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Droit constitutionnel :

Biblio :

pierre pactet droit constit, 2023


philippe ardant, mathieu instit pol et drt constit 2023
pierre brunet, francis, michel robert droit constit

Droit public c’est l’ensemble des règles de droit qui concerne l’état.
Dans un groupe social il n’a pas que des relations interpersonnelles, pour que les
êtres humain puissent vivre entre eux> création de structure qui est supérieur au
membres du groupes> qui va satisfaire les besoins qui ne peuvent pas être satisfazit
qua travers des relations inter-personnelles
Le droit public :
- C’est le droit de cette structure
- C’est le droit de l’organisation de l’État
- Des rapports entre les particuliers et l’État.

On distingue :
- Le droit internationale public>droit des relations des états entre eux> droit de
l’Onu> des territoires (frontières etc.)> historiquement c’est le droit de la guerre
- droit public interne > l’ensemble des règles de droit public qui concerne
l’organisation de l’état et l’exercice du pouvoir de l’état

Plusieurs domaine :
- Droit constitutionnelle qui étudie l’organisation de l’état. (ex : comment la loi est
voté)
- Droit administratif qui étudie l’action de l’administration dans l’état. (ex : comment
la loi est appliqué) > correspond au service public etc.
- Les finances publiques> les moyens financier des personnes publiques. (ex : droit
fiscal)

Le droit constitutionnelle :
- Base du droit public
- C’est du droit pas de science politique
- C’est les règles de droit qui s’applique au pouvoir politique
- C’est la manières dont le pouvoirs politique est encadré par le droit
- On s’intéresse à des régimes politiques particulier (date, pays différent)
1erpartie) Élément de droit constitutionnelle générale :

C’est l’organisation juridique des pouvoirs politiques

Chapitre 1 : L’État :

L’État c’est la forme la plus rependue d’organisation politique des groupes humains,
elle est presque exclusif, c’est pour ça que c’est le cadre du droit constitutionnelle et
du droit public. L’ensemble du droit publique= relations de l’État avec le droit :
- De quelle manières l’État va crée le droit
- De quelle manière l’État va agir par le droit
- Comment l’État se soumet au droit alors qu’il le crée

Section 1 : La notion d’État :


Il n’existe pas de définition unanime de l’État.
Il y a des définitions :
- Historique (comme réalité historique)
- Philosophique
- Sociologique (l’État considéré comme un groupe à étudier)
- Juriste ( rapport entre l’État et le droit), mais il ne faut pas oublier les autres
approches > il faut prendre en compte le phénomène globale

§1- Définition abstraite de l’État :

L’État c’est à la fois une réalité concrète, mais aussi une réalité abstraite

C’est une construction intellectuelle abstraite qui est venue recouvrir la réalité de
l’existence des groupes humains.
- C’est un mode d’organisations sociales et humains

- Il y a d’autres modes d’organisations ( ex :Tribu etc.)


- La base de toute orga humaine est l’État

A la base un phénomène qui se traduit en 3 étapes :


1- L’existence d’un groupe humain> qui vont vivre ensemble, qui vont avoir des
points commun (tradition, langue etc.), un lieu commun.
2- Le constat au seins de se groupe social que certain des besoins de ces membres ne
peuvent pas être satisfait par les simples interactions inter-individuelles. > Et que la
satisfaction de ces besoins passe par l’émergence d’un pouvoir coercitif (le pouvoir
d’imposer des règles au groupe, de les imposer et de pouvoir sanctionner le nom
respect de ces règles)
3- Confier ce pouvoir coercitif à une structure qui se distingue des membres du
groupes

Est-ce qu’il est possible de satisfaire les besoins collectif sans pouvoir coercitif ?
Le droit public dit non.
Aujourd’hui il faut un pouvoir coercitif pour maintenir une certain ordre au seins de
la société. Et il faut imposer par la force le respect des règles.

D’où vient ce pouvoir coercitif ?:


- Explication Théologique (ce pouvoir viendrait de dieu)> Dieu introduit crée ce
pouvoir pour mettre de l’ordre dans la société humaine> Donc la règle est considérée
comme la parole de dieu
- Explication de droit naturel> c’est un pouvoir naturel qui viendrait de la nature > ce
serait une loi de la nature (comme une loi physique)
- Au 18ème siècle l’idée d’un contrat entre les homme> l’idée que les homme ont fait
un pacte dans lequel ils se soumettent au pouvoir coercitif mais dans leurs intérêts

On retrouve dans toute l’explication> idée que ce pouvoir coercitif n’est pas un
pouvoir un absolue c’est un pouvoir qui doit s’exercer dans l’intérêt du groupe c’est
ce qui le justifie.

