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PLAN
Introduction
Chapitre -I- : Rappel des principaux objectifs de la gestion financière.
Section I- Les objectifs clés de la gestion financière.
Section II- Types de gestionnaires et objectifs de la gestion financière
1
Chapitre -V- le plan de financement (
Section –I- Définitions et modèles
Section II- Elaboration du plan et son utilité
I- Analyse du contenu
II- Elaboration du plan
III- Utilité du plan
Introduction
La gestion financière représente un ensemble de décisions et d'actions entreprises au sein d'une
entreprise, visant à mobiliser des ressources de financement à court et long termes, pour répondre
aux besoins en matière d'investissement et de fonctionnement. Cette discipline s'intègre dans le
domaine des sciences de gestion, se consacrant à l'étude des flux financiers au sein d'une
organisation. Elle peut être segmentée dans une perspective temporelle, se divisant en deux volets
distincts :
1- L'étude des flux financiers rétrospectifs, qui correspond à la phase d'analyse financière ou de
diagnostic financier. Son objectif principal consiste à évaluer la situation financière de
l'entreprise à un moment donné, en se basant sur des données historiques telles que les
bilans, les comptes de résultat, etc. Les techniques utilisées dans ce cadre ont pour but
d'établir et d'analyser des documents financiers tels que le bilan financier, le bilan
fonctionnel, l'état de solde de gestion (ESG), ainsi que le tableau de financement.
2- L'étude des flux financiers prévisionnels, qui englobe la mise en œuvre d'une politique
financière visant à prendre des décisions stratégiques, notamment en ce qui concerne les
investissements et le financement. Ces décisions ont un impact à long terme sur l'entreprise
et influent sur sa valeur.
La définition de la gestion financière nous conduit également à éclaircir le rôle prépondérant des
professionnels de la finance au sein de l'entreprise, qui se voient attribuer diverses dénominations,
telles que directeur financier, responsable financier, gestionnaire financier, manager financier, parmi
d'autres. Néanmoins, ces appellations multiples n'ont qu'une incidence terminologique et n'altèrent
guère la nature fondamentale de leurs fonctions. En effet, leur mission première consiste à garantir
l'approvisionnement en capitaux de l'entreprise. D'une part, ils jouent le rôle d'acheteurs de capitaux
et cherchent à minimiser le coût de ces capitaux, selon une approche traditionnelle. D'autre part, ils
se comportent comme des vendeurs de titres financiers et s'efforcent de maximiser la valeur de ces
titres.
Par conséquent, la gestion financière se révèle comme une discipline visant à minimiser les coûts
financiers, notamment en cas d'endettement, par le biais de choix judicieux en matière de modes de
financement, tout en ayant pour objectif de maximiser la valeur et la richesse de l'entreprise. Cette
maximisation est réalisée en surveillant la performance financière de l'entreprise et en assurant son
intégration dans le marché boursier.
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Dans cette perspective, la structure de ce cours a été élaborée de manière à permettre à l'étudiant
d'acquérir des connaissances essentielles relatives à la gestion financière d'une entreprise,
notamment en ce qui concerne :
Cela permettra aux étudiants de développer une compréhension approfondie des enjeux financiers
au sein des organisations, ainsi que des outils et des concepts nécessaires pour une gestion
financière efficace.
Chapitre -1- : Aperçu sur les des principaux objectifs de la gestion financière.
I- Les objectifs clés de la gestion financière
Dans un premier temps, nous tenterons d'explorer les objectifs fondamentaux de la gestion
financière. Ensuite, dans un second temps, nous chercherons à établir une relation entre la fonction
et le rôle des gestionnaires et des analystes financiers, et les objectifs qui devraient être définis pour
la gestion.
