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FACULTE DE TECHNOLOGIE
Réaliser par :
BOUDJENANE SOUMIA
MALEK KAMILIA
TP02 : SPECTROPHOTOMETRIE UV
TP03 : DISTILATION
INTRODUCTION :
UN PEU D’HISTOIRE :
Martin et Synge sont récompensés en 1952 par le prix Nobel de chimie pour
leurs découverts dans ce domaine.
PARTIE THEORIQUE
1. CHROMATOGRAPHIE SUR COUCHE MINCE :
2. PRINCIPE DE LA TECHNIQUE :
Ces trois phénomènes sont gouvernés par des interactions faibles de type
Interactions de Van der Waals et liaisons hydrogène. Pour optimiser la
séparation entre les trois acteurs (composé, adsorbant, éluant), il faut prendre en
compte :
– leur polarité (fonction de différents paramètres tels que le moment dipolaire,
La permittivité diélectrique...) ;
– leur proticité (aptitude à établir des liaisons hydrogène).
3. LA CUVE CHROMATOGRAPHIQUE :
Un récipient habituellement en verre, de forme variable, fermé par un
couvercle étanche.
C’est un solvant dans lequel les constituants du mélange sont plus ou moins
solubles, il migre le long de la phase fixe. Le choix du solvant peut-être délicat,
même pour les expérimentateurs confirmés et il faut le plus souvent faire des
essais de séparation avant de se lancer vraiment dans l’analyse
chromatographique.
Remarque :
l’éluant ne doit pas réagir avec les constituants à analyser.
Un éluant trop polaire entraine tous les constituants de l'échantillon. Aucune
séparation n'est effectuée.
Un éluant trop apolaire n'entraine pas assez les constituants de l'échantillon.
Les spots obtenus risquent d'être un mélange de constituants de l'échantillon.
6. LE RAPPORT FRONTALE :
Le rapport frontal (Rf) ou facteur de rétention d'un composé est le rapport de la
distance ligne de dépôt-composé sur la distance ligne de dépôt-front de
solvant. Il est compris entre 0 et 1, et est caractéristique du composé, du
matériau de la plaque et du système d'éluant.
Lorsque la plaque sur laquelle on a déposé l’échantillon est placée dans la cuve,
l’éluant monte à travers la phase stationnaire, essentiellement par capillarité.
En outre, chaque composant de l’échantillon se déplace à sa propre vitesse
derrière le front du solvant. Cette vitesse dépend d’une part, des forces
électrostatiques retenant le composant sur la plaque stationnaire et, d’autre
part, de sa solubilité dans la phase mobile. Les composés se déplacent donc
alternativement de la phase stationnaire à la phase mobile, l’action de rétention
de la phase stationnaire étant principalement contrôlée par des phénomènes
d’adsorption. Généralement, en chromatographie sur couche mince, les
substances de faible polarité migrent plus rapidement que les composants
polaires.
PARTIE METHODIQUE
1. Préparation de la plaque : à environ 1 cm du bas, sur la face recouverte de silice,
tracer un trait (ligne de dépôt) au crayon à papier sans rayer la surface. Figurer les
endroits où seront déposés les différents échantillons Attention à ne pas utiliser
d’encre pour écrire sur les plaques sous peine de réaliser la CCM de l’encre.
2. Préparation de la cuve : Remplir la cuve avec l’éluant de sorte à avoir un demi-
centimètre de hauteur de liquide. Fermer la cuve afin de la saturer en vapeur
d’éluant (la plaque est alors placée dans un environnement homogène).
3. Dépôts des échantillons dilués : chaque échantillon à analyser est dissous s’il est
solide (quelques grains dans 1 ml) ou dilué s’il est liquide (Une goutte dans 1 ml)
dans un solvant très volatil (souvent de l’acétone).
Les dépôts sont réalisés à l’aide d’un tube capillaire, placé perpendiculairement à
la plaque de silice. Les taches doivent être distantes du bord d’environ un
centimètre et espacées entre elles d’au moins un demi-centimètre. Il est pertinent
de déposer sur une même plaque les échantillons à analyser et des produits purs
(parfois appelé « authentiques») pour identifier les constituants du mélange. On
peut aussi effectuer des Co-dépôts En déposant en un même point deux
échantillons afin de faciliter L’interprétation
4. Introduction dans la cuve : introduire la plaque verticalement dans la cuve à
l’aide d’une pince pour éviter de toucher la plaque avec les doigts. Seul le bas de
la plaque, en dessous de la ligne de dépôt, plonge dans le liquide.
