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Sommaire
Dédicace : ..................................................................................................................... ii
Remerciements : .......................................................................................................... iii
Liste des figures : ........................................................................................................ iv
Liste des tableaux ........................................................................................................ iv
Les sigles et abréviations ............................................................................................. v
Introduction : ................................................................................................................ 1
Présentation de la SEEN : ............................................................................................ 3
Chapitre 1 : Généralités sur la maintenance ................................................................. 6
Chapitre 2 : La politique de la maintenance : ............................................................ 14
Chapitre 3 : la méthode de maintenance : .................................................................. 19
Chapitre 4 : généralités sur les équipements .............................................................. 30
Chapitre 5 : les travaux effectués : ............................................................................. 36
Dédicace :
Je dédie ce travail :
A mes parents pour le soutien indéfectible à mon égard durant mon cursus
scolaire
Remerciements :
Figure 1: 5M ............................................................................................................... 20
Figure 2:Diagramme de pareto ou courbe ABC ........................................................ 22
Figure 3: pompe centrifuge de surface type KSB ...................................................... 30
Figure 4: plan de coupe de la pompe centrifuge de surface type KSB ...................... 31
Figure 5: la tête de forage........................................................................................... 31
Figure 6:la vanne ........................................................................................................ 32
Figure 7:le compteur d'eau ......................................................................................... 33
Figure 8: le filtre à eau ............................................................................................... 33
Figure 9: la ventouse .................................................................................................. 34
Figure 10: la pompe doseuse ...................................................................................... 35
PDCA : signifie :
C : criticité
G : gravité
F : fréquence
N : non détecté
Introduction :
C’est dans ce cadre que nous avions effectué un stage pratique à la société
d’exploitation des eaux de Niger (SEEN) de Zinder pendant la période de deux mois
allant du 01 Avril au 31 Mai 2019.
équipements de production est un enjeu clé pour la productivité aussi bien pour la
qualité des produits, selon l’AFNOR la maintenance vise à maintenir ou à rétablir un
bien dans un état spécifique afin que celui-ci soit en mesure d’assurer un service. La
maintenance regroupe ainsi les actions de dépannage et de réparation, de réglage, de
révision de contrôle et de vérification des nombreuses contraintes comme la qualité,
la sécurité et les équipements. Un service maintenance peut également être amené à
participer à des études d’amélioration du processus industriel, et doit comme d’autres
services de l’entreprise, prendre en considération l’environnement, le cout…etc.)
Pour atteindre cet objectif nous cherchons en premier lieu d’optimiser l’organisation
de la maintenance, d’améliorer l’ordonnancement des travaux de maintenance et
pour cela, notre travail sera subdivisé en cinq grands chapitres indiqués comme suit :
Présentation de la SEEN :
Historique
La SEEN, Société d’Exploitation des Eaux du Niger, a été créée en mars 2001 suite à
une restructuration du secteur de l’hydraulique urbaine au Niger. Filiale du groupe
VEOLIA, la SEEN est une société nigérienne de droit privé (les autres actionnaires
sont l’Etat, les salariés et des actionnaires privés nigériens). Elle est liée à l’Etat et la
Société de Patrimoine des Eaux du Niger (SPEN) à travers un contrat d’affermage.
Fondée en 2001, la société d'exploitation des eaux du Niger (SEEN) est présente sur
tout le territoire au travers de 55 centres. Elle a la charge de la production et de la
distribution de l'eau. Entreprise de référence dans cette région pour la qualité de l'eau
fournie, la SEEN assure la continuité de la distribution de l'eau potable grâce à ses
700 salariés. En 2018, la SEEN comptait plus de 3.6 millions d'habitants desservis.
Produire, transporter et distribuer chaque jour une eau potable de qualité à des
centaines de milliers de personnes est une mission qui exige rigueur et excellence.
Depuis plus de 15 ans, en étroite collaboration avec les Autorités publiques et de
régulation du secteur de l’eau du Niger, la Société d’Exploitation des Eaux du Niger
(SEEN) développe le service d’eau potable dans les centres urbains et semi-urbains
du pays, avec à présent 55 villes et villages répartis sur tout le territoire.
