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Détermination du résultat fiscal

Réintégrations :
 Charges non déductibles :
1. Charges relatives aux établissements situés à l’étranger (lorsque leurs bénéfices ne sont pas
imposables en Tunisie)
2. QP des frais généraux : (FG * CA de l’exploitation situé à l’étranger) / CA total

3. Charges et amortissements relatifs aux résidences secondaires, avions et bateaux de plaisance


ne faisant pas l’objet de l’exploitation
4. Charges relatives aux voitures de tourisme d’une puissance fiscale supérieure à 9 CV ne
faisant pas l’objet de l’exploitation : loyer, entretien, carburant, vignette, amortissement et
fournitures (Exception : en conséquence tout le reste est déductible : prime d’assurance et
frais financiers)
5. Cadeaux et frais de réception excédentaires par rapport aux limites suivantes :
o 1% CA TTC sans dépassé 20 000 D
Exception (non inclus) : cadeaux revêtant le caractère promotionnel (non vendables)

6. Les charges non déclarées dans la déclaration de l’employeur (condition de forme):


o Les commissions et courtages
o Ristournes commerciales ou non commerciales
o Rémunérations payées aux salariés et aux non-salariés en contrepartie d’un travail
occasionnel ou accidentel en dehors de leur activité principale (vacations)
o Primes de performance
o Honoraires
o Rémunérations et gratifications accordées aux membres des conseils, des comités et
des directoires constitués au sein des SA et SC/A (jetons de présence et rémunérations
assimilées :
7. Dons et subventions excédentaires ou non déductibles (condition : joindre un état détaillé à
la déclaration annuelle d’impôt)
Limites de déduction :
 Totalement déductible dans les cas suivants :
- D&S alloués aux associations qui s’occupent des handicapés
- D&S alloués à l’Etat, les Ets publiques et les collectivités locales
- D&S alloués aux familles des martyrs de la nation de l’armée , des forces de
sécurité intérieure et des douanes.
- Les mécénats accordés aux entreprises, projets, et œuvres à caractère culturel
ayant obtenu l’approbation du ministère chargé de la culture

 Dans la limite de 0,2% du CA TTC : D&S alloués à des œuvres ou organismes


d’intérêt général, à caractère philanthropique, éducatif, scientifique, social ou culturel

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 Dans la limite de 150'000 D par an : les mécénats affectés à la création et à
l’entretien des espaces verts et des parcs familiaux dans le cadre de conventions
conclues à cet effet avec le ministère chargé de l’environnement ou le ministère
chargé de l’équipement et l’habitat

8. Charges payées aux Eses résidents dans les pays à fiscalité privilégié

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9. Abandon de créances non déductibles
Régime fiscal de l’abandon de créances :

 Au niveau de celui qui abandonne :


o Principe : la perte résultant de l’abandon d’une créance n’est pas déductible( la moins
value doit étre réintégrer)
o Exceptions :
1. Abandon des créances dont le nominal ne dépasse pas 100 D/client :la perte
résultante de l’abandon de la créance est déductible si les conditions suivantes
sont remplies:
• Echéance remonte à plus d’un an
• L’Ese doit cesser toute relation d’affaire avec le client défaillant
• L’Ese doit joindre à la déclaration annuelle d’impôt un état nominatif
des débiteurs et du montant de la créance
NB 1 : Pour les banques la déduction peut atteindre 500 D/client (ple+int)
NB2 : la cessation de relation d’affaires ne s’applique pas aux sociétés opérent avec le public
(steg, transport public, télécommunication)
NB3 : tout montants recouvrer doit faire partie des résultats imposables de l’exercice de
recouvrement
2. Abandon des créances au profit des Ese en difficultés économiques
 Abondon des créances au profit des Ese en difficultés économiques dans le cadre de la
loi relative au PC de 2016 est déductible que lorsque l’abandon a eu lieu dans le cadre de
procédure amiable .
 Pour les Eses autres que les étab financiers : la déduction ne peut avoir lieu que si :
- L’Ese qui a abandonné ainsi que l’Ese qui à bénéficier de l’abandon sont
soumises légalement à l’audit d’un CAC et tous les comptes de tous les exercices
non prescrits sont certifiés sans réserves touchant l’impôt
 Dans tout les cas , un état détaillé doit être joint à la déclaration de l’impôt
comportant l’identité des bénéficiaires, le montant des créances abandonnées et la
référence de l’arrêt ou du jugement en vertu duquel a eu lieu l’abandon
NB 4 : En cas de renonciation à l’abandon , tout montants déduits recouvrement, doivent etre
réintégrées dans l’assiette imposable de l’exercice au cours du quel a eu lieu la renonciation.

