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I/ Définitions :
- Différence entre Métal, Conducteur et Semiconducteur
- Notion des bandes d'énergie
- Semiconducteur à gap direct et à gap indirect
- Sc intrinsèque et extrinsèque
- Notion de masse effective
- Notion de trou
- E(k) pour Sc à gap direct et à gap indirect
Introduction :
- Cette réactivité qui est mise à profit dans l'utilisation des composants à Sc.
+ +
+
+ +
+
Électron libre
Chaque Ion est chargé + car il a cédé son électron célibataire au cristal : autant d’é libre dans le
cristal que d’ions.
Tous les électrons (point rouge) sont libre. (force de liaison entre électron et ion est nulle.
3s2 3p2
Cette situation ne correspond pas à la réalité. Les atomes du cristal ne
vont pas saturer leurs couches externes (avec 8 électrons). D’où la
transition d’un électron de 3s vers 3p : 4 électrons célibataires 4
liaisons covalentes simples avec les atomes voisins (2ième figure).
Remarques :
- cristal ionique : forces entre atomes élevée, pas de liaison rompu = pas d'ē libre= pas
de conduction.
- Métal alcalin : forces entre atomes faibles, ē quasi libre = conduction possible.
- cristal covalent à basse T° : pas de liaison rompu= pas d'ē libre= pas de conduction.
- cristal covalent à T° moyenne et/ou élevée : plus l'énergie fournie au cristal (et donc
aux ē périph.) est élevée, on casse alors des liaisons dans le cristal covalent. La T°
ambiante dite moyenne est suffisante pour rompre quelques liaisons et donc la
conduction est possible (sans atteindre celle dans le cristal alcalin) à T°amb.
Les systèmes cristallins
Les indices de Miller
Les nœuds du réseau peuvent être regroupés en plans parallèles et équidistants : on obtient
ainsi une famille de plans réticulaires.
Considérons deux plans voisins dont un passe par l’origine du réseau ; le deuxième plan
coupe les axes a, b et c définissant la maille cristalline en a/h, b/k et c/l.
Les nombres entiers h, k et l premiers entre eux, positifs ou négatifs, représentent les indices
de Miller de la famille de plans réticulaires considérée.
On la note (h,k,l) et l’ensemble des familles de plans se déduisant les unes des autres par des
opérations de symétrie constitue une forme de plan et est notée {h,k,l}.
On définit le plan réticulaire par les indices (h, k, l)
appelés indices de Miller. Sur la figure par exemple,
les valeurs de x, y, z sont respectivement 4, 1, 2,
donc celles de 1/x, 1/y, 1/z sont 1/4, 1, 1/2 et par
suite celles de h, k, l sont
1, 4, 2.
Le plan représenté sur la figure est le plan (1, 4, 2).
La majorité des semiconducteurs utilisés en électronique cristallisent dans le
système cubique (Si, C, GaAs, ge, InP, InSb, CdTe, ….) d'autres aussi important
cristallisent dans le système hexagonal GaN, ZnO, CdS, AlN,...). La maille élementaire
pour le système cubique est caractérisée par a=b=c et a=b=g=90°
Remarques:
Considérons des atomes de C (ou de la même colonne) arrangé aux nœuds d'un réseau
périodique et avec un paramètre de maille très élevé. l'état de valence est 2s22p2 (ou
ns2np2) ; les états d'énergies correspondant sont Es et Ep.
3N places
p antiliant
Energie
Zéro électr. 1/r : Bande vide
np Zéro électr.
6N états 3N places
2N électr. 2Nélectr.
N places 3N places
p liant
Nélectr. 3Nélectr. 1/r < 1/r0 : Bande pleine au 2/3
nS 1/r > 1/r0 : Bande pleine
2N états
2N électr. N places
Nélectr. N places S liant: état plus stable
Nélectr. 1/r : Bande complètement
pleine
Matériau 1/r0 Matériau isolant 1/Distance interatomique
conducteur
- Quand d>d0 : l'éclatement liant-antiliant est < à l'éclatement s-p. D'où s(liant) et
s(antiliant) sont occupés et p(anti)est occupé au 2/3 : cette bande incomplète est
spécifique de la conduction métallique= matériau conducteur.