1- L'appréciation de la solvabilité
a- Objectifs
La solvabilité d'une entreprise est l'un des principaux objectifs de la gestion financière, en particulier
lorsqu'il s'agit du volet de diagnostic financier. En fait, historiquement, cet aspect a toujours été la
première préoccupation de cette discipline. Les instruments conçus pour évaluer la solvabilité ont été
développés par des professionnels tels que les banquiers et les créanciers. Étant donné que la
solvabilité remet en question la pérennité de l'entreprise, il est essentiel que cette notion occupe une
place centrale dans toute analyse financière
b- .Axes
Le tableau suivant illustre les principaux axes du diagnostic financier basé sur la
solvabilité :
Horizon de l'étude Outils de l'étude Objectifs de l'étude
Etude de l'évolution passée et Evaluation des liquidités Anticipation des conditions
de l'état présent présentes et futures sur la futures d'équilibre financier
base de la structure de l'actif ou pronostic relatif à la
Evaluation des exigibilités solvabilité future.
futures de la structure du
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passif
b- La flexibilité financière
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Elle représente la capacité d'adaptation financière de l'entreprise. La flexibilité concerne
la gestion financière dans les axes suivants :
- Capacité que l'entreprise manifeste en matière de mobilisation rapide de liquidité.
- Capacité de financement de l'entreprise.
Ratio :
- Dettes de financement/Financement permanent
4- La maximisation du profit.
L'un des objectifs primordiaux de la gestion financière consiste à atteindre la
maximisation du profit et de la richesse, une position stratégique et inégalée parmi les
objectifs de l'entreprise.
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Il est sûr et certain que l'objectif sous-jacent à une analyse financière fluctue en fonction de
la position et de la nature du diagnostiqueur. Cette variation découle du fait que les
diagnostiqueurs, qu'ils soient des dirigeants, des créanciers, des petits actionnaires ou des
entreprises acheteuses, poursuivent des objectifs économiques distincts et, de ce fait,
affichent des préoccupations différentes qui se traduisent par la fixation d'objectifs et d'axes
spécifiques pour leur analyse financière.
En général, on peut distinguer quatre catégories de diagnostiqueurs financiers, chacune
d'entre elles pouvant adopter des objectifs divergents.
1- Les petits actionnaires
Les petits actionnaires qui acquièrent des actions sur le marché boursier ont un accès limité
aux informations concernant les opérations de l'entreprise. En conséquence, l'analyse
financière réalisée par ces actionnaires se révèle plutôt succincte, se concentrant
principalement sur la rentabilité à court terme et l'efficacité de l'utilisation des fonds en
fonction du niveau de risque encouru.
2- Les dirigeants :
Malgré le fait qu'ils détiennent une majorité des actions, les dirigeants sont animés par des
préoccupations distinctes, principalement dictées par les responsabilités inhérentes à leur
rôle de gestion. (même s'ils partagent le même objectif de maximisation de valeur). Par
conséquent, les objectifs du diagnostic financier seront plus approfondis. Un dirigeant doit
tenir compte de la flexibilité financière, de la croissance et de l'autonomie financière.
Les éléments fondamentaux du diagnostic financier pratiqué par les dirigeants (propriétaires
majoritaires) tournent autour de : la rentabilité des capitaux propres (financière), rentabilité
économique, le risque d'exploitation, le risque financier, le risque de faillite.
3- Les entreprises-acheteurs (fusion-absorption)
Lorsqu'une entreprise tierce exprime son intérêt pour l'acquisition ou la fusion avec une
autre entreprise, l'analyse financière qu'elle entreprend sera exhaustive, englobant la
majorité des paramètres financiers, tels que l'évaluation de l'actif, de l'endettement, de la
liquidité et de la solvabilité.
4- Les créanciers :
Les créanciers ont pour objectif d'obtenir le remboursement du capital et le paiement des
intérêts. Les points clés du présent diagnostic sont : le risque de faillite, la solvabilité, la
liquidité, l'exigibilité, les emplois et la capacité de remboursement.
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Chapitre II- Décisions et choix d’investissements :
Le choix d’investissement relève d’une politique générale de croissance et de
développement de l’entreprise qui vise l’accroissement du capital fixe de production et de
commercialisation.
