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merchandising - 25.6.

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Glossaire

Achat impulsif. Achat d’un produit de l’habillement ou de l’hygiène beauté. On


réalisé alors que le client n’avait pas l’inten- distingue : le bazar « léger » permanent
tion de l’acheter en entrant dans le magasin. (loisirs, bricolage, ménage, etc.), le bazar
C’est un achat impulsif « pur » s’il n’avait « saisonnier » (jouets, plein air, rentrée des
aucune intention d’achat, ou un achat classes, etc.) et le bazar « lourd » avec
impulsif « remémoré » si c’est en voyant le service (électroménager, son, etc.).
produit qu’il s’est souvenu en avoir besoin Benchmark. Technique de comparaison
ou envie. et d’identification des meilleures pratiques
Agencement. C’est la disposition des commerciales. Le benchmark interne s’inté-
meubles de vente, des allées de circulation, resse aux magasins d’une même enseigne,
des caisses, en fonction de la surface de tandis que le benchmark externe compare
vente, pour répondre à la fois aux attentes entre eux des points de vente d’enseignes
de la clientèle (circulation, recherche, etc.) et différentes.
aux objectifs de rentabilité du magasin (opti- Bergerie. Meuble destiné à la vente tra-
misation de la surface de vente, drainage ditionnelle, à l’intérieur duquel le vendeur
des flux de circulation, manutention, etc.). est installé et séparé de la clientèle sur
Article. Objet destiné à être vendu. Pour plusieurs côtés par la marchandise exposée.
être plus précis, on parle davantage de Category management. Il a pour
« produit », qui correspond à un ou plusieurs objectif d’améliorer l’offre du distributeur
articles concernant un besoin précis, et de en vue d’une meilleure satisfaction du
« référence », qui est la déclinaison au niveau client, catégorie de produits par catégorie
le plus fin d’un produit dans tous les coloris, de produits, grâce à un mode de relation à
qualités, tailles, parfums, formes, condition- vocation partenariale entre le distributeur et
nements, etc. les fabricants.
Assortiment. C’est l’ensemble des réfé- Centrale d’achat. La centrale d’achat
rences qui, dans un magasin, doivent regroupe les différents magasins d’une ou
répondre à un besoin ou à un groupe de plusieurs sociétés de distribution, pour
besoins de la clientèle. Une « collection » est négocier auprès des fournisseurs communs
l’assortiment qui aura été défini pour une des conditions d’achat particulières.
catégorie de magasins. Chaland. Client potentiel d’un magasin.
Bazar. À l’origine, c’est un magasin où La « zone de chalandise » est la zone géogra-
l’on trouve toutes sortes d’objets. Dans la phique d’attraction d’un magasin auprès de
grande distribution, on entend par « bazar » la population environnante. On distingue
le secteur ou le département où l’on trouve souvent les zones primaire, secondaire
tout ce qui ne fait pas partie de l’alimentaire, et tertiaire, de plus en plus éloignées
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198 Clé d’entrée

