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REMERCIEMENTS
A tous mes collaborateurs qui, d’une manière ou d’une autre, ont contribué à la mise en œuvre de ces
pages qui forment la matière de l’enseignement de législation en matière économique, je formule des
vœux de sincère gratitude. J’ai cité Jean-Paul Koso, Coco Kayudi, Eberand Kolongele, Michel
Makaba, Patty Kalay, André Labo, Déborahn Nzege, Elie Ngueji, De Gaule Mabiala et Yves-Junior
Manzanza
AVANT-PROPOS
En effet, conçu dans une vision panoramique combler les lacunes de codification,
l’enseignement de la législation en matière économique prépare les étudiants de deuxième graduat en
droit à la spécialisation ultérieure de chacune des législations sous forme de branche autonome du droit
enseignée à la Faculté. C‘est ainsi qu’il se compose de deux livres abordant respectivement la législation
portant sur l’organisation générale de l’économie et les traité économiques dans lesquels l’Etat
congolais est signataire.
Ainsi le travail sécurisé et motivé aura un revenu décent lui permettant de se procurer
des biens et services de son choix (législation sur la communication et le surplus épargné dans un cadre
macro-économique stabilisé (législation sur l’épargne et le charge), le tout sans préjudice des impôts et
taxes dus à l’Etat (législation sur la fiscalité).
Il faut signaler que dans le cadre de la présente édition, les matières suivant ont été
ajoutée à l’ossature du cours : les assurances et les télécommunications.
iii
INTRODUCTION
I. Contenu du cours
CHAPITRE I: LA CONSTITUTION
§1. Définition
a. Type de planification
1
RUSSEL, L.A.Méthodes de planification dans l’entreprise, les éditions d’organisation, paris, 19733, P17
2
WATERSON, A. Cité par Kanwanda, théorie et pratique de la planification du développement, L FASEG UK ;
MBAZA NGUNGU.
3
BETTEL HEIM.C .Problème théorique et pratique de la planification .3èmé éd , Maspero, paris 1970.
7
1. Au niveau de la Procédure
3. Au niveau du contenu
4. Au niveau de la sanction
4
CASANOVA.E/A « le commerce » in Encyclopedia universalis .P.173.
12
A. Fondement du principe
5
Lire Kolongele Ebérand, Antinomie entre les accords d’exclusivité et le principe de la liberté du commerce et de
l’industrie mémoire, Faculté de Droit, Université de Kinshasa, 1999.
18
1 Le mineur
L’on s’est qu’à matière civile, ces personnes sont placées sous
le régime de protection de l’assistance par le biais du curateur nommé
par jugement rendu par le tribunal de paix (art. 310 à 312 CF).
23
4 La femme mariée
1° Principe d’association
1° Notion
2° Principe
6
Art. 2 de l’ord.-loi n° 79-021 du 02 août 1979 portant règlementation du petit commerce.
7
BOLITENGE LOPOKA, La réglementation du petit commerce et son application en droit congolais. Mémoire de
D.E.S, Faculté de Droit, Université de Kinshasa, 2005.
29
n’est censé ignorer la loi ». Elle est préalable à son entrée en vigueur qui,
en République Démocratique du Congo, intervient en principe après un
délai de 30 jours. Elle rend le texte opposable tant aux autorités qu’aux
citoyens (effet erga omnes).
9
KABANGE NTABALA, Droit administratif, tome 1,2éme éd. unikin 2005, p.34
10 er
ANDENDE APIDIA, Cours d’introduction général à l’étude du Droit, 1 Graduat UPC, Faculté de Droit 2006-2007.
P. 56.
11
KABANGA NTABALA, Op Cit, P.34.
31
12 er
Art 1 de l’Ord. N°90-161 du 08 août 1990 portant mesure d’exécution de l’Ordonnance-loi n° 90-046 du 08 août
1990 portant réglementation du petit commence.
32
A. Notion de commerçant
B. Obligation du commerçant
13 er e e e
Cfr art. 3, point 1 , 2 , 3 et 4 de l’arrêté ministériel n°061/CAB/MIN/FIN/99 du 18 octobre 1999 relatif au
regime fiscal du petite et moyenne entreprise et relevant du régime du commerce.
33
14
THIERRY. P. Le commerce électronique. Droit international européen. Litec, PARIS, 2002, P. 35.
34
§.1. Notion
15
LORENTZ, F., Cité Par ITEANU, O., Internet et droit : aspect juridique du commerce, éd. Eyrolles, 1996. P. 27.
