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MARCHE FINANCIER

I. Bourse et marché financier MF


A. Définitions et présentation générale du MF
1ère définition : Le MF est un marché de capitaux à long terme. Autrement dit, c’est une lieu de
rencontre entre des offreurs de capitaux et des demandeurs de capitaux qui est mondialisé. Pk à long
terme ? Car quand les E et les Etats vont se procurer les capitaux c’est pr une longue période, voir une
période infini.

Les offreurs sont les E, les banques, autrement dit, tous les agents qui ont une capacité de financement.
Les demandeurs sont les E qui veulent du financement pour leurs investissements. Les Etats sont aussi
des demandeurs qui eux, vont chercher des capitaux pr financer leurs déficits.

De plus, cet échange de capitaux doit se faire avec une garantie. En effet, les E et Etats, contre les
capitaux qu’ils vont avoir, vont en contrepartie émettre des titres. Ces titres financiers existent sous 2
grandes familles : LES ACTIONS et LES OBLIGATIONS.

Les actions : ne peut etre émises que par les E. C’est un titre qui représente part de capital de l’e.
Quand un actionnaire apporte des capitaux à une E, il devient en parti propriétaire de cette dernière.
(ex : s’il achète 10%, beh il est proprio à hauteur de 10% de l’e). L’actionnaire a un droit de gestion et
aussi une part de bénef quand il y en a = LES DIVIDENDES. (les dividendes ne sont pas des obligations !)
De plus, l’actionnaire à un statut d’associé. L’E qui récolte des capitaux va disposer de ses capitaux
pour une durée infini car elle ne devra pas rembourser ses derniers.

Les obligations : sont émises par les E et les Etats. C’est un titre de créance, donc l’E qui vend des
obligations à un agent signifie qu’elle emprunte. Emettre une obligation = s’endetter.
L’obligataire n’est pas associé mais préteur. Les obligations ne donnent droit qu’a l’obligataire le
remboursement et le fait de toucher tous les mois des interets fixes.
L’argent que l’on prête à l’E ou à ‘E sera prêter pour une durée très longue.

Le rôle fondamentale du MF est de FINANCER L’ECONOMIE !!!

2ème définition : Le MF est la réunion de 2 marché composant : LE MARCHE PRIMAIRE et LE MARCHE


SECONDAIRE.

Le marché primaire : c’est le marché de l’émission des titre nouveau, appelé aussi le « marché du
neuf ». C’est le marché où les firmes vont répandre pr la 1ère fois des titres qu’elles viennent juste de
créer.
Ce sont les banques et els assurances qui assurent ce marché et l’animent. Elles vont vendre les titres
de l’E contre la somme des ?. L’E paye donc les banques et le assurances pour qu’elles prennent en
charge la vente des titres et des actions.

Le marché secondaire : c’est le marché de l’occasion. C’est le marché où les titres achetés sur le
marché primaire vont pouvoir etre acheter ou revendu. L’action va etre coté sur un marché spécifique
(le marché 2), ensuite on va inscrire son nom et le pris de l’épargne. Un jour précis, connu à l’avance à
9h00, on va ouvrir le marché 2 et la cotation. Tous ceux qui ont acheté au marché 1 pourront donc
revendre et à un prix plus élevé.

PK il peut y avoir des demandes importantes ou faibles ? PK le cout de l’action peut monter ou pas du
tout ? > Car les personnes pensent à l’avenir et que l’e aura des bénéfices et donc des dividendes. Les
acheteurs anticipent donc la rentabilité et la + value.

La + value : c’est quand on va gagner en revendant une action qu’on a acheté en la revendant plus
cher.

REMARQUE 1 : le marché 1 et 2 sont indissociable, les deux doivent etre présent. Tout simplement pck
le marché 2 est celui de la revente, donc si le marché 2 n’existait ps, personne n’achèterait à cause du
prix (car si on achète au M1 on pourra le revendre avec un bénef). De plus, le M2 est une porte de
sortie pr ceux qui veulent se débarrasser de leurs titres. S’il n’y a pas de M2 les firmes auront du mal à
trouver de l’argent.