Définitions :
- la dernière bande pleine = Bande de valence (BV)
- la première bande vide = Bande de conduction (BC).
- la bande intermédiaire est dite interdite où gap du matériau. Sa largeur est notée Eg.
C/C : matériaux n'ayant que des bandes pleines et vides est un isolant.
- Qd Eg est élevée, à T°amb, l'énergie thermique (kT) est insuffisante pour exciter
les électrons de BV vers BC : matériau isolant (Eg > 200kT).
Gap direct :
le min de BC et le max de BV coincident au même point
dans l'espace des k. l'excitation de l'électron se fait
sans changement de k.
Ex : GaAs, GaSb, InP, InAs, ... Eg=1,45eV pour GaAs
Gap indirect :
le min de BC et le max de BV ne coincident pas au même
point dans l'espace des k. Le passade de l'électron de BV à
BC se fait avec chgmt de k.
Ex : Si, Ge, GaP, ...
Eg=1,12eV pour Si
Remarque1: la nature du gap joue un rôle importat dans l'interaction
rayonnement électromagnétique-Sc et par suite dans le fonctionnement des
composants optoélectroniques.
Diagramme énergétique :
Eg= énergie min nécessaire pour briser une liaison covalente = faire passer un électron
de BV à BC.
Bande de conduction de Ec à +
Bande de valence de Ev à -
Surface su Sc
3/ Notion de trou
Les électrons se déplacent dans BV d'une orbitale liante vers une autre voisine liante (s'il
y a des places vides) = ce déplacement laisse un manque d'électron sur la 1ière
orbitale liante = création d'un trou.
Rq1 : électron et trou se déplace dans des sens opposés.
Rq2 : La BV est quasi pleine et donc l'étude du mouvement des électrons dans BV est
relativement compliquée ; on ramène alors le problème à l'étude des trous (sont en faible
densité) en leur affectant une identité et une masse effective ;
Un trou = charge élémentaire positive +e.
Sens déplacement des électrons
trou étape2
trou étape3
étape4
trou
5/ Semiconducteur extrinsèque
Matériau isolant
5-a/ Donneurs
On injecte des atomes impuretés (de manière contrôlée) de la colonne V dans un cristal Si (= dopage).
P= atome phosphore = 5 électrons périphérique.
Pour saturer sa couche externe il doit assurer 4 liaisons covalentes et il lui reste un cinquième
électron très délocalisé (énergie de liaison très faible de l'ordre de 0,04eV).
L'énergie kT à T°amb est suffisante pour le libérer et assure donc la conduction dans le cristal Si en
créant un ion P+.
La conduction est assurée par les électrons issus des impuretés donneurs (dopage n).
La conduction du courant est assurée par les trous (majoritaires) issus des impuretés
accepteurs (dopage p).
1/Bande de conduction
1-a/ semiconducteur à gap direct
3 1
2 2𝑚𝑒 Τ2 Τ2
𝑁𝑐 𝐸 = . . 𝐸 − 𝐸𝑐
2𝜋2 ℎ2
1/Bande de conduction
1-a/ semiconducteur à gap direct
1-b/ semiconducteur à gap indirect :
Avec: 𝑚𝑐 = 𝑛. 𝑚𝑙 1/ 2. 𝑚 2/ 3
𝑡
Remarque:
Ordre de grandeur :
Si Ge GaAs InP
mv 0,59m0 0,36m0 0,64m0 0,87m0
Conclusion :
- Quelque soit le type de Sc, la densité d’états au voisinage d’un extrema de l’une des bandes
s’écrit:
3 1
2 2𝑚∗ Τ2 Τ2
- 𝑁∗ 𝐸 = . . 𝐸 ∗ −𝐸0
2𝜋2 ℎ2
E
Pour les trous :
- Soit fp(E) : probabilité d’occupation d’un niveau énergétique « E » par un trou = fonction de
distribution des trous.
