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CHAP.I. GENERALITES
I.1. DEFINITION DE LA CHIMIE
La chimie est une science qui étudie la matière et ses transformations.
Dans cette optique, on effectue des expériences dans lesquelles, on analyse les
produits obtenus au cours de réactions. Par ces expériences, on découvre le
comportement de la matière qu’on cherche en suite à expliquer et à comprendre.
I.2. IMPORTANCE DE LA CHIMIE
La chimie revêt une importance capitale pour l’homme. Elle intervient
non seulement dans la compréhension de la composition, de la structure, des
propriétés et des transformations des matières, mais aussi elle intervient dans
divers secteurs de la vie : santé, alimentation, vêtements, habitation, transports,
agriculture, environnement, chirurgie, chimiothérapie, etc. La chimie permet
d’acquérir la connaissance scientifique et divers biens. La chimie permet à
l’homme d’accéder aux divers produits ci-après :
- Médicaments naturels ou de synthèse (antibiotiques, analgésiques,
contraceptifs, etc.) ;
- Cosmétiques et parfums, Savons et détergents ;
- Pesticides (insecticides, herbicides, fongicides, etc.) ;
- Colorants, Peintures et vernis, Explosifs ;
- Matières plastiques et élastomères (caoutchoucs synthétiques) ;
- Carburants et autres combustibles (fiouls, mazouts) ;…..
Couche électronique K L M N O P Q
Valeur de n 1 2 3 4 5 6 7
Le nombre maximal d’électrons qui peuvent occuper une couche
électronique est donné par 2n2. Cette formule ne s’applique que jusqu’à
n = 4.
n Couche Nombre d’électrons (2n2)
1 K 2
2 L 8
3 M 18
4 N 32
5 O 32
6 P 18
7 Q 8
a. Principe de Pauli
Dans un édifice monoatomique, deux électrons ne peuvent pas avoir
leurs quatre nombres quantiques (n, l, m, ms) identiques.
Ainsi, deux électrons qui occupent une sous-couche 1s sont décrits par le
quadruplet (1, 0, 0, + 1/2) pour l’un et (1, 0, 0, – 1/2) pour l’autre. Ils ont la
même énergie, mais leurs nombres magnétiques de spin sont opposés ; on dit
que leurs spins sont antiparallèles ou appariés. Une orbitale atomique ne peut
donc pas décrire plus de deux électrons.
b. Règle de Klechkowski
A l’état fondamental, l’énergie de l’atome est minimale : cela
correspond à une occupation des niveaux d’énergie électronique les plus bas. La
règle de Klechkowski est une règle empirique qui permet de retrouver l’ordre
de remplissage des sous-couches afin d’obtenir la configuration électronique
d’un atome dans son état fondamental.
Dans un atome polyélectronique, l’ordre de remplissage des sous-
couches (caractérisées par les nombres quantiques n et l ) est celui pour lequel la
somme (n + l ) croît. Quand deux sous-couches ont la même valeur pour la
somme (n + l ), la sous-couche qui est occupée la première est celle dont le
nombre quantique principal n est le plus petit. L’ordre de remplissage des sous-
couches suivant la règle de Klechkowski se présente de la manière suivante :
Couche K L M N O P Q
1s2 2s2 3s2 4s2 5s2 6s2 7s2
4f14 5f14
Exemples :
1. Donner la structure électronique de Calcium (Z=20)
2. Donner la structure électronique de phosphore (Z=15) et donner les
coordonnées quantiques du 9è, 11è et 15è électron.
Avec :
- n est le nombre de moles de soluté exprimé en mole (mol) ;
- m est la masse de soluté exprimée en gramme (g) ;
- Mm est la masse molaire de soluté exprimée en gramme par
mole (g/mol) ;
- V est le volume de la solution exprimé en litre (L)
NB : Si le volume de la solution est donné en mL :
n x 1000 m x 1000
M ou M
V (mL) Mm x V (mL)
Avec :
- nEqg est le nombre d’équivalents grammes exprimé en
équivalent-gramme (éqg) ;
- V est le volume de la solution en litre (L) ;
- éqg est l’équivalent gramme du soluté en gramme ;
Mode opératoire
Cette méthode est utilisée si le soluté est solide.
