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Remerciements : ...................................................................................................................1
Introduction :........................................................................................................................2
Problématique : ....................................................................................................................3
Cadre de référence : .............................................................................................................4
Etude de cas : ........................................................................................................................6
1 PRESENTATION DU SECTEUR :.................................................................................6
1.1 Définition .................................................................................................................6
1.2 Les différents types de banques ................................................................................6
1.3 Les grandes catégories qui constituent une Banque : .................................................7
2 PRESENTATION DE LA BANQUE POPULAIRE : ......................................................7
3 Les risques majeurs pour les banques : ............................................................................8
4 Le risque de contrepartie (insolvabilité) : ....................................................................... 10
4.1 Définition : .............................................................................................................10
4.2 Mesure de la contrepartie :...................................................................................... 11
5 Comment la banque populaire gère le risque crédit ? ..................................................... 12
Méthode de recueil des données : ....................................................................................... 15
Conclusion .......................................................................................................................... 17
Bibliographie ...................................................................................................................... 18
Remerciements :
La réalisation de ce rapport a été possible grâce au concours de plusieurs personnes à qui nous
voudrions témoigner toute notre gratitude.
En espérant que notre travail soit à la hauteur des attentes de notre professeur.
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Introduction :
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risques. Les banques vont alors avoir besoin de s’adapter à ces réformes ce qui va changer de
façon significative leur politique de prêt.
Nous verrons dans un premier temps une présentation des différents risques ( le risque
SYSTEMIQUE, LE RISQUE DE CONTREPARTIE, RISQUE DE MARCHE ET RISQUE DE CREDIT)
Par la suite, Nous verrons comment ces nouvelles réformes viennent compléter celles de Bâle
II après une crise déclenchée par une crise des subprimes et un emploi abusif de la titrisation.
Nous verrons enfin une étude de cas de la Banque Populaire afin de comprendre comment les
banques se projettent dans ce futur incertain et comment leurs activités vont être modifiées par
la mise en place ces nouvelles réformes.
Problématique :
Comme nous avons cité dans l’introduction, le monde des banques est un monde
complexe et cette complexité provient essentiellement d’un environnement instable te
vulnérable.
Le secteur bancaire est très risqué, dès qu’un banquier accorde un prêt à un client, il
court le risque que ce dernier n’honore pas ses engagements relatifs au service de la dette. C’est
un risque qui constitue une problématique majeure pour les institutions bancaires, et qui est
considéré parmi les plus importantes causes des problèmes financières dans le monde des
affaires.
Plusieurs travaux de recherches ont été appliqués pour avoir la meilleure méthode qui
détectera à l’avance la bonne clientèle de la mauvaise, et cela dans l’objectif ultime d’éviter la
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survenance d’un risque de crédit qui est considéré, par nature, entre autres, un risque
systémique.
Cadre de référence :
Le secteur bancaire joue un rôle très important dans l’économie national. Toutes les
banques ont un seul objectif principal est de réaliser des profits à travers toutes ses activités,
parmi lesquelles on cite l'activité d'octroi du crédit, qui est la principale activité, cette dernière
implique de grande influence sur la rentabilité de la banque puisqu'elle génère un risque
bancaire majeur qui est le risque d'insolvabilité, d’où l’importance des mesures et gestions des
risques d’insolvabilité.
Afin de pallier les risques d’insolvabilités les entreprises mettent en place des solutions
d’assurance-crédit ou d’affacturage, qui indemnisent le fournisseur dans les cas où les clients
débiteurs se trouvent en incapacité de paiement. De plus le transfert du risque de crédit est
un outil important permettant aux banques de gérer leur exposition au crédit risque.
Les banques doivent être en permanence solvables, c’est-à-dire pouvoir faire face à
leurs engagements à tout moment. En effet, si les clients de la banque qui ont déposé chez elle
leur argent (dépôts à vue) doute de sa solidité financière, ils risquent de perdre confiance et de
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retirer leurs dépôts, précipitant la banque (et tout le système s’il s’agit d’une banque importante)
dans des difficultés majeures.
C’est pourquoi La Banque des Règlements Internationaux (BRI) dont le siège est à Bâle
(Suisse) a établi des ratios de solvabilité que toutes les banques doivent respecter.
