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CROISSANCE ET REPARTITION CHE

KONE NAGOU
ISSOUFOU NANA ZANIRA
GORA EMMANUEL
ABDOULAYE IMANE
I. INTRODUCTION...........................................................................................2
II. QUELQUES IDEES CLES ASSOCIEES A LA CONCEPTION DES
CLASSIQUES.......................................................................................................2
1. LA CROISSANCE......................................................................................2
 la division du travail.................................................................................2
 le principe de population de Thomas Malthus..........................................2
 les rendements décroissants de David Ricardo.........................................3
2. LA REPARTITION.....................................................................................3
 loi de la valeur...........................................................................................3
 Jean-Baptiste Say, la loi des débouchés....................................................4
III. THEORIE MARXISTE...............................................................................4
1. le matérialisme historique............................................................................5
2. l’analyse de la baisse tendancielle du taux de profit....................................5
3. la monnaie....................................................................................................6
IV. LA THEORIE NEOCLASSIQUE...............................................................8
1. Le marché autorégulé...................................................................................8
2. La différence entre les classiques et les néo-classiques...............................8
3. La continuité entre les auteurs classiques et néoclassiques.........................9

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I. INTRODUCTION
La plupart des manuels de théorie économique d’histoire de la pensée
économique font remonter les origines de la croissance à la première révolution
industrielle. Initié en 1776 par la vision optimiste d’Adam Smith, le thème de la
croissance réapparaitra au XIXème siècle dans les travaux de Malthus ; Ricardo
et Marx

La croissance économique peut se définir comme un accroissement durable de


sa dimension, accompagné de changements de structure et conduisant à
l’amélioration du niveau de vie. Pour rendre compte d’une modification des
structures d’une économie, on retiendra que la croissance économique
s’accompagne très souvent d’une nouvelle répartition des activités par secteur et
par région.

Karl Marx ainsi que des économistes classiques et néoclassiques ont élaboré des
théories importantes sur la croissance et la répartition des richesses

II. QUELQUES IDEES CLES ASSOCIEES A LA


CONCEPTION DES CLASSIQUES.

1. LA CROISSANCE

 LA DIVISION DU TRAVAIL
Dans ses recherches sur la nature et les causes de la richesse de nation de 1776
Adam met en évidence le rôle de la division du travail comme facteur de
croissance ; définit selon lui, comme la spécialisation accrue des tâches. Cette
division du travail se trouve renforcée par la participation des pays au commerce
international avec la théorie des avantages absolus qui soutient que les pays
devraient se spécialiser dans la production des biens pour lesquels ils ont des
avantages absolus. Plus clairement il soutient les traits d’une croissance illimité
qui selon lui dure tant que l’on peut étendre la division du travail et le marché.

 LE PRINCIPE DE POPULATION DE THOMAS MALTHUS

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Dans son essai sur le principe de population 1796. Thomas Robert Malthus
considère que la croissance est limitée en raison de la démographie galopante. Il
attribue la misère en Angleterre au décalage entre deux lois : la loi de
progression arithmétique des subsistances et la loi de progression géométrique.
Autrement dit la démographie croit façon exponentielle au détriment de la
production qui croit lentement. Et pour lui le moyen de sortir de cet état passe
par la mortalité, la baisse de la natalité, et le célibat.

 LES RENDEMENTS DÉCROISSANTS DE DAVID RICARDO

Dans ses principes de l’économie politique et de l’impôt (1817), David Ricardo


souligne que la croissance est limitée par la loi des rendements décroissant. En
effet lorsque la population s’accroît, il convient d’augmenter la production
agricole, or les nouvelles terres mises en culture sont de moins en moins
productives. Le coût de production va donc s’élever, entraînant inévitablement
la hausse des salaires et de la rente foncière. Les profits vont se réduire jusqu’au
moment les capitalistes ne seront plus incités à investir. L’économie atteint la
situation d’état stationnaire. Afin de retarder cette situation, Ricardo préconise
d’augmenter les gains de productivité dans l’agriculture grâce au progrès
technique et de s’ouvrir au commerce international (théorie des avantages
comparatifs).

