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Association Française des

Conseils en Gestion de Patrimoine Certifiés


CGPC

Membre du Financial Planning Standards Board (FPSB)


Association déclarée loi du 1er juillet 1901 (et textes subséquents)

EXAMEN DE CERTIFICATION

19 & 20 septembre 2012

Unité de valeur 2

Environnement fiscal du patrimoine

Durée : 2 heures - Coefficient : 1,5

Documents à disposition : Néant

100 QCM

CORRIGÉ

Siège social : 5, rue Tronchet - 75008 PARIS


Tel. 01 40 06 08 04 - Fax. 01 40 06 96 23
e-mail : info@cgpc.fr - Web :www.cgpc.fr
70 questions à réponse unique s
Il n’y a qu’une seule bonne réponse parmi celles offertes à votre choix.

ENTOUREZ LA LETTRE CORRESPONDANT À LA RÉPONSE DE VOTRE CHOIX

1. Un contribuable marié avec 2 enfants à charge et un troisième en résidence alternée


bénéficie de :

A. 3 parts.
B. 3,25 parts.
C. 3,50 parts.
D. 3,75 parts.

2. Dans quelle catégorie positionne-t-on les revenus « innomés » ?

A. BIC.
B. BNC.
C. Traitements et salaires.
D. Revenus de Capitaux Mobiliers.

3. Un contribuable perçoit une rente en contrepartie de la vente d’un immeuble. Quel


est le montant retenu par l’administration fiscale, si la rente lui est versée après son
59ème anniversaire ?

A. 30 %.
B. 40 %.
C. 50 %.
D. 70 %.

4. Quel est le taux actuel cumulé des contributions sociales appliqué aux revenus du
patrimoine?

A. 11 %.
B. 12 %.
C. 13,5 %.
D. 15,5 %.

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5. La loi de finances de 2012 a instauré une contribution exceptionnelle sur les hauts
revenus. Dans quelles conditions ?

A. Un taux de 2 % est appliqué à la fraction du revenu fiscal de référence comprise entre


250 000 € et 500 000 € pour les contribuables célibataires, veufs, séparés ou divorcés.
B. Un taux de 2 % est appliqué à la fraction du revenu fiscal de référence supérieur à 200
000 € pour les contribuables célibataires, veufs, séparés ou divorcés.
C. Un taux de 4 % est appliqué à la fraction du revenu fiscal de référence supérieur à 100
000 € pour les contribuables célibataires, veufs, séparés ou divorcés.
D. Un taux de 4 % est appliqué à la fraction du revenu fiscal de référence comprise
entre 250 000 € et 500 000 € pour les contribuables célibataires, veufs, séparés ou
divorcés.

6. Quel est actuellement le montant du taux de prélèvement forfaitaire libératoire


applicable aux intérêts des obligations négociables et titres participatifs ?

A. 15 %.
B. 18 %.
C. 19 %.
D. 24 %.

7. Si un retrait ou une clôture totale intervient sur un PEA ouvert il y a plus de huit ans,
les gains seront:

A. Imposés au taux forfaitaire de 19 %.


B. Imposés au taux forfaitaire de 22,50 %.
C. Exonérés d’IR mais soumis aux prélèvements sociaux.
D. Imposés au barème progressif de l’IR.

8. Quel est le taux de la pénalité applicable en cas d’absence de déclaration de revenus ?

A. 10 %.
B. 15 %.
C. 40 %.
D. 80 %.

9. Le délai de reprise dont bénéficie l’Administration Fiscale sur un contribuable,


personne physique qui exerce une activité occulte est de :

A. N + 1.
B. N + 2.
C. N + 3.
D. N + 5.

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10. Au titre de l’IR, un couple marié qui a 3 enfants, dont l’un est titulaire d’une carte
d’invalidité, bénéficie de :

A. 3,5 parts.
B. 4 parts.
C. 4,5 parts.
D. 5 parts.

11. Un retraité de 61 ans envisage de transformer le capital qu’il a constitué en rente


viagère. Quelles seraient alors les conditions d’imposition ?

A. La totalité de la rente versée sera imposable, et bénéficiera d’un abattement spécifique


aux rentes viagères à titre onéreux de 10%.
B. La totalité de la rente sera imposable.
C. Seule une fraction de la rente sera imposable à hauteur de 40 %.
D. La rente sera imposable à hauteur de 50 %.

12. Quelle réduction constitue un crédit d’impôt ?

A. Les sommes versées au titre de l’emploi à domicile.


B. L’investissement locatif « Scellier ».
C. La souscription au capital de SOFICA.
D. Les intérêts des emprunts contractés pour l’acquisition de l’habitation principale.

13. Dans le cadre de la déclaration des revenus, le RSA, l’Allocation Adulte Handicapé et
les prestations familiales légales ont un point commun. Lequel ?