du magasin. Plus la distance au magasin Discount. Sa traduction littérale est


augmente, plus l’attraction diminue. « rabais ». C’est une pratique commerciale
qui consiste à vendre à des marges réduites
Clé d’entrée. Les clés d’entrée dans une
par rapport à ce qui est normalement
catégorie sont les critères de choix les plus
pratiqué. Lorsque le discount est généralisé
importants pour les consommateurs. Dans
sur l’ensemble ou la majorité des produits,
la catégorie des jus de fruit, le parfum, le
c’est un des éléments de la politique
conditionnement et le prix peuvent être
commerciale du magasin.
des clés d’entrée utilisées par les consom-
mateurs. Le distributeur structure son rayon Display. Présentoir permettant des
en fonction des clés d’entrée et de leur mises en avant de produits, soit à l’intérieur
importance relative aux yeux des clients. du rayon, soit en îlot, soit en tête de
gondole.
Coefficient multiplicateur. C’est un Distribution numérique. Proportion, à
coefficient calculé en fonction du taux de l’échelle nationale des magasins (super-
marque que l’on veut obtenir et du taux de marchés ou hypermarchés), distribuant une
TVA. On l’applique sur le prix d’achat hors marque ou une référence.
TVA pour obtenir le prix de vente TTC. Il est
couramment utilisé parce qu’il simplifie les Distribution valeur. Part dans le chiffre
calculs, mais son usage trop systématique d’affaires total du marché des magasins
est critiqué parce qu’il fait oublier l’aspect distribuant une marque ou une référence.
commercial dans l’évaluation du prix de Elasticité des ventes à l’espace. Elle
vente. permet de mesurer la sensibilité des
ventes à une variation de l’espace alloué :
Corner de marque. Dans les grands l’élasticité des ventes. Elle mesure le pour-
magasins, surface commerciale allouée à centage de variation des ventes d’un produit
la présentation et à la promotion d’une (ou d’un groupe de produits) qui résulte
marque de fabricant. d’un changement de 1 % de l’espace qui
COS. Coefficient d’occupation au sol : lui est alloué.
rapport entre le linéaire au sol, en mètres, E-merchandising. Le e-merchandising
et la surface de vente, en mètres carrés. C’est regroupe l’ensemble des techniques qui
un indicateur du confort d’achat en magasin. visent à améliorer la qualité du site, l’aisance
et la navigation du surfer ainsi que l’optimi-
Démarque (connue, inconnue). C’est
sation des ventes. Il recrée les conditions de
l’ensemble des marchandises qui ont été
bien-être de l’internaute et compense l’ab-
vendues à un prix inférieur au prix prévu.
sence d’environnement physique.
On l’appelle aussi « différence d’inventaire »,
c’est-à-dire la différence entre le stock théo- Facing (en français : frontale). C’est
rique (stock départ + entrées – sorties) et le l’unité de présentation d’un produit vu de
stock réel évalué par inventaire. Une partie face.
de la démarque peut être connue et chif- Famille, sous-famille. Les produits qui
frée (marchandise détériorée et jetée, baisse constituent un marché sont subdivisés en
des prix de vente, etc.). C’est la démarque familles, puis en sous-familles. Cette classifi-
connue. La démarque inconnue est celle cation permet d’abord de faciliter l’analyse et
dont on ne maîtrise pas l’origine (vol, ensuite d’implanter le rayon par famille, puis
erreurs, etc.). par sous-famille, c’est-à-dire en regroupant les
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GLOSSAIRE
Linéaire développé 199

produits qui correspondent à un même type de maisons ou un groupe d’habitations en