L’objectif du ratio de solvabilité est de fixer une norme minimale de fonds propres
destinés à couvrir les risques de contrepartie et d’insolvabilité. Il instaurait donc un rapport
minimal entre les fonds propres détenus par un établissement bancaire et les engagements
pondères en fonction de leurs risques. Dissocier les établissements bancaires en fonction de leur
risque bilanciel trouve sa justification dans l’activité d’intermédiation et ses corollaires, les
risques de d’illiquidité et d’insolvabilité.
Ainsi ; le risque d’insolvabilité d’une institution financière résulte, d’une part, des
réalisations des risques qu’elle est susceptible de porter à travers L’ensemble de ses activités
et, d’autre part, de sa capacité à les absorber. Dans ce contexte, deux aspects ont fait l’objet
d’une attention particulière :la capitalisation, qui va déterminer la capacite´ d’absorption des
pertes de l’institution financière, et la taille, qui est susceptible d’induire des comportements
face au risque spécifiques. Comme le cas des crises qui sont alors des évènements aléatoires
sans lien avec les évolutions économiques, elles sont fondées sur des croyances auto-
réalisatrices. Le modelé s’attache à démontrer les risques de paniques bancaires du côté du
passif des bilans bancaires, il n’aborde pas les risques liés aux crédits et a l’insolvabilité des
débiteurs. Il s’agit ici d’un phénomène de panique qui peut rendre la banque illiquide et non
d’une faillite liée à l’insolvabilité et a l’impossibilité de respecter des promesses de paiement.
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Etude de cas :
1 PRESENTATION DU SECTEUR :
1.1 Définition
Une banque est une entreprise qui gère les dépôts et collecte l'épargne des clients,
accorde des prêts et offre des services financiers. Elle effectue cette activité en général grâce à
un réseau d'agences. Cette institution financière doit posséder une licence pour pouvoir exercer,
laquelle est délivrée par un État et validée par des institutions spécifiques. Les banques, non
seulement exercent le « commerce de l'argent », mais sont également les organismes qui
produisent de la monnaie. Selon l'adage « les crédits font les dépôts », tout crédit accordé par
une banque augmente la masse monétaire en créant un dépôt bancaire (monnaie scripturale) de
montant équivalent, et tout crédit remboursé réduit la monnaie en circulation.
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et en particulier de superviser la production de monnaie par ces banques, et d'en réguler
l'usage via les taux d'intérêt directeurs. La théorie économique y voit un moyen
d'affecter la croissance, via l'incitation à l’épargne ou à la consommation, et d’agir sur
l’inflation.
En gros, cela représente plusieurs activités dédiées aux entreprises internationales et aux
marchés financiers. Ces banques font parties de grands groupes bancaires universels mais elles
ont leur organisation et leurs personnels propres.
La gestion d’actifs qui est le segment responsable de la gestion des fonds de la clientèle
et qui propose des placements aux investisseurs ou à la clientèle aisée, notamment pour
la banque privée.
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détail, elle voit également ses parts de marché augmenter en matière de crédits immobiliers et
crédits à la consommation.
La capacité d'une banque à gérer le risque affecte également les décisions des
investisseurs. Même si une banque peut générer des revenus importants, le manque de gestion
des risques peut réduire les bénéfices en raison des pertes sur les prêts. Les investisseurs axés
sur la valeur sont plus susceptibles d'investir dans une banque qui est en mesure de générer des
bénéfices et qui ne court pas un risque excessif de perdre de l'argent.
Les principaux risques auxquels sont confrontées les banques sont les risques de crédit,
opérationnels, de marché et de liquidité.
Le risque de crédit :
Le risque de crédit est le plus grand risque pour les banques. Elle se produit lorsque les
emprunteurs ou les contreparties ne respectent pas leurs obligations contractuelles. Un exemple
est lorsque les emprunteurs ne parviennent pas à rembourser le principal ou les intérêts d'un
prêt. Des défauts de paiement peuvent survenir sur les prêts hypothécaires, les cartes de crédit
et les titres à revenu fixe. Le non-respect des contrats obligatoires peut également se produire
dans des domaines tels que les produits dérivés et les garanties fournies.
Bien que les banques ne puissent pas être entièrement protégées contre le risque de crédit
en raison de la nature de leur modèle économique, elles peuvent réduire leur exposition de
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plusieurs manières. Étant donné que la détérioration d'un secteur ou d'un émetteur est souvent
imprévisible, les banques réduisent leur exposition grâce à la diversification.