A. Ils sont imposables pour le montant réel.


B. Ils bénéficient d’un abattement de 50 %.
C. Ils bénéficient d’un abattement de 70 %.
D. Ils ne sont pas imposables.

14. Pour le calcul des plus-values immobilières, on tient compte :

A. Uniquement du prix de cession majoré du montant réel et justifié des travaux réalisés.
B. Uniquement du prix de cession majoré d’un forfait de 7,50 % au titre des frais
d’acquisition.
C. Uniquement du prix d’acquisition majoré des frais réels correspondant aux travaux et
aux frais d’acquisition.
D. Du prix d’achat majoré d’un taux forfaitaire de 7,50 % au titre des frais
d’acquisition et de 15 % au titre des travaux ou du montant réel de tous ces frais.

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15. Pour les revenus 2011, déclarés en 2012, le délai de reprise de l’administration fiscale
expire le :

A. 31 décembre 2014.
B. 31 décembre 2015.
C. 31 décembre 2016.
D. 31 décembre 2017.

16. Les BNC (bénéfices non commerciaux) sont à déclarer :

A. Au réel en recettes-dépenses (bénéfices issus des encaissements déduction faite des


décaissements).
B. Au réel en créances-dettes (bénéfices issus des créances acquises déduction faite des
charges engagées).
C. Selon un forfait dit micro BNC si les recettes de l'année 2011 n'excèdent pas 32 800 €
hors taxes (HT).
D. Selon un forfait dit micro BNC si les recettes de l'année 2011 n'excèdent pas 32 800 €
toutes taxes comprises (TTC).

17. Le prélèvement forfaitaire libératoire est obligatoire :

A. Pour les produits de placement de source européenne, lorsque l'établissement payeur est
établi en France.
B. Pour les intérêts des comptes-courants d'associés.
C. Quand le bénéficiaire des revenus mobiliers n'a pas son domicile fiscal situé en
France.
D. Pour les produits de placement de source européenne à revenu fixe.

18. Les produits de sous-locations meublées se déclarent :

A. En BNC.
B. En BIC.
C. Dans la catégorie des revenus fonciers, uniquement au réel.
D. En micro-foncier.

19. Sont admis en déduction du revenu foncier brut déclaré au réel :

A. Les avantages en nature alloués aux gardiens et concierges.


B. Les frais versés à un tiers pour l'acquisition de l'immeuble donné en location.
C. La taxe foncière, y compris la partie « ordures ménagères ».
D. La taxe foncière, à l’exception de la partie « ordures ménagère ».

20. Le revenu fiscal de référence est calculé sur:

A. La moyenne des revenus des trois dernières années.


B. La moyenne des revenus et plus-values des trois dernières années.
C. Les revenus et plus-values de l'année précédente.
D. Par évaluation faite par le contribuable.
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21. Le défaut de production de la déclaration des revenus donne lieu à la taxation d'office
des revenus du contribuable si celui-ci n'a pas régularisé sa situation:

A. Dans les 30 jours de la notification d'une mise en demeure.


B. Dans les 30 jours de la notification d'une seconde mise en demeure.
C. Dans les 30 jours après une proposition de rectification.
D. Après une demande d'informations laissée sans réponse durant deux mois.

22. Dans quelles conditions le nu-propriétaire peut-il imputer les travaux correspondant
à de grosses réparations effectuées dans l’immeuble?

A. Sur le revenu global dans la limite de 25 000 €.


B. Sur le revenu global dans la limite de 10 700 €.
C. Uniquement sur les revenus fonciers du nu-propriétaire.
D. Uniquement sur les revenus fonciers de l'usufruitier.

23. La réduction d’impôt liée au dispositif SCELLIER s’applique pour la première fois
l’année au cours de laquelle intervient :

A. La signature du contrat de réservation.


B. La signature de l’acte notarié.
C. L’achèvement du logement.
D. La signature du bail avec le locataire.

24. Dans le cadre du dispositif Malraux :

A. L’engagement de location est de 6 ans.


B. L’engagement de location est de 9 ans.
C. Le loyer est soumis à un plafond au m2.
D. La location est soumise à un plafond de ressources du locataire.

25. Les recettes annuelles tirées d’une location meublée bénéficient d’un abattement
forfaitaire :

A. Lorsqu’elles n’excèdent pas 15 000 € HT uniquement.


B. Sur option, lorsqu’elles n’excèdent pas 15 000 € HT uniquement.
C. Lorsqu’elles n’excèdent pas 32 600 € HT.
D. Sur option, lorsqu’elles n’excèdent pas 32 600 € HT.

26. Lorsque la TVA est récupérable sur l’acquisition d’un logement, celle-ci est
définitivement acquise au contribuable après une durée de détention de :

A. 20 ans.
B. 15 ans.
C. 9 ans.
D. 2 ans.

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27. Des concubins disposent chacun d’un patrimoine net assujetti à l’ISF. Ils demandent
s’ils doivent effectuer une déclaration commune d’ISF?