Cet accroissement du capital fixe est le produit d’un ensemble de décisions
d’investissement, qui sont irréversibles et engagent l’entreprise sur une longue période.
Aussi la décision d’investissement est ipso facto une décision financière en ce sens
que tout investissement nécessite d’être financé.
Le présent chapitre traitera concrètement les axes suivants :
- Les critères d’évaluation des projets d’investissement.
- La détermination du taux d’actualisation et la sélection
Section 1- Choix et décisions d’investissement dans un avenir cedrtain
I- Généralités :
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1- Définitions :
D’une manière générale, l’investissement est diversement défini selon les trois angles
suivants :
- L’investissement est perçu, sous un angle économique, comme étant une création
d’un capital fixe correspondant aux facteurs physique, lesquels sont utilisés par
l’entreprise pour réaliser une activité économique consistant en production et en
commercialisation de biens et services.
- L’investissement est aussi appréhendée sous un angle financier comme un en
décision d’investir des capitaux financiers. Autrement dit, il s’agit d’engager
immédiatement pour bénéficier des gains échelonnés sur une période donnée.
C’une conception extensive de l’investissement dès lors qu’elle ne se limite pas à
l’investissement physique sinon à toute dépense qui n’est pas engagée dans le
financement du fonctionnement de l’entreprise.
- D’un point de vue comptable, l’investissement correspond à la masse du bilan
«actif immobilisé» composé en rubriques suivantes : immobilisations en valeurs,
immobilisations incorporelles, immobilisations corporelles et immobilisations
financières. Si les immobilisations en non valeurs semblent perdre toute valeur
pouvant les qualifier d’investissement, les autres rubriques le sont confirmées.
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Exemple :
Une entreprise a décidé de mettre en place une deuxième unité de fabrication. Le capital
investi se compose des frais suivants :
- Machines : 1500000 dh
- Frais de transport : 200000 dh
- Droits de douanes : 80000 dh
- Augmentation du besoin en financement global : 100000 dh
(NB : l’entreprise est assujettie à la TVA)
2-3 Cash-flow
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Le cash-flow net est le surplus monétaire après impôt, incluant
l’amortissement. Aussi, un investissement peut ne pas entrainer aucune recette
nouvelle mais une diminution de dépense. (On parle d’économie des couts
d’exploitation).
On peut aussi schématiser de la manière suivante :
Dès lors qu’il est déterminé d’une façon prévisionnelle, le cash-flow peut être
entaché d’une certaine incertitude. Généralement, les cash-flows sont
indépendamment calculés des modes de financement. (On suppose que le
financement de l’investissement est assuré par les capitaux propres.)
En supposant qu’il y a identité entre recettes et chiffres d’affaires d’une part et
entre dépenses et charges décaissables d’autre part on peut écrire :
Cash-flow = CA – charges décaissables
Or on a aussi :
Résultat net = chiffres d’affaires – charges décaissables + dotation
d’amortissement.
Application :
Les données relatives au projet d’investissement P sont :
- Acquisition d’un matériel d’une valeur hors taxe de 160 000 dh, amortissables
linéairement sur 5 ans.
- La TVA est totalement récupérée.
- Variation du besoin en financement global (BFG) est estimée à 20 000 dh.
- Les prévisions d’exploitation relatives à ce projet sont données ci-dessous en
milliers de dirhams.
Années 1 2 3 4 5
Les charges fixes, hors amortissements, ont été évaluées à 44 (mdh) et sont supposées rester à
ce niveau pendant les 5 ans.
Détermination des cash-flows
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- Amortissements annuels : 160/5 = 32 (mdh)
- Tableau des calculs :
Années 1 2 3 4 5
Chiffre d’affaires (1) 210 240 267 216 189
Charges variables (2) 100 120 130 110 94
Charges fixes, hors 44 44 44 44 44
amort. (3)
Amortissements (4) 32 32 32 32 32
Résultat avant impôt 34 44 61 30 19
Impôt (à 33 1/3 %) (5) 11.33 14.67 20.33 10 6.33
On constate que les deux formules de calcul des cash-flows conduisent aux mêmes résultats.