Ce faisant, lors d'un ralentissement du crédit, les banques sont moins susceptibles d'être
surexposées à une catégorie présentant des pertes importantes. Pour réduire leur exposition au
risque, ils peuvent prêter de l'argent à des personnes ayant de bons antécédents de crédit,
effectuer des transactions avec des contreparties de haute qualité ou posséder des garanties pour
garantir les prêts.
Risque opérationnel : Le risque opérationnel est le risque de perte dû à des erreurs, des
interruptions ou des dommages causés par des personnes, des systèmes ou des processus. Le
type de risque opérationnel est faible pour les opérations commerciales simples telles que la
banque de détail et la gestion d'actifs, et plus élevé pour les opérations telles que la vente et le
négoce. Les pertes dues à une erreur humaine comprennent la fraude interne ou les erreurs
commises lors des transactions. Par exemple, lorsqu'un caissier donne accidentellement un
billet supplémentaire de 50$ à un client.
Risque du marché : Le risque de marché découle principalement des activités d'une banque
sur les marchés des capitaux. Cela est dû à l'imprévisibilité des marchés boursiers, des prix des
matières premières, des taux d'intérêt et des écarts de crédit. Les banques sont plus exposées si
elles sont fortement impliquées dans l'investissement sur les marchés de capitaux ou dans la
vente et la négociation.
Les prix des matières premières jouent également un rôle car une banque peut être
investie dans des entreprises qui produisent des matières premières. À mesure que la valeur de
la marchandise change, la valeur de l'entreprise et la valeur de l'investissement changent
également. Les variations des prix des produits de base sont causées par des variations de l'offre
et de la demande qui sont souvent difficiles à prévoir. Ainsi, pour diminuer le risque de marché,
la diversification des investissements est importante. Les banques réduisent également leurs
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investissements en couvrant leurs investissements avec d'autres investissements inversement
liés.
Risque de liquidité : Le risque de liquidité fait référence à la capacité d'une banque à accéder
à des liquidités pour répondre à ses obligations de financement. Les obligations comprennent
la possibilité pour les clients de retirer leurs dépôts. L'incapacité de fournir des liquidités en
temps opportun aux clients peut entraîner un effet boule de neige. Si une banque tarde à fournir
de l'argent à quelques-uns de ses clients pendant une journée, d'autres déposants peuvent se
précipiter pour retirer leurs dépôts car ils perdent confiance en la banque. Cela réduit encore la
capacité de la banque à fournir des fonds et conduit à une panique bancaire.
Les raisons pour lesquelles les banques sont confrontées à des problèmes de liquidité
comprennent une dépendance excessive à l'égard de sources de financement à court terme, un
bilan concentré sur des actifs illiquides et une perte de confiance dans la banque de la part des
clients. Une mauvaise gestion de la duration actif-passif peut également entraîner des difficultés
de financement. Cela se produit lorsqu'une banque a de nombreux passifs à court terme et pas
assez d'actifs à court terme.
Les passifs à court terme sont les dépôts des clients ou les contrats de placement garanti
(CPG) à court terme que la banque doit verser aux clients. Si la totalité ou la plupart des actifs
d'une banque sont liés à des prêts ou à des investissements à long terme, la banque peut être
confrontée à une inadéquation de la durée de l'actif et du passif.
Des réglementations existent pour atténuer les problèmes de liquidité. Ils incluent
l'obligation pour les banques de détenir suffisamment d'actifs liquides pour survivre pendant un
certain temps, même sans l'afflux de fonds extérieurs.
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L'acheteur du contrat CDS la banque 1, a prêté Vn à l'entreprise ABC. Cependant, cette dernière
peut ne pas être en mesure de rembourser sa dette. Pour parer cet éventuel risque (nommé risque
de crédit), la banque 1 achète un contrat à la banque 2 qui stipule que :
La banque 1 doit verser une prime (le plus couramment annuelle ou bi annuelle, exprimé
en pourcentage de Vn) à la banque 2 jusqu'à la fin du contrat ou la date de défaut de
ABC.
La banque 2 s'engage à verser (1-R) Vn en cas de défaut de l'entreprise ABC, avec R le
taux de recouvrement.
