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: LA CONTRIBUTION DE L’APPROCHE
FONDAMENTALE A LA MINIMISATION DES RISQUES DE
CREDIT BANCAIRE : CAS DE LA BANQUE POPULAIRE DE
COTE D’IVOIRE
SOMMAIRE
i
DEDICACE
ii
REMERCIMENT
iv
LISTE DES FIGURES
PD : Probability de Fefault
Une banque est une institution financière qui met en relation les
agents en déficit de capitaux et les agents en excèdent de capitaux. En
plus de cette prérogative la banque remplit une pluralité de fonctions
depuis la gestion des moyens de paiement jusqu’à l’octroi du crédit.
Dans les années 80 et 90 l’explosion des activités de la bancaires et
financières ont contribué à l’émergence de la banque de marché et de
la bancassurance.
Au niveau scientifique :
Notre étude étant un travail professionnel dans le domaine très
sensible des crédits accordés à des entreprises par les banques, il
pourrait constituer un document pouvant servir à des recherches
futures.
La vérification des hypothèses lors d’une étude scientifique se fait de
façon graduel à travers une méthodologie et une technique de travail
propre à l’étude. Mpala MBABULA définit la méthode travail dans
son ouvrage « Pour vous chercheur » (2001) comme une « comme un
cheminement ou une voie à suivre pour atteindre un but ».
Pour ce travail nous avons optés pour une approche quantitative. La
méthode quantitative vise à quantifier et à mesurer le risque de crédit
grâce à l’aide d’outil mathématique et statistique. Elle utilise à la fois
des informations soft et hard.
Pour atteindre notre objectif, nous avons scindé nous travail en trois
(03) grandes parties :
Première partie : La revenu de littérature (le cadre théorique et
méthodologique)
Deuxième partie : La démarche empirique
Troisième partie : discussion des résultats et proposition
d’atténuation du risque de crédit
PREMIERE PARTIE : la revue de la littérature
I/ ENVIRONNEMENT BANCAIRE
Introduction
A)DEFINITIONS DES THEMES
a) Définition du risque
b) Typologie de risque
3) Risque bancaire
Le risque bancaire peut se définir comme « l’incertitude temporelle
d’un évènement ayant une certaine probabilité de survenir et de mettre
en difficulté la banque »2 .
Le risque financier
2
DESMICHT. F, «Pratique de l’activité bancaire», Dunod 2004, P 23
3
pareil
Le risque financier sont les risques liés aux variations de prix des
actifs financiers (actions, obligations, taux de change)
b) Forme du crédit
- La facilité de caisse :
- Le découvert :
Le découvert est une convention qui se fait verbalement ou par écrit
entre le créancier et l’emprunteur. Accordé pour une période de
quelque semaine à quelque mois le découvert est un concours autorisé
par la banque qui permet à une entreprise de faire face temporairement
à un besoin de financement en fonds de roulement, dépassant les
possibilités de ces fonds de de roulements selon Bernet-Rollande Luc.
- Le crédit de campagne :
« Est un crédit accordé aux entreprises qui ont une activités
saisonnière. Le plus souvent ces derniers observent un important
décalage entre les dépenses et les recettes ce qui conduit à un besoin
de trésorerie pendant une partie du cycle. Comme par exemple une
entreprise qui fabrique un produit toute l’année et vend sur une
période très courte.
- Le crédit « spot » :
Le financement de l’investissement
Le crédit d'investissement est un crédit qui permet à l'entreprise de
réaliser des investissements professionnels à moyen ou à long
terme. Le crédit d'investissement correspond généralement au
financement du haut de bilan de l'entreprise, avec pour principal
objectif, le développement ou le renouvellement des
immobilisations et de l'outil de travail de l'entreprise.
D’autre part, les risques en question peuvent être définis comme des
pertes associées à des évolutions défavorables de l’environnement
économique et financier. C’est ainsi qu’ont vu le jour plusieurs outils
et techniques ayant pour objectif de mieux contrôler ces risques.