- Un niveau énergétique est soit occupé par un électron soit il est vide (non occupé par l’électron =
occupé par un trou). D’où :
f(E) + fp(E) = 1
1
Ce qui donne : fp(E) = 𝐸−𝐸𝐹
−
1+𝑒 𝑘𝑇
fp(E) = 0
T°
III/ Semiconducteur à l’équilibre thermodynamique :
- nbre d' électrons sur un niveau E = Nc(E).f(E)
- nbre de trous sur un niveau E = Nv(E).f p (E)
Ec ,max
- nbre ou densité d' électrons sur BC =
Ec
Nc(E).f(E).dE
Ev
Avec:
- nbre ou densité de trous sur BV = Ev ,min
Nv(E).f p (E).dE
rappel :
3 3
1 2mc 2
1 2mv 2
Nc( E ) = 2 . 2 . E Ec et Nv( E ) = 2 . 2 . Ev E 2
1 1
2
2 2
1 1
f (E) = fn (E) = E EF
et f p ( E ) = E EF
1 e kT 1 e kT
Représentation graphique :
f(E) à 0°K
Nv(E) évolue en E
Nc(E) évolue en E
avec poids élevé
avec poids faible
Ev EF Ec E
Définitions :
- Tout semiconducteur avec 𝑬𝑭 ∈ 𝑬𝒗 , 𝑬𝒄 est dit : Sc non dégénéré
- Tout Sc avec 𝑬𝑭 ≤ 𝑬𝒗 𝒐𝒖 𝑬𝑭 ≥ 𝑬𝒄 𝐸𝐹 ∈ à 𝑙 ′ 𝑢𝑛𝑒 𝑑𝑒𝑠 𝑏𝑎𝑛𝑑𝑒𝑠 𝑝𝑒𝑟𝑚𝑖𝑠𝑒𝑠 : Sc dégénéré
𝑬𝒄−𝑬𝑭
−
Ce qui donne: n = Nc. 𝒆 𝒌𝑻
- Calcul de p :
Faites le calcu pour p : Tout calcul fait donne :
𝑬𝒗−𝑬𝑭
p = Nv. 𝒆 𝒌𝑻
𝐸−𝐸𝑣
𝐸𝑣
Avec : −∞ 𝑁𝑣 𝐸 .𝑒 𝑘𝑇 .dE = Nv : densité équivalente d’états dans BV.
Remarques: E Ec Ev E Ev
- Rappel : Nc = Nc( E ).e
Ec
kT
.dE et Nv = Nv( E ).e
kT
.dE
E Ec Ev E Ev
Nc = Nc( E ).e
Ec
kT
.dE et Nv = Nv( E ).e
kT
.dE
E Ec
Soit : x =
kT
et dE = kT .dx et les limites deviennent
Ec
0
3
1 2mc 2
. kT 0 x 2 .e .dx
3 1
x
Nc s'écrit : Nc = .
2
.
2 2 h
2
144442 44443
=
2
3 3
mc 2
T 2
Nc = 2, 5.1019. . .cm 3
m0 300
3 3
mv 2
T 2
Nv = 2, 5.1019. . .cm 3
m0 300
Ordre de grandeur :
Remarques:
- Nc ≈1019cm-3 pour les Sc à gap indirect et Nc ≈1017cm-3 pour les Sc à gap direct.
𝐸𝑐−𝐸𝐹 𝐸𝑣−𝐸𝐹
−
- 𝑛 = 𝑁𝑐. 𝑒 𝑘𝑇 𝑒𝑡 𝑝 = 𝑁𝑐. 𝑒 𝑘𝑇
𝑬𝒄−𝑬𝒗 𝑬𝒈
− −
𝒏. 𝒑 = 𝑵𝒄. 𝑵𝒗. 𝒆 𝒌𝑻 = 𝑵𝒄. 𝑵𝒗. 𝒆 𝒌𝑻
du gap
2/ Semiconducteurs extrinsèques :
a/ Densité des électrons »n » et des trous « p » :
- Sc extrinsèque : Sc contenant des impuretés introduites de manière contrôlé (dopage).
- Soit : Na : densité des accepteurs Nd : densité des donneurs
Na- : densité ionisée Nd+: densité ionisée
- Sc à l’équilibre étant neutre : l’équation de la neutralité électrique s’écrit :
n + Na- = p +Nd+
Remarques:
1/ - EA et ED sont placés près des bandes permises. L’énergie d’ionisation des accepteurs et des
donneurs est de quelques meV : 5meV < Eionisation < 45meV : qui reste très faible.