2. LA REPARTITION

 LOI DE LA VALEUR
Les classiques envisagent la société comme un ensemble de trois classes à savoir
propriétaires fonciers, capitalistes et travailleurs, définit par leur place dans la
production et donc par la nature de leurs revenus. Adam Smith et David Ricardo
ont tous deux formulés la théorie de la valeur travail, affirmant que la valeur
d’un bien ou d’un service est déterminée par la quantité de travail nécessaire à sa
production cela a des implications directes sur la répartition des revenus, la
valeur ajoutée se répartit entre trois agents :

Les propriétaires fonciers qui perçoivent la rente foncière versé par le


fermier
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Salariés qui gagnent un salaire ramené sous l’effet de la concurrence à ce
qu’il doit dépenser pour assurer sa subsistance.
Capitalistes qui eux font du profit proportionnel au capital avancé dans la
production

 JEAN-BAPTISTE SAY, LA LOI DES DÉBOUCHÉS

Il affirme c’est la production qui ouvre des débouchées au produit en d’autres


termes toute offre crée sa propre demande. Il annonce donc le principe selon
lequel le produit s’échange contre le produit. En effet la production réalisée
génère une répartition des revenus aux différents acteurs qui y ont contribués, ce
flux des revenus se traduit par une demande de biens et services et par une
épargne. Donc une partie de revenus revient à l’entreprise et l’autre partie
(épargne) permet de financer l’investissement. Ainsi pour Jean Baptiste il y a un
équilibre entre l’offre et la demande.

III. THEORIE MARXISTE

Karl Marx a été le premier économiste à proposer un modèle formel de


croissance, à l’aide de ses schémas de reproduction élargie. Il considère que la
croissance est limitée dans le mode de production capitaliste en raison de la
baisse tendancielle des taux de profit (1867, Le Capital). En effet, la recherche
d’une plus-value toujours plus importante (notamment grâce à des salaires bas,
que Marx appelle, Minimum de Subsistance) et la concurrence entre capitalistes
devraient provoquer une paupérisation des ouvriers et un blocage dans le
développement du système capitaliste (crise). Sur la question de la répartition,
de la détermination des revenus, Marx reprend l’idée d’une relation inverse entre
les salaires et les profits. Il considère que la répartition des richesses dans une
société capitaliste est fondamentalement inégale en raison de l'exploitation des
travailleurs. Il estime que la classe ouvrière produit la richesse, mais une grande
partie de cette richesse est accaparée par la classe capitaliste. Selon Marx, la
lutte des classes est un moteur essentiel du changement social. Il envisageait une
révolution prolétarienne où la classe ouvrière prendrait le contrôle des moyens
de production pour instaurer une société sans classes.
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1. le matérialisme historique

À l'instar d'Épicure auquel il consacre sa thèse, Marx est matérialiste. Ce


matérialisme trouve son expression la plus achevée dans l'affirmation d'un
déterminisme historique dont l'instrument est la lutte des classes. Marx suit
Ricardo dans son analyse de la société, figée en trois classes : les rentiers,
propriétaires de la terre, les capitalistes, propriétaires des machines, et les
salariés, qui apportent leur travail. L'économie de marché conduit à un équilibre
qui n'est remis en cause que par l'augmentation de la population. Cette dernière
oblige à cultiver des terres de moins en moins productives, ce qui a comme
conséquence de réduire le profit. Pour éviter cette baisse des profits, Ricardo
propose d'importer du blé, pour ne pas avoir à mettre en culture les terres peu
fertiles. Marx complète le ricardisme en y introduisant la dynamique de la lutte
de classes. Les classes économiques sont non seulement un mode d'organisation
économique, mais aussi un moteur de l'histoire du fait même de leur
affrontement. Les modes de production se sont succédé (mode antique, mode
féodal, mode bourgeois moderne) selon une loi historique inexorable qui
débouchera sur le dernier mode de production, le communisme. Le
communisme est la phase ultime, la « fin de l'histoire », le moment où la lutte
des classes cesse car il n'en reste plus qu'une, la classe ouvrière, mieux désignée
encore sous le vocable de prolétariat. Chaque crise est un bégaiement sur la
route qui mène à la fin communiste de l'aventure humaine. Marx parle en outre
d'un mode 158 Histoire vivante de la pensée économique de production
asiatique, caractérisé par une économie étatisée aux mains d'une caste
bureaucratique.