A. NON.
B. OUI.
C. Ils ne doivent déclarer séparément que leurs biens propres.
D. Ils ne doivent déclarer en commun que les biens qu’ils détiennent conjointement.

28. Un contribuable est redevable de l’ISF au 1er janvier 2012 lorsque son patrimoine net
a une valeur supérieure à :

A. 800 000 €.
B. 1 300 000 €.
C. 1 500 000 €.
D. 3 000 000 €.

29. L’abattement ISF pour la valeur de la résidence principale est de :

A. 20 %.
B. 30 %.
C. 40 %.
D. 50 %.

30. En 2012, les associés non dirigeants de sociétés bénéficient d’une exonération partielle
de la valeur des biens professionnels à hauteur de :

A. 50 %, sans condition.
B. 50 %, sous condition de l’existence d’un engagement collectif de conservation d’une
durée minimale de 2 ans.
C. 75 %, sous condition de l’existence d’un engagement collectif de conservation d’une
durée minimale de 2 ans.
D. 75 %, sous condition de l’existence d’un engagement collectif de conservation
d’une durée minimale de 6 ans.

31. En l’absence de déclaration par le contribuable, l’administration peut poursuivre le


recouvrement de l’ISF pendant :

A. L’année de déclaration.
B. 3 ans à compter du 1er Janvier suivant le fait générateur.
C. 6 ans à compter du 1er Janvier suivant le fait générateur.
D. 10 ans à compter du 1er Janvier suivant le fait générateur.

32. La souscription d’un FIP ISF permet d’obtenir en 2012 une réduction d’ISF de :

A. 50 % de la somme versée dans la limite de 50 000 €.


B. 75 % de la somme versée dans la limite de 10 000 €.
C. 50 % de la somme versée dans la limite de 18 000 €.
D. 50 % de la somme versée dans limite de 20 000 €.
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33. Que comprend la valeur nette taxable à l'ISF ?

A. Tous les biens situés en France et à l'étranger.


B. Tous les biens situés en France et à l'étranger à l'exclusion des biens exonérés.
C. Seulement les biens situés en France.
D. Tous les biens situés en France à l'exception des biens exonérés.

34. Dans le cadre de l’ISF, l’indemnité liée à un dommage corporel :

A. N'est pas à déclarer.


B. Est à déclarer en totalité.
C. Bénéficie d’un abattement en fonction de l'âge du contribuable.
D. Bénéficie d’un abattement de 75 %.

35. Au titre de l’ISF, quelle est la valeur à retenir d'un bon de capitalisation ?

A. La valeur nominale + les intérêts garantis.


B. La valeur nominale.
C. La valeur de rachat au 1er janvier.
D. La valeur de rachat au 15 juin.

36. Dans quelle condition est-on exonéré de la taxe d’habitation ?

A. Etre occupant du logement au 1er janvier de l’année d’imposition.


B. Etre occupant du logement à compter du 2 janvier de l’année d’imposition.
C. Si la vente du logement a lieu au cours du moins de janvier de l’année d’imposition.
D. Si le logement est occupé moins de 6 mois au cours de l’année d’imposition.

37. Votre client vend en 2012 une maison qu’il a fait construire en 2004. Quels seront les
droits qu’acquittera son acquéreur :

A. Aucun, s’agissant de l’acquisition de sa résidence principale.


B. La TVA, la maison étant achevée depuis moins de 10 ans.
C. Les droits d’enregistrement au taux de 5,09 %.
D. Les droits d’enregistrement au taux de 7,50 %.

38. Les promesses unilatérales de vente de biens ou droits immobiliers (code civil, art.
1589-2), rédigées par actes sous seings privés, doivent être enregistrées dans un délai
de :

A. 10 jours.
B. Un mois (délai général).
C. 15 jours.
D. Il n'y a pas d'obligation d'enregistrement.

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39. La TVA porte sur les livraisons d'immeubles achevés depuis moins de :

A. 4 ans.
B. 5 ans.
C. 6 ans.
D. 10 ans.

40. En 2012, les licitations et cessions de droits successifs sont assujettis à un droit de :

A. 1,10 %.
B. 1,80 %.
C. 2,50 %.
D. 3,50 %.

41. Le propriétaire qui a mis en location un logement :

A. Est redevable de la taxe foncière et est solidaire du paiement de la taxe


d'habitation en cas de défaillance du locataire.
B. Est redevable au titre de ce logement seulement de la taxe foncière.
C. N’est redevable au titre de ce logement ni de la taxe foncière, ni de la taxe d'habitation.
D. Est redevable au titre de ce logement de la taxe d'habitation mais pas de la taxe foncière.

42. A ce jour, quels sont les taux d’imposition et de prélèvements sociaux applicables aux
plus-values immobilières des particuliers ?