de besoin selon une logique consommateur. zone rurale. Les îlots sont définis par l’In-
Géomarketing. Croisement des outils see et ne sont pas figés dans le temps.
de cartographie numérique et du marketing Îlot de vente. Présentation isolée sur un
utilisés par les réseaux de distribution pour meuble généralement bas, destinée à des
mettre en place une politique pertinente et produits que l’on veut mettre en avant.
efficace de micromarketing. ILV (information sur le lieu de vente).
Géomerchandising. Nouvelle discipline Outils d’informations des clients dans le
à la croisée des chemins entre le merchan- magasin : plan des rayons, affiches murales
dising et la géographie, dont la principale ou en hauteur, étiquettes de gondoles, bali-
finalité consiste à décliner les assortiments sage des rayons, etc.
et les implantations selon les besoins IRIS. Iris signifie « ilôts regroupés pour
locaux. l’information statistique ». Il représente un
Gerber. Empiler en hauteur des caisses niveau d’analyse très fin en géomarketing,
de marchandises ou des cartons stockés sur utilisé notamment pour analyser les zones
palette ou caisse-palette. de chalandise. Il correspond à :
GMS. Grandes et moyennes surfaces – l’IRIS-2000 (environ 2 000 habitants) pour
de plus de 400 m2 (supermarchés et hyper- toutes les communes urbaines d’au moins
marchés). 10 000 habitants et la plupart des com-
munes de 5 000 à 10 000 ;
Gondole. Mobilier de vente ayant deux – la commune pour les petites communes
côtés destinés aux présentations de non-découpées (34 800 communes).
marchandises, le long des murs et au
centre des GMS. La tête de gondole est Libre service. Forme de vente au
l’extrémité de la gondole qui se situe dans consommateur caractérisée par une
une allée principale : c’est l’emplacement absence totale de vendeurs. Les clients
idéal des promotions. peuvent voir, toucher et apporter librement
les produits jusqu’à la caisse.
GSA. Grandes Surfaces Alimentaires.
Linéaire. Longueur d’une présentation
GSS. Grandes surfaces spécialisées. en rayon. On distingue le linéaire au sol
Hard Discount. Format de supermarché qui est la longueur de la gondole ou de la
d’origine allemande, proposant en libre- présentation, et le linéaire développé qui est
service des assortiments réduits de produits la longueur de l’ensemble des tablettes de
premiers prix, dans des surfaces de vente présentation, quel que soit leur nombre en
sommairement aménagées. hauteur.
Hypermarché. Un hypermarché est un Linéaire au sol. Le mètre linéaire au sol
établissement de vente au détail en libre- correspond à la largeur d’un élément, qui
service qui réalise plus du tiers de ses mesure en général 1,33 mètres. Ainsi,
ventes en alimentation et dont la surface si l’on consacre 3 éléments à une famille
de vente est supérieure ou égale à de produits, dit-on qu’elle bénéficie de
2 500 m2 (source Insee). 3 6 1,33 = 3,99 mètres de linéaire au sol.
Îlot. Un îlot est l’unité de mesure la plus Linéaire développé. Le mètre linéaire
fine utilisée en géomarketing. Il représente développé correspond à la largeur d’un
un pâté de maison, un petit groupe de pâtés élément que multiplie le nombre d’étagères
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200 Marge arrière

(appelées tablettes). Ainsi, si une étagère produits génériques, premiers prix, qui sont
d’1 m 33 de large dispose de cinq tablettes, généralement sans marque.
offre-t-elle 5 6 1,33 = 6,65 mètres de Merchandiser. Responsable de la défi-
linéaire développé. nition ou de l’application des politiques
Marge arrière. Commission négociée merchandising chez un fabricant ou un dis-
auprès des fournisseurs en échange d’avan- tributeur.
tages commerciaux comme les opérations Micromarketing. Consiste à considérer
de promotion ou le placement de produits le facteur local dans la prise de décision
en tête de gondole. marketing.
Marge avant. Marge brute qui repré- Optimisation du linéaire. Élément de
sente la différence entre le prix d’achat l’action merchandising qui consiste à
d’un produit et son prix de vente. répartir le linéaire au sol, puis le linéaire
Marchandises générales. Ce terme développé entre toutes les références d’un
recouvre l’ensemble des produits non rayon, de manière à faire correspondre
alimentaires vendus en magasin (bazar l’offre à la demande, à limiter les ruptures
léger, bazar avec service, textile). Dans la de stocks et à maximiser les ventes.
majorité des enseignes, les produits d’entre- Packaging. Terme anglo-saxon dési-
tien, d’hygiène, de parfumerie font partie gnant le conditionnement et l’emballage
néanmoins de l’alimentaire. On les appelle des produits de consommation.
l’épicerie non alimentaire.
Panel (de consommateurs, de distri-
Marketing de site. C’est une forme de buteurs). Échantillon permanent et repré-
micromarketing à base de données géodé- sentatif d’un univers qui peut être celui des
mographiques. Le marketing de site se veut consommateurs ou celui des magasins. Le
le contre-pied des politiques de standardi- panel permet, à partir de l’enregistrement
sation des distributeurs. des achats des ménages ou des ventes en
Marketing spatial. Terme global qui magasins, de connaître la demande et son
recouvre toutes les techniques visant à inté- évolution avec de nombreuses ventilations
grer l’espace dans les décisions marketing. à l’intérieur des univers et des classes de
On utilise le marketing spatial lorsqu’on produits.
décide d’une nouvelle implantation ou Panel de distributeurs. C’est un échan-
encore lorsqu’on délimite une zone de tillon de magasins, pour lequel on recueille
chalandise par exemple. les données de ventes en sortie de caisses.
Marque (industrielle, de distribution, Les principaux panels de distributeurs pour
premier prix). Signe (nom, logo, etc.) qui les PGC sont ceux d’AC Nielsen et d’IRI
permet à un produit, un service ou une France, qui sont représentatifs des hyper-
entreprise de se distinguer des autres par marchés, supermarchés, supérettes et hard-
le biais de la communication. Au niveau discount français. Ils permettent d’analyser
des produits de grande consommation, on les ventes des segments de marché, des
distingue les marques de producteurs marques et des produits par type de
(marques leader, challenger, régionale) des magasin et leurs évolutions au cours du
marques de distributeurs. Parmi celles-ci, temps. La performance des marques est
on a les marques exclusives, les marques reliée à des variables explicatives, dont
d’enseigne (produits « drapeau ») et les certaines sont relevées en magasin : le réfé-
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GLOSSAIRE
Remise, ristourne 201