- L’énergie thermique (kT) à Tambiante d’environ 26 à 30 meV est suffisante pour ioniser tous les
donneurs et tous les accepteurs : Na- = Na et Nd+ = Nd.
La neutralité électrique s’écrit : n + Na = p +Nd
2/ Dans la pratique Na = Nd = 0 n’existe pas. Il y a tjs des atomes contaminants : Sc intrinsèque
n’existe pas.
3/ Sc compensé :
- Au cour de la fabrication du Sc, il y a tjs des atomes contaminantes. Soit Na > Nd (avec Na et Nd :
impuretés contaminantes).
- On peut compenser le plus des Na par un dopage n tel que : la densité de dopant n rajouté égalise
(Na – Nd).
- Cette situation amène à : Na = Nd dans le Sc : Tout ce passe comme si le Sc est intrinsèque car :
n (= Nd) = p( = Na) = ni
- Ce type de Sc est dit : Sc compensé ou semi-isolant.
2-a-a/ Sc type n :
- Soit un Sc avec : Nd > Na et la neutralité électrique s’écrit 𝑛 + 𝑁𝑎 = 𝑝 + 𝑁𝑑 𝑎𝑣𝑒𝑐 𝑛 > 𝑝.
- 𝑛 > 𝑝 : Les électrons sont majoritaires dans le Sc dit de type « n » : Sn.
- Les minoritaires sont les trous dans ce Sn.
- La conduction est assurée par les majoritaires dans le Sc ici sont les électrons.
- On a: 𝑛. 𝑝 = 𝑛𝑖2 et 𝑛 > 𝑝 ce qui amène à 𝑝 < 𝑛𝑖 < 𝑛 𝑝𝑜𝑢𝑟 𝑆𝑛.
- Dans la pratique : dans Sn : 𝑁𝑎 ≪ 𝑛𝑖 ≪ 𝑁𝑑 𝑒𝑡 𝑑𝑜𝑛𝑐 𝑙𝑎 𝑛𝑒𝑢𝑡𝑟𝑎𝑙𝑖𝑡é 𝑑𝑒𝑣𝑖𝑒𝑛𝑡 ∶ 𝒏 = 𝑵𝒅 − 𝑵𝒂
𝒏𝟐𝒊
et comme 𝑛. 𝑝 = 𝑛𝑖2 ce qui donne 𝒑=
𝑵𝒅−𝑵𝒂
2-a-a/ Sc type p :
- Soit un Sc avec : Nd < Na et la neutralité électrique s’écrit 𝑛 + 𝑁𝑎 = 𝑝 + 𝑁𝑑 𝑎𝑣𝑒𝑐 𝑛 < 𝑝.
- 𝑛 < 𝑝 : Les électrons sont minoritaires dans le Sc. Le Sc est dit de type « p » : Sp.
- Les majoritaires sont les trous dans ce Sp.
- La conduction est assurée par les majoritaires dans le Sc ici sont les trous.
- On a: 𝑛. 𝑝 = 𝑛𝑖2 et 𝑛 < 𝑝 ce qui amène à 𝑝 > 𝑛𝑖 > 𝑛 𝑝𝑜𝑢𝑟 𝑆𝑝.
- Dans la pratique : dans Sp : 𝑁𝑎 ≫ 𝑛𝑖 ≫ 𝑑 𝑒𝑡 𝑑𝑜𝑛𝑐 𝑙𝑎 𝑛𝑒𝑢𝑡𝑟𝑎𝑙𝑖𝑡é 𝑑𝑒𝑣𝑖𝑒𝑛𝑡 ∶ 𝒑 = 𝑵𝒂 − 𝑵d
𝒏𝟐𝒊
et comme 𝑛. 𝑝 = 𝑛𝑖2 ce qui donne 𝒏=
𝑵𝒂−𝑵𝒅
Résumé :
n = Nd Na Nd p = Na Nd Na
Sn : ni2 ni2 Sp : ni2 ni2
p = n =
Nd Na Nd Na Nd Na
Remarques:
Ec EFn
n = Nc.e kT Nc
Sn : EFn = Ec kT .Ln
n = Nd Na Nd Na
Ev EFp
p = Nv.e kT Nv
Sp : EFp = Ev kT .Ln
p = Na Nd Na Nd
Remarques:
- 𝐸𝐹𝑛 = 𝐸𝑐 𝑝𝑜𝑢𝑟 𝑁𝑐 = 𝑁𝑑 − 𝑁𝑎 ∶ 𝑑é𝑏𝑢𝑡 𝑑𝑒 𝑙𝑎 𝑑é𝑔é𝑛é𝑟𝑒𝑠𝑐𝑒𝑛𝑐𝑒 𝑑𝑢 𝑆𝑛.