Le risque financier sont les risques liés aux variations de prix des
actifs financiers (actions, obligations, taux de change)
a. Le risque de liquidité
b. Le risque de crédit
e. Le risque de marché
f. Options cachées
Définition Caractéristique
Les prêts ordinaires ont une
Crédit Affecté : c’est un durée de 3 à 60 mois,
Crédit prêt dédié à l’achat d’un remboursables par annuité
personnel bien en particulier. constante.
Les crédits affectés dispose
Ordinaire : c’est un prêt des mêmes caractéristiques.
donc pas lié à un bien en La différence réside dans le
particulier. Les sommes fait que l’achat est lié à un
peuvent être utilisées bien particulier.
librement par le débiteur
Location
avec option C’est un contrat de Une offre préalable doit
d’achat location qui permet au permettre :
(LOA) locataire après versement
des loyers de devenir Identifier les parties au
propriétaire si jamais contrat la valeur du
l’option d’achat a été bien, la durée et le
évoqué par le client. montant de location
Connaitre la valeur
Les obligation du résidentiel en cas
locataire : d’achat ou en cour de
Assumer les frais de contrat
la mise en
circulation ;
L’entretenir
Assurer le bien ;
Par conséquent la perte espérée sur un credit (expected loss, EL) est
égale à :
EL=EAD × PD × LGD
L’identification du risque
Evaluation du risque
La réduction du risque
Traitement du risque résiduel
a. Identification du risque
Communément appelé la prise de conscience de l’existence du risque,
l’identification du risque de crédit a pour objectif identifier tous
évènements susceptibles d’engendrer une perte pour l’entreprise.
L’identification du risque implique l’application de deux éléments
distincts :
c. La réduction du risque
Cette troisième étape a pour objectif d’œuvrer à la mise en place des
mesures de gestion internes visant à réduire autant que possible les
conséquences en cas de survenance de risque mais également réduire
la probabilité de réalisation du risque. Cette phase opérationnelle
comprendre deux types d’action coordonnées qui sont les
suivantes (Kharoubi & Thomas, 2016):
La réduction préventive
La réduction curative
traitement du Evaluation du
risque residuel risque
La redution du
risque
Conclusion
Pour combler ces lacunes. Le comité de Bâle a lancé, depuis 1999, une série de
renégociations. Le nouveau ratio, baptisé ratio Mc Donough ne change pas
l'esprit de l'accord initial mais l'enrichit. La refonte a surtout porté sur le mode
de calcul de l'ancien ratio tout en distinguant entre les différents risques
importants de l'activité bancaire à savoir le risque de crédit, le risque de marché
et le risque opérationnel.
Les faiblesses d'un système bancaire, que ce soit dans un pays en développement
ou dans un pays développé, peuvent menacer la stabilité financière tant au sein
de ce pays qu'à l'échelle internationale.
Son rôle consiste essentiellement à établir des normes et des lignes directrices
générales et formule des recommandations à l'égard des pratiques exemplaires
pour aider les banques à mieux se prémunir contre tout type de risque.
2. le ratio de Cooke
Ce ratio fait un rapport entre les fonds propres, composés d'un noyau dur (capital
et réserves) et d'éléments complémentaires tels que les provisions et les titres
subordonnés, et l'actif du bilan et les engagements hors bilan pondérés aux
risques.
2) Accord de Bâle II
Visant à renforcer la stabilité du système financier international et à
améliorer l'égalité de traitement des banques dans la compétition
mondiale en harmonisant les exigences de fonds propres dans les
différents pays, le Comité de Bâle a lancé, en 1999, une réforme du
ratio, qui date de 1988, le ratio de COOKE pour adopter, fin juin 2004
le nouvel accord (Bâle II). Le nouvel accord avait, de ce fait, comme
objectif l'augmentation de la souplesse du système de surveillance
pour assurer la continuité des activités des banques
La démarche, bien qu'elle soit neuve, elle s'appuie cependant sur des
principes déjà éprouvés. Le projet Bâle II définit un nouveau système
de calcul des fonds propres réglementaires que chaque établissement
doit adopter pour faire face à ses risques.