Chaque année, pour amener l’eau dans les nouveaux quartiers, plusieurs centaines de
kilomètres de réseaux sont construits, afin de raccorder toujours davantage de
personnes.
Engagée dans une démarche Qualité, Sécurité, Environnement, la SEEN mobilise les
compétences, innove et met en place des outils de management nécessaires pour
assurer un service de qualité. Cet engagement lui a valu la triple certification à la
norme ISO 9001 :2008, ISO 14001 :2004 et à la Norme ILO OHS : 2001. La quantité
et la qualité de l’eau traitée, produite et distribuée sont une priorité continue pour la
SEEN et tous ses salariés.
Description du processus
→ Mise en place d'un système d'information géographique (SIG) pour une gestion
efficace du réseau.
Depuis 2001, elle a été remplacé par une nouvelle définition, désormais européenne
(NF 13306X60-319) : « ensemble de toutes les actions techniques, administratives et
de management durant de cycle de vie d’un bien, destinées à le maintenir ou à le
rétablir dans un état dans lequel il peut accomplir la fonction requise »
-la réparation : ces sont les actions physiques exécutées pour rétablir la fonction
requise d’un bien en panne.
-La révision : c’est ensemble complet d’examen et d’action réalisée afin de maintenir
le niveau requis de la disponibilité et de sécurité
-Le TTA (temps technique d’arrêt) : c’est une partie du temps d’arrêt que peut
connaitre un système de production en exploitation. Ils ont pour cause une raison
technique et, ce faisant sont à distinguer des arrêts inhérents à la production.
-l’état du matériel
Si les prévisions sont respectées, ces ratios doivent être égaux à 1. Dans le cas
contraire les raisons de l’écart sont à donner.
Ces ratios vont nous permettre de déterminer la qualité des interventions effectuées,
de l’état dans lequel se trouve le matériel, ou de l’importance donnée à la
maintenance préventive.
De la performance des interventions
Ce ratio renseigne l’importance des arrêts pour cause de panne. S’il est égal à 1 il n’y
a pas eu d’arrêt pour cause de panne.
S’il est compris entre 0,5 et 1 les arrêts pour maintenance préventive sont supérieurs
aux arrêts pour cause de panne.
S’il est compris entre 0 et 0,5 les arrêts pour cause de panne sont plus importants que
les arrêts pour maintenance préventive. Ce ratio est particulièrement important pour
les centres où les intervenants ne sont pas sur place.
De l’état du matériel
𝑁𝑜𝑚𝑏𝑟𝑒 𝑑𝑒 𝑑é𝑓𝑎𝑖𝑙𝑙𝑎𝑛𝑐𝑒
𝑇𝑒𝑚𝑝𝑠 𝑑𝑒 𝑓𝑜𝑛𝑐𝑡𝑖𝑜𝑛𝑛𝑒𝑚𝑒𝑛𝑡
Ce ratio définit le taux de défaillance liée à l’état du matériel et nous aide à décider
de son renouvellement
Ces deux ratios permettent d’évaluer le taux d’occupation dans les deux domaines
principaux de nos activités.
-La maintenance sur site : L’intervention est directement réalisée sur le matériel en
place ;
-La maintenance en atelier : le matériel à réparer est transporté dans un endroit sur
site approprié à l’intervention ;
-La maintenance chez le constructeur ou une société spécialisée : le matériel est alors
transporté pour qu’il soit effectué les opérations nécessitant des moyens spécifiques.
Niveau 1 : Action simple nécessaire à l’exploitation est réalisée sur des éléments
facilement accessibles en toute sécurité à l’aide d’équipement des soutiens intégrés
au bien. Ce type d’opération peut être effectuée par l’utilisateur du bien.
Exemple :
Exemple :
Cas correctif : remplacement par échange standard des pièces, remplacement des
presse-étoupe.
Exemple :
Cas correctif : diagnostic d’état avec usage des équipements de soutiens portatif et
individuel (multimètre), remplacement d’organe et de composants par échange
standard de technicité générale sans l’usage de moyens de soutiens communs ou
spécialisés.