On confie pas le pouvoir pas à une personne mais à une entité abstraite qui se
distingue des membres du groupe, celui qui commande n’est pas une personne
physique c’est l’État, c’est pas une personne qui met à mort c’est l’État.

L’entité de l’État se distingue donc des gouvernants et de ce qui en pratique le


gouvernement.
Les gouvernants n’exercent pas leurs pouvoirs, mais celui de l’État.

Ce phénomène à été critiqué pas de nombreux auteurs, ils considéraient l’État est un
artifice est que cette conception abstraite est une arnaque.

- Marx explique que l’état n’est qu’un appareil d’oppression de la classe dominante

- Léon Duguit, juriste de droit publique> gauche> l’État tel qui l’a était par les
juristes n’est que une société dans laquelle les gouvernants sont les plus fort dans le
sens matérielles et que ces gouvernant exerce une force de contrainte sur les
gouvernés> La puissance de contrainte ne peut être légitime que si il est exercer pour
le service publique
Ces critiques repose toutes sur sur l’idée générale selon laquelle que l’État> n’est pas
l’organisation nécessaire du pouvoir au sein d’un groupe humain > mais que l’État
n’est que la dissimulation de la revendications du pouvoir et de la confiscation du
pouvoir par certains membres des groupes sociaux. Les plus fort auraient crée cette
abstraction de l’État pour légitimer leur domination.

Quand l’État moderne se crée on voit bien qu’avant plein de seigneur font la guerre>
un plus fort> roi> légitimise ça par l’État et ces juristes vont théoriser pour justifier
son pouvoir

Il n’en reste pas moins qu’on a jamais trouvait mieux pour expliquer ce pouvoir qui
peut être exercer, ce qui compte se sont avant tous les limites qu’on va imposer à tous
ceux qui gouvernent. On du mal à expliquer la continuité de l’État est que les
gouvernants ne sont qu’éphémère.

§2. Les éléments constitutif de l’État :


Ces éléments sont utile pour le droit constitutionnel, mais intéresse avant tous le droit
international.
Les critères pour être un État :

A)L’existence d’une population :

Il faut un groupe d’être humain qui vive ensemble qui vont s’organiser en État
Pas de pop= pas d’État
Le seul cas d’école l’idée d’un État d’on toute la pop est morte

Cette population doit présentée certaine caractéristique pour être un État :


- il faut qui existe des liens entre les membres de l’État
- il faut que soit des individus qui ont des similitudes.
- Cette pop doit pouvoir être caractérisée de nation

Les points communs intra-nationale vont permettre de distinguer les nations des
autres nations.

2 Conceptions de la nations :
Conception objective : Lien qui unisse les différents individus doivent être des liens
objectif> lieu de naissance, la religion, la langue, la race, la couleur des cheveux.
Cette théorie de la nation on l’appelle la théorie déterministe
limites :
N’inclue, mais a pour conséquence d’exclure tous ce qui s’éloigne du mode de vie de
l’État indépendamment de la volonté indépendamment des individus. La nationalité
s’impose aux individus.

Conception subjective :
Thèse volontariste issue de la théorie des lumières> des similitudes objectives
peuvent être pris en compte, mais que l’essentiel est avant tous un sentiment
subjectif.
Il faut reconnaître une volontés de vivre ensemble, cela peut être constaté au sein
d’une communauté, mais aussi au sein de plusieurs communauté ( des communautés
différentes qui souhaitent vivre ensemble)
On prend en compte les usages, les modes de vies
La volontés de chaque individus de vivre en groupe qui va souhaiter de crée un État.
C’est la base en droit internationale c’est le principe d’auto détermination des peuples
Certaines limites :
- Caractères fictionnel> rare sont les États qui se serait constitué ex nihilo par une
volonté de de vivre ensemble ou de rassembler plusieurs groupe
- Toute nation doit ou peut elle correspondre à un État ? (Toutes les revendications
d’indépendances)
- La question de l’identification même de cette nation (catalogne lors de la tentative
de sécession en octobre 2017, référendum). La question était qui est le peuple
catalan ?
- Est-ce que obligatoirement 1 nation= 1 État (ex : Corée du nord, Corée du sud, RFA
et RDA) quand on arrive à identifier une nation est-ce qu’un seul État ?
- Un État peut avoir plusieurs nation> problème c’est lorsque un État à imposer des
groupes ethniques à vivre ensemble. (ex : Belgique deux nation?)
- Union Européennes, il y a t’il une nation européenne.> Le caractère Étatique,
groupe qui ont décidé de vivre ensemble.