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risque de contrepartie : ainsi, le modèle utilisé ne représentait pas la vraie exposition au risque
des vendeurs des contrats.
La crise de 2008 a nécessité les comités de supervision des banques à revoir cette méthode
de mesure du risque de contrepartie. L'objectif est maintenant d'intégrer au mieux cette
corrélation positive à l'aide tout d'abord d'une période de test des modèles utilisés, en
augmentant la valeur à l'aide d'un coefficient multiplicateur, d'ajouter des contraintes lors de
l'établissement des modèles, ou encore de mieux prendre en compte les risques encourus par
l'utilisation des produits dérives. Enfin l'intégration de chambre de compensation, qui demande
un apport des deux parties à l'ouverture du contrat équivalent au maximum des pertes
journalières aujourd'hui, et des appela de marge quotidienne par exemple, sont également un
moyen de limiter le risque de contrepartie.
On ne peut pas parler d’une bonne stratégie de développement sans maitriser au premier
lieu les différents risques auxquels la BP est exposée, pour cela la banque doit avoir :
L’entrée en relation : La banque BP a mis en place un processus très large pour assurer
la bonne connaissance de ces clients.
L’instruction des dossiers de crédit : Cette étape repose sur l’analyse et l’appréciation de
:
Pouvoirs délégués par le Président du Comité Directeur en faveur des Comités BCP et
des Présidents de Directoire des Banques Populaires Régionales.
Pouvoirs subdélégués par les Présidents des BPR en faveur des centres d’affaires et
succursales relevant de leurs périmètres.
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Pouvoirs subdélégués par les responsables des succursales aux responsables d’agences
relevant de leurs entités
Ces pouvoirs sont inversement proportionnels au niveau des risques (plus le risque est élevé,
moins la délégation est importante).
La prise de décision :
Le suivi de la relation :
La revue du dossier client est très importante au moins une fois par an et a chaque
événement qui peut intervenu sur la situation.
Le sui rapproché de la relation se fait aussi par le biais de visites périodiques.
Dans un contexte économique caractérisé d’une part par l’évolution importante des activités
et du périmètre du Groupe au niveau local et international, et d’autre part par un accroissement
du nombre et de la complexité des exigences réglementaires, une approche en gestion des
risques dûment intégrée et empreinte de rigueur est donc essentielle à la réussite du Groupe. Le
cadre de gestion des risques assure une supervision indépendante des risques et joue un rôle de
premier plan dans le maintien de ses atouts concurrentiels. Le cadre de gestion globale des
risques est déployé à tous les échelons de la Banque et s’articule autour d’un dispositif
opérationnel de gestion et de suivi des risques à trois composantes.
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Méthode de recueil des données :
Nous aurons bien aimé de faire une visite sur terrain pour avoir une réponse précise à
notre problématique et l’ensemble des questionnement posés, mais plusieurs facteurs ont
empêché la réalisation de cette visite (contrainte du temps puisque la période actuelle coïncide
avec la période de préparation des exams de fin de semestre, la difficulté de ressembler toute
l’équipe puisque chaque membre du groupe habite très loin de l’autre et la quasi-majorité des
membres habitent en dehors de Casablanca , contrainte de la maladie de notre chef d’équipe
Asmaa Aderras ).
Face à cette situation nous étions obligés de chercher l’information par ailleurs et on
s’est basé sur des sources externes pour répondre à la problématique, et notre principale source
d’information était un rapport financier de BCP publié en 2020. Ce rapport financier traite
le sujet sur lequel nous travaillons (le risque d’insolvabilité bancaire) et dans lequel la Banque
Populaire a décrit de façon détaillée la manière avec laquelle elle gère la globalité des risques
auxquelles elle se confronte, ce rapport financier était la seule source qui nous a aidés pour
répondre à notre problématique et nous avons pas trouvé d’autres sources.