Bâle III constitue la troisième série d’accords établis par le Comité de Bâle,
après ceux dits de Bâle I et de Bâle II. Ces accords ont été pris en réponse à la
crise des subprimes qui a pointé la fragilité des banques.
En juin 2004, un nouveau dispositif d’adéquation des fonds propres a été adopté
par le Comité de Bâle en remplacement du ratio « Cooke ». Ce nouveau
dispositif, désigné comme l’accord de Bâle II, est entré en vigueur le 31
décembre 2006.
Il prévoyait une couverture plus complète des risques bancaires, incitant les
établissements à améliorer la gestion interne de leurs risques et affine la
méthode de calcul du ratio de solvabilité (lien avec dico « ratio de solvabilité
bancaire »).
Conclusion
- le diagnostic financier :
- La recommandation :
Ajustement
Collecte de RECOMMAND
de Calcul Interpretation DIAGNOSTIC
l'information ATION
l'information
B) CREDIT SCORING
L’évaluation du risque de crédit
a. Scoring et le Rating
Ces deux méthodes d’évaluation du risque client sont souvent
considérées comme identiques alors qu’elles ont tout de même des
différences36 :
- Le scoring est un véritable système expert, souvent utilisé dans
l’environnement des entreprises de taille intermédiaire (ETI) et les
petites et moyennes entreprises (PME). Cette analyse n’est pas
réalisée par les entreprises elles-mêmes mais par des institutions
extérieures à ces organisations. On peut évoquer la compagnie
française d’assurance pour le commerce extérieur (COFACE), un
acteur majeur sur ce secteur pour aider ces entreprises. Les banques se
servent aussi beaucoup de cette méthode en interne grâce à leurs bases
de statistiques.
- Le rating quant à lui se base sur un audit financier. Il s’agit
d’une notation financière pour les organisations de taille plus
importantes notamment les grandes entreprises cotées. Les ressources
utilisées par ces deux méthodes demeurent bien différentes même si le
but final reste le même, lutter contre le risque d’insolvabilité.
Le scoring aussi appelé credit scoring, est une méthode largement
utilisée par les banques comme un outil d’aide à la décision. Cette
technique définit par MESTER comme « une méthode statistique pour
prédire la probabilité qu’un demandeur de prêt (débiteur) fasse défaut
».
VAN PRAAG N explique que l’objectif du crédit est « de déterminer
un score, c’est-à- dire un niveau sensé être la représentation d’un
certain risque pour le prêteur. Ce score est obtenu par la prise en
compte de différents paramètres dont le choix est important quant à la
capacité prédictive du système. Après la réalisation de cette évaluation
chiffrée, il suffit d’intégrer le score obtenu dans une grille
d’appréciation préalablement étalonné. La lecture d’un score suppose
en effet la détermination d’une grille de risque, laquelle permettra
l’interprétation du chiffre obtenu qui aidera à la prise de décision
finale du prêteur ».
Le rating est un outil très intéressant qui donne une vision globale sur
la situation d’une organisation ou d’un produit à un moment précis. Il
ne faut cependant pas oublier que cette analyse n’est pas parfaite. Pour
prendre une décision viable, il faut croiser d’autres informations. En
effet durant la crise des subprimes, certaines agences de notation ont
accordé des notes très élevées à des produits ou à des entreprises
financières peu recommandables sur le marché du crédit. Cela prouve
que le rating est à utiliser avec précaution pour être réellement efficace
selon la conjoncture.
- Une baisse des créances clients. Ce qui est une bonne chose ;
- Une amélioration de la situation de la trésorerie ;
- Des fonds de roulement couvrant difficilement le besoin en
fonds de roulement.
On observe ici une baisse du chiffre d’affaire, ainsi que du résultat net.
La capacité d’autofinancement est aussi en baisse et les charges de
personnel sont largement au-dessus de la norme.
iii. Analyse des ratios
Ratios d'activité
Stocks / achats 0 n.a. n.a.