35
16
GAUTREZ, V., Cité par CAPRIOLI, E. Rapport de la commission Lorentz
36
D. L offre et acceptation
17
« Le contrat dans le commerce électronique ». in www juriscom.net
39
A. Economie générale
19
Le COPIREP est depuis avril 2009, un établissement public. Cfr développement infra
43
20
Cfr art. 2 de la loi n° 08/007 du 07 juillet 2008 sous examen.
44
A. Economie générale
a) Objet
b) Définitions
A. Economie générale
C. Structures organiques
D. Ressources
23
Cfr. Art 19 à 21 de la loi n° 08/009 du 17 juillet 2008.
50
E. De la tutelle
F. Du personnel
§4. La loi n° 08/010 du 07 juillet 2008 fixant les règles relative à l’organisation et à la
gestion du portefeuille de l’Etat.
C’est ainsi que dix mois plus tard, il signa une série des
Décret portant respectivement :
53
a. De l’objet
par les statuts des affaires sociales. Elle est la réunion de tous les
associés et peut siéger ordinairement ou de façon extraordinaire.
L’Assemblée générale a les pouvoir les plus étendus pour faire ou
ratifier les actes qui intéressent la vie de la société (ex. discuter le
bien, décidé du partage les bénéfices, etc.)
- Il y a ensuit les organes de l’administration et la gestion de la
société : ce ont les associés qui fixent généralement dans les
modalités de nomination et de révocation des organes chargés de la
gestion ainsi que leurs pouvoirs. Ces organes sont généralement
des personnes physiques et prennent souvent dans la pratique le
nom de gérant qui pourra être associé ou non, selon la forme de la
société.
24
Don Déogracias MIDAGU, « protéger l’investissement privé », in Congo fiscalité, Kinshasa, janvier –février
2006,p .13.
65
des étrangers en raison du temps jusqu’à ce qu’il y ait une loi qui
l’abroge.
A. Avantages douaniers
B. Avantages fiscaux
A. Sources
A. Sources
25
J.O.Z. n° 2 du 15 janvier 1982. P. 9 (voir aussi le code lancier de la RDC. P. 221)
72
B. Etendue de la protection
1. Invention
- Brevet de perfectionnement.
2. Dessins et modèles
4. Dénomination commerciale
A. Textes de loi
b. Libéralisation de prix
avec les pouvoirs publics. Tel est le cas de la bière dont une partie du
coût de production est supportée par l’Etat sous forme d’exonération
diverses.
Le change est une notion mieux une pratique qui n date pas
de ces jours. Elle remonte extrémités de la seconde guerre
mondiale.
Pour une meilleure approche de sa quintessence, l’examen à
la fois de sa définition, de ses diverses ainsi que celui de l’évolution de sa
réglementation en République Démocratique du Congo vont nous être
d’un intérêt certain.
81
a. Définition
b. Sortes de change
1. Origine de change
Ainsi, on a pu observer :
- Une diversité de taux sur le marché de change (taux officiel et taux
parallèle) ;
- une demande croissante des devises par les operateurs
économiques auprès de la Banque Nationale ;
- une réelle difficulté pour la banque de satisfaire les opérateurs
économiques.
A. Notions générales
On peut citer:
- l’ordonnance législative n°41/63 du 24 février 1950 sur la
concurrence déloyale ;
- la loi n° 82/001 du 07 janvier 1982 sur la propriété intellectuelle ;
- le décret-loi du 20 mars 1961 sur 1es prix tel que modifié et
complété à ce jour.
C. Période postcoloniale
§1. L’impôt
C. L’établissement de l’impôt
28
Remplacé par l’avis de mise en recouvrement (AMR)
99
A. Fondement légal
1. Impôts réels
Les impôts réels sont ceux auxquels sont soumis des biens
physiques (meubles et immeubles).
30
Cfr loi n° 004/2001 du juillet 2001 portant disposition générale applicable aux ASBL et établissement s
d’utilité publique.
102
1. ICA à l’intérieur qui porte sur les opérations des ventes des
produits de fabrication locale destinés à la mise à la
consommation, à la condition que ces opérations soient
effectuées au Congo. Il frappe aussi les prestations de services
de toutes espèces effectuées en République Démocratique du
Congo ainsi que les opérations de construction, d’Installation et
d’entretien ou réparation des immeubles effectués au Congo
occupés par les entrepreneurs locaux.
2. L’ICA à l’importation : il frappe toutes importations sauf celles
exonérées par un texte de loi. C’est au jour de la mise à la
consommation qu’est dû cet impôt.