REMARQUE 2 : le M2 est indispensable à l’eco. En effet, il garantit 2 choses pour ceux qui placent et
qui investissent de l’argent : LA MOBILITE et LA LIQUIDITE
La mobilité : l’argent qui a été investi, n’est pas mobilisé à vie
La liquidité : c’est la faculté pr un titre d’etre vendable ou achetable à tout moment

REMARQUE 3 : le M2 permet aux E de faciliter leurs restructuration = grossir plus facilement. Cela est
possible car le M2 met en place des fusion acquisition (FUSAC). 2 E se rapprochent ou l’une d’entre
elle rachète une autre.

REMARQUE 4 : une minorité d’E sont coté en bourse en France et en Europe car l’entrée sur le marché
crée des contraintes pour les firmes qui peuvent etre trop dures pour elles.

B. Schéma d’ensemble du système financier


Il s’agit du système financier. Le marché financer est dans le système financier.

Système financier : c’est l’organisation de la circulation et du transfert de l’épargne en provenance


d’agent/d’acteur qui détiennent une capacité de financement vers d’autres agents qui ont un besoin
de financement. Ces capitaux circulent dans le système en passant ou à travers 2 pôles essentiels : LE
POLE BANCAIRE (banque) et LE POLE BOURSE (marché financier).

Les agents qui ont les capacités de financement sont les ménages car ils ont de l’épargne et ceux qui
ont besoin sont les entreprises, les administrations...
1.1 Ménages vers les banques > l’épargne des ménages placée en banque.
1.2 Les prêts pour les ménages accordé par les banques.
2 Epargne > flux direct des ménages vers la bourse > achat d’action ou de titre.
Ménages vers l’Etat = impot/épargne ou achat de titre émis par l’état par l’intermédiaire du
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banquier de l’état (trésor public).
4.1 Crédit bancaire accordé aux E = financement bancaire des E.
4.2 Epargne des E qui se retrouve en banque.
Banque vers bourse > flux sortant > les banques achètent des titres sur le marché financier
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pour 2 raisons : soit pr le compte de leurs clients soit pour elle-même.
5.2 Les banques revendent leurs titres
Entre l’etat et les banques > l’etat peut emprunter aux banques e les banques achètent les
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titre de l’état dans un sens et dans l’autre l’etat rembourse
Les E récupèrent les liquidité sur le marché, c’est l’argent que les ménage (2 ou 5.1) ont
7.1
placé en bourse. Financement des E sur le marché.
E vers marché, les E achètent des titres principalement des actions. Elles font ça pck : soit
7.2 pr prendre une participation chez un concurrents pour prendre le contrôle. Et soit elles
achètent pour leurs propres titres (actions).
8.1 L’état vend des titres sur la marché,
8.2 L’etat peut placer de l’argent sur les marché, elle peut les acheter
L’etat verse de l’argent vers les banques et assurances. Soit l’etat va refinancer les banques
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en difficultés (crises), soit l’état va recapitaliser le secteur
10 Subvention versé par l’état aux E

Conclusion du schéma :
Tout ce qui est à droite du schéma renvoi à un financement de l’eco par les marchés fi = économie de
marché financier, c’est l’ex dominant aux USA.
Ce qui est à gauche = financement par le système bancaire = système d’éco d’endettement

Les principaux risques bancaires :


1. Le risque de contrepartie = quand une banque conclu un accord avec un yencli et que ce
dernier fait un risque de remboursement pck soit il a un profil risqué ou insolvable ou soit
pck la maturité du prêt est trop longue. Plus on prête à très long terme plus c’est un risque.
2. Le risque de taux = c’est quand certains client ou banques ont emprunter avec des taux
variables par contrat. Si le taux augmente, beh en tant qu’emprunteur on paye plus.
3. Le risque de liquidité = c’est le risque n°1, l’argent ne circulent plus dans l’eco. Soit les
banques n’ont plus de liquidité et ne peuvent plus les prêter car elles n’arrivent pas à
revendre leur titre. Soit elles ont les liquidité mais ne veulent plus les prêter sous peine de ne pas
etre rembourser.
4. Le risque de change = quand une banque fait une opération de monnaie et que le taux de
change devient défavorable.
5. Le risque pays = c’est quand il y a un risque de contrepartie envers un pays
6. Le risque opérationnel = c’est celui qui recouvre tous les risques humains. Ils renvoient à la
nature humaine, soit en management. En gros le déroulement de l’opération.