- 𝐸𝐹𝑝 = 𝐸𝑣 𝑝𝑜𝑢𝑟 𝑁𝑣 = 𝑁𝑎 − 𝑁𝑑 ∶ 𝑑é𝑏𝑢𝑡 𝑑𝑒 𝑙𝑎 𝑑é𝑔é𝑛é𝑟𝑒𝑠𝑐𝑒𝑛𝑐𝑒 𝑑𝑢 𝑆𝑑.
- Les expressions de EFn et EFp permettent d’obtenir une estimation du dopage nécessaire pour
dégénérer un Sc.
Diagrammes énergétiques :
BC
Energie Ec
EFn
EFi
eFi eFi
EFp
Ev
BV
Sc intrinsèque Sc type n : Sn Sc type p : Sp
Définition :
- e Fi = EF – EFi (autres auteurs le définissent comme : EFi - EF
- eFi : est positive pour un Sn et est négative pour Sp.
Calcul de e Fi = EF-EFi
𝐸𝑐−𝐸𝐹𝑖 𝐸𝑣−𝐸𝐹𝑖
−
- Sc intrinsèque : 𝑁𝑐. 𝑒 𝑘𝑇 = 𝑛 = 𝑛𝑖 = 𝑝 = 𝑁𝑣. 𝑒 𝑘𝑇
𝐸𝑐−𝐸𝐹 𝐸𝑣−𝐸𝐹
−
- Sc extrinsèque : 𝑁𝑐. 𝑒 𝑘𝑇 = 𝑛 𝑒𝑡 𝑝 = 𝑁𝑣. 𝑒 𝑘𝑇
eFi
𝐸𝑐−𝐸𝐹 𝐸𝑐−𝐸𝐹+𝑬𝑭𝑰−𝑬𝑭𝑰 𝐸𝑐−𝐸𝐹𝑖 𝐸𝐹−𝐸𝐹𝑖
− − − .
- Soit 𝑁𝑐. 𝑒 𝑘𝑇 = 𝑛 = 𝑁𝑐. 𝑒 𝑘𝑇 = 𝑁𝑐. 𝑒 𝑘𝑇 𝑒 𝑘𝑇
𝑛𝑖
eFi
Ce qui amène à écrire : 𝒏 = 𝒏𝒊. 𝒆 𝒌𝑻
−
eFi
Idem pour p et on écrit : 𝒑 = 𝒏𝒊. 𝒆 𝒌𝑻
- On déduit alors :
Sn: n = Nd Na
Remarque :
n Nd Na
kT .Ln = kT .Ln − 𝑺𝒊 𝒆Φ𝑭𝒊 > 𝟎 → 𝒏 > 𝒏𝒊 > 𝒑 ≡ 𝑺𝒏
i
n ni
e Fi = − 𝑺𝒊 𝒆Φ𝑭𝒊 > 𝟎 → 𝒑 > 𝒏𝒊 > 𝒏 ≡ 𝑺p
kT .Ln p = kT .Ln Na Nd
i
n n i
Sp: p = Na Nd
J = flux d’électrons = nbre d’é qui traverse S=unité perpendiculairement à dS par unité de
temps.
Densité = n
Vitesse = v
dx
dI = - e.n. S.dx avec dx = v.dt ce qui donne dI/dt = - e.n.v = J pour S = unité
V/ Génération – Recombinaison – Durée de vie des porteurs
Recombinaison (r'=cm-3s-1) : mesure le nbre de porteurs qui disparaît cm-3s-1. r' est
Origine de g' :
g= génération induite : due à une source externe : excitation optique, irradiation par
Après contact
Avant contact
HBe 2 vers 1
HBp 1 vers 2
HBp 2 vers 1 = 0
Cas d’un contact Métal Sc :
- Energie = -e*potentiel