3. L’ICA â l’exportation qui trappe les ventes de marchandises
destinées à l’exportation, précisément il est assis sur les
devises rapatriées après la vente des produits exportés. La loi
prévoit le cas d’exonération à cet impôt.
1. Principe
La taxe due est calculée sur les prix des biens vendus ou des
services rendus. Autrement dit, lors de chaque transaction, la valeur du
produit est frappée à un prix uniforme. Mais chaque redevable est
autorisé â imputer sur la TVA qu’il doit (TVA brute) le montant de la TVA
qu’il a déjà grevé le produit au stade antérieur (TVA déductible); il ne
réservera au Trésor public que la différence (TVA nette).
105
2. Avantages
A. Définition de la douane
3. La loi tarifaire
Elle fixe les impôts qui seront prélevés sur les marchandises
par les services des douanes.
1. Le guichet unique
2. La brigade douanière
Ces barrières sont constituées par les taux élevés des droits
de douane à percevoir sur une marchandise en vue de décourager son
entrée sur le territoire national pour plusieurs raisons, comme par
exemple dans le cas où il s’agit de protéger les produits fabriqués
localement contre une forte concurrence imposée par une marchandise
provenant de l’étranger.
3. Restrictions quantitatives
A. Notion
1. Nature juridique
118
2. Caractéristiques
1. Conditions de fond
2. Condition de forme
C. Modification et suspension
1. Modification
1. Causes de cessation
son contrat de travail, pour quelque cause que ce soit, doit en faire une
déclaration dans les quarante-huit heures de son départ. C’est aussi une
obligation subséquente à la rupture du contrat de travail incombant à
l’employeur.
A. Historique
Ce prêt n’était pas encore une assurance parce qu’il était une
opération isolée, basée sur la technique de statistique (loi du grand
nombre) et de compensation de risques. En outre, en matière
d’assurance, l’indemnité est payée après le sinistre alors que, pour le
prêt à la grosse aventure, elle intervenait au moment de la conclusion du
contrat.
Quant aux assurances vie, elles ont pour point de départ les
mutuelles où les gens s’entraident en cas de difficultés, interdites au
départ parce que jugées illégales, immorales et dangereuses en raison du
votum mortis (le vœu de donner la mort) qu’elles portent en elles, ces
assurances suscitaient une grande polémique au départ.
A. Le contrat d’assurance
1. Définition
2. Caractéristiques
B. Coassurance et réassurance
1. Le risque
2. La prime d’assurance
3. La prestation de l’assureur
4. L’intérêt assurable
B. Assurances de dommages
1. L’entreprise d’assurance
1. Le souscripteur
2. L’assuré
3. Les tiers
A. La durée
B. La fin
A. Cadre historique ()
B. Du monopole
134
A. Des politiques
135
B. Des innovations
Etats-Unis qui désiraient contrôler leur politique agricole (et elle fut
remise sur l’agenda de l’Uruguay round à la demande des Etats-Unis).
L’UE, le Japon et les Etats-Unis utilisent une multiplicité de subventions
et de restrictions quantitatives (RQ) dans leur politique agricole.
§1. Présentation
A. Des limites
a) La crise financière
a) La crise financière :
145
b) La crise de légitimité :
c) La crise d’efficacité :
a) Fondement Juridique
b) Conflit de compétence
D. Conclusion
Vers la fin des années 50, I’AOF subit des bouleversements qui
aboutiront à l’indépendance successive de chacun des territoires qui la
composent.
b. Le fonctionnement de la négociation
2. La contexture de l’accord
3. L’adoption de l’accord
159
C. La programmation ()
§1. Historique
A. l’intégration
REMERCIEMENTS .................................................................................................................. i
AVANT-PROPOS ................................................................................................................... ii
INTRODUCTION ....................................................................................................................1
I. Contenu du cours .......................................................................................................1
1. En ce qui concerne la stricte et le fonctionnement de l’entreprise, il s’agit des
textes relatifs : ...............................................................................................................2
2. En ce qui concerne les relations avec d’autres entreprises, il s’agit des textes
régissant : ......................................................................................................................2
3. Concernant les relations avec la puissance publique, il s’agit : .............................2
II. Originalité et place de la LME parmi les enseignements de la Faculté de droit. ......3
CHAPITRE I: LA CONSTITUTION ............................................................................................4
CHAPITRE II : LOIS ET REGLEMENT ......................................................................................5
Section 1. Législation sur la planification ........................................................................5
§1. Définition .................................................................................................................5
178