2. l’analyse de la baisse tendancielle du taux de profit

Il existe selon Marx une tendance de long terme, traduit par une baisse du taux
de profit, typique à la société capitaliste. Cette conviction est de même nature
que celle que l’on trouve chez les classiques sur l’état stationnaire, avec deux

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différences : - Chez les classiques, la baisse des taux de rente concerne
l’agriculture - Chez Marx, la baisse des taux de profits concerne l’industrie.
Chez les classiques, l’état stationnaire est un état sans croissance. Chez Marx, la
baisse tendancielle du taux de profit conduit à la disparition du système
capitaliste. Sur le plan strictement économique, le marxisme cherche à
démontrer que la condamnation du capitalisme tient à une baisse tendancielle du
taux de profit. Marx trouve chez Ricardo la notion de valeur travail, c'est-à-dire
l'idée que les prix des biens sont représentatifs de la quantité de travail
nécessaire à leur production. Mais il va plus loin : si le travail permet de fixer les
prix, c'est qu'il est la source exclusive de la création de richesse. Le profit
correspond à ce qu'il appelle le surtravail ou la plus-value, c'est-à-dire la
différence entre ce que produit l'ouvrier et ce que lui rétrocède le capitaliste. Or,
le capitaliste cherche à accaparer un surtravail maximum, ne restituant à
l'ouvrier que le minimum vital, les moyens strictement nécessaires à sa survie et
à celle de sa famille, c'est-à-dire à la reproduction de la force de travail. C'est le
mécanisme de l'exploitation capitaliste ou encore de l'aliénation. Mais, ce
faisant, aveuglé par son esprit de classe, le capitaliste prépare sa perte. Plus il
accumule de profit, plus il achète de machines. Plus il achète de machines,
moins il emploie d'ouvriers et moins il mobilise de travail. Moins il mobilise de
travail, moins il est à même de dégager le surtravail qui est la source de son
profit. Pour maintenir son taux de profit, il essaie de réduire la part de l'ouvrier
en dessous du niveau de la reproduction de la force de travail, suscitant une
révolte violente de la classe ouvrière. Le rôle des communistes est
d'instrumentaliser cette révolte pour en faire une révolution, conduisant à
remplacer le plus rapidement possible le capitalisme par la société sans classes.

3. la monnaie

Outre son analyse de la baisse tendancielle du taux de profit, Marx complète et


dépasse l'économie politique classique en développant les conséquences de la
notion de valeur travail mise en avant par Ricardo. Là où l'économie classique
s'est contentée d'affirmer le principe de la valeur travail pour ne pas trop se
pencher sur la théorie monétaire, Marx exprime sa volonté de construire une

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théorie de la monnaie à part entière en se fondant pleinement sur la valeur
travail. Pour comprendre le mécanisme monétaire, dit Marx, il faut partir de la
vision des économistes classiques. Pour eux, l'échange naturel est Marchandise –
Argent-Marchandise (M - A - M), où l'argent n'est qu'un intermédiaire qui
facilite l'écoulement de la production. La monnaie est un voile, un point de
passage obligé pour la circulation de la richesse. Pour Marx, cette vision est
tronquée car elle ignore que le but du capitaliste est d'accumuler de l'argent.
C'est une erreur de penser que le profit est pour lui un moyen de financer son
activité future. Il s'agit bel et bien d'accroître son patrimoine, son pouvoir
d'achat, son capital. Le capital naît d'un échange A - M - A', où A' correspond à
A, la quantité d'argent de départ augmentée de la plus-value extorquée aux
travailleurs. Le profit, en ôtant au salarié une partie de son travail sous forme de
plus-value, doit s'interpréter comme une pure exploitation de l'homme par
l'homme car il a simplement pour but d'accroître la quantité d'argent dont
dispose le capitaliste. La monnaie n'est pas neutre dans la mesure où elle ne
circule pas, mais tend à se concentrer entre les mains des capitalistes. La pensée
de Marx insiste en résumé sur trois points :