La deuxième est, cependant, plus rapide.
Le dernier cash-flow doit être majoré de 20 mdh en raison de la récupération de la somme
investie dans le BFR.
Remarque : Lorsque l’entreprise accorde des crédits à ses clients et/ou obtient des crédits de
ses fournisseurs, des décalages interviennent dans les rentrées et les sorties de
fonds. En conséquence, il n’ya pas identité entre chiffre d’affaires et recettes, pas
plus qu’entre charges décaissables et dépenses. Dès lors, les deux expressions du
cash-flow :
Cash-flow = Résultat net + Dotations
Cash-flow = Recettes – Dépenses,
Ne sont pas équivalentes et la deuxième rend mieux compte de la réalité que la
première.
Toutefois, la question des crédits étant souvent ignorée dans les prévisions relatives
aux projets d’investissement, la première expression du cash-flow est beaucoup
plus utilisée que la seconde. Dans la mesure où la durée des crédits est faible, cette
pratique modifie assez peu l’évaluation des projets alors qu’elle simplifie les
calculs des flux prévisionnels.
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Section II- Critères d’évaluation des projets d’investissement.
0 1 3 n
C1 C2 Cn
I
Comparaison
Selon un taux déterminé, une valeur actuelle nette est positive veut dire que les recettes nette
capitalisées à ce taux sont également supérieures aux dépenses également capitalisées à ce
taux au cours de la période. On peut appliquer cette méthode à tout projet pour lequel on
connait I0, C1 à Cn et n à la condition de choisir un taux d’actualisation.
Le taux d’actualisation qui sert au calcul de la VAN est appelé taux de rentabilité minimum
exigé par l’entreprise ou le coût du capital.
Exemple :
Projet d’investissement suivant :
0 1 2 3 4
12
100 30 40 50 20
Alors que la VAN mesure l’avantage absolu susceptible d’être retiré d’un projet
d’investissement, l’indice de profitabilité mesure l’avantage relatif, c’est-à-dire l’avantage
induit par 1 dirham de capital investi. Pour connaitre cet avantage relatif, il suffirait de deviser
la VAN par I. Cependant, le critère de l’indice de profitabilité consiste à calculer le quotient
de la somme des cash-flows actualisés par le montant de l’investissement.
a. Définition
L’indice de profitabilité (P) est le quotient de la somme des cash-flows actualisés par le montant du
capital investi.
n
P = 1/I ∑ ❑Cp (1 + t) -p
1
Le taux d’actualisation est celui qui est utilisé pour le calcul de la VAN.
Exemple : Considérons le même projet que précédemment.
Taux d’actualisation : 10%
Nous aurons : indice de profitabilité :
P = 1/100 [30 (1,1) -1 + 40 (1,1) -2 + 50 (1,1) -3 + 20 (1,1) -4]
P = 1,1156
b. Interprétation
La réalisation de l’investissement considéré consiste à recevoir 1,1156 dh par dh décaissé.
L’opération est donc avantageuse.
L’avantage, par dirham investi, est de 0,1156.
- Pour qu’un projet d’investissement soit acceptable, il faut que son indice de
profitabilité soit supérieur à 1.
- Un projet d’investissement est d’autant plus intéressant que son indice de profitabilité
est plus grand.
∑ ❑ Cp (1 + x) –p – I = 0
P =1
n
L’expression∑ ❑ Cp (1 + x) –p – I représente la VAN calculée au taux x.par conséquent :
P =1
Le taux de rentabilité interne est le taux d’actualisation pour lequel la VAN est nulle.