Voilà l’idée d’État nation.


L’État est le prolongement de la nation.

B) Le territoire :
Sur quelle lieu l’État peut exercer son pouvoir coercitif (souveraineté)
L’existence d’un territoire est essentiel pour que l’État puisse exercer son pouvoir :
Territoire pas de caractéristique :
- Taille peu importe
- La continuité de l’État n’est pas nécessaire (France)
- Si le territoire est modifié l’État subsiste

Que se passe-t’il si un État perd son territoire ?


Si un territoire est en envahie mais qu’il reste un sous marin submergée> cela reste-il
un État ?

Pour constituer un État, il faut une population sur un territoire

C) Une puissance politique exclusive :

Pour le droit constitutionnel, c’est l’existence d’une puissance politique exclusive qui
constitue l’État et qui permet de distinguer l’État des autres groupes sociaux.
Cette puissance politique exclusive se manifeste se concrétise par l’existence d’une
organisation, d’un appareil politique et juridique (parlement, tribunaux etc.)
Mais aussi l’existence d’une force de contrainte (Armée, police etc.)
Les formes de ces organisations n’ont aucune importance (République, monarchie
etc.)
Il faut pouvoir identifier des structures sur lesquels le pouvoir de l’État s’exerce

1) S’exerce au travers de la personnalité juridique de l’État :


Juridiquement l’État est une personne morale :
- Elle détient la personnalité juridique
- C’est une notion de droit civil, de droit privé qui est appliqué à l’État.
- Personnalité morale de manières à donné une perso juridique à des groupes
d’individus
- Personnes publiques qui ont la perso morale : collectivités territoriales, l’État,
l’université.
- L’intérêt c’est que c’est personne peuvent avoir la même vie, qu’une personne
physique : Droit, patrimoine distinct de celui des associés, peut conclure des contrats,
peut agir en Justice, sujet de responsabilité
C’est une fiction juridique on crée une personne la ou de manière concrète il y a un
groupe de personne

Cette personnalité juridique appliqué à l’État permet d’expliqué beaucoup de


caractère de l’État :
- La personne est distincte de la personne des gouvernants ou des agents de l’État
- L’État est le seule titulaire de compétence
- Les gouvernants et les agents de l’État ne détiennent pas le pouvoir il exerce c’est
compétence au nom de l’État
- Pour les gouvernants, il faut bien distinguer Manu Macs de l’État> ça personne
privé, de sa fonction de présidents qui l’exerce au nom de l’État,
- Les gouvernants ne sont pas propriétaires de leurs fonctions, mais investit de cette
mission, par l’élection ou par une nominations
- Les décisions prise par les gouvernants et les agents le sont au nom de l’État ( le
décret qui est signé, n’engage par la responsabilité de macron, mais de l’État)
- L’État peut être doter d’un patrimoine propre qui va donc être distinct de la
personne des gouvernants
- Le trésors publique appartient à l’État
- L’État peut être propriétaire de bien
- Cela permet de conclure des contrats
- L’État peut être juger en justice ou attaquer en justice

La personnalité Juridique de l’État permet aussi d’assurer la continuité de l’État


indépendamment des changements qui affectent la continuité de l’État :
- La succession des gouvernants> l’État reste
- Les conventions et les contrats reste et demeure même en cas de changement de
gouvernement
- Pareil pour les lois votés par une législature

2 remarques :
- Il faut savoir que cette notion de personnalité est enfaîte assez récente, elle est
emprunté au droit civil, elle a été pensé au début du 20éme siécle pour expliquer
certain caractère de l’État
- L’État n’est pas la seul personne juridique qui existe dans le groupe social Étatique
(syndicat, entreprise blablabla)> il faut un truc pour distinguer qui va permettre de
placer l’État au dessus de ces personnes morales> c’est ce qu’on appel la
souveraineté, L’État est la seule personne souveraine