- Calculer la masse du solide à peser connaissant le volume et la concentration
de la solution à préparer.
- Placer le verre de montre (ou coupelle) sur la balance de précision pour
connaître sa masse.
- A l’aide d’une spatule, ajouter sur le verre de montre la masse du solide qu’il
faut peser. La masse à peser doit être la somme de la masse du solide et celle
du verre de montre. Dans le cas de balance électronique, il est possible
d’annuler la masse du verre de montre (voir l’utilisation de la balance
électronique dans quelques techniques au laboratoire).
- Introduire le solide dans un ballon jaugé de volume ou capacité correspondant
au volume de la solution à préparer.
- Rincer le verre de montre avec l’eau distillée contenue dans la pissette. L’eau
de rinçage doit couler dans le ballon jaugé préalablement surmonté d’un
entonnoir.
- Remplir le ballon jaugé environ aux ¾ avec de l’eau distillée.
- Agiter pour accélérer la dissolution et homogénéiser la solution.
- Compléter de l’eau distillée jusqu’au trait de jauge. Ajuster au trait de jauge
avec une pissette.
- Boucher et agiter pour homogénéiser.
- Transvaser la solution préparée dans un flacon pour conservation.
- Coller une étiquette sur laquelle on inscrit la désignation de la solution, son
titre et sa date de préparation.
Cinquième étape :
Quatrième étape : Sixième étape :
On complète avec une pissette
On agite pour dissoudre, mélanger et On agite pour homogénéiser. La
l’eau distillée jusqu’au trait de
homogénéiser solution est prête.
jauge.
On ne pipette jamais
directement dans le
flacon qui contient la
solution mère
Quatrième étape :
Sixième étape :
On ajoute de l’eau Cinquième étape :
On agite pour
distillée et on agite On complète avec une pissette l’eau distillée homogénéiser.
mélanger et jusqu’au trait de jauge. La solution est prête.
homogénéiser
H O
3
2
Ca. H 3O KW 0
Ca Ca 2 4.Ke
H O
3
H O r ; Hr Ca
3
On a : H O
3
Ka . Ca pH 1 pKa 1 log Ca
2 2
pH 14 log Cb
Où Cb OH , concentration de la base initialeme nt int roduite en solution
Na
H O OH
3
OH Cb H O
3
Or K H O . OH OH
K W
W 3
H O 3
H O Cb.H O K 0
3
2
3
W
H O Cb
3
Cb2 4.Kw
2
En résumé, si Cb 107 M :
pH 14 log x
Où x est la racine positive de l ' équation : x 2 x. Cb K w 0
Kb
m . OH
mOH
m OH
et mOH Cb , concentration de la base initialement int roduite en solution
Kb
OH 2
OH 2
Kb . Cb
Cb
pH 14 1 log Kb 1 log Cb
2 2
Sachant que pKa pKb 14
On a : pH 1 pKa 7 1 log Cb
2 2
Conditions d’applicabilité : Cb Kb et Cb . Kb 10 14
Cb >Kb et Cb.Kb > 10-14
Ex: Quel est le pH d’une solution milli normale de NH3 sachant que
Kb = 1,8 .10-5 ?
Chimie 1 : Bases de la chimie Ass Evariste MVIBUDULU Page 18
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CHAP.II. THERMODYNAMIQUE
II.1. Définitions
a. Thermodynamique
- La thermodynamique étudie les échanges d’énergie qui accompagnent les
divers processus chimiques, physiques ou biologiques.
- La thermodynamique est une science qui étudie l’échange de chaleur entre
le système étudié et le milieu extérieur, cette science est appliquée dans
tous les domaines de la vie courante.
- La thermodynamique étudie les transformations de l’énergie, en
particulier la transformation de la chaleur en travail et vice versa.
b. Thermochimie
La thermochimie est une partie de la thermodynamique qui étudie le
dégagement ou l’absorption d’énergie calorifique (chaleur) au cours des
processus chimiques, ou réactions chimiques.