A. 16 % + 13,5 %.
B. 18 % + 13,5 %.
C. 19 % + 13,5 %.
D. 19 % + 15,5 %.

43. En cas de clôture d’un PEA moins de 2 ans après son ouverture, les produits sont
taxables à hauteur de :

A. 19 % + prélèvements sociaux.
B. 18 % + prélèvements sociaux.
C. 22,5 % + prélèvements sociaux.
D. Exonérés si la cession est inférieure à 25 830 €.

44. Sont exonérées d’imposition au titre des plus-values, les cessions de valeurs
mobilières lorsque:

A. Elles sont réalisées au sein d’un PEA plus de 2 ans après son ouverture.
B. Elles sont réalisées au sein d’un PERCO.
C. Le montant total est inférieur à un seuil annuel de cession.
D. Elles sont détenues depuis plus de 8 ans.

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45. A ce jour, les plus-values sur cessions de valeurs mobilières détenues dans un PEA
réalisées après 8 ans :

A. Sont totalement exonérées d’imposition et de prélèvements sociaux.


B. Sont taxables à 19% plus prélèvements sociaux de 15,50 %.
C. Sont taxables au barème progressif de l’impôt plus prélèvements sociaux de 15,50 %.
D. Ne supportent que les prélèvements sociaux de 15,50 %.

46. Les moins-values sur cessions de valeurs mobilières peuvent être imputées sur des
plus-values de même nature sur :

A. Une durée de 2 ans.


B. Une durée de 5 ans.
C. Une durée de 10 ans.
D. L’exercice en cours uniquement.

47. A ce jour, les plus-values sur cessions de valeurs mobilières sont imposables :

A. Au taux de 19 %.
B. Au taux de 21 %.
C. Au taux de 24 %.
D. Au barème progressif de l’impôt sur le revenu uniquement.

48. Sont exonérés de taxation au titre des plus-values immobilières des particuliers :

A. Les apports en société d’un immeuble.


B. La cession de la première résidence secondaire.
C. La cession de l’usufruit d’un immeuble, quelle que soit sa date de détention.
D. Les partages de successions même s’ils interviennent avec une soulte.

49. La vente d’un bien immobilier hors résidence principale est totalement exonérée
d’impôt sur la plus-value lorsque le bien est détenu depuis au moins:

A. 15 ans.
B. 20 ans.
C. 22 ans.
D. 30 ans.

50. Pour les cessions de valeurs mobilières cotées ou non cotées réalisées à compter du 1er
janvier 2011, le nouveau régime d'imposition des plus-values à l'impôt sur le revenu
prévoit :

A. Un taux de 19 % (hors prélèvements sociaux) au-delà d'un seuil de cession de 25 860 €.


B. Un taux de 18 % (hors prélèvements sociaux) au-delà d'un seuil de cession de 25 860 €.
C. Un taux de 24 % (hors prélèvements sociaux) dès le premier € au-delà d'un seuil de
cession de 25 860 €.
D. Un taux de 19 % (hors prélèvements sociaux) dès le premier €.

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51. Les dépenses de construction, de reconstruction, d'agrandissement ou d'amélioration
majorent le prix d'acquisition retenu pour le calcul des plus-values immobilières :

A. Lorsqu’elles n'ont pas été déjà prises en compte pour la détermination de l'impôt
sur le revenu et qu'elles ne présentent pas le caractère de dépenses locatives.
B. Même si elles n'ont pas été déjà prises en compte pour la détermination de l'impôt sur le
revenu et présentent le caractère de dépenses locatives.
C. Lorsqu’elles n'ont pas été déjà prises en compte pour la détermination de l'impôt sur le
revenu même si elles présentent le caractère de dépenses locatives.
D. Même si elles n'ont pas été déjà prises en compte pour la détermination de l'impôt sur le
revenu à condition de ne pas présenter le caractère de dépenses locatives.

52. A compter du 1er juillet 2012, le rappel fiscal pour les donations reçues s’effectue dans
un délai inférieur à :

A. 6 ans à compter du décès.


B. 10 ans à compter du décès.
C. 15 ans à compter du décès.
D. 16 ans à compter du décès.

53. Il faut exclure pour la détermination du passif déductible de la succession:

A. La caution personnelle consentie par le défunt.


B. La créance de restitution résultant du quasi-usufruit dont a bénéficié le défunt.
C. Les impôts et taxes dues par le défunt.
D. Les loyers que la succession rembourse au conjoint survivant si ce dernier opte pour le
droit temporaire de la résidence principale.