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 Au niveau du bénéficiaire de l’abandon :
o Principe : le profit résultant de l’abandon de créance est un produit exceptionnel qui fait partie
du résultat comptable et du résultat fiscal
o Exception : le profit résultant de l’abandon de créance peut échapper à l’impot dans 2
cas :
1. Ese bénéficie des avantages fiscaux (Agricole, ZDR , Export jusqu’à 2020)
2. Ese en DE , si elle utilise ce profit exceptionnel pour appurer ses pertes qui ne
sont plus déductible fiscalement car ils ont dépassé 5 ans mais sans dépasser les
10 ans .

10. Pertes de change non réalisées


11. Gains de change non réalisés antérieurement non imposés (comptabilisés durant les
exercices antérieurs et réalisés durant l’exercice en cours)

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12. Comptes Courants Associés :
La charge financière comptabilisé par les sté au titre des sommes emprunter auprés des
associés
 si le capital n’a pas totalement libéré , les charges ne sont pas déductible
Conditions :  Si le capital est totalement libéré , la déduction ne doit pas excédé des Intérêts
décomptés au taux de 8 % sur 50% du K

faits attention au augmentation ou réduction du K au cours de l’année (voir exemple L.H)


Démarche : 1/charge comptabilisé – 2/ charge fiscalement admis
Exception : Les banques ne sont pas soumis au dite règle : Sté emprunte auprès d’un associés
(=banque) : Les intérêts sont déductibles même si les conditions ne sont pas remplis.
13. Titres participatifs : j’accepte la déduction du charge dans la limite de 8% de la valeur
nominale des titres.

Obligations : pas de taux fixe (on peut accepté 9.10..%)

14. Charges payés en espèces : 5 000 D HT (jusqu’à 2022 )


 A partir de 2023 : les charges payés en espéces pour un montant supérieur à 5 000 D
HT sont déductibles (Amende 20% sur les aquisitions fait en espéce supérieur à 5 000
) voir LF 2023

15. Moins-value réalisée suite à la cession d’actions SICAV ou de parts dans un FCP n’est pas
déductible dans la limite des dividendes réalisés (voir exemple L.H)
16. Taxe de voyage
17. Impôts directs supportés aux lieu et place d’autrui
18. Transactions, amendes, confiscations et pénalités non déductibles (payés en contrepartie
d’une infraction à la législation en vigueur). Les pénalités contractuelles sont déductibles
19. Dépenses excédentaires des opérations d’essaimage (limite déductible : 1% CA TTC avec
maximum de 30'000 D par projet)
1.  Amortissements :
Ils doivent porter sur des actifs inscrits au bilan, soumis à dépréciation  FC et terrains exclus
L’amortissement admis en déduction est celui fixé dans la limite des taux prévus par la législation en
vigueur pour les biens qui ne sont pas exploités en leasing et dans la période fixée par le même décret
pour les biens exploités en leasing.
Pour les biens exploités en leasing, la durée est fixée à 3 ans pour les matériels de transport, 4 ans pour
les autres matériels et 7 ans pour les immeubles.
NB : Amortissement comptabilisé > amortissement admis en déduction fiscalement  réintégration
des amortissements excédentaires et l’Ets peut continuer à déduire les amortissements
extracomptablement aux résultats fiscaux des années suivantes

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NB : pour les biens acquis en leasing : Amortissement comptabilisé < Amortissement admis en
déduction fiscalement  le différentiel peut être déduit extra-comptablement, et ce seulement lorsque
ces amortissements ont été enregistrés dans le livre d’inventaire et dans le tableau d’amortissement 
Provisions :
 Règle générale : les seules provisions déductibles sont :
o Provision pour créance douteuse o Provision pour dépréciation des stocks destinés à la
vente o Provision pour dépréciation des actions cotées en bourse  Conditions et
limites de déduction :
o Conditions spécifiques :
 Provisions pour créances douteuses : la déduction ne peut-être permise que si
une action en justice est entamée contre le client. Toutefois, la condition de
l’action en justice n’est pas exigée lorsque la créance :
• Concerne une Ets en difficulté économique régie par la loi des PCVE, et
ce, durant la période de suspension des procédures judiciaires (abrogée
par la nouvelle loi)
• Concerne une Ets publique (il faut que la personne ayant constaté la
provision soit une PM)
 Provision pour stock destiné à la vente (PF) : la provision ne doit pas dépasser
50% du prix de revient
o Conditions communes :
 La production d’un état détaillé des provisions à l’appui de la déclaration
annuelle
 Les provisions déduites ne doivent pas dépasser 50% du bénéfice imposable
(démarche : réintégration de toutes les provisions  correction du bénéfice
 détermination du bénéfice imposable  déduction dans la limite de 50%)  Règles
particulières :
o Les établissements de crédit (banques, leasing et factoring) : ces établissements de
crédit peuvent déduire totalement les provisions pour créances douteuses sans respect
de la condition de l’engagement d’une action en justice. La seule condition est que les
provisions soient constituées conformément à la réglementation de la BCT.
Du fait que ces provisions sont totalement déductibles, leur déduction peut entrainer un
déficit
Par ailleurs, ces établissements ont le droit de déduire une provision collective pour
couvrir les risques des engagements courants sans que les montants des provisions
déductibles ne dépassent 1% des engagements courants mentionnés dans les notes aux EF
et certifiés par les CAC o Les compagnies d’assurance : les provisions techniques
constatées par les assurances conformément à la réglementation des assurances
o Les SICAR : du fait que l’objet des SICAR consiste à prendre des participations au
capital des sociétés, la législation fiscale lui permet de constituer et de déduire les
provisions constituées pour dépréciation des titres  Produits :