D'abord, selon lui, l'histoire obéit à des lois qui lui donnent un sens qui
débouche sur le triomphe du socialisme et l'avènement de la société sans
classes. Point n'est besoin d'attendre un mécène comme Fourier pour
préparer l'avenir. Celui-ci est écrit et sera socialiste.
Ensuite, dans cette logique, le capitalisme est appelé à disparaître car il est
miné par ses contradictions internes. En particulier, pour assurer son
développement et la mobilisation du travail, il a besoin d'une « armée de
réserve ». Pour que le coût du travail n'augmente pas, c'est-à-dire pour
que, sur une journée de travail donnée, les capitalistes puissent en
récupérer le maximum, il faut en permanence mettre les ouvriers en
concurrence. Sans chômage, il n'y a pas de concurrence entre les salariés,
les entreprises risquent donc de subir une baisse de leur profit. La
concurrence permet de rémunérer le salarié au minimum, au niveau que
Marx appelle la « reproduction de la force de travail » (à savoir lui laisser
juste la quantité de biens matériels qui assure sa survie immédiate et celle
de sa famille)
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Enfin, la satisfaction par chacun de son intérêt individuel ne peut
conduire, contrairement aux dires des économistes classiques, à une
société harmonieuse. Intéressé, le capitaliste cherche à exploiter au
maximum l'ouvrier. Cela provoque naturellement la révolte de l'ouvrier,
ce qui incite le capitaliste à accélérer la substitution du capital au travail.
Résultat, la composition organique du capital augmente et le taux de profit
baisse.

IV. LA THEORIE NEOCLASSIQUE

1. Le marché autorégulé

Pour les néolibéraux le marché est une essence autorégulé le déséquilibre est soit
exogènes soit dû à un respect de la concurrence pure (l’atomicité des marchés,
l’homogénéité des produits, la fluidité du marché, absence de barrière) et
parfaite. Pour les agents économiques sont utilitaristes c’est-à-dire ils sont
rationnels et cherchent la satisfaction de leur intérêt personnel il existe trois
sortes de rationalité :
La rationalité au sens faible : les individus cherchent à maximiser leur
satisfaction
La rationalité au sens habituel : non seulement les individus cherchent à
maximiser leur satisfaction mais l’information est parfaite
La rationalité au sens fort : les individus cherchent à maximiser leur
satisfaction, l’information est parfaite et les individus peuvent anticiper
l’avenir avec précision.
Pour eux lorsque les conditions de la concurrence pure est parfaite sont
respectées, le marché est équilibré. Donc l’Etat ne doit pas intervenir dans
l’économie. Les deux mécanismes sur lesquels se fondent la théorie
néoclassique sont l’utilité marginale décroissante et la productivité marginale
décroissante. Les néoclassiques considèrent le travail comme une marchandise
homogène. Sur ce marché se confrontent une offre et une demande de travail qui
sont respectivement une fonction croissante et une fonction décroissante du
salaire réel. L’offre de travail provient des ménages qui comparent l’utilité
apportée par le loisir (c’est-à-dire le non-travail) et l’utilité apportée par le
salaire qui permet de consommer. Plus le salaire est élevé, plus il compense la
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perte de loisir et donc plus l’offre de travail est forte. La demande de travail
provient des entreprises qui compare les salaires et la productivité des salariés.
Lorsque le marché convenablement le salaire est parfaitement flexible et permet
d’égaliser l’offre et la demande de travail. Ainsi pour eux le chômage est
forcément volontaire.
2. La différence entre les classiques et les néo-classiques