II.2. Système thermodynamique et milieu extérieur
4.1. Energie
L'énergie est définie comme la capacité d'un système à effectuer des
travaux ou de produire de la chaleur. L'énergie potentielle et l'énergie cinétique
sont des formes macroscopiques d'énergie. Elles peuvent être visualisées en
fonction de la position et de la vitesse d'objets. En plus de ces formes
macroscopiques de l'énergie, une substance possède plusieurs formes
microscopiques d'énergie. Qui sont notamment ceux liés à la rotation, les
vibrations et les interactions entre les molécules d'une substance. Aucune de ces
formes d'énergie ne peut être mesurée ou évaluée directement, mais les
techniques ont été développées pour évaluer la variation de la somme totale de
toutes ces formes d'énergie.
4.2. Le travail
Le travail est une forme d'énergie, c'est une énergie qui accompagne
une transformation. il n’est pas une propriété d'un système. C’est un processus
effectué par ou sur un système, mais un système ne contient pas de travail.
Le travail est défini pour les systèmes mécaniques comme l'action d'une force
extérieure sur un objet à travers une distance. Il est égal au produit de la force
(F) fois le déplacement (d) : W F . d
4.3. La chaleur
a. La chaleur sensible
La chaleur ajoutée ou enlevée à une substance (système) pour produire
un changement de sa température est appelée chaleur sensible. Elle est donc
proportionnelle à la masse du système et au gradient de température, d’où pour
une transformation infinitésimale :
dQ = m.c.dT
Où, c désigne la chaleur massique de la substance (matériau, fluide, ….) en
[J/Kg.K] considérée constante le long du présent cours.
Pour une transformation finie : La chaleur Q échangée lors d’une transformation
finie entre deux états d’équilibres (état 1 et état 2) peut être obtenue de la manière
suivante :
Q12 m. c. T
b. La chaleur latente
Où :
m : la masse de la substance considérée,
L : la chaleur massique associée à un changement d’état, cette chaleur est soit
libérée (état vapeur à l’état liquide) ou absorbée (état liquide à l’état vapeur).
Remarque :
Les changements d’état sont mis à profit dans les machines thermiques parce
qu’ils libèrent d’importantes quantités de chaleur.
II.5. Premier principe de la thermodynamique
Le premier principe de la thermodynamique est aussi appelé principe
de la conservation de l’énergie.
a. Enoncé :
Dans l’univers ou dans un système isolé, l’énergie reste constante,
c.à.d, elle ne se crée pas et ne se détruit pas mais se conserve.
b. Expression mathématique
La chaleur, Q, reçue par le système est convertie en une énergie
interne (ΔU) et en énergie mécanique, sous forme de travail (W). On peut donc
écrire le premier principe de la thermodynamique sous l’expression :
U Q W
b. Expression mathématique
Mathématiquement, le deuxième principe s’écrit :
S univer ( S syst S Ext ) 0
2Mg + O2 2MgO (Mg et O2 sont les réactifs et, MgO est le produit).
En effet, les produits sont constitués par les mêmes atomes que les
réactifs mais évidemment dans un arrangement et quelques fois dans un état
différent.
III.3. Réactions chimiques en solutions aqueuses
En ce qui concerne les réactions en solutions aqueuses, on distingue
quatre grandes classes selon la particule mise en jeu.
a. Réactions d’oxydoréduction
Ce sont des réactions chimiques qui impliquent l’échange d’électrons
entre un réducteur et un oxydant. Lors d’une réaction d’oxydoréduction, les
électrons sont transférés. Le nombre d’électrons cédés par les espèces
réductrices est exactement égal au nombre d’électrons captés par les espèces
oxydantes.
Ex : FeCl3 + SnCl2 FeCl2 + SnCl4
d. Réactions de précipitation
Ce sont des réactions au cours desquels il y a formation d’un composé
peu soluble.