2) La souveraineté de l’État :

A) La notion de souveraineté :
On définit la souveraineté de l’État dans l’ordre internationale comme son
indépendance :
- L’idée que les États sont tous souverain est indépendants les uns des autres.
- L’État n’est soumis à aucune obligation dans à laquelle il n’est librement consentie
- Aucun État ne peut contraindre un autre État
- La seule limite possible à la souveraineté d’un État ne peut trouver sa source que
dans cette État lui-même> C’est le cas pour la conclusion de traités internationaux par
lesquels les États s’obligent mutuellement> Ou rejoignent une orga
- En droit internationale, la souveraineté définie l’État
les État passé sous protectorat pose question

Dans l’ordre interne la souveraineté de l’État est une force suprême de


commandement :
- La doctrine classique de la souveraineté à été affirmer au XVIème siècle par Jean
Bodin> On ne parle pas de souveraineté de l’État mais du Roi
Cette doctrine a été transférer progressivement à l’État
- L’État détient le pouvoir de commander
- Ne reconnaît aucun autre pouvoir au dessus ou même concurrent à lui
- « La souveraineté de l’État est absolue, indivisible perpétuelle » (expression de
Jean Bodin)
- Se justifie l’État doit assuré la pérennité, la cohésion de la communauté et il en est
la personnification
- Si la souveraineté c’est la possession d’un pouvoir supérieur, il y a qu’un seul entité
qui peut être souveraine> c’est en cela que c’est le critère principale de l’État

Être souverain signifie que l’État fixe lui même ses propres compétences :
- Il définit ce qu’il peut ou ne pas faire, il n’est soumis à aucune autre règle qui lui
sont extérieur

Cette question intéresse les rapports entre le droit et l’État> Est-ce-qu’il n’existerait
pas des règles qui sont supérieur à l’État ?:
- C’est ce qu’on appelle le supra-constitutionnel
- Le cas des droits de l’homme pour certain auteurs
- Non pas de règle supérieur à l’État > l’une des manifestations de la souveraineté de
l’État serait de soumettre volontairement au règle qui l’édicte> L’idée que l’État
constate, l’existence de ces droits humain est qui si soumet
- L’idée que l’État peut faire ce qu’ils veulent dans les limites de son territoires> c’est
l’État qui fixe sa constitution, ses règles de fonctionnement et détermine les règles
fondamentales auxquelles sera soumis l’ensemble du droit qui sera produit dans
l’État, il peut ensuite faire respecter le droit par la contrainte, puisque c’est l’État qui
à le monopole de la force armée
- C’est l’État qui à le monopole de l’édiction des règles de droit
Tous le droit qui est produit au seins de l’État, doit respecter les règles fixé par l’État

La souveraineté c’est aussi le droit de police, le monopole de la force publique :


- Il n’y a que l’État qui dispose du monopole de l’usage légitime de la violence
physique (prison, peine de mort)
- Les particuliers et les autres groupements doivent faire appels à l’État pour obtenir
le respect des règles qui sont fixé (même les personnes publiques comme les
collectivités territoriales)
- C’est pas forcément la conception de tous les États (ex : Wagner)
- Le droit de rendre la justice> elle est rendue au nom de l’État
- Le rôle normatif> le droit de conférée la nationalité, le droit d’avoir ça monnaie
- Cette puissance politique exclusif de l’État signifie donc qu’il faut pouvoir
identifier> un appareil exclusif Étatique qui commande et qui obéit> qui définit
des règles contraignante et qui est en mesure de les faire appliqués
b) La remise en cause de la souveraineté de l’État :
Dans l’ordre internationale :
Certain auteur considère que la relativité de la souveraineté dans l’ordre
internationale ferait partie de la def :
Souveraineté de chaque État serait par nature relative
- Sur le plan internationale on considère même que le 1er acte de souveraineté d’un
État> limité volontairement sa souveraineté en concluant des traités
- Un arrêt de la cour permanente de justice inter 17 août 1923, l’affaire de vapeur de
Wimbledon> la faculté de contracter des engagements internationaux est précisément
un élément de sa souveraineté
- La souveraineté serait naturellement limité, les États qui conclue volontairement des
traité s’oblige, mais se soumettent à une règle plus générale la Règle « Pacta Sunt
Servanda » (« Les conventions doivent être respectées »)
- Des difficulté réel interviennent qu’à partir du moment on se pose la question de
l’existence d’un seuil de réglementation volontaire