rencement des produits en magasin, les promotionnelles, îlots de ventes, stop-


promotions, l’espace alloué, les ruptures de rayons, affichettes, etc.
stock ou encore le niveau des prix. Produit d’appel. Produit de consomma-
Panel de consommateurs. C’est un tion courante et/ou de forte notoriété qui
échantillon de ménages qui transmettent fait partie de la liste d’achat de la clientèle
aux sociétés panélistes (AC Nielsen et TNS- des magasins. Les produits d’appel lui
Secodip pour les PGC) la liste de tous leurs servent de repères pour comparer les prix
achats ainsi que la date et le lieu dans d’un magasin à l’autre.
lequel ils ont été effectués. Les panels de Réassort, réapprovisionnement. Le
ménages permettent de suivre au cours du réassort est une opération qui consiste à
temps les achats des foyers. Ils permettent remplir le rayon à partir du stock en
de déterminer à quel prix, en quelles quan- réserve. Il se fait à un rythme variable selon
tités, à quelle fréquence, avec quelles le volume des ventes et le linéaire dispo-
promotions, les foyers (dont on connaît les nible (une fois par semaine à plusieurs fois
caractéristiques de revenus, habitat. . . ) ont par jour). Le réapprovisionnement est une
acheté les produits. Les marques peuvent opération qui consiste à commander de la
ainsi savoir qui sont leurs clients et mieux marchandise à un fournisseur ou à un
connaître leur comportement d’achat, en entrepôt pour reconstituer les réserves.
particulier leur fidélité. Référencement. Sélection d’un four-
PGC. Produits de grande consommation. nisseur, d’une marque, d’une gamme de
produits ou d’une référence. Le référence-
Plan de masse. Représentation graphi-
ment en centrale fait l’objet d’un contrat
que du magasin sous forme de grands
entre l’entreprise de distribution et le four-
ensembles, qui peut être plus ou moins
nisseur, précisant les conditions particulières
détaillée. Ainsi, par exemple, le plan de
accordées par ce dernier aux magasins en
masse du magasin représente-t-il les
contrepartie des engagements de l’enseigne.
univers et les rayons, le plan de masse du
rayon représente-t-il les catégories de Remise, ristourne. Sur leur tarif de base,
produits qui le composent, le plan de les fournisseurs accordent un certain
masse d’une famille de produits repré- nombre de remises ou ristournes. Parmi
sente-t-il les regroupements de produits, celles-ci :
mais sans aller jusqu’à la référence. – remise quantitative : portée directement
sur la facture, justifiée par les économies
Planogramme. Les planogrammes sont
du fournisseur lorsqu’on lui passe une
des représentations graphiques du linéaire
grosse commande livrée et payée en une
d’une famille de produits comportant les
seule fois ;
facings alloués aux différentes références.
– ristourne d’entrepôt : livraison et factura-
On parle aussi de plan photo lorsque les
tion en un seul point ;
références y figurent sous forme de photos
– remise de fin d’année (RFA) : accordée
scannérisées.
selon la réalisation d’objectifs (volume, taille
PLV (publicité sur le lieu de vente). de la gamme, progression des ventes, réfé-
Ensemble d’outils de communication en rencement de produits nouveaux, opéra-
direction du consommateur, ayant pour tions promotionnelles acceptées, etc.).
finalité d’augmenter les ventes : par Les primes ponctuelles, appelées aussi
exemple, têtes de gondoles, cheminées « budgets moteurs » (référencement, partici-
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M ERCHANDISING
202 Remodeling