Créances clients / CA HT 187 12 0
Dettes fournisseurs / Achats 47 n.a. n.a.
E.B.E. / Chiffre d'affaires H.T. 40,05% 45,46% 29,39%
Charges d'exploitation / C.A.H.T. 61,60% 75,00% 92,56%
Résultat d'exploitation / C.A.H.T. 38,40% 25,00% 7,44%
Frais de personnel/VA 1,05% 14,18% 40,98%
Charges d'intérêts / EBE 0,00% 0,00% 0,00%
Charges d'intérêts / C.A.H.T. 0,00% 0,00% 0,00%
Résultat net / CA H.T. 32,00% 25,00% 7,44%
CAF/CA HT 33,65% 45,46% 29,39%
Résultat net / Fonds propres 65,56% 60,40% 13,65%
Ratios de structure financière
FP Elargis / Total passif 89,82% 91,36% 75,98%
Dettes MLT / FP Elargis 0,00% 9,46% 31,61%
Dettes . MLT + crédit bail / C.A.F. 0,00 0,09 0,59
Endettement financier net / FP Elargis n.s. n.s. 31,61%
FR / BFR (équilibre ou déséquilibre) 103,27% 529,95% #DIV/0!
Actif Circulant / CAHT 51,33% 3,17% 0,00%
Dettes banc. MLT + CT / FP Elargis 0,00% 0,00% 0,00%
Conclusion
DEUXIEME PARTIE : DEMARCHE EMPIRIQUE DE LA
DETERMINATION DES CRITERES DE DEFAUT DE
CREDITS CHEZ LA BANQUE POPULAIRE PAR
L’APPROCHE EMPIRIQUE
Introduction
2) le questionnaire
Dans le cadre de notre recherche, les entretiens réalisés ont été semi-
directifs. L’entretien semi-directif est une technique qualitative de
recueil d’informations permettant de centrer le discours des personnes
interrogées autour de thèmes définis préalablement et consignés dans
un guide d’entretien. A. Thiétart et coll. (1999).
Le capital de la Banque Populaire de Côte d’Ivoire, entièrement détenu par l’Etat de Côte
d’Ivoire est passé de 25 milliards de francs CFA lors de sa création à quarante milliards de
francs CFA (40 000 000 000 F CFA) aujourd’hui. Son siège social est situé à Abidjan-
Plateau, Immeuble SMGL – 11, Avenue Joseph Anoma.
2) Missions
Les missions assignées à la Banque Populaire de Côte d’Ivoire sont les suivantes :
Proximité ;
Responsabilité ;
Engagement ;
Satisfaction du client.
4) Produits et Services
Les produits monétiques et télématiques : les cartes bancaires, les cartes prépayées,
Western Union, RIA, Wari (transfert d’argent), BANKCELL (le service de banque par
sms), FACILISS (le service de banque par internet).
Les retraits au DAB sont gratuits pour tous les porteurs de la Banque Populaire et facturés à
500F CFA pour les porteurs membres du GIM UEMOA.
La Banque Populaire de Côte d’Ivoire est une société d’Etat avec un Conseil
d’Administration, une Direction Générale et des Direction Centrales.
Le Conseil d’Administration
La Banque Populaire de Côte d’Ivoire est administrée par un Conseil d’Administration dont le
président est nommé sur proposition de l’Etat.
Le Conseil d’Administration exerce de façon continue son autorité et son contrôle sur les
activités de la banque. Le Conseil d’Administration délègue, tous les pouvoirs qui ne lui sont
pas réservés par l’application des dispositions législatives règlementaires en vigueur.
La Direction Générale
Elle élabore et met en œuvre des stratégies de contrôle des activités et des opérations de la
banque afin d’en assurer la conformité aux meilleures pratiques. Elle supervise toutes les
activités de la Banque et fait des recommandations pour améliorer les dispositifs de contrôle
interne.