54. Quel est l’abattement applicable aux donations et successions en ligne directe, au 1er
septembre 2012 ?

A. 7 800 €.
B. 15 000 €.
C. 100 000 €.
D. 159 325 €.

55. Quel est l’abattement applicable aux donations consenties en ligne directe à un enfant
handicapé ?

A. 100 000 €.
B. 120 000 €.
C. 159 325 €.
D. 259 325 €.

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56. La transmission des monuments historiques est exonérée des droits de succession:

A. Si le propriétaire en fait don à ses enfants.


B. Sans condition.
C. Si les héritiers concluent une convention d'une durée minimale de 10 ans après le décès
et autorisant la visite du public.
D. Si les héritiers concluent une convention à durée indéterminée autorisant la visite
du public.

57. Quel est la valeur de l’usufruit détenu par une personne âgé de moins de 61 ans ?

A. 30 %
B. 40 %
C. 50 %
D. 60 %

58. Pour évaluer les biens lors d’une succession, on retient :

A. La valeur comptable des titres de PME.


B. La valeur d’assurance des biens immobiliers.
C. la valeur au 1er janvier de l'année des titres cotés.
D. La valeur vénale des biens.

59. Quels sont les critères de valeur à retenir pour inscrire une rente viagère dans l’actif
successoral ?

A. L’âge des héritiers.


B. L’âge du défunt.
C. On peut évaluer la capitalisation correspondante en appliquant les barèmes des
services fiscaux, si la rente est réversible.
D. Aucun, puisque la rente viagère n’est pas retenue dans l’actif successoral.

60. Dans le cadre des dons familiaux de sommes d’argent, quel est le montant exonéré de
droits ?

A. 1 865 €.
B. 3 865 €.
C. 31 865 €.
D. 61 865 €.

61. Dans quel délai suivant le décès une déclaration de succession détaillée et signée doit
être déposée à la recette des impôts du défunt ?

A. 3 mois.
B. 6 mois.
C. 9 mois.
D. 1 an.

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62. Lequel de ces actes ne génère pas le paiement d’une imposition sur la plus-value
professionnelle ?

A. La vente d’un élément d’actif immobilisé.


B. L’échange d’un élément d’actif immobilisé.
C. L’apport d’un élément d’actif immobilisé.
D. L’inscription d’une plus-value latente sur un poste du bilan.

63. Le taux de taxation des bénéfices dans le cadre de l’Impôt sur les Sociétés (IS) est :

A. De 33,33 % au-delà de 38 120 €.


B. De 33,33 % à compter du premier €.
C. De 33,33 % jusqu’à 38 120 €.
D. De 15 % à compter du premier €.

64. Les associés d’une « SARL de Famille » sont soumis :

A. De plein droit au régime des BIC.


B. Sur option au régime des BIC.
C. De plein droit au régime des BNC.
D. Sur option au régime des BNC.

65. Détenant les titres de son entreprise depuis plus de 12 ans, un dirigeant fera valoir ses
droits à la retraite d’ici 2 ans. La plus-value de cession de ses titres sera :

A. Taxée car le dirigeant doit continuer à exercer au moins 5 ans dans l’entreprise après la
cession.
B. Exonérée car il va profiter du dispositif lié à la durée de détention des titres et de
son départ à la retraite.
C. Taxée dans tous les cas.
D. Exonérée si la cession intervient un an au maximum après son départ à la retraite.

66. Dans une Société Civile transparente fiscalement, les associés peuvent :

A. Etre des personnes physiques exclusivement, l’imposition se faisant pour chacun à l’IR.
B. Etre des personnes physiques ou des entrepreneurs individuels uniquement.
C. Opter pour l’IR ou l’IS.
D. N’opter que pour l’IR.

67. En cas de cession d’immeuble dans une Société Civile redevable de l’IS quel est le
traitement fiscal de la plus-value ?

A. Elle est imposée à l’IS.


B. Elle est imposée au taux de 19 %.
C. Elle est exonérée car seuls les dividendes sont imposables.
D. Elle est imposée au taux de 33 %.

13
68. Quels sont les deux taux d'imposition des bénéfices d'une société redevable de l'IS ?

A. 15 % et 33,1/3 %.
B. 18 % et 32 %.
C. 12 % et 25 %.
D. 15 % et 45 %.

69. Comment est taxée la cession d’un fonds de commerce pour l’acheteur ?

A. La plus-value est toujours considérée comme un revenu exceptionnel et imposée


comme tel.
B. La plus-value est exonérée si l'élément d'actif n'est pas un élément déterminant du
fonds de commerce.
C. La plus-value est exonérée si le bien vendu est détenu depuis plus de 15 ans.
D. La plus-value est totalement exonérée si le chiffre d’affaires annuel est inférieur à
250 000 €.

70. Comment est aujourd’hui taxée la plus-value réalisée lors de la vente d'une société de
capitaux pour les actionnaires personnes physiques ?

A. 16 % + prélèvements sociaux.
B. 19 % + prélèvements sociaux.
C. 21 % + prélèvements sociaux.
D. 33 1/3 % + prélèvements sociaux.