pation promotionnelle, etc.), ne sont pas des démarque en pourcentage du chiffre d’af-
remises. faires réalisé.
Remodeling. Remodelage ou rafraîchis- Taux d’emprise. Proportion de clients
sement d’un point de vente vieillissant. d’un magasin (habitant dans une zone
géographique donnée), par rapport à la
Rotation du stock. Nombre de fois
population globale de cette zone.
qu’un stock a été vendu au cours d’une
période (généralement un an). Le taux de Tête de gondole. Élément placé à l’ex-
rotation est égal au ratio : ventes/stock trémité du rayon, le long des axes princi-
moyen, soit en quantité soit en valeur. paux de circulation du magasin. Il s’agit
(Dans ce cas, il faut veiller à ce que ventes d’un outil promotionnel, qui permet d’ex-
et stocks soient valorisés tous deux, soit en poser momentanément une marque et
prix d’achat, soit en prix de vente.) d’augmenter ainsi son volume de ventes.
Le fournisseur rémunère le distributeur
Rupture de stocks. Absence momen-
pour que sa marque y soit présentée.
tanée de produits dans un rayon. Les
causes de la rupture proviennent d’une Trade Marketing. Ensemble des tech-
insuffisance de commande ou de livraison, niques mises en œuvre par une entreprise
ou d’une poussée inattendue des ventes. La de production pour améliorer ses relations
rupture est à éviter au maximum. avec ses distributeurs : par exemple, promo-
tions, logistique, EDI, cogestion des marques,
Stock. Le stock est la quantité de
etc.
marchandise en magasin et en réserve. Il
est évalué en quantité par « inventaire ». Le Zone de chalandise. Aire d’où pro-
stock idéal est la quantité nécessaire et suffi- viennent l’essentiel des clients d’un
sante pour la permanence de la vente, sans magasin. Elle est généralement divisée en
« rupture » de stock. trois : primaire, secondaire et tertiaire, en
fonction d’un taux de pénétration du
Supermarché. Pour l’Insee, un super- magasin décroissant.
marché est un établissement de vente au
détail en libre-service réalisant plus des Zones chaudes. Zones les plus fré-
deux tiers de son chiffre d’affaires en alimen- quentées du magasin. Elles peuvent être
tation et dont la surface de vente est naturelles (le long des axes principaux de
comprise entre 400 et 2 500 m2. circulation et plutôt vers l’entrée du
magasin) ou travaillées par le distributeur
Taux de marque, taux de marge brute. qui cherche à réchauffer certaines zones
Le taux de marque est le pourcentage de froides au moyen des familles attractives
marge brute par rapport au prix de vente. ou des promotions.
Selon les enseignes, le prix de vente est hors
taxes, pour d’autres toutes taxes comprises. Zones froides. Zones les moins fré-
Le taux de marge (sous-entendu brute) est le quentées du magasin (voir zones chaudes).
pourcentage de marge brute par rapport au Zoning. Le zoning consiste à allouer l’es-
chiffre d’affaires réalisé (hors TVA ou TTC pace de vente du magasin aux différents
selon le cas). Le taux de marque est un univers ou départements, rayons, catégories
taux d’entrée, donc théorique. Le taux de et familles de produits et à les positionner
marge est un taux de sortie, donc réel. La les uns par rapport aux autres. Il donne lieu à
différence entre les deux constitue la l’élaboration de plans de masse du magasin.

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