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au niveau personnel et
professionnel
I - La vision du monde
II - La conscience de soi
Cette forme d’intelligence entraîne une capacité de se comprendre soi-même, discerner ses propres
motivations, ses sentiments, ses forces, ses faiblesses, ses buts et d’agir en conséquence. Les personnes dotées
d’une intelligence intra-personnelle forte ont la capacité de s’auto évaluer, de réfléchir sur leurs actions, de se
discipliner, de se concentrer.
C’est une forme d’intelligence du moi qui s’articule autour de trois concepts:
La connaissance de soi: ensemble des idées qu’on a sur soi
L’estime de soi : la connaissance de ses points faibles et ses points forts
La présentation de soi: la connaissance de l’image de soi perçue par les autre
1. La connaissance de soi
C’est la dimension cognitive de soi, c’est l’ensemble des idées qu’on a sur soi
Les sources de connaissance de soi:
L’introspection
La perception de ses propres comportements
L’appréciation directe ou indirecte des autres
La comparaison avec les autres
Chacun perçoit la réalité à travers son système de perception sensorielle dominant appelé aussi primaire.
Nous pensons la réalité:
En image
En son
En sensation
C’est la composante affective de soi. Les idées sur soi s’accompagnent de sentiments positifs ou négatifs se rapportant à
nos forces et à nos faiblesses.
L’estime de soi découle d’une comparaison entre les idées que chacun a de qui il est réellement: son soi réel et des
qualités qu’il aimerait posséder: son soi idéal et /ou des qualités qu’il devrait avoir: son soi obligé
Lorsque l’écart entre ces différents concepts est grand il s’en suit une baisse de l’estime de soi
Une baisse de l’estime de soi s’exprime par des croyances autodestructrices sur lui-même ou sur le monde extérieur.
Ceci entrave naturellement la capacité d’interagir avec soi et avec les autres.
Reprendre la fenêtre de Johari en gardant uniquement les qualités et en ajoutant les pensées positives que nous
avons de l’autre.
Activité 2 : Recadrage/Reframing
Par deux, chaque joueur révèle à son binôme une expérience passée négative. Le binôme raconte ensuite cette même
histoire, mais fournit une version qui se concentre uniquement sur les aspects positifs de cette expérience.