Chez les Classiques, on part des faits, tandis que chez les Néo-classiques, on
part d’une approche hypothético-déductive. Cette différence de méthode
s’accompagne d’une différence de la société qu’on décrit.
La société est vue comme des individus différents les uns des autres chez
les Néo-classiques, alors que chez les Classiques, il y a 3 grandes classes
que sont les rentiers, les travailleurs et les entrepreneurs capitalistes. Chez
les Néo-classiques, on décrit une société atomistique. Les individus
peuvent remplir une multitude de rôles dans l’économie. On considère
que l’analyse des Classiques est plus macroéconomique.
Chez les Néo-classiques, il reste la théorie de la valeur mais elle n’a pas
le même sens : de la cause de la valeur à la formation des prix, on reste
encore dans le même objectif que les classiques mais chez les 1ers
néoclassiques, il y a une réhabilitation de la théorie valeur-utilisé par
Walras : elle se fait au travers l’introduction du marginalisme. L’homo-
economicus fait des raisonnements à la marge. La valeur d’un bien ne
dépend pas de l’utilité totale mais de l’utilité marginale du bien exemple :
le diamant a beaucoup de valeur car il apporte beaucoup de satisfaction et
car il est rare. On abandonne la vieille conception de la théorie e la valeur
au profit d’une conception moderne, qui est l’équilibre de l’offre et de la
demande. Cela est résumé par Pareto (point de vue de Pareto sur la
valeur).
Analyse dynamique vs analyse statique :
 L'économie statique : L'économie est considérée comme statique
lorsque les relations entre les agents sont analysées sans se préoccuper
de la dimension temps. Ainsi, les équilibres ne changent pas, étant
donné les conditions observées. L'analyse statique de l'économie est
une phase importante, mais elle fait abstraction des changements qui
surviennent lorsque les décisions réelles sont mises en pratique : le
monde économique n'est pas une abstraction.
 L'économie dynamique : L'économie est considérée dans sa
dynamique lorsque les différents agents sont mis en relations continues
et mouvantes. Ainsi, deux agents peuvent s'influencer mutuellement et
leur interaction donne des résultats souvent inattendus.
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3. La continuité entre les auteurs classiques et
néoclassiques

Ces différences ne doivent cependant pas masquer les continuités entre les
auteurs Classiques et Néo-classiques. Tout d’abord, les deux courants se font les
défenseurs de l'économie de marché, reposant sur la propriété privée et la liberté
individuelle. Ensuite, à l’exception de quelques auteurs (Malthus puis Hayek),
Classiques et Néo-classiques adhérent d'un même élan à la théorie dichotomique
de la monnaie : la monnaie est neutre et toute augmentation de la masse
monétaire qui n'est pas la conséquence d'une augmentation préalable de la
production engendre une inflation. La limitation de l'intervention étatique aux
fonctions essentielles constitue un troisième point de convergence entre ces deux
traditions libérales : l’Etat doit assurer les fonctions régaliennes (police et
défense) et offrir des biens collectifs, au-delà de ces fonctions, toute politique
économique est au mieux inutile, au pire néfaste. Enfin, à l’exception des
libéraux de l'école de Vienne, les Néoclassiques reprennent à leur compte la
thèse de J. B. Say sur l’impossibilité des crises générales et durables : la
dépression crée elle-même les conditions de la reprise, la crise étant perçue
comme un simple accident. La préoccupation des classiques débouche souvent
sur une analyse de la croissance et une prévision. Les analyses des Néo-
classiques restent statiques (TEG). Solow (1956) pour retrouver de la
dynamique à LT, dynamise l’équilibre.

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Reference : Dunod maxentrei fiches HPE ; Wikipedia ; Nouvelles théories
économiques de Marc Montoussé.

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