14
30 questions à réponses multiples s

Il peut y avoir 2, 3, 4 ou 5 bonnes réponses parmi les cinq proposées.


La totalité des bonnes réponses est nécessaire pour obtenir le point
attribué à la question.
ENTOUREZ LES LETTRES CORRESPONDANT AUX RÉPONSES DE VOTRE CHOIX

71. Dans quelles conditions une personne est considérée comme ayant une résidence
fiscale en France ?

A. Si elle a en France son foyer ou son lieu de séjour principal.


B. Si elle a en France le centre de ses intérêts vitaux.
C. Si elle possède une résidence secondaire en France.
D. Si elle réside en France au minimum 150 jours par an.
E. Si elle exerce en France une activité professionnelle.

72. Dans quelles circonstances un couple, marié sous le régime de la séparation de biens,
doit-il établir une déclaration séparée de ses revenus ?

A. Lorsque les époux sont séparés et qu’ils ne vivent pas sous le même toit.
B. Lorsque l’un d’entre eux a, au cours de l’année d’imposition, exercé son activité
professionnelle quelques mois à l’étranger.
C. Lorsque les époux ont été autorisés à vivre séparément.
D. Lorsqu’en cas d’abandon du domicile conjugal par l’un ou l’autre des époux,
chacun dispose de revenus distincts.
E. Lorsque les époux sont séparés de corps et de biens et vivent néanmoins sous le même
toit.

73. Quels sont les revenus imposables dans la catégorie des salaires ?

A. Les rémunérations des gérants et associés.


B. Les prestations familiales.
C. Les indemnités journalières versées par les caisses d’assurance maladie.
D. L’indemnité de départ volontaire à la retraite.
E. Les indemnités journalières versées en cas d’accident de travail à concurrence de
50 %.

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74. Quelles sont les bonnes affirmations concernant le régime micro-foncier ?

A. Ce régime est réservé aux contribuables ayant perçu moins de 15 000 € de loyers
bruts en 2011.
B. Le seuil des revenus fonciers bruts s’apprécie après déduction des dépenses éventuelles
de travaux.
C. Ce régime s’applique aux contribuables ayant perçu moins de 15 000 € de loyers bruts
pour un ou des immeubles relevant du dispositif Malraux.
D. Le contribuable bénéficie d’un abattement forfaitaire de 30 %.
E. Le contribuable peut opter pour le régime réel même si les loyers bruts sont
inférieurs à 15 000 €.

75. Quelles sont les charges déductibles du revenu global ?

A. Les frais d’accueil d’une personne de plus de 75 ans sous le toit du contribuable.
B. Les sommes souscrites dans le cadre d’acquisition des parts de FCPI ou FIP.
C. La part déductible de la CSG calculée sur les revenus de l’année précédente.
D. La ou les pension(s) alimentaire(s) versée(s).
E. La souscription au capital d’une PME.

76. Quels sont les revenus exclus de la catégorie des Bénéfices Non Commerciaux
(BNC) ?

A. Les revenus d’activités artistiques.


B. Les honoraires des Architectes.
C. Les revenus de location meublée non professionnelle.
D. Les honoraires des médecins.
E. Les revenus d’activités de préparation et d’entraînement des équidés.

77. Quelles sont les charges déductibles des revenus fonciers ?

A. Les intérêts d’emprunts.


B. Les travaux d’amélioration.
C. Les travaux de reconstruction.
D. Les frais de gestion du logement.
E. Les frais d’assurance locative.

78. Quelle est la fiscalité applicable au versement d’une prestation compensatoire au titre de l’ISF ?

A. La valeur capitalisée de la prestation compensatoire versée sous forme de rente


n’a pas à être déclarée par le crédirentier.
B. La valeur capitalisée de la rente issue d’une prestation compensatoire n’étant pas
soumise à l’ISF du crédirentier, le débirentier ne peut de ce fait la déduire.
C. La valeur capitalisée de la rente issue d’une prestation compensatoire versée sous forme
de rente doit être déclarée par le crédirentier.
D. La valeur capitalisée de la rente issue d’une prestation compensatoire peut être
déduite au titre du passif de la déclaration du débirentier.
E. La valeur résiduelle de la rente étant programmée dans le patrimoine du débirentier,
cette dernière reste imposable et ne peut être déduite.

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79. Le déficit foncier est imputable sur le revenu global :

A. A l’exception des intérêts d’emprunt qui excèdent le montant des recettes de


l’année.
B. Dans la limite de 10 700 € par an.
C. Jusqu’à 13 000 € en cas d’amortissement Périssol.
D. A condition de maintenir l’affectation de l’immeuble pendant au moins 3 ans à la
location jusqu’au 31 décembre de la 3ème année qui suit l'imputation du déficit sur
le revenu global.
E. A l’exception des travaux de reconstruction.