D’autres sources d’information complémentaires dont la plupart sont des sites Internet étaient
utiles pour compléter notre recherche et avoir le maximum possible des informations :
https://www.finexkap.com/risque-dinsolvabilite/
https://www.affactassur.com/definition/risque-d-
insolvabilite.html#:~:text=Le%20risque%20d'insolvabilit%C3%A9%20est,est%20pla
c%C3%A9%20sous%20proc%C3%A9dure%20collective
https://www.affactassur.com/definition/risque-d-
insolvabilite.html#:~:text=Le%20risque%20d'insolvabilit%C3%A9%20est,est%20pla
c%C3%A9%20sous%20proc%C3%A9dure%20collective
https://www.affactassur.com/definition/risque-d-
insolvabilite.html#:~:text=Le%20risque%20d'insolvabilit%C3%A9%20est,est%20pla
c%C3%A9%20sous%20proc%C3%A9dure%20collective
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On s’est basé aussi sur des articles scientifiques :
https://www.affactassur.com/definition/risque-d-
insolvabilite.html#:~:text=Le%20risque%20d'insolvabilit%C3%A9%20est,est%20pla
c%C3%A9%20sous%20proc%C3%A9dure%20collective
On s’est basé également sur une thèse de doctorat en Finance à l’ISCAE, et un rapport de
Master intitulé « La gestion des risques de crédits : Cas de la Banque Populaire ».
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Conclusion
Les banques, comme nous avons pu le voir, sont « uniques » tant sur le plan de leurs
comptes que leur valorisation. Ayant la dette au cœur de leur activité. Le système bancaire par
sa complexité et sa soif d’encore plus a causé en 2007 une crise amplifiée par la titrisation, dont
les conséquences furent mondiales. Cette crise a fait apparaître de grosses faiblesses internes à
l’origine peut-être d’un excès de confiance inter-banques et de vouloir trop gagner, du moins
espérer de gagner, en prêtant aveuglément à des clients se retrouvant plus tard face à une hausse
des taux et dans l’impossibilité d’honorer leurs dettes. Cet incident touchant l’économie
mondiale a entraîné une révision complète des normes prudentielles alors en vigueur (Bâle
II). Les nouvelles réformes, qui doivent commencer en 2013 et être appliquées
progressivement jusqu’en 2019, renforcent les exigences de fonds propres entre autres.
Certaines banques, en vue de s’adapter à ces nouvelles exigences, ont alors pris la décision de
lever du capital récemment : La Banque Centrale Populaire (BCP), objet de nôtre étude a réalisé
avec succès son augmentation de capital pour un montant de 278.205.871 dirhams (30,79
millions de dollars).
Cependant de nombreuses banques sont encore loin d’avoir les ratios adéquats exigés
par Bâle III et n’ont pas encore publié leur stratégie pour l’avenir. Ce dernier reste donc très
incertain, et le planning de Bâle III a donc des chances d’être compromis.
Après une revue des travaux portant sur les risques dans le secteur bancaire et le
fonctionnement de ce système après la crise on a analysé le processus d’octroi des crédits par
la banque populaire qui utilise des différentes méthodes pour se couvrir contre le risque
d’insolvabilité « la phase connaissance clients, scoring ou notation et l'analyse
financière »Ainsi on a pu constater l’inexistence d’un critère bien défini pour la prise de
décision d’octroi de crédit, qui rendent ce risque plus délicat à gérer de ce fait, on a essayé de
donner un ensemble des recommandations efficientes pour optimiser ce processus d’octroi des
crédits. Pour cela on a évalué la faisabilité de plusieurs recommandations afin qu’elles soient
compatibles avec les exigences de la vie professionnelle.
Alors, l’incidence du crédit sur la rentabilité bancaire a deux aspects soit qu'il est négatif
soit qu'il est positif, ceci dépend de la situation de remboursement de chaque client et du taux
d’intérêt. La banque ne peut pas lutter contre le risque du crédit, parce que ce dernier existe et
existera toujours, la solution est de le réduire par une correcte gestion.
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Bibliographie :
https://www.affactassur.com/definition/risque-d-
insolvabilite.html#:~:text=Le%20risque%20d'insolvabilit%C3%A9%20est,est%20pla
c%C3%A9%20sous%20proc%C3%A9dure%20collective
https://www.finexkap.com/risque-dinsolvabilite/
https://www.culturebanque.com/banques/les-differents-types-de-risques-des-banques/
https://www.giovannellapolidoro.com/les-principaux-risques-bancaires/
https://www.affactassur.com/definition/risque-d-
insolvabilite.html#:~:text=Le%20risque%20d'insolvabilit%C3%A9%20est,est%20pla
c%C3%A9%20sous%20proc%C3%A9dure%20collective
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