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Alors, aider l’apprenant à apprendre est un processus qui vise son autonomie
à l’apprentissage des leçons, aux exercices d’application en plus grand nombre. Il
est vrai que le maitre doit gérer sa classe et le contenu qu’il aborde sans imposer
une démarche, doit plutôt entrer dans la logique de l’élève pour le comprendre
en vue de l’aider à progresser par des orientations les plus indispensables.
Un certain nombre de rétro-pédagogues affirment que, les élèves ne sont là
pour construire mais pour apprendre ce qu’on leur demande de faire. Cette
opération effectuée par le maitre dans la classe pour permettre à l’élève de
construire son savoir, est ce qu’on appelle : pratique d’enseignement.
Elle se définit comme ce que l’on voit l’enseignant faire dans une salle de
classe lorsqu’il dispense les enseignements aux élèves. Dans un monde de
théoriciens la pratique est la mise en œuvre de la situation théorique dans une
activité donnée dans tous les secteurs du travail.
TUKANDA (2014, p.13), définit la pratique d’enseignement comme des
termes ayant traits plusieurs sens et peuvent signifier :
-institution qui englobe des activités et des organismes participant à l’éducation ;
-division correspondant à un niveau de l’organisation scolaire en matière
d’enseignement ;
-domaine d’activité des enseignants.
La pratique d’enseignement est perçue selon LEONTIE (1984), comme étant
ce que fait l’enseignant de manière rationnelle et consciente en fonction de la
poursuite d’un but, d’une orientation, d’un projet clairement identifié.
JONATHAN, d’après lui, perçoit la pratique d’enseignement comme
l’ensemble des déterminations didactiques et pédagogiques à l’œuvre dans
l’activité d’un enseignant.
D’après les perceptions des auteurs sur la pratique d’enseignement, on note
que : elle est intentionnelle, une orientation vers un projet, facilite entre
enseignants-enseignés à se connaitre, à échanger, à parcourir un itinéraire et à
réorganiser ses connaissances. Deux situations surviennent : didactique et
pédagogique.
a) Didactique : ici c’est la structuration de l’information. elle propose de
méthodes, procédés et des recettes pour la réussite d’une œuvre éducative.
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que possible pour évaluer si les élèves les auront atteint ou pas à l’issue de la
leçon.
On le formule à l’aide des mots tels que : au terme, à l’issue, à la fin de la
leçon, etc. suivi d’un verbe d’action.
A.1.1.4. Les méthodes et stratégies d’enseignement
Pour que le maitre transmette le message avec aisance se pose la question,
comme m’y prendrai-je pour enseigner correctement le sujet de ma leçon ? Ici
doivent intervenir l’esprit d’imagination et la technicité. Celles-ci se déterminent
en fonction des buts préalablement fixés.
Il faut aussi savoir déterminer les formes d’enseignement à chaque moment
d’une leçon : intuitive, éxpositive, interrogative et combinée. Ces différentes
formes doivent être bien harmonisées.
Au cas où les élèves sont confrontés dans une difficulté, le maitre cherche les
moyens pour les surmonter et les fournir des explications les plus adéquates
possibles en tenant compte de critères ci-après : âge, composition de la classe,
effectifs, moment de l’année et de la journée, etc.
A.1.1.5. Les matériels didactiques
Il importe à l’enseignant de déterminer les auxiliaires didactiques
indispensables pour concrétiser l’enseignement et l’apprentissage. En effet, chez
les jeunes les apprentissages se fondent sur le concret et le matériel intuitif. A
l’absence de ce dernier il est recommandé à l’enseignant de recourir au support
didactique en réfléchissant sur leurs appuis et prévoir la façon,
Le moment et l’opportunité de leur utilisation. Son rôle est de concrétiser
l’enseignement.
A.1.1.6. Les prérequis
L’enseignant, avant de parvenir le message aux élèves, se pose les questions
suivantes :
- que connaissent mes élèves avant cette leçon ?
- que doivent-ils absolument connaitre pour mieux assimiler cette leçon ?
- quels genres des questions faut-il les poser pour vérifier ces connaissances ?
- après ces questions de vérification, que dois-je faire pour introduire la
nouvelle leçon ?
- comment les élèves vont s’y prendre pour découvrir la nouvelle leçon ?
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- question rédigée
c) le management :
C’est l’ensemble des actes verbaux qui se réfèrent à l’organisation et au contrôle
de comportent des élèves et des taches d’apprentissage. Le management gère le
s problème de discipline, outil indispensable à la progression normale de la leçon.
Les principaux actes de management posés verbalement sont :
- maintien de la discipline : ordre et directive ;
- désignation des élèves ;
- répression de conduite indésirable ;
- contrôle des activités
d) le feedback :
C’est la réaction de l’enseignant face à la réponse d’un apprenant à une question
posée. L’enseignant informe que sa réponse est incorrecte. Toutefois, compte
tenu de la diversité et de la complexité, de la situation didactique, le feedback
peut être intermédiaire.
En effet, comme tout comportement appréciatif, le feedback évolue comme sur
un continuum en ligne droite en allant vers l’approbation totale de la réponse
(feedback positif), à la désapprobation catégorique (feedback négatif).
Entre les deux, il y a toute une série de réaction plus au moins nuancées compte
tenu des objectifs poursuivi ou de la qualité de la réponse donnée. La
classification de feedback distingue :
- feedback positif : réponse correcte ;
- feedback négatif : réponse incorrecte ;
- feedback encourageant : réponse approximative ;
- feedback neutre : absence d’appréciation ;
- feedback correctif : correction de la réponse ;
- feedback collectif : évaluation par classe ;
e)la réponse : c’est l’ensemble des actes des élèves qui se rapporte à leur
participation verbale aux activités d’interaction. Les élèves répondent à la
sollicitation de l’enseignant ou prennent des initiatives verbales.
Cette participation comporte les actes suivants :
- réponse correcte :
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- réponse incorrecte ;
- autres participations verbales.
F) Le questionnement :
Est l’une de principale fonction didactique de l’enseignant, car savoir poser des
questions pour découvrir les bonnes réponses est un don. Le tout premier
élément est de savoir comment poser de question. L’enseignant fait une étude
sur la nature de la question, leur niveau et leur formulation.
En posant une question, on doit s’attendre que les réponses reçues, le permettent
de passer à l’étape suivante de la question. Au cas contraire, il faut le reformuler,
le rédiger ou la répéter.
- C’est ainsi que l’on retrouvera :
a) Des questions initiales (du départ),
b) Des questions répétées,
c) Des questions reformulées (posée avec d’autres mots),
d) Des questions redirigées (orientées).
Il existe une démarche didactique efficace de questionnement.
- La question s’adresse à toute la classe :
a) L’assurance et la clarté : savoir ce qu’on veut obtenir des apprenants ;
b) La patience : attendre un temps après avoir posé le problème ;
c) L’équité : savoir apprécier la réponse de l’élève, savoir distribuer la
parole,
d) La promptitude : savoir trouver rapidement la stratégie de retraitement
des questions ;
e) L’esprit e synthèse : savoir reprendre les éléments essentiels de la
réponse ;
f) Le niveau des questions doit dépendre du niveau des connaissances des
élèves et de leurs aptitudes mentales ;
g) Tenir compte de verbe d’action dans la formulation de question,
h) Eviter des questions avec les verbes mentalistes : que savez- vous de, que
comprenez- vous par, etc.,
f) présentation.
L’enseignant pour bien débuter les enseignements, procède à la
question suivante : comment faire pour introduire avec aisance la leçon ?
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La réponse à cette question nous renvoie à l’analyse des plusieurs formes, qui
sont :
a) La forme éxpositive : ici le maitre présente aux élèves les informations
nécessaires sur le sujet de la leçon.
b) La forme d’orientation : ici l’enseignant peut commencer à donner des
directives pour faciliter la compréhension de la matière à développer.
c) La forme de définition : ici l’enseignant précise des termes simples, la
nature de la matière du sujet ou de la situation d’apprentissage.
d) La forme de confrontation : ici l’enseignant confie aux élèves l’occasion de
parler, de s’exprimer, chacun donne son point de vue sur le sujet qui fera
objet de l’apprentissage.
Au regard de toutes ces considérations, il se dégage deux manière de présenter
le sujet d’apprentissage :
a) La présentation éxpositive : ici l’enseignant aura à exposer
méthodiquement : d’abord avec des idées générales ; ensuite, les détails et
les particularités de ce sujet, soit à chercher un trait d’union les anciennes
notions apprises et les nouvelles à apprendre.
b) La présentation démonstrative : l’enseignant s’appuie sur des exemples ou
des expériences pour montre ou exposer les éléments du sujet à traiter.
Cette présentation cherche à convaincre les élèves sur le plan cognitif de la
pertinence du raisonnement ou des données présentées par l’enseignant.
g) l’explication : ici l’enseignant utilise un langage claire et simple, fait recourt
aux mots tels que : parce que, c’est pourquoi, en vue de, par conséquent,…., et
certaines structures «règle-exemples-règle » pour expliquer un concept.
Ce comportement interactif de l’enseignant est tout simplement une retro-
action. Celle-ci s’effectue entre l’enseignant et l’enseigné dans une situation
didactique. L’échange est un élément indispensable qui rend facile la
compréhension d’un problème ou d’une situation.
Les objectifs proposés sont :
- Des objectifs de savoir correspondant au contenu des programmes ;
- Des objectifs spécifiques,
- Des objectifs généraux ;
- Des moyens ou des buts à atteindre et non de véritables objectifs ;
- Objectif opérationnel ;
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14.La méthodologie ;
15. L’observation.
N.B. Ces rubriques doivent être respectées et interprétées dans un cahier prévu.
2.3. Préparation immédiate :
La préparation immédiate est celle qui se remplit à la veille. Elle détermine les
grandes parties, les formes, les directives, etc. elle compte deux sortes de
préparations, à savoir : la préparation succincte et la préparation détaillée.
a) La préparation succincte : communément appelé journal de classe. Ce
dernier se prépare à la veille. C’est un document administratif qui se remplit
tout le jour que les leçons seront dispensées. Elle contient plusieurs
rubriques, notamment :
1) Jour et date de traitement ;
2) Heure de traitement ;
3) Discipline ;
4) Classe ou le maitre réalise le traitement,
5) Sujet de l’interrogation ;
6) Sujet du jour ;
7) Matériel didactique ;
8) Objectif opérationnel,
9) Taches imposées ;
10) Numéro de la fiche ;
11) Observation.
b) préparation détaillée : communément appelé fiche de préparation. Ici
l’enseignant élabore une fiche de préparation détaillée en vue de structurer la
matière en donnant un schéma de résultat de sa synthèse d’une leçon. Ici c’est la
prise de décision sur les différents moments de la leçon. Elle contient deux
parties : administrative et pédagogique. La partie administrative comprend :
1) jour et date ;
2) heure ;
3) classe ;
4) discipline ;
5) sujet de la révision ;
6) sujet de la nouvelle leçon ;
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7) matériel didactique ;
8) objectif opérationnel ;
9) référence du livre ;
10)s leçon proprement dite.
La partie pédagogique comprend trois étapes ou activités :
1) Activités initiale ou introduction :
Révision ou prérequis
Motivation
Annonce du sujet
2) Activités principales ou corps de la leçon ou encore développement :
Analyse ;
Synthèse ;
3) Activités de fixation ou de contrôle :
Application ;
Autocritique ;
C’est de cette manière que se compose une fiche de préparation de leçon. Pour
vous épargner de beaucoup d’erreur, de tâtonnement et de confusion ; la leçon
doit être préparée en vue de la transmettre avec aisance.
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3.2. Opérationnalisation.
Notion
Un objectif opérationnel doit être au préalable et dans la mesure du possible
satisfaire aux critères d’observation et d’univocité. Il se définit comme un
comportement observable attendu à la fin de la leçon. Le maitre fait un contrôle
si l’objectif est atteint une fois que la leçon aurait été terminée. Il peut le définir
comme suit avec de terme comme : à la fin, au terme, à l’issue, etc.
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Donc il faut à tout prix définir les objectifs s’il le faut, accompagner d’un verbe
d’action. Cet objectif est une décision prise par l’enseignant pour tout
enseignement.
DES COMPETENCES AUX OPERATIONS MENTALES.
Aujourd’hui on veut que les élèves soient actifs ; autonomes qu’ils
utilisent des démarches rigoureuses et qu’ils maitrisent toutes une séries des
compétences. Mais les productions et les stratégies personnelles mise ne place
dépendant du fonctionnement d’un certains nombres des processus intellectuels
que l’on appelle opération mentales. Celles-ci sont difficilement perceptibles car
elles sont sous-jacentes à l’action proprement dite. Et pourtant ce sont ces
activités de base qui sont probablement les plus importantes à construire. Elles
constituant, en quelque sorte, l’inconscient des apprentissages.
Philippe MEIRIEU à tenter de le relier à la pratique de classe en citant
quelques exemples d’opération mentale dont la prise en compte nous semble
avoir un intérêt majeur si l’on veut aider les élèves à apprendre :
1) Reconnaitre : c’est en même discriminer, distinguer l’un de l’autre et
identifier un élément comme appartenant à une catégorie donnée. Ce n’est
pas seulement reconnaitre un objet, un savoir, c’est aussi être conscient que
telle connaissance que l’on possède peut résoudre tel problème ou
permettre d’effectuer telle tâche.
2) Anticiper : c’est imaginer, prévoir à l’avance, se projeter dans l’avenir. On sait
l’importance de cette opération mentale dans le processus de lecture. C’est
aussi être capable d’émettre des hypothèses.
3) Se décentrer : c’est être capable de ne plus considérer seulement ses besoins
ou ses intérêts ; mais de voir un phénomène ou une production personnelle
de plus haut. C’est se pencher sur son travail avec un esprit critique. C’est
pouvoir changer des points de vue.
4) Analyser : il s’agit de partir du complexe pour aller vers le simple ; en
distinguant tous les éléments qui les composent. C’est une opération mentale
bien connue. Elle s’apparente à la déduction. Dans la pratique de la classe la
déduction se manifeste lorsqu’on s’appuie sur une règle, un théorème.
5) Synthétiser : il s’agit de passer du particulier au général. C’est-à-dire de
mettre en relation est certains nombre d’éléments ponctuels afin de
construire une structure cohérente à partir des faits, des exemples, on
élabore une idée générale, une loi, une notion, une règle, un algorithme, un
concept.
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NOTION.
Le terme projet s’explique comme une image d’une situation, d’un état
que l’on pense à atteindre. C’est de cet ordre d’idée que KILPATRICT, auteur de
méthode de projet, le perçoit comme un travail librement choisi et vers lequel
tend toute l’activité scolaire. Les élèves vont travailler de tout cœur pour
atteindre le but réel qui est l’élément essentiel dans chaque projet.
Les actions des élèves peuvent avoir pour but de :
1) Produire chaque chose. Par exemple : dessiner ;
2) Jour de travail des autres. Exemple : écouter un chant, visiter une exposition ;
3) Trouver une solution à un problème mental. Exemple : les causes de
l’apparition d’une maladie dans une région.
4) Maitriser une technique. Exemple : celle de la division
Pour PETERSEN, le travail scolaire peut se faire :
- Sous forme d’entretien en classe ;
- Par les jeux éducatifs : le travail de sens, langage, mouvement, sport ;
- Par l’apprentissage de technique et en suite, en équipe, par les joies et la
réalisation des sujets d’étude ;
- Par des fêtes scolaires au cours desquels le groupe ont l’occasion de
dramatiser, de chanter en présence des élèves de toute l’école.
COUSSINET à son tour, conçoit que pour réaliser un projet d’apprentissage, les
élèves peuvent se grouper pour exécuter des travaux :
- Scientifique : observation de numéro, des plantes et des animaux ainsi que
des phénomènes naturels ;
- Géographique : étude du milieu réel des élèves. Exemple la maison
paternelle, l’école, l’église, le village ;
- Historique : transformation des êtres et des choses dans les temps ;
- Créateur : dessin, art dramatique, travail manuel, invention des problèmes
et production littéraire.
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Ainsi, le projet est tout ce qui peut amener l’élève, par le truchement de
l’enseignant à acquérir une connaissance par sa propre force de l’intelligence. Il a
été dit par la pédagogie nouvelle que, le maitre ne travaille plus à la place des
élèves, mais les aide à agir. Cette manière de procéder est une forme didactique
consistant à provoquer des interactions entre l’enseignant et les élèves, ce que
préconise la théorie de ping-pong. L’enseignant procède à des questions de deux
genres au cours de l’apprentissage : question reproductive (qui fait appel à la
mémoire) et question productive (qui fait appel à la réflexion).
4.1. PROCEDURE DE QUESTIONNEMENT ORAL.
Pour poser une question aux élèves pendant la leçon, il y a toute une démarche
qu’il faut suivre. Dans son étude sur l’observation et l’entrainement des
enseignants, NGONGO (1984), nous propose la démarche suivante :
Etape 1 : poser la question une seule fois, il ne faut pas retraiter la question avant
l’intervention des élèves. Cela demande que l’enseignant doit mure la question
avant de la posée de sorte qu’il ne se sente pas obliger de la récurer ou d’y
adjoindre une explication supplémentaire.
Etape 2 : après avoir posé la question, attendre silencieusement pendant au
moins trois secondes avant de désigner l’élève qui doit répondre, pendant que
celui-ci répond, écouter attentivement sa réponse afin de pouvoir mieux
l’apprécier.
Etape 3 : la réponse est- elle correcte ? Si oui, il n’y a pas de problème :
l’enseignant donne le feedback montra qu’il approuve la réponse et passe à
l’étape suivante ;
Etape 4 : si la réponse ne pas correcte c’est alors que surgit le problème :
comment arriver à faire découvrir à l’élève la réponse correcte et retrouver la
ligne de la leçon ; ici l’enseignant doit d’abord apprécier la réponse donnée et au
besoin dire pourquoi elle n’est pas correcte, ensuite diagnostiquer ;
Etape 5 : la question retraitée doit, en principe, suivre la même voie que
l’initiatrice : accorder le temps de latence, désigner les participants ; écouter sa
réponse, etc.
Etape 6 : certaines recherches (ANDERSON et al, 1979), ont suggéré que
l’enseignant donne lui-même la réponse si les élèves n’ont pu la trouver au lieu de
multiplier les interrogations.
4.2. La désignation des élèves à répondre aux questions.
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5) Synthèse : c’est une suite d’opération mentale qui permet d’aller des
notions simples aux notions composées. Ici l’enseignant condense ces
différentes parties, en vue de permettre à l’élève de retenir l’essentiel.
6) Application : est l’action d’appliquer son esprit en vue d’évaluer le
comportement.
7) Autocritique : l’enseignant critique son propre comportement pour
reconnaitre ses erreurs et ses mérites.
La leçon est l’élément primordial qui aide l’élève à trouver une réponse à ses
préoccupations, à faciliter son acquisition des connaissances durant son cursus
scolaire par une sorte d’échange avec l’enseignant.
ENSEIGNONS BIEN, pour notre mérite.
Le métier de l’enseignement n’est pas facile comme tout le monde le croit, il faut
pour enseigner, avoir reçu une formation spécifique pour bien l’exercer. L’effort
du maitre est tout au long de ses enseignements, ramène tous les élèves au
même niveau de compréhension par des échanges oraux directs avec l’enseigné,
Aucun élève n’est ignorant. Au cas où il est ignorant, on se rendra compte, que la
transmission était mauvaise. Si l’enseignant a un comportement interactif, la
question que l’on va se poser est de savoir son rôle en classe pendant la leçon
qu’avant la leçon et de savoir, quel sera celui de l’élève ?
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BIBLIOGRAPHIE