80. Quelles sont les obligations à respecter pour bénéficier de la réduction d’impôt du
dispositif Scellier ?

A. La location doit prendre effet dans les 12 mois qui suivent l’acquisition ou
l’achèvement de la construction.
B. Le propriétaire doit acquérir un logement en France métropolitaine uniquement.
C. Le logement doit être affecté à la résidence principale.
D. Le loyer doit respecter le prix plafond au m² fixé en fonction de zones
géographiques.
E. Le propriétaire doit s’engager à louer le logement pendant 9 ans.

81. Quelles sont les conditions cumulatives requises pour bénéficier du statut de Loueur
Meublé Professionnel (LMP) :

A. Un membre du foyer fiscal au moins doit être inscrit au registre du commerce et


des sociétés en qualité de loueur professionnel.
B. Les recettes annuelles retirées de cette activité par l’ensemble des membres du
foyer doivent excéder 23 000 € TTC.
C. Ces recettes doivent excéder les revenus du foyer soumis à l’impôt sur le revenu dans
les catégories traitements et salaires.
D. Ces recettes doivent excéder les revenus du foyer soumis à l’impôt sur le revenu
dans les catégories traitements et salaires, bénéfices agricoles, bénéfices industriels
et commerciaux et bénéfices non commerciaux.
E. Les recettes annuelles retirées de cette activité par l’ensemble des membres du foyer
doivent excéder 50 000 € TTC.

82. Permettent de bénéficier de la réduction d’impôt Censi-Bouvard les acquisitions


réalisées :

A. Dans une résidence de tourisme classée.


B. Dans une résidence de tourisme en zones de revitalisation rurale (ZRR).
C. Dans une résidence étudiants.
D. Dans des locaux professionnels équipés.
E. Dans un établissement d’hébergement des personnes âgées dépendantes (EHPAD).

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83. Parmi les biens suivants, lesquels sont exonérés d’ISF ?

A. Les droits de propriétés littéraire et artistique détenus par leur auteur.


B. La valeur de capitalisation des rentes en réparation de dommages matériels.
C. La valeur de capitalisation des rentes viagères constituées dans le cadre d’un PERP dès
lors que le souscripteur a versé des cotisations régulières pendant plus de 10 ans.
D. Les parts de SELARL détenues dans le cadre de son activité professionnelle par
une personne exerçant « en libéral ».
E. Les parts de la SCI de celui qui, exerçant en libéral, loue les locaux à la SELARL
dont il est associé.

84. Sont partiellement exonérés d’ISF :

A. Les monuments historiques.


B. Les bois et forêts et parts de groupements forestiers.
C. Les biens ruraux loués par bail rural à long terme.
D. Les biens immobiliers achetés sous le régime de la loi Malraux.
E. Les parts et actions de sociétés faisant l’objet d’un engagement de conservation.

85. Qu'est-ce qu'un foyer fiscal ISF ?

A. Les couples pacsés.


B. Des époux, quel que soit leur régime matrimonial.
C. Les concubins.
D. Les époux mariés sous un régime de communauté uniquement.
E. Les conjoints et les enfants mineurs.

86. Sont susceptibles d’être assujettis de l'ISF ?

A. Les personnes physiques domiciliées en France quelle que soit leur nationalité.
B. Les personnes détenant des biens en France et hors de France.
C. Les non-résidents détenant des biens en France.
D. Les français domiciliés en France ne détenant que des biens situés à l’étranger.
E. Les personnes morales.

87. Relèvent du régime des plus-values immobilières des particuliers :

A. Les ventes d’immeubles.


B. Les partages issus de communautés successorale et conjugale.
C. Les apports en sociétés d’immeubles ou de biens immobiliers.
D. Les ventes d’immeubles ou biens immobiliers par une SCI relevant de l’impôt sur
le revenu.
E. Les ventes d’immeubles ou biens immobiliers relevant d’une SCI soumise à l’IS.

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88. Sont exonérées de plus-values au titre des cessions de valeurs mobilières les
opérations suivantes :

A. Les cessions liées aux rachats de parts de fonds communs de placement à risques.
B. Les profits sur titres cédés dans le cadre de leur gestion par les fonds communs de
placement.
C. Les titres détenus depuis trente ans.
D. Les cessions de parts de sociétés par actions simplifiées européennes détenues sous
pacte d'actionnaires.
E. Les échanges de parts ou d'actions avec soulte.

89. Lorsqu’il s’agit d’une succession comportant majoritairement des actifs immobiliers
ou des parts ou actions de sociétés non cotées :

A. Le paiement des droits peut être effectué dans les 6 mois qui suivent le décès.
B. Les héritiers peuvent choisir de payer les droits dans les 10 ans, avec un taux d’intérêt
aujourd’hui de 0,7%, dans tous les cas.
C. Les héritiers directs peuvent choisir de payer les droits dans les 10 ans avec un
taux d’intérêt aujourd’hui de 0,7%.
D. Lorsqu’il s’agit d’héritiers non directs, le paiement des droits immédiat est obligatoire.
E. Les droits sont à acquitter dans un délai d’un an à compter du décès.