• Sommes mises à la disposition d’autrui : lorsque la société met une somme d’argent à la
disposition d’autrui, elle doit comptabiliser des intérêts à un taux qui ne doit pas être inférieur
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à 8%. Sachant que le taux de 8% ne concerne pas les sommes mises à la disposition des associés,
mais en pratique, l’administration fiscale l’utilise pour toutes les sommes mises à disposition
même pour les salariés
• Opérations de cession des éléments d’actif : les produits comptabilisés doivent tenir compte de
la JV de l’élément cédé  la +value sur cession d’éléments d’actif non comptabilisée ou
insuffisamment comptabilisée doit être réintégrée dans l’assiette imposable
Déductions :
• Produits réalisés par les établissements situés à l’étranger
• Reprise sur provisions réintégrées au résultat fiscal de l’année de leur constitution (provision
non déduite)
• Amortissements excédentaires réintégrés aux résultats des années antérieures
• Gains de change réintégrés aux résultats des années antérieures
• Gains de change non réalisés
• Perte de change antérieurement constatées
 Calcul du résultat fiscal avant déduction des provisions (base de calcul de la limite de 50%)
RF avant provisions (𝐑𝐅𝟏) = résultat comptable + réintégrations – déductions

Déduction des provisions provisoirement réintégrées dans la limite de 50% du bénéfice


 Résultat fiscal avant déduction des déficits et amortissements différés (𝐑𝐅𝟐)

• Réintégration des amortissements de l’exercice


• Déduction des déficits reportés
• Déduction des amortissements de l’exercice
• Déduction des amortissements différés
 Résultat fiscal après déduction des déficits et amortissements (𝐑𝐅𝟑) NB
: règle de déduction des reports déficitaires :
Le déficit enregistré au titre d’un exercice est imputable sur les résultats des 5 exercices suivants. Etant
précisé que :
- Le déficit doit être dégagé par une comptabilité
- Le déficit ne provient pas de la déduction de produits non imposables
- La déduction du déficit doit avoir lieu lors des premiers résultats bénéficiaires enregistrés après
le déficit
 En cas de réalisation d’un bénéfice et de non déduction de ces déficits  le déficit n’est plus
reportable et ce dans la limite du bénéfice réalisé
En vertu de la législation en vigueur, il est permis à l’entreprise de déduire les déficits antérieurs avant
la déduction des amortissements de l’exercice. Pour ce faire :

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Résultat fiscal Réintégration des Déduction des Déduction des Déduction des
après déduction amortissements reports amortissements amortissements
des provisions de l'exercice déficitaires de l'exercice différés

Dans le cas où le résultat enregistré après la déduction des déficits antérieurs ne permet pas la déduction
de l’amortissement de l’exercice, il sera considéré comme amortissement différé, lequel amortissement
est reportable indéfiniment à condition d’être porté dans les notes aux EF

Déduction des produits non soumis à l’impôt selon le droit commun :


 Gains exceptionnels et produits exceptionnels exonérés :
• Dividendes et assimilés distribués par des sociétés établies en Tunisie
• Plus-value de cession des actions dans le cadre d’une opération d’introduction en bourse
• Plus-value de cession des actions cotées à la BVMT lorsque la cession intervient après
l’expiration de l’année qui suit celle de leur acquisition
• Plus-value de cession des actions et des parts sociales réalisées par l’intermédiaire des SICAR
(totalement ou dans la limite de 50%)