Ex : Ag+ + Cl- → AgCl
4.1. Loi d’action des masses appliquées aux réactions réversibles : constante
d’équilibre
a. Constante d’équilibre en termes de concentration molaire
Pour une réaction réversible : aA + bB cC + dD,
il existe en présence deux vitesses de réaction :
* la vitesse de la formation des produits : V1 = k1Aa.Bb
* la vitesse de recombinaison des produits et formation des
réactifs :
v2 = k2Cc.Dd
A un instant donné, les deux vitesses sont égales, c’est le point d’équilibre,
les réactifs et les produits sont en quantités équimolaires.
V1 = V 2
k1 C c .D d
K1 Aa.Bb = k2Cc.Dd
k 2 Aa .B b
k1
Le rapport est dit constante d’équilibre (Ke) de la réaction, il est représenté
k2
par K.
A une température donnée, le rapport du produit des concentrations molaires des
réactifs est une constante appelée « constante d’équilibre ».
Les termes symbolisent :
La concentration molaire de l’espèce si celle-ci est un soluté dissous ;
Pression partielle en atm de l’espèce, si celle-ci est un gaz.
CH 3OOH
NH3 + H2O +
NH4 + OH -
Kb
NH .OH
4
NH 3
* Dissociation de l’eau: K est dite produit l’ionique de l’eau et est note Kw.
2H2O H3O+ + OH- Kw = H3O+ . OH-
Les électrolytes caractérisés par des valeurs élevées de K sont plus forts que
ceux caractérisés par des valeurs plus petites de K. On considère que K<10-2
pour des électrolytes faibles et K > 10-2 pour les électrolytes forts.
4.2. Facteurs qui affectent l’équilibre chimique
La concentration des réactifs ou des produits, la température, la pression et les
catalyseurs sont les facteurs qui déplacent l’équilibre chimique. Le sens du
déplacement est déterminé par le principe de LE CHATELIER.
Enoncé : Dans un système en équilibre, lorsque l’un des facteurs déterminant
l’équilibre est modifié, le système évolue de façon à annuler ou à minimiser la
modification due par ce facteur.
a. Effet de la concentration
Si la concentration de l’une des substances déterminant l’équilibre :
- Augmente, le système évolue de façon à diminuer cette
concentration ; dans ce cas, c’est la réaction qui consomme cette
substance qui aura lieu. L’équilibre est donc modifié jusqu’à un
nouvel état.
- Diminue, le système évolue de façon à augmenter cette
concentration ; dans ce cas, c’est la réaction qui produit cette
substance qui aura lieu. L’équilibre est donc modifié jusqu’à un
nouvel état.
b. Effet de la température
L’effet de la température sur un système réactionnel dépend de la
nature de l’effet thermique qui accompagne la réaction. Les réactions qui
dépendent de la température sont des réactions thermochimiques. On distingue :
- La réaction endothermique : celle qui a besoin de la chaleur pour se
dérouler ;
- La réaction exothermique : celle qui dégagent de la chaleur quand
elle se déroule.
Exothermique
c. Effet de la pression
Selon le principe de LE CHATELIER, une augmentation de la
pression déplace l’équilibre dans le sens qui correspond à la production des
substances qui occupent un petit volume. Une diminution de la pression déplace
l’équilibre dans le sens qui correspond à la production des substances qui
occupent un grand volume.
d. Effet des catalyseurs
Les catalyseurs sont des substances qui favorisent le déroulement
normal d’une réaction chimique.
ΔG = ΔH – T × ΔS
NB : Si donc, dans une transformation :
- G 0 : L’énergie libre du système diminue, la transformation est
spontanée ;
- G 0 : L’énergie libre du système augmente, la transformation est non
spontanée ;
- G 0 : L’énergie libre du système ne varie pas, le système est dans un
état d’équilibre, transformation réversible.
où R est une constante appelée constante universelle des gaz (qui vaut
8,314 J K-1) et T est la température en kelvins.
d. L’équivalence
Lors d’un dosage, la solution titrante est ajoutée dans le bécher et
avant l’équivalence, le réactif à titrer est en excès dans le bécher. Puis il arrive
un moment où le réactif à titrer réagit entièrement avec le réactif titrant, c’est
l’équivalence. L’équivalence est un moment important d’un dosage, car à cet
instant précis, les quantités de matière du réactif titrant et du réactif à titrer dans
le bécher sont nulles. C’est le point qui équivaut à l’égalité entre le nombre
d’équivalents grammes du réactif à titrer présent dans le milieu et le nombre
d’équivalent gramme du réactif titrant ajouté dans le milieu.