L’Audit interne évalue les opérations et projets financés par la Banque, collabore avec le
Commissaire aux comptes pour assurer le meilleur service d’audit à la Banque.
La DGE/PME a pour mission d’accroitre la satisfaction des clients et la part du marché par
l'amélioration des prestations de services et par l'intégration de la culture client au niveau de
la clientèle des Entreprises.
La Direction de la Trésorerie
Le rôle du trésorier de banque est d’assurer, à tout moment, la disponibilité des fonds
nécessaires au fonctionnement et au développement de la banque.
La mission essentielle de la Direction des Moyens Généraux est de gérer les actifs de la
Banque, superviser les activités d’acquisition des biens, services, travaux et immobiliers, les
transports des biens et du personnel de la Banque et ainsi que les services courriers.
La Direction des Opérations gère l’ensemble des unités opérationnelles du back office de la
banque.
Elle organise, coordonne et traite les moyens de paiement (chèques, virements…) dans le
respect des délais, la maîtrise des coûts et dans le respect des règlementations.
Elle gère les actions de communication et de marketing internes et externes dans le but de
promouvoir les produits et de valoriser l'image de la banque.
La DRH a pour mission principale d’initier les actions pour recruter et former le personnel,
accroitre les capacités en matière de performance, mettre en œuvre les bonnes pratiques en
matière de gestion des talents et contribuer à relever le degré d'engagement du personnel.
Elle veille à l’analyse des risques financiers, économiques, juridiques en rapport à l'octroi du
crédit et au contrôle de la rentabilité de l'opération pour la banque, supervise les activités liées
au crédit : analyse, administration, suivi de créance.
Assure le suivi des crédits et des garanties en collaboration avec la DPP, la DGE et la
Direction Juridique et Contentieuse ;
Elle élabore et met en œuvre le plan de contrôle interne (mission de contrôle permanent), un
dispositif de pilotage et de suivi des missions de contrôle pour chaque ligne de métier de la
banque.
Le Contrôle Interne réalise une cartographie des risques de non-conformité afin d’identifier
les dispositifs de maîtrise des risques et les plans d’action à mettre en place, procède à la
transposition des dispositions règlementaires liées à la conformité dans les outils et les
procédures internes de la banque.
Elle est constituée d’un réseau de 73 agences interconnectées regroupées dans quatre (04)
Départements du Réseau d’Agences, dirigés par les Chefs du Département du Réseau
d’Agences et répartis sur l’ensemble du territoire national :
La Direction Financière
La Direction Financière a pour rôle d’assurer la ténue régulière de la comptabilité, établir les
états financiers, faire le reporting des opérations financières de la banque.
Elle assure l’élaboration et le suivi du budget, instruit toutes les opérations de règlement aux
tiers (fournisseur-Etat).
La DJC a pour mission principale de veiller aux intérêts de la banque et prévenir les risques
juridiques auxquels elle peut être exposée.
Organigramme de la Banque Populaire de Côte d’Ivoire
OPPORTUNITES MENACES
Relativement aux menaces, nous notons ce
La stabilité et la croissance continue qui suit :
dont jouit le pays actuellement L’implantation de nouvelles
favorisent des besoins énormes en compagnies concurrentes directes ;
financement ; L’installation de plusieurs
La prospection des PME en vue Microfinances ;
d’accroitre le volume de crédit ; La concurrence intense des autres
La politique du Gouvernement, en banques ;
faveur des populations vulnérables La concurrence de la Microfinance
(les jeunes en quête d’emploi) par la sur les secteurs de la clientèle des
création des agences Emploi-Jeunes, Particuliers, des Professionnels et
permet à la Banque Populaire de des PME.
Côte d’Ivoire d’avoir de nouveaux
clients à bancariser à qui elle pourra
également octroyer du crédit.
c. Le risque opérationnel
Transition
CONCLUSION
Sites internet
www.fimarkets.com/pages/repo.php
www.iotafinance.com/Definition-risque-de-credit.html
www.vernimmen.net.