Exemple :
Cas correctif : révision d’une pompe en atelier spécialisé suite à dépose préventive,
réparation d’une pompe sur site suite à une défaillance.
Niveau 5 : Opération dont les procédures impliquent un savoir –faire faisant appel
cas de techniques ou technologies particulières des processus et ou des équipements
industriels. Par définition ce type d’opération de maintenance (rénovation,
reconstruction…), est effectuée par les constructeurs ou par un service ou société
spécialisée avec des équipements de soutiens définis par les constructeurs.
Exemple :
Pour mieux rentabiliser les équipements, il faut choisir une adéquate de maintenance
ainsi au sein de service de maintenance, on distingue deux politiques de
maintenance :
La maintenance corrective :
La maintenance préventive :
On trouve aussi une maintenance dite de ronde qui se caractérise par une surveillance
régulière de l’équipement sous forme de visite à fréquence élevée, entrainant si
nécessaire des travaux mineurs d’entretien.
La maintenance dite mixte consiste à profiter de l’opportunité offerte par l’arrêt d’un
système pour effectuer parallèlement d’autres interventions prévues ou non sur
d’autre élément. Il faut noter que le système considéré peut être :
Les décisions d’appliquer une fonction maintenance reposent sur trois critères qui
déterminent grandes orientations des politiques de maintenance, les trois notions
sont : le cout, la disponibilité, la fiabilité et la maintenabilité.
La grandeur life cycle cost en français dit : cout du cycle de vie désigne la somme
des couts d’investissements de l’équipement, des couts cumulés d’utilisation et des
couts de maintenance, sur la durée de vie de l’équipement
3 .1 La méthode de TPM :
La TPM (de l’anglais « Total productive maintenance », ou maintenance productive
totale) est une technique qui a vu le jour au japon, en 1971. Elle consiste en une
évolution des techniques de maintenance et pour but final d’augmenter le rendement
des machines d’une entreprise. Elle vise à bannir les arrêts non planifiés, les pertes
du temps. On évite ainsi les pertes de productivité dues à des équipements défaillants
ou au possible manque d’attention de certains techniciens. Pour parvenir à cet
objectif, la TPM se devise en trois outils distincts :
Le 5s :
- Seiri : veut dire ordonner
- Seiton : veut dire ranger
- Seiso : veut dire dépoussiérer
- Seiketsu : signifie rendre évident
- Shitsuke : être rigoureux ;
L’auto-maintenance ; qui permet aux opérateurs de production de réaliser des taches
simplifiées de maintenance ;
Le TRS : taux de rendement synthétique, qui est un indicateur mesurant le taux
d’utilisation des machines.
Figure 1: 5M
L'intérêt de ce diagramme est son caractère exhaustif. Il peut aussi bien s'appliquer à
Des systèmes existants qu'à des systèmes en cours d’élaboration. On pourra
adjoindre au diagramme précédent des facteurs secondaires et tertiaires qui
complèteront les facteurs primaires :
On peut adapter cet outil à l’aide de diagnostic de la manière suivante :
- Définition de l’effet étudié en regroupant le maximum de données.
- Recensement de toutes les causes possibles ;
- Classement typologique des causes.
- Hiérarchisation des causes dans chaque famille par ordre d’importance
En maintenance cette méthode est très utile pour déterminer les urgences ou les
tâches les plus rentables, par exemple :
- S’attacher particulièrement à la préparation des interventions sur les défaillances les
plus fréquentes et/ou les plus coûteuses (documentation, gammes opératoires,
contrats, ordonnancement, etc.…),
- Rechercher les causes et les améliorations possibles pour ces mêmes défaillances,
- Organiser un magasin en fonction des fréquences de sortie des pièces (nombre de
pièces et emplacement),
- Décider de la politique de maintenance à appliquer sur certains équipements en
fonction des heures et des coûts de maintenance.
Application :
Correction :
3 6 .1 Définition :
- Elle identifie les modes de défaillance des composants, en évaluant les effets
sur l’ensemble des fonctions et en analyse les causes.