• Plus-value de cession des parts des fonds d’amorçage


• Plus-value d’apport des éléments d’actif (autres que les valeurs et les marchandises faisant
l’objet de l’exploitation : stocks) dans le cadre d’une opération de fusion ou de scission totale
de sociétés, ou d’une opération d’apport des entreprises individuelles dans le capital d’une
société (au niveau de la société absorbée, scindée ou la société ayant fait l’apport)
NB : Considérations particulières o La déduction couvre la plus-value réalisée sur les fonds
de commerce non-inscrits au bilan (goodwill)
o Pour les éléments d’actif bénéficiaires d’une subvention, la déduction de la plus-value
entraine la non-imposition de la fraction de la subvention non encore rapportée à la base
d’imposition
o La plus-value réalisée sur les stocks peut être déduite dans le cas où la société absorbée
ou scindée bénéficie d’un avantage fiscal au titre des bénéfices provenant de
l’exploitation

• Plus-value provenant de l’apport d’actions ou de parts sociales au capital de la société mère ou


de la société holding dans le cadre des opérations de restructuration des entreprises ayant pour
objet l’introduction de la société mère ou de la société holding à la bourse (la société mère
s’engage de s’introduire en bourse au plus tard à la fin de l’année suivant celle de l’exonération
avec possibilité de prorogation dudit délai d’une seule année par décision du ministre des
finances sur la base d’un rapport motivé du CMF)
• Plus-value provenant de la cession des entreprises en difficultés économiques dans le cadre du
règlement judiciaire prévu par la loi relative au redressement des entreprises (condition :
présentation à l’appui de la déclaration annuelle de l’impôt de l’année de la déduction d’un état
des actifs cédés mentionnant les références de la décision de la cession, les références du JORT

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comportant publication de la décision de la cession, la VCN des actifs, la valeur de cession et
la +value/-value enregistrée)
• Intérêts des dépôts et de titres en devises ou en dinars convertibles
• 50% de la plus-value provenant de la cession des éléments de l'actif immobilisé matériel et
affectés à leur activité principale (LF 2019 : applicable aux opérations de cession entre
01/01/2019 et 31/12/2021)

Conditions de bénéfice de la déduction :


o L’opération de cession dudit actif a lieu après 5 ans de détention
o L’affectation de la totalité de ladite plus-value pour l'acquisition de matériel et
d'équipements destinés à l'exploitation
o L’affectation de la totalité de ladite plus-value dans un compte de réserve spéciale pour
l'investissement au passif du bilan avant l'expiration du délai de dépôt de la déclaration
définitive de l'impôt au titre des bénéfices de l'année de déduction
o La réalisation de l'investissement et l'incorporation de la réserve constituée au capital
au plus tard à la fin de la deuxième année suivant celle de la constitution de la réserve
o La non réduction du capital pendant une période de 5 ans suivant la date de
l'incorporation sauf en cas de réduction pour résorption des pertes
o La présentation, à l'appui de la déclaration annuelle de l'impôt de l'année au titre de
laquelle la déduction de la plus-value a eu lieu, d'une attestation de dépôt de déclaration
de l'investissement à réaliser et de l'engagement des bénéficiaires de la déduction de
réaliser l'investissement au plus tard à la fin de la deuxième année suivant celle de la
constitution de la réserve
• La plus-value provenant de la cession des titres relatifs aux participations dans les startups
 Bénéfices provenant de l’exploitation :
• Bénéfice de l’activité
• Gains exceptionnels :
o Plus-value de cession des éléments d’actif nécessaires à l’activité, à l’exception des FC
et des immeubles bâtis et non bâtis
o Les subventions : prime d’investissement, prime de mise à niveau, prime accordées
dans le cadre de l’encouragement à l’exportation
o Les gains de change provenant des ventes et des achats rattachés à l’activité principale
o Abandon de créance

 Résultat fiscal après déduction des bénéfices au titre de l’exploitation (𝐑𝐅𝟒)


 Déduction pour réinvestissement exonéré
 Réintégration de la plus-value de fusion : réintégration du cinquième de la plus-value (ayant
bénéficié de la déduction) de fusion, scission ou d’opérations d’apport pour l’absorbante ou la société
bénéficiaire de la scission ou de l’apport d’Ets individuelle (à partir de l’année de fusion/scission)

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 Résultat fiscal soumis à l’impôt selon le droit commun (𝐑𝐅𝟓)

 Résultat fiscal bénéficiant de l’avantage fiscal = Bénéfices provenant de l’exploitation


NB : La TVA réclamée par les services du contrôle fiscal dans le cadre d’une opération de vérification
fiscale est déductible de l’assiette de l’impôt à l’exception de la taxe facturée aux clients (pouvant
être récupérée) et la TVA relative aux charges et aux amortissements non admis en déduction

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