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Dissertation de HFETE

Kseniia Vlasova

Tout au long de « La richesse des nations », Smith insiste sur le fait que ce sont ces nécessités et
commodités de la vie, produits de la terre et du travail qui constituent la vraie richesse d'une nation. En
effet, « Un homme est riche ou pauvre, suivant les moyens qu'il a de se procurer les besoins, les
commodités et les agréments de la vie ». Ce sont ainsi les nécessités et les commodités de la vie qui sont
les vraies richesses pour les individus. Mais pour Smith il existe 3 classes sociales et l’un d’eux est
toujours en confrontation avec les deux autres – ce sont des capitalistes, qui essaient à diminuer les
commodités et les agréments de la vie des autres classes, donc leur richesse. Au cours de cette
dissertation on va se focaliser sur des relations difficiles entre des capitalistes et des salariés dans le cadre
de la théorie smithienne et comment la richesse des uns détruit la richesse des autres. On va s’intéresser
par le cadre de pensée de 18ème et de 19ème siècle, en se concentrant sur l’économies des pays européens.
Ce sujet nous amène à définir les notions de 3 classes sociales, de la richesse des nations et de la
richesse individuelle, de la croissance économique et de la croissance stationnaire. On commence par la
définition de 3 classes sociales selon Smith – ce sont des propriétaires terriers, les salariés et les
capitalistes. On va aborder leur source de richesse et conflit d’intérêt dans les paragraphes principaux.
Ensuite on définit la richesse des nations comme un ensemble des biens matériels produits annuellement
par le travail, qui pourvoient aux nécessités et commodités de la vie. Alors, la richesse individuelle est la
quantité de produit qu’on peut utiliser pour se subsister. La croissance économique s’explique par la
hausse de production, hausse des salaires et par baisse des profits, dans la croissance stationnaire, par
contre, on se trouve dans la situation des salaires au minimum mais avec le taux du profit élevé. On voit
une corrélation négative déjà dans les définitions de croissance, et donc on se pose une question – dans
quelle mesure le capital permet-il à diminuer la richesse des salariés et comment ça affecte la richesse des
nations ?
Dans une analyse d’économie capitaliste « Le capital » Karl Marx introduit une notion de plus-
value qui entre en confrontation avec la théorie de la valeur-travail de Smith, car maintenant ce n’est pas
une quantité et sources de travail qui construisent le prix d’un produit, mais aussi le surplus des
capitalistes. Donc, on a une baisse du pouvoir d’achat avec une hausse des prix, mais aussi une baisse de
la part de rémunération des salariés avec chaque bien produit. Selon la théorie smithienne c’est l’ordre
naturel qu’on a une perte des uns avec des gains des autres. Mais si des travailleurs ont une baisse de leur
niveau de subsistance, on a un arrêt de croissance économique car la population ne va plus augmenter. On
va voir donc en quoi la richesse des capitalistes provoque la pauvreté des travailleurs et avec quels
mécanismes on arrive à la crise démographique et arrêt de croissance économique, et donc baisse de
richesse des nations. A mon avis – le conflit naturel des gens fait naître une vraie concurrence qui pousse
le progrès technique non seulement en cadre de marché, mais aussi en cadre de travail.
En se basant sur théorie de richesse de Smith et théorie de la plus-value de Marx, on peut introduire un
plan :
1. Conflit d’intérêt des classes
a. Les instruments d’acquérir de la richesse
i. Capital
ii. Travail
iii. Terre
b. Les sources de la richesse
i. Profit
ii. Salaire
iii. Rente
c. Le conflit entre salaire et profit
i. Théorie de croissance stationnaire de Smith
ii. Effets négatifs pour les capitalistes de la hausse de salaire – baisse de la
plus-value selon Marx
iii. Intérêt pour les capitalistes à ne pas payer plus que le salaire minimal

2. Effets du travail dite « non-payé » sur la croissance de population


a. Richesse individuelle
i. Valeur d’usage
ii. Valeur d’échange
iii. Pouvoir d’achat qui regroupe la valeur d’usage et la valeur d’échange
b. Effet de subsistance
i. Baisse de la population avec une baisse de salaire
ii. Baisse de demande avec la baisse de population

3. Le lien entre la richesse des nations et population


a. Les facteurs de la hausse de la richesse des nations
i. Augmentation de l’efficacité de production
ii. Division du travail
b. Les effets de baisse de demande sur ces facteurs
i. Impossibilité de l’augmentation de production

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