90. L’enfant qui a notamment reçu une donation de somme d’argent de 30 000 € d’un
de ses parents doit rapporter à la succession :

A. Sur le plan fiscal, toutes les donations qu’il a reçues.


B. Sur le plan fiscal, toutes les donations reçues sauf le don de somme d’argent.
C. Sur le plan civil, toutes les donations reçues sauf le don de somme d’argent.
D. Sur le plan civil, toutes les donations reçues sauf celle faite hors part successorale.
E. Sur le plan civil, toutes les donations.

91. Quelles sont les caractéristiques d'une donation-partage ?

A. Les droits de succession peuvent être payés par le donateur.


B. Généralement, elle n'est pas rapportable à la succession.
C. Elle peut concerner les salariés de son entreprise.
D. Elle doit être égalitaire entre les personnes.
E. Les biens communs donnés avec le consentement du conjoint aux enfants non communs
sont soumis au droit applicable en ligne directe.

92. Ne sont jamais déductibles du passif successoral :

A. Les dettes échues depuis plus de six mois avant l'ouverture de la succession.
B. Les dettes échues depuis moins de trois mois avant l'ouverture de la succession.
C. Les dettes garanties par une inscription hypothécaire devenue sans objet depuis plus de
six mois lors de l'ouverture de la succession.
D. Les dettes fiscales.
E. Les engagements de caution.

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93. Les bénéfices dégagés par une EURL sont :

A. Uniquement soumis à l'impôt sur le revenu.


B. Soumis à l'impôt sur le revenu avec option possible à l'impôt sur les sociétés.
C. Uniquement soumis à l'impôt sur les sociétés.
D. Relèvent selon l’activité exercée des régimes BIC, BA ou BNC.
E. Ne relèvent que des BIC, quelle que soit l’activité.

94. A quel moment un don manuel devient-il taxable ?

A. En reconnaissance judiciaire du don ou lors d'un contrôle.


B. Jamais.
C. Sur dénonciation des héritiers.
D. Lorsqu’il est révélé lors d'un contrôle.
E. Lorsqu’il est déclaré à l'administration fiscale.

95. Quel est le régime d’imposition des plus-values nettes à court terme dans une
entreprise commerciale ?

A. Intégration de la plus-value nette dans le BIC et imposition au barème.


B. Intégration de la plus-value nette dans le BNC et imposition au barème.
C. Sur option : Prélèvement forfaitaire libératoire spécifique aux plus-values professionnelles.
D. Sur option : Etalement sur 3 ans de l’impôt sur la plus-value.
E. Sur option : Etalement sur 5 ans de l’impôt sur la plus-value.

96. Parmi les types de sociétés suivantes lesquelles peuvent opter pour l'IR ?

A. SCI en général.
B. SIIC (Sociétés d'Investissement Immobilier Cotées).
C. Certaines SAS.
D. SARL de famille.
E. Toutes les SAS et les SASU.

97. Quelles sont les conditions à respecter pour que le dirigeant d'entreprise qui part à
la retraite soit exonéré d’impôt sur les plus-values générées par la cession de son
entreprise :

A. Activité de direction exercée plus de 5 ans par le cédant.


B. Départ en retraite dans les 2 ans avant ou après la cession.
C. Cessation de toute activité au sein de l’entreprise.
D. Cession portant sur plus de 80% des droits de vote.
E. En cas de cession à une autre société, le cédant ne doit pas y être associé au cours
des 3 années suivant la cession.

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98. Quel est le taux normal de droit d'enregistrement pour l’acquéreur de droits
sociaux ?

A. 3 % avec un abattement pour les parts sociales.


B. 0,1 % pour les actions cotées dont la cession est constatée dans un acte.
C. 0 % pour les actions dans le cas général.
D. 0,1 % pour les actions non cotées ou les parts sociales.
E. 5,09 % pour les parts sociales dans le cas général.

99. Quelles sont les personnes morales qui sont en principe passibles de l’IS ?

A. Les SA.
B. Les SAS.
C. Les SARL.
D. Les sociétés en commandite par actions.
E. Les sociétés civiles en général.

100. Quel est l’intérêt d’adhérer à un centre de gestion agréé ?

A. La base imposable des revenus n’est pas majorée.


B. Le délai de reprise de l’administration fiscale est ramené à 2 ans.
C. On peut déduire du revenu imposable des frais de comptabilité plafonnés.
D. On doit diviser le chiffre d'affaires HT par 1,25 pour obtenir le revenu imposable.
E. Le contribuable bénéficie d’une réduction d’impôt supplémentaire de 250 000 €.

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