5. Élution : l’éluant migre lentement du bas vers le haut de la plaque par
Capillarité. Ne pas déplacer la cuve pendant l’élution, sous peine de Provoquer
des irrégularités dans la montée de l’éluant. Lorsque le front
De l’éluant arrive à environ 1 cm du haut de la plaque, la retirer de la
Cuve. Par un trait de crayon, repérer immédiatement ce front et faire sécher la
plaque (l’éluant s’évapore).
6. Révélation : il faut maintenant mettre en évidence les espèces chimiques
entre la ligne de dépôt et le front de l’éluant.
*Révélation visuelle : si les molécules absorbent dans le visible, les taches
colorées sont directement observables à l’œil.
PARTIE EXPIRIMONTALE :
1. MATERIEL : Pour réaliser ce type d’analyse, il nous faut :
Cuve de chromatographie, Plaque CCM (verre+ silice environ 0,25mm)
Rf= dX /D
Rf1<Rf2<Rf3
Interprétation :
D’après les valeurs de Rf, on remarque que l’échantillon n’est pas pur
I. Conclusion :
La technique du CCM est une technique fiable et rapide, plus le composé est
polaire plus il sera adsorbé et moins vite il se déplace les composants de
l’échantillon ont des vitesses variables selon leur solubilité, les composants plus
solubles migrent lentement.
SPECTROPHOTOMETRI ULTRAVIOLET -VISIBLE
LE BUT:
PARTIE THEORIQUE :
des composés organiques.
L'absorbance
A partir de ces intensités on définit l’absorbance A : [A=log frac {I_ {0}} {I}]
L'absorbance est une grandeur sans unité qui est d'autant plus grande que le
rayonnement est absorbé. La loi de Beer Lambert L'absorbance A mesurée par
: [A=ε. C. L] avec (epsilon en L/mol.cm) (C en mol/l) (L en cm) A sans unité Etant donné
que le coefficient d'absorption molaire dépend de la longueur d'onde du rayonnement,
l'absorbance en dépend également.
Le spectre UV-Visible
Afin d'obtenir un spectre UV-visible, la solution est soumise aux rayonnements dont la
longueur d'onde est comprise dans l'intervalle 200-400 nm (domaine des ultraviolets)
et dans l'intervalle 400-800 nm (domaine de la lumière visible). Pour chaque longueur
d'onde, l'absorbance est mesurée et les données recueillies sont utilisées pour tracer les
variations de l'absorbance (en ordonnées) en fonction de la longueur d'onde (en
abscisse). Le graphique ainsi obtenu constitue un spectre UV-visible.
Partie expérimentale
Protocole
Réaliser des dilutions à partir d’une solution mère de bleu de méthylène et orange de
méthyle
Lors de ce TP nous avons mesuré les densités optiques d’une solution dite de référence à
déférentes longueurs d’onde et nous avons fait le même pour une solution inconnue a
fin de déterminer la nature de cette dernière donc contrairement au TP précédent cette
étude et qualitatif
Pour déterminer la densité optique d’une solution à une longueur d’onde donnée il
faut :
-Remplir la cuve
-on remplit d’abord la cuve de la solution à blanc on la place dans l’appareil on règle le
0 puis on passe a la solution de référence.
RESULTAT :
Le graphe
Conclusion
Distillation
LE BUT :
INTRODUCTION :
PARTIE THEORIQUE :
DISPOSITIF EXPERIMENTALE :
2. Principe de la distillation
La distillation est basée sur la différence de température d'ébullition des
différents liquides qui composent un mélange. Dans certains cas, mieux qu'une
séparation, il s'agit d'une de méthode de purification.
Si on chauffe un mélange de liquides, c'est, dans les cas les plus simples, le
liquide le plus volatil, celui qui a la température d'ébullition la plus basse qui
s'échappera le premier.
Pour recueillir les vapeurs de ce produit, il faut le condenser. Ceci est fait par
un réfrigérant à eau.
PARTIE EXPERIMENTALE :
1. Mode d’opération :
Dans le ballon, on a introduit 70ml (eau+alcool) dans le ballon, 40ml d’éthanol
puis on le fait (le mélange), chauffer jusqu’à l’ébullition a des certaines
température. Exp de point d’ébullition (100 °C pour l'eau et 79 °C pour
l'éthanol)
2. Fonctionnement :
Apres que le mélange est échauffer, a peu près a (79°C) la 1ere solution passe à
ébullition et se vaporise, cette vapeur passe ensuite dans le réfrigérant, ou elle
se refroidit (grâce à a circulation d’eau). Puis se condense, et s’écoule dans le
bécher. Le liquide limpide obtenu, appelé distillat ; la même chose se passe a
100°C et on obtient une autre solution (sol 2).
CONCLUSION:
Chaque mélange possédant sa propre température d'ébullition
La première solution qui s’évaporite est la plus volatile (éthanol)