Exemple : reprenons le projet précédent :
0 1 2 3 4
100
30 30 40 50 20
2- Interprétation
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En fais, cette condition étant peu réaliste, il est préférable d’assimiler l’investissement à un
prêt de 100, consenti au taux de 15,32% et remboursable en quatre annuités respectivement
de 30, 40, 50, 20.
3- Observations
0 1 2 3 4 5
Années 1 2 3 4 5
A la fin de la 3eannée, ou aura récupéré 109 677 dh, c’est-à-dire une somme supérieure au
capital investi 100 000.le délai de récupération du capital investi est donc compris entre 2 et 3
ans. Une interpolation permet de trouver le délai exact : d
D = 2 + 100 000-75 868 / 33 809 * 12= 2 ans 8 mois
2- Interprétation
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Si l’entreprise réalise cet investissement, elle déboursera 100 000 dh et, au bout de 2 ans 8 mois, elle aura
récupéré ce capital.
Plus le délai de récupération est court, plus l’investissement est réputé intéressant. En effet, on admet que :
- Le risque couru par l’entreprise est d’autant plus faible que le délai de récupération est court( A un
horizon rapproché, les prévisions sont plus fiables, les changements significatifs de l’environnement
peu probables…) ;
- La rentabilité est d’autant plus grande que le délai de récupération est plus court/mais cette
hypothèse n’est pas toujours vraie. (cas des projets à longue durée de vie dont les cash-flows les plus
importants se produisent assez tard).
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Un scénario optimiste,
Un scénario moyen,
Un scénario pessimiste, à chacun desquels une probabilité, souvent subjective, est attribuée.
Pour illustrer ce concept, prenons l'exemple de deux projets simples avec les mêmes
caractéristiques :
Pour chaque projet, nous avons effectué trois évaluations pour chaque flux de trésorerie, en leur
attribuant des probabilités. Le coût du capital est de 10%.
C1 P(C1) C2 P(C2)
60 0.3 50 0.3
70 0.4 60 0.4
80 0.3 70 0.3
100
30 0.3 50 0.4
62 0.5 80 0.4
TAF :
- Calculer pour chaque projet l’espérance mathématique de la VAN (E(VAN)), la variance de la
VAN ((V(VAN)) et l’écart type σ(VAN).
Premier projet
Observation préalable
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VAN = C1(1,1)-1 + C2(1,1)-2 - 100 (1)
Les quantités (1,1)-1 et (1,1)-2 sont des constantes, il en résulte que les expressions C1(1,1)-1 + C2(1,1)-2
sont des variables aléatoires. Leur somme est aussi une variable aléatoire et, par conséquent, la VAN
elle-même est une variable aléatoire.
E(C1) = ∑C1P(C1) = 70
V(C1) = ∑C12 P(C1) - [E(C1)]2 = 4960 - (70)2 = 60
Deuxième projet
Une démarche identique à la précédente conduit aux résultats suivants :
E(VAN) = 12,23
V(VAN) = 627,06
σVAN = 25,04
Conclusion
Les deux projets ont des E(VAN) très voisines, mais le deuxième projet est beaucoup plus risqué que
le premier (σVAN : 9,83 et 25,04). Par conséquent, le premier projet surclasse le second.
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C/ Utilisation du MEDAF (modèle d’équilibre des actifs financiers)
Nous savons que le MEDAF permet de déterminer le taux de rentabilité requis d'un actif financier
ayant un risque systématique donne. Ce taux de rentabilité (Ri) est donné par la relation:
Application :
Soit le projet d'investissement décrit par le schéma suivant :
0 1 2
100 55 60,5
Capital investi Espérance mathématique Espérance mathématique
du 1er cash-flow du 2e cash-flow
Conclusion
La rentabilité du projet est inférieure la rentabilité requise : le projet n’est pas acceptable. Vérifions en
calculant la VAN au taux de 11 % :
VAN = 55(1,11)-1 + 60,5(1,11)-2 - 100 = -5,85
19
La VAN étant négative, la conclusion précédente est confirmée.
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