Historique :
Elle trouve son origine dans les années 1950, sous le nom de FMEA (Failures
Modes and Effects Analysis). Utilisée exclusivement aux USA et au Japon pour
améliorer la fiabilité des produits de haute technicité (armement, avionique, spatial),
elle fait son apparition en Europe en 1970 dans l’industrie nucléaire (du militaire vers
le civil).
2. Cotation de la criticité
La cotation s’effectue sur la base de trois critères : la fréquence F d’apparition de la
Cause de défaillance, la gravité G de ses effets et sa non-détection N.
- Fréquence F d'apparition de la cause de défaillance : La cause de défaillance peut
apparaître à l’utilisation, à la fabrication ou à la conception d’un produit. C’est la
probabilité P pour que la cause se produise et qu’elle entraîne le mode de défaillance
concerné. On écrit que P = P1 x P2 avec P1 = probabilité que la cause de défaillance
survienne et P2 = probabilité que la défaillance survienne lorsque la cause est
présente.
- Gravité G des effets de la défaillance : La gravité est une évaluation de
l’importance des effets de la défaillance potentielle sur le client. La cause n’a pas
d’incidence sur la gravité de la défaillance.
- Non-détection N de la défaillance : Ce critère rend compte de la probabilité qu’à la
Défaillance de ne pas être détectée par l’utilisateur lors de contrôles (lors de la
conception d’un produit, de sa fabrication ou de son exploitation) alors que la cause
et le mode sont apparus.
Expression de la criticité
On obtient la criticité C par la formule :
C=GxFxN
Etape 5 : Définir et suivre un plan d’action préventive
Dans ce plan d’action vont figurer les actions préventives à mener pour diminuer le
Coefficient de criticité. Une diminution de la criticité pourra être obtenue en jouant
sur un ou Plusieurs terme(s) du produit (F x G x N).
Les actions seront d’ordre préventif ou correctif selon le cas. Elles visent à supprimer
Les causes de défaillance. L’essentiel de l’action doit porter sur la prévention d’une
part et la Diminution de la fréquence d’autre part.
4 1 .1 Définition :
Une pompe centrifuge est une machine rotative qui pompe un liquide en le forçant à
travers d’une roue à aube ou une hélice appelée impulser.
Principe de fonctionnement :
Le fluide pompé entre axialement dans la pompe à travers la bride d’aspiration (6)
puis il est accéléré par la roue en rotation (7) vers l’extérieur. Le profil d’écoulement
du corps de pompe transforme l’énergie cinétique du fluide pompé en énergie de
pression et le guide dans le refoulement (2) ou il quitte la pompe. Le retour du fluide
du corps dans l’aspiration est évité par le jeu d’étranglement (1). Au dos de
l’hydraulique, l’arbre (4) traverse le couvercle de corps (3) qui délimite la chambre
hydraulique. Le passage de l’arbre à travers le couvercle est rendu étanche par la
garniture d’étanchéité d’arbre (8). L’arbre est guidé dans les roulements (9 et 10) qui
sont supportés par le support de palier (5) relié au corps de pompe et au couvercle de
corps.
4 2. La tête de forage :
4.2.1. La vanne :
La vanne est un dispositif destiné à contrôler (stopper ou modifier) le débit d’un
fluide liquide.
4.2.2. Le manomètre :
C’est un appareil de mesure de la pression d’eau
4 2.5 La ventouse :
La vanne a une triple fonction :
- Evacuation d’air à haut débit lors de la mise en eau des canalisations ;
- Admission d’air agrang débit lors de la vidange des canalisations (protection du
réseau contre la mise en dépression des canalisations en cas de rupture de
conduite) ;
- Dégazage à faible débit en exploitation.
Figure 9: la ventouse
Mise en marche :
Le contrôle de la valeur d’isolement du moteur, le réglage de relais thermique en
tenant compte de l’intensité indiquer sur la plaque signalétique de l’électropompe. Le
contrôle de la tension et de l’intensité par phase, elles doivent être équilibrées. Le
contrôle aussi de bon fonctionnement du relais thermique qui doit ouvrir le circuit
s’il ya manque de phase.
La mise en route s’est effectuée avec la vanne de refoulement presque fermée. Le
faible débit limitera quantité de sable aspirée.
La vanne de refoulement sera ouverte très progressivement au fur et à mesure que
l’eau deviendra propre. Bien que le moteur soit protégé contre le sable, il est
important pour la longévité de l’ensemble que la quantité maximum de sable ne soit
pas supérieure à 40 gr/m3
oui non
1 Vérification de la Equipe de oui
tension de l’armoire de maintenance
commande
2 Vérification du Equipe de oui
fonctionnement des maintenance
appareils de puissance
et de commande de la
pompe
3 Vérification de la Equipe de Un enroulement est
résistance des maintenance défaillant
enroulements de moteur
Après le démontage, la pompe est en manque d’huile, nous l’avons complété jusqu’à
avoir le bon niveau.
Nous procédons au montage de la pompe en utilisant une gamme de montage
Tableau 10 : gamme de montage de la pompe doseuse :
Forages M8 M7 M6 M5 M9 M1 M2 M3
I1(A) 6 ,9 6,3 10,2 12,9 2,9 10,5 6,7 1,8
I2(A) 5,6 6,3 9,1 10,5 2,9 8,9 6,2 1,8
I3(A) 6,5 5,6 9,9 12,9 2,4 10 6,9 1,7
V1(V) 232 229 230 230 220 230 230 228
V2(V) 227 229 225 224 222 226 225 224
V3(V) 233 225 230 230 218 230 230 228
V12(V) 396 399 391 322 385 393 392 390
V23(V) 397 393 392 392 380 393 392 391
V31(V) 406 393 401 401 381 401 401 401
P (kW) 2,9 3 ,7 5,1 5 ,9 2,5 4,8 3,2 1,46
Q 3,2 3,2 4 ,1 5,6 2,8 4,7 3,2 1,45
(kvar)
S (kva) 4,4 4,2 6,6 8,2 3,1 6,7 4,5 1,71
P (bar) 1,57 1,31 1 ,08 1,55 4,4 1,81 1,74 1,77
Conclusion générale :
Au terme de notre travail de deux mois effectué à la société d’exploitation des eaux
du Niger (SEEN) de Zinder cas de champ de captage de Gogo, Il était question de
réduire les temps d’arrêt et d’intervention des équipements dans l’objectif de garantir
une fiabilité optimum des équipements de la production d’eau potable.
Pour atteindre cet objectif nous avons proposé une méthode convenable qui pourrait
améliorer la disponibilité des équipements.
Ce travail a été très bénéfique pour nous car :
Il nous a permis de mettre en œuvre les connaissances acquises en classe, de
connaitre le terrain, avoir l’esprit d’équipe mais aussi avoir une certaine maitrise du
fonctionnement des équipements de la production d’eau potable.
Suggestions :
Durant nos séjours de stage à la société d’exploitation des eaux du Niger (SEEN) de
Zinder. Nous avons eu l’occasion d’intervenir sur tous les équipements de la
production en vue réduire les temps d’arrêt de ces équipements, tout en minimisant
les temps d’intervention.
C’est dans ce cadre que nous suggérons au chef d’équipe de la maintenance
l’application de différentes méthodes et la politique de maintenance citer dans notre
travail.
Nous suggérons l’utilisation de la télégestion pour la surveillance et l’utilisation des
altivars pour la commande des pompes et des forages.
Biographie :
Supports de la SEEN
Site internet :
https://fr.m.wikipedia. Org/wiki/maintenance
https://fr.grundfos.com/products/find-product/dmx.html
https://fr.m.wikipedia;org/wiki/pompe-doseuse
https://www.mobility.work.com/fr/blog/utiliser-outils-gestion-maitriser-maintenance
industrielle
Les méthodes de maintenance publié le 31 mai 2018 par Célia Sagnier Pages :
26 ;27 ;28 ;29 ;30 ;31 ;32 ;33 ;34 ;35 ;36.