C. Entreprises et MF – objectifs d’une introduction boursière


En France, pour parler d’une intro boursière on parle d’IPO
On distingue 2 grands cas :

1. Le cas des grandes E, des grands groupes, des firmes mondialisées


L’intro boursière est pr de motifs stratégiques, pour un développent à long terme.
Les deux raisons stratégiques : FINANCIERE et INDUSTRIELLE

Financière : l’entrée en bourse permet d’accéder à des sources de capitaux qui sont rapides, directs,
et moins couteuse que l’endettement bancaire. Elle va donc améliorer au niveau comptable sa
structure financière (les fonds propres).

Industrielle : c’est une préalable pour un développent futur. L’entrée en bourse va etre un préalable
pour un développement par croissance externe.

2. Les PMI, PME, il y a des marchés spécifiques


Ce ne sont pas motifs stratégiques, car elles n’ont aps forcement de vision à long terme. Les motifs
sont plutôt pragmatiques que stratégiques : A LA DEMANDE DES ASSOCIÉS, pour L’IMAGE et LA
TRANSMISSION

A la demande des associé : ils demandent de côté la société en bourse pour pouvoir sortir du
placement

Pour l’image : Les firmes coté en bourse généralement ont une meilleur image, elles sont plus
attractives pr les investisseur car elles sont généralement mieux contrôlées. L’AMF passe au crible une
E et fonction des résultat elle accorde l’entrée en bourse mais pas sur n’importe quel marché.

La transmission de l’E : les PMI coté en bourse sont + facilement transmissible quand le dg va partir,
la reprise ou le partage est + trkl. la cotation en bourse permet de faciliter tout cela.

Dans tous les cas, grand, moyenne, ou petite E, l’intro en bourse est un facteur très important pour
l’image, on ne parle jamais autant des firmes que quand elles sont cotées en bourse.

II. Marché des actions


A. Marché des actions : définitions et principes généraux
Action : c’est un titre qui représente un droit de propriété sur une fraction du capital social de l’e
émettrice.

Capital social : c’est le nb d’action qui ont été émise par l’e x le prix d’émission de l’action (la valeur
nominale). Ce chiffre sera tjr fixe à moins que l’e ne décide d’augmenter son capital.

La capitalisation boursière : c’est le nb d’action émis x le cours de l’action à l’instant T sur le marché
boursier.

Le capital flottant : ce sont les titres disponible à l’achat sur le marché

L’action va donner 2 droit à l’actionnaire : le droit de vote et le droit aux dividende.

Le droit de vote : les actionnaires théoriquement reçoit annuellement un etat des comptes et des
performances de l’e, ensuite il y a aura l’assemble générale d’actionnaire. Les e se méfient bcp de
petits actionnaires, car on remarque que – l’actionnaire a de capital beh + il est volatile
(instable/infidèle) et donc un risque de perte de contrôle et d’une OPA pour l’e.
Les e limitent donc le droit de vote des petits actionnaires (en fonction du % de capital). Ou créent des
actions ADP (action a dividende prioritaire) donc sans droit de vote. L’intérêt est que le droit de vote
qui est retirée et attribuer à une autre action = action à 2 droit de vente pour les + gros actionnaires.

Le droit aux dividendes : c’est une art de bénef de l’e qui va etre renversé aux associés mais il faut
qu’il y soit des bénef et que la firme est la volonté de les reversé car ce n’est pas obligatoire. Le
dividