comptable
Philippe DUQUENNE, novembre 2003
retour
au
plan
• Introduction et objectifs
– Objectifs de l’analyse comptable
– Objectifs et limites du module
• Un peu de comptabilité générale :
– Le bilan
– Le compte de résultat
• Analyse et diagnostic :
– L’analyse économique
– L’analyse financière
– Rapport d’analyse
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au
plan
• Références bibliographiques
• Contacts
« Initiation à l’analyse comptable »
novembre 2003
INTRODUCTION
et
OBJECTIFS
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au
plan
l’entreprise marchande :
achète et revend des marchandises sans processus notable de transformation (autre que des
modifications du conditionnement)
L’entreprise industrielle :
assure des opérations de transformation sur des produits.
retour Par la suite, on s’intéressera par défaut à l’entreprise industrielle (pour laquelle la vente de
au marchandises ou de services est marginale par rapport à la vente de produits)
plan
Cette stratégie qui exprime les volontés de l'entreprise s'appuie sur des moyens.
La définition des actions de l'entreprise dans le cadre de la stratégie suppose
ainsi une connaissance précise des moyens dont elle dispose.
retour
au
plan
L'évaluation de ces moyens est le premier rôle de l’analyse comptable
– DANS SA PRODUCTION
• gestion de production
– DANS LE CYCLE DE VIE DU PRODUIT
• soutien logistique
– DANS SES ACTIVITES
• gestion des projets, ou par projets
Comptabilité générale
à titre de culture du même ordre,
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au
pour gens du monde.
plan
Flux économiques : parti pris de négliger les aspects techniques, sociaux, environnementaux, ...
Chiffrés : une seule unité de mesure, l’unité monétaire légale
(pour une entreprise française : euro ... quels que soient les lieux d’activités)
• Chronologie de l'enregistrement :
• 1 - au fur et à mesure, enregistrement par ordre chronologique dans
le JOURNAL,
• 2 - classement par catégories ou comptes dans un GRAND LIVRE,
(quotidien)
• 3 - contrôle des opérations précédentes par la BALANCE. (mensuel)
retour
au Cette balance fournit périodiquement le résultat (bénéfice ou perte),
plan au moins une fois par an ... pour des raisons fiscales!
– RESULTAT CONSTATE :
• variation sur l'exercice du patrimoine de l'entreprise :
• examen de l’évolution de la situation nette (capitaux propres)
– RESULTAT EXPLIQUE :
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au
• différence, sur un exercice donné, entre :
plan – les créations de valeur pour l’entreprise (produits)
– et les valeurs consommées (charges).
1 – L’entreprise vue comme une boîte noire : inventaire historique, depuis la naissance de l’entreprise,
de toutes les valeurs qui sont entrées sous une forme ou sous une autre, et n’en sont pas ressorties.
Revient à dresser l’énumération de ce que doit l’entreprise au monde extérieur (les actionnaires font
partie du monde extérieur) : cette recherche des origines des ressources de l’entreprise constitue le
passif du bilan.
2 – On ouvre la boîte noire, et on procède à l’inventaire (valorisé) de ce qu’on trouve dedans : cette
inventaire de l’emploi des ressources de l’entreprise est ce qu’on appelle l’actif du bilan.
Ces deux façons de procéder doivent correspondre de toute façon au même inventaire,
donc par principe :
retour
au ACTIF = PASSIF
plan
ACTIF :
PASSIF :
(généralement présenté à gauche quand le bilan
est sous forme de tableau à deux colonnes).
(généralement présenté à droite quand le bilan
est sous forme de tableau à deux colonnes).
Emploi des ressources dont dispose l’entreprise :
Origine des ressources dont dispose l’entreprise :
on fait la part des choses entre les ressources
durablement immobilisées (actif immobilisé) et
On fait la part des choses entre les moyens dont
les affectations provisoires (actif circulant).
elle dispose en propre (capitaux propres, ou
situation nette), et les moyens qu’elle devra
Séparation entre le « durablement » et le
restituer à plus ou moins long terme (dettes)
« provisoire » : la durée de l’exercice fiscal
(1an)
retour
au
plan
ACTIF PASSIF
Exemple
retour
au
plan
EMPLOIS = 150 MF
DETTES = 85 MF
ACTIF EXERCICE t PASSIF
EMPLOIS = 190 MF
RESULTAT DE L'EXERCICE t : DETTES = 100 MF
90 - 65 = 25 MF
… au moins …
(dividendes éventuels à rajouter,
retour selon que les bilans sont établis avant ou
au après affectation du résultat) Situation nette (t) = 190 - 100 = 90 MF
plan
toujours le principe de
la double détermination :
PRINCIPE :
bénéfice : en charges
perte : en produits
CHARGES
Autre exemple, moins optimiste :
PRODUITS
PRODUITS
BENEFICE
CHARGES
PERTE
TOTAL 1 TOTAL 2
TOTAL 1 TOTAL 2
retour
au
plan
PAR PRINCIPE, TOTAL 1 = TOTAL 2 ... ou erreur dans l'enregistrement des flux.
– …et les charges et produits qu ’on ne peut pas rattacher aux deux
retour
au
catégories précédentes :
plan • C ’est ce qu ’on va qualifier d ’exceptionnel, qu ’il s ’agisse de charges ou de
produits.
Charges d ’exploitation
Produits d ’exploitation
Charges financières
Charges exceptionnelles
Produits financiers
Différence = RCAI
retour
au (Résultat courant avant impôt) Produits exceptionnels
plan
retour
au
plan
vérifie que les activités de production vérifie que les conditions d'existence
et de commercialisation sont assurées "au de l'entreprise, compte non tenu des résultats
jour le jour" de façon saine par l'entreprise de ses activités, ne la fragilisent pas
(juge la viabilité) (juge la pérennité)
retour
au SE BASE SUR LE BILAN
plan SE BASE SUR LE COMPTE DE RESULTAT
(OU SUR PLUSIEURS BILANS SUCCESSIFS)
retour
analyse * Ratios d'analyse économique
retour
au * Notion de prix de revient
plan
Excédent Brut d’Exploitation. Autres produits Amort. + autres ch. Rés. d’Exploitation
impôts
organisation
secrétariat distribution
retour logistique
analyse démarchages publicité
politique de stocks
approvisionnements
retour
au
CHARGES INDIRECTES
plan
1 actif 3 5
2 l'actif circulant
immobilisé capitaux propres ou
_____________________ situation nette
____________________ AU PASSIF (2 écoles) :
valeurs
d'exploitation dettes à long et
ou stocks moyen termes 3 les capitaux permanents
----------------------------------
2
valeurs ---------------------------------- 4 et les dettes à court terme,
réalisables
retour ---------------------------------- dettes à court terme OU :
analyse valeurs
les capitaux propres
disponibles 5
4 6
retour et les dettes totales
au 6
plan
1 - D'une part, par définition, il s'agit des moyens dont dispose durablement l'entreprise (donc les capitaux
permanents), desquels on retranche les investissements définitivement engagés (les valeurs immobilisées) :
FdR = CPe - AI
ACTIF PASSIF
2 - Une deuxième approche plus pratique le
présente comme le besoin de l'entreprise de financer
AI CPe CPr
ses dépenses courantes : il s'agirait alors de l'actif
circulant (théoriquement disponible assez
rapidement), duquel on retranche
les dettes auxquelles il faudra faire face à court terme
:
FdR
FdR' = AC - DCT
BILAN FONCTIONNEL :
EMPLOIS RESSOURCES
retour
analyse trésorerie nette.
besoin financier H.E.
retour
au
plan
immobilisations
autonomie financière : bénéfice avant impôt
rotation du fonds fonds de roulement capitaux propres + intérêts des capitaux étrangers x 100
retour de roulement : _________________________
__________________________
___________________________________________________
au capitaux propres + 1/2 pertes et profits
plan dettes à court terme dettes financières LMT
+ valeur moyenne du capital étranger
– RESULTATS :
• rentabilités économique et financière, explications par soldes intermédiaires et principaux postes.
• Comparer; commenter avec des données externes éventuelles : évolutions comparées des prix (produits et
charges), ...
retour
– DIAGNOSTIC :
au • Synthèse sur la rentabilité et l'équilibre financier
plan • Atouts et contraintes : possibilités d'évolution
retour
au
plan
4 - Immobilisations ?
Capitaux
propres
actif
• frais de formation :
– Dépenses faites pour la formation des salariés : on peut considérer qu’elles
correspondent à un enrichissement (placement) de l’entreprise. Bon, il n’empêche
qu ’un salarié, une fois formé, peut démissionner pour rejoindre une autre société
… ce qui illustre parfaitement le caractère incorporel de ce type d ’immobilisation!
• frais de R&D, licences, brevets
– De la même manière, il n’existe aucun rapport tangible entre les frais de dépôt
d’un brevet (par exemple) et sa valeur vénale (commerciale) : en incluant les
dépenses de R&D (recherche et développement), les coûts enregistrés sur le dépôt
d ’un brevet n ’ont rien à voir avec les valeurs qu ’on peut « tirer » de son
exploitation … qui peuvent varier de l ’infini (l’idée du siècle) au zéro absolu (le
brevet qu ’on a déposé pour barrer la route à un concurrent, sans la moindre
intention de donner suite, bien au contraire).
• frais d ’établissement
– Dépenses liées à la création de l ’entreprise : frais de notaire ...
• fonds de commerce :
– Appréciation de la valeur d ’un local commercial (hors valeur foncière), liée au
retour chiffre d ’affaires potentiel qu’on peut en espérer : chiffre d’affaires antérieur en
au cas de reprise, ou analyse du marché potentiel et de la concurrence dans le
plan voisinage en cas de création ...
• participations :
– Actions (parts de « propriété») détenues dans des entreprises tierces ; dans les
faits, jouent le même rôle que des VMP (Valeurs Mobilières de Placement) :
participation, dividendes, … En revanche, leur caractère durable, qui doit
correspondre à une volonté de l ’entreprise de participer à la gestion de ces
sociétés tierces (motifs de partenariat, surveillance, prise de contrôle, …), les
différencie d ’une simple volonté de placement à court ou moyen terme, et
justifie leur inscription dans les immobilisations.
• prêts :
– De la même manière (mais sans intention stratégique), l ’entreprise peut être
retour amenée à prêter de l ’argent, ne serait-ce qu ’à ses employés. La durée de ces
au
plan prêts les fera inscrire soit en créances pour des prêts à court terme, soit en
immobilisations.
• Chacun de ces investissements est caractérisé par une valeur initiale (attestée
par le marché, ou plus concrètement par une facture), et par le fait que sa
valeur évolue dans le temps - presque systématiquement, une dépréciation
liée à l ’usage qu’on en fait (exemple: décote d ’un véhicule en fonction de
l ’âge et du kilométrage).
• Pour tous ces biens, on part donc du constat d ’une dépréciation de leur
valeur dans le temps, dépréciation que l ’on considère comme une charge liée
à l ’exploitation et qui sera exprimée sous la forme d’amortissement.
retour
au
plan
Ap = I, pour p [1,n]
– Stocks de marchandises :
– Biens non destinés à être transformés (commercialisation, service après-vente, ...)
– créances clients
– Correspondent à des fournitures déjà livrées à des clients, mais que ceux-ci
n ’ont pas encore payées.
– Autres créances
– L ’entreprise peut avoir prêté de l ’argent (à un salarié, à une autre entreprise,
…) : le montant prêté non remboursé est une forme de créance.
– Attention : il s ’agit de prêts à court terme (sinon, ce montant serait considéré
comme immobilisé et inscrit en « immobilisations financières »).
retour
au – Caisse(s)
plan
– Liquidités
– Le capital est une grandeur relativement stable (il n ’est pas modifié
fréquemment, et sa modification est un événement majeur de la vie de
l ’entreprise).
– Par déduction :
– L ’augmentation des réserves d ’une entreprise (constatée par l ’examen de deux bilans
retour consécutifs aux exercices n et n+1) indique quelle part du résultat de l ’année n a été
au incorporée aux réserves. Par différence, le reste a été distribué aux actionnaires (et a
plan disparu du bilan).
– On distingue :
– Les avances et acomptes reçus :
» nous endettent vis-à-vis des clients jusqu’à ce que les obligations contractuelles
(fourniture de produits, services, …) soient honorées.
– Les dettes fournisseurs :
» liées au fait que toute livraison de bien (transfert de propriété donc) ne correspond pas à
un règlement immédiat : entre la réception du bien et son paiement réel, on est endetté
vis-à-vis du fournisseur
» en outre, particularité française (rare à l ’étranger) : paiements à 30, 60 ou 90 jours …
– Dette sociale :
» les (nombreuses) charges, dues à de nombreux organismes différents, liées aux salaires,
ne sont pas payées en temps réel : système déclaratif (trimestriel par défaut) suivi par un
règlement différé, d ’où un état d ’endettement inévitable.
– Dette fiscale :
» encaissement de la TVA pour le compte de l ’état, et son paiement aux fournisseurs,
amené à être remboursé ultérieurement : correspond au même type de mécanisme que
les charges patronales, d ’où encore un état d ’endettement inévitable.
retour » Impôt sur les bénéfices industriels et commerciaux : son montant est connu dès qu ’est
au déterminé le résultat de l ’exercice. A cette date, ce montant n ’est donc pas encore
plan déclaré, et a fortiori ni dû ni payé : il apparaît donc comme endettement de l ’entreprise
bien avant que l ’administration fiscale soit informée de son existence ...
– Escomptes obtenus
• Argent obtenu d’un organisme (financier, industriel, ...) en contrepartie d’une créance.
• L’intérêt de l’escompte est double :
– réalisation immédiate d’une créance dont l’échéance était future,
– suppression du risque lié à la solvabilité du débiteur
• Pour ces mêmes raisons, en contrepartie logique, l’escompte ne correspond pas intégralement au montant de
la créance.
retour
au
plan
– Escomptes accordés
• Possibilité pour l’entreprise de « racheter » au comptant des créances de ses
partenaires, fournisseurs ou d’autres entreprises
• L’intérêt est d’aider ces entreprises à assumer les problèmes de trésorerie et les risques
liés à ces créances (en fait, de les assumer à leur place)
• En contrepartie, l’escompte accordé est bien sûr inférieur au montant de la créance ...
Achats 150
d’exploitation
d’exploitation
1 – Produits, c’est le plus rapide ...
Produits
Charges
financiers
Produits
Charges
Amusez-vous à dresser le
compte de trésorerie de Jo :
vous verrez qu’un
TOTAL 526,4 TOTAL 521 accroissement de la
retour trésorerie n’est pas
au RESULTAT - 5,4 ! synonyme d’enrichissement
plan de l’entreprise ...
Compte de trésorerie
Dispo ini 10,00
Recettes Dépenses
Recettes 521,00
Achats 150,00
Assurance 5,00
Salaires 360,00
Frais financiers 1,40
Remb. emprunt 4,00
TOTAL 521,00 520,40
Dispo final 10,60
BILAN (k€)
ACTIF final initial PASSIF final initial
TOTAL ACTIF 60,00 TOTAL PASSIF 60,00
Brut Amort. Net
Actif immobilisé 50,00 Capitaux propres
Taxi Capital 40,00
Actif circulant Résultat de l'ex. précédent
Trésorerie 10,00 Dettes
Dettes financière 20,00
retour
au
plan
Solution
BILAN (k€)
ACTIF final initial PASSIF final initial
TOTAL ACTIF 50,6 60,00 TOTAL PASSIF 50,6 60,00
Brut Amort. Net
Actif immobilisé 50,00 Capitaux propres
Taxi 50 10 40 Capital 40 40,00
Actif circulant Résultat de l'ex. précédent -5,4
Trésorerie 10,00 Dettes
10,6 Dettes financière 20,00
16
retour
au
plan
Comptes de classe 7
retour
au
plan
A vances et acomptes s u r
immobilis ations inco rporelles
Terrains
Cons tructions
Ins tallations tech niq ues , matériel
et ou tillage in du s triels
A utres immobilis atio ns
corporelles
Immobilis ations en cou rs
A vances et acomptes
I M M O B I L IS A T IO N
commandes
Clients et co mp tes ratachés
A utres créances
Capital s o us crit et appellé, non
retour vers é
au Valeurs mobilières de placement
D IV
Annexe C de R
P ro duc tio n ve ndue
S e rvic e s Ac ha ts de m a tiè re s pre m iè re s e t a utre s a ppro vis io nne m e nts ( y c o m pris dro it de do ua ne )
C hiffre s d'a ffa ire s ne ts Va ria tio n de s to c k (m a tiè re s pre m iè re s e t a ppro vis io nne m e nt)
S ubve ntio ns d'e xplo ita tio n S a la ire s e t tra ite m e nts
P R O D UIT S C HA R GES
D 'E XP LO IT A T IO N D 'E XP LO IT A T IO N
R e pris e s ur a m o rtis s e m e nts e t pro vis io ns , tra ns fe rt de c ha rge s C ha rge s s o c ia le s
Autre s c ha rge s
T o t a l d e s p ro d u it s d 'e xp lo it a t io n s T o t a l d e s c h a rg e s d 'e xp lo it a t io n
Opérations en commun B é né fic e a ttribué o u pe rte tra ns fé ré e Opérations en commun P e rte s uppo rté e o u bé né fic e tra ns fé ré e
pro duits fina nc ie rs de pa rtic ipa tio ns Do ta tio ns fina nc iè re s a ux a m o rtis s e m e nts e t pro vis io ns
P ro duits de s a utre s va le urs m o biliè re s e t c ré a nc e s de l'a c tif im m o bilis é Inté rê ts e t c ha rge s a s s im ilé e s
P R O D UIT S F IN A N C IE R S R e pris e s ur pro vis io ns e t tra ns fe rts de c ha rge s C HA R GES F IN A N C IE R E S C ha rge s ne tte s s ur c e s s io n de va le urs m o biliè re s de pla c e m e nt
T o t a l d e s ré d u it s f in a n c ie rs T o t a l d e s c h a rg e s f in a n c iè re s
P ro duits e xc e ptio nne ls s ur o pé ra tio ns de ge s tio ns C ha rge s e xc e ptio nne lle s s ur o pé ra tio ns de ge s tio n
P ro duits e xc e ptio nne ls s ur o pé ra tio ns de c a pita l C ha rge s e xc e ptio nne lle s s ur o pé ra tio ns de c a pita l
P R O D UIT S C HA R GES
E XC E P T IO N N E LS E XC E P T IO N N E LLE S
R e pris e s ur pro vis io ns e t tra ns fe rt de c ha rge s Do ta tio ns e xc e ptio nne lle s a ux a m o rtis s e m e nts e t pro vis io ns
retour T o t a l d e s p ro d u it s e xc e p t io n n e ls T o t a l d e s c h a rg e s e xc e p t io n n e lle s
au
plan 3. RES ULTAT EXC EPTIO NNEL :
Maître de Conférences au Département GI de l’A7, ses Maître de Conférences au Département GI de l’A7, ses
enseignements portent sur la gestion de projets, et ses aspects enseignements portent sur la gestion de projets, la
économiques et financiers. recherche opérationnelle, et leurs aspects économiques
Les activités de recherche concernent les aspects liés à la et financiers.
Ses projet de recherche sont dédiés à la modélisation
retour production et aux projets en environnement incertain,et ont
des systèmes dynamiques et hybrides. Son deuxième
au étés menées en collaboration avec Airbus Industrie et
thème de recherche se concentre sur les aspects
plan AEROSPATIALE.
innovants avec notamment la théorie TRIZ.
Philippe.Duquenne@ensiacet.fr
Stephane.Negny@ensiacet.fr