A. Guindo et al., « Le Centre de recherche et de lutte contre la drépanocytose de Bamako :
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doi: 10.1016/j.lpmfor.2021.08.009.