Lors d’un dosage acido-basique, au point d’équivalence, le nombre
d’équivalent-grammes de l’acide devient égal au nombre d’équivalent-grammes
e. Repérage de l’équivalence
IV.2. Acidimétrie
2.1. Définition
Soit à titrer un acide fort HR par une base forte MOH, le phénomène
de neutralisation de l’acide fort par la base forte se représente par l’équation :
H R M
OH
R M H2 O
L’acidimétrie est le dosage d’un acide fort par une base une base forte
2.2. Evolution du pH
Au cours de la neutralisation, le pH dépend de la concentration en ion
H ou OH libre en solution, on a :
+ -
NbVb Na Va
Cb
Va Vb
NbVb Na Va
Le pH du milieu devient : pH 14 log
Va Vb
pH
PE Saut de pH
0 VPE
Remarques :
- Au fur et à mesure qu’on ajoute la base dans l’acide, le pH du milieu
augmente petit à petit au début puis de plus en plus vite lorsqu’on
s’approche du point d’équivalence ;
- L’allure générale de la courbe est celle d’un S plus ou moins déformé ;
- Les deux branches horizontales de la courbe sont parallèles et symétriques
l’une de l’autre par rapport au point d’équivalence.
IV.3. ALCALIMETRIE
3.1. Définition
Soit à titrer une base forte (MOH) par un acide fort HR le phénomène
de neutralisation est identique à celui du titrage de l’acide fort par la base forte,
il se représente par l’équation :
M OH H R R M H2 O
3.2. Evolution du pH
a. Avant le point
La quantité du réactif titrant (acide) ajouté est encore inférieure à celle
de la substance à titrer (base) : NbVb NaVa : le milieu est encore basique, la
quantité de la base non neutralisée en solution est :
NbVb Na Va
Cb
Va Vb
Nb Vb Na Va
Le pH de la solution est : pH 14 log
Va Vb
H O OH 10
3
7
M , x 1 Na Va NbVb
pH 7
pH
pH
PE Saut de pH
1.2. Importance
Primaires Tertiaire
CH 3
H 3 C C CH CH 2 CH 3
CH 3 CH 3
Quaternaire Secondaire
Les atomes de carbone peuvent s’unir entre eux par des liaisons
simples, doubles ou triples formant ainsi des chaines carbonées. Selon la nature
de la chaîne carbonée, les composés organiques peuvent être subdivisés en 2
groupes :
Exemple : CH 3 CH 2 CH 2 CH 3
Ramifiée : C C C C C
C
Exemple : CH 3 CH 2 CH 2 CH 3
CH3
Ce sont des composés organiques à chaîne carbonée fermée, elle n’a pas de
carbones extrême, le plus petit cycle renferme 3 atomes de carbone. On
distingue dans ce groupe :
Formule développée
Exemple : H C C C C H
H H H H
formule semi-développée
Elle indique les liaisons entre les groupes d’atomes par un trait à
l’exception de celles qui sont entre C et HO et H.
CH 3 CH 2 CH 3 ; CH 3 CH 2 OH ou CH 3 O CH 3
formule condensée
formule topologique
1.5. Isomérie
1.5.1. Définitions
- L’isomérie est l’étude des isomères
- Les isomères sont des composés organiques qui ont la même
formule brute mais différents par la formule de structure.
1.5.2. Types
1- Isomères plans
On distingue :
CH 3
C3 H 8 O : CH 3 CH 2 CH 2 OH et CH 3 CH CH 3
OH
l’oxygène : et l’hydrogène :
Acétyléniques
- yne
Ethyléniques
- ène
Alcanes
- ane