Selon le traité qui va être conclue, il y a plus ou moins d’atteinte à la souveraineté :


- Matière où il n’y a pas de sanction comme les traités liée à l’environnement
- Tous les traités relatifs aux droits de l’homme avec la création d’ un système
juridictionnelle comme le CEDH, mais cela varie
- Les traités commerciaux ou d’extradition sont aussi relatif
- Tous les traités militaires ont une grande atteinte à la souveraineté, mais aussi ceux
qui prévoit la création d’une organisation internationale (ONU), l’ONU est fondé sur
l’interdiction de recours à la force armée, mais généralement pas de sanction> donc
au final relatif ?
- Dans les cas des transferts de compétences, d’un État à une organisation
internationale, il n’exercera plus sa compétence.
Si un État transfert toute ses compétence est-il encore un État ?

Le principe de l’union européenne est le principe des transferts de compétence au


profit de l’UE , Qui porte atteinte à la souveraineté des États> Tout va dépendre du
contenue des transfert et du nombre :
- Par Ex : Compétence en matière d’Agri
- Lorsque les compétences concerne des réglementation technique, il y une orga pour
les standards techniques ou les normes pour l’agri
- Plus de la moitié des normes applicables en France tiennent de l’UE, certain critique
cela> Car ca peut-être une atteinte au rôle normatif de l’État de l’édiction du droit
- La compétence d’émission de la monnaie est transféré> on considéré qu’on assuré
la souveraineté avec cette monnaie unique et qu’on allait avoir un plus gros poids
mondiale
- Le contrôle des frontières est un éléments fort de la souveraineté> Accord de
Schengen, libre circulations des biens et des capitaux> c’est une atteinte> Mais les
États peuvent si ils le veulent contrôler leurs frontières> on le voit avec la crise de
Lampedusa

Il y a des domaines qui restent important pour la souveraineté des pays :


- La diplomatie> pas de transfert de compétence
- Aspect militaire> pas d’armée européenne et pas de collaboration, même si parfois
il y a des discussions (Ex : avion SCAF)

Les domaines de compétences de l’UE ont connu une réelle extensions :


- 1992 création de l’UE
- Les domaines de compétences était plutôt concentré dans le domaine économique>
car au début création CEE en 1957
- Dans l’UE les États, sont aussi soumis à la Cours de justice de l’UE> C’est une
cours qui peut condamner les États, les obliger , ce n’est pas juste un avis négatif.

Il y a 3 exemples qui prouvent que la souveraineté des États dans l’ordre


internationales perdurent, qu’elles que soit la situation un État reste un État
souverain :
- Brexit, pas obliger d’être membre de l’UE, Le R-U était moins intégrer
- Les États peuvent toujours renoncer à un Traités, en 2018 Israël et US ont renoncé à
l’UNESCO, les accords de Paris
- Les États conserve la compétence d’exécution, le monopole de la contrainte, de la
force publique> il n’y a pas de police de l’UE, de force armée> l’exécution du droit
européen est faite par les États> donc si un État ne veut pas faire exécuter une règle il
peut

Dans l’ordre interne:


- La souveraineté est théoriquement absolue

Mais remise en cause:


- L’État aurait perdue une part de son autonomie, dans l’exercice de son pouvoir
normatif>l’État n’est plus aussi libre de décider et de fixer la règle> Affirmation des
droits de l’homme> D.Rousseau> exigence du respect des droits de l’hô
- Auteur> contractualisation de la décision publique> normalement la puissance
publique doit trancher décider> maintenant il faut de + en + discutait, trouver des
compromis> rencontrer les partenaires sociaux blablabla> la décision publique est
moins autoritaire> mais autre exemple réforme des retraites de Macrard
- Facteur Exogènes qui porterait atteinte à la souveraineté éco et à l’autonomie des
États> pente glissante> vivre en autarcie
- La souveraineté de l’État serait affecté par les mutations des différentes formes
d’État> revendications d’autonomie interne à l’État> souveraineté serait divisé alors
qu’elle doit être indivisible
Pour conclure :
La souveraineté de l’État n’a jamais été absolue, car ce n’est qu’une manière de
présenter le pouvoir coercitif, elle n’est pas absolue car elle doit être utiliser pour
l’intérêt commun

Jean Bodin disait qu’elle était limité par les lois divines, lois naturelles loi du
royaume.

