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Intervenant : Professeur OLOMO BESSOMO Thérèse, Maître de conférence FSJP, Université Échanges.
Cet exercice selon le professeur intervenant est un mélange entre la pratique et la théorie. Il résoud un
problème qui semble être banale.
Le droit écrit;
La coutume pour certaine branche;
La jurisprudence.
Ce n'est pas toujours nécessaire d'évoquer toutes ses sources, tout dépend du cas.
Il faut porter une attention sur les dates du cas, pour savoir qu'elle loi serait applicable.
Il faut donc tenir compte de l'espace et du temps. Pour pouvoir mieux déterminer la règle applicable.Ilpeut
s'agir des questions ouvertes ou larges.
Il s'agit là d'un cas pratique fermé ou un cas pratique ouvert. Toutefois que ce soit le cas pratique ouvert ou
fermé l'on retient une seule règle de droit.
La conclusion
Elle est toujours importante qui s'introduit comme suite: Par conséquent.
Puis on applique la règle de juridique au cas d'espèce.
Il faut faire un petit plan pour chaque question. Pas de grand I ou Grand II, il faut orienter le correcteur.
Il faut des phrases courtes pour être précis et méthodique : sujet - verbe - complément.
Il faut aérer la copie parceque lorsque la copie n'est pas très bien rédigée elle dégoûte le correcteur.
Il faut aller à la ligne en fonction des questions.
Enfin il faut écrire du bon français.
Ne jamais oublier le syllogisme réitère le professeur Mevoungou. Une copie aéré est plus facile à lire et à
corriger.
Quand on nous demande de séparer la présentation et la conclusion.
Selon le professeur banamba on commence par regarder la conclusion, s'il est fausse on ne regarde plus le
cheminement.Quand on nous demande de définir les notions on commence par les définir sans faire le
résumé.
Selon le professeur Tjouen, l'intitulée de la question c'est le problème juridique on a pas besoin de recopier. Le
titre du cas c'est la question du cas qui n'est pas le problème juridique qu'on serait appelé à reformuler pour
ressortir le problème juridique.