Section.2 Les formes de l’État :

Les formes d’État diffère


Fédéral ou unitaires
Mais cela se heurte à la diversité des formes dans le monde
Donc 3ème forme État régionaux, puis on verra par la suite d’autres formes qui ne
sont pas forcément des États

§-1 État de type unitaire :


- État qui est sur un territoire et a une population donnée ne compte que d’un seul
appareil Étatique et qui est doté de la plénitude de la souveraineté
- Un seule ordre juridique, une seule constitution
- Tous les citoyens sur un mêmes territoires sont soumis au même droit édicté par ce
pouvoir Étatique
Ex:La France, l’Italie
On s’aperçoit que dans tous ces États à partir du moment qu’ils ont une certaines
ampleurs, les décisions doivent êtres adaptés aux vérités locales.
2 possibilités d’aménager le pouvoir au seins d’un État unitaire :

- La déconcentration :
- C’est la délégation par l’État d’un pouvoir de décision à des agents de l’État
qui vont être répartie sur l’ensemble du territoires
- On va mettre des institutions de l’État sur l’ensemble du territoire
- Va permettre au citoyen de pouvoir faire ses démarches administratives, de
surveiller etc.
- Les agents déconcentrer reste sous l’autorité de l’État se sont les agents de
l’État, qui font partie d’une hiérarchie, ils prennent des décisions au nom de
l’État et engage la personnalité de l’État
- En France, on a une déconcentration au niveau régional et départemental>
elle n’est pas juste régional ou départemental mais aussi à des niveaux infra
régionales (académie scolaires) et inter régionales ou infra départemental et
inter départemental
Au niveau des finances> parfois infra départemental
Toutes les direction régionales> La dracs (pour la culture), agrs (agences
régionales de santé)
Au niveau départementales> direction départementale, le préfet représentant de
l’État au niveau départemental (agence déconcentré la plus importante)

- La décentralisation :
- Création par l’État de nouvelle personne morale autre que lui et qui vont
disposer d’une certaine autonomie d’administration et de gestion
2 Types :
- La décentralisation fonctionnel> lorsque l’État crée de nouvelle personne morale
pour lui confier une mission (Ex: université qui sont des établissement publiques et
qui sont chargée par l’État de gérer la recherche et l’enseignement et dispose d’une
certaine autonomie)> cela implique un contrôle de l’État> pour une université les
recteurs
- La décentralisation territoriale :
- Décentralisation au niveau de circonscription admin
- État qui divise son territoire en certaine administration territoriale auquel il va
donner des compétences
- Dans le cas de ces collectivités territoriales> ces agents agissent au nom des
collectivités territoriales> certain agents sont mêmes élues> l’élection au seins d’une
collectivités va permettre l’autonomie de cette collectivités> Le but de la
décentralisation c’est de permettre aux collectivités locales d’agir au plus prés des
besoins des administrés, de ce gérer seul, de constituer des admin autonome

L’enjeu c’est l’autonomie de la collectivités, la décentralisation doit s’accompagner


d’une autonomie juridique, administrative (pouvoir prendre des décisions, peuvent
exercer une part de pouvoir réglementaire), financière (recevoir des subventions de
l’État et puisse l’utiliser de manières autonomes c’est la libertés de dépense) et fiscal
(pouvoir lever des impôts, comme les locaux)
En France c’est l’article.72 qui pose le principe de libre administration des
collectivité territoriales et qui pose toute une série de garantie, la détention du
pouvoir réglementaire, la libertés de dépense, libertés de fixation des impôts locaux.

Il n’en reste pas moins que ces collectivités ne sont pas souveraines, c’est pas elle qui
peuvent décider de leur compétence, c’est l’État qui détermine les compétences par
voie législatives des collectivités territoriales> peut enlever et rajouter des
compétences
Dans un État de types fédérales, les États et entité fédérés détermine eux mêmes
leurs propres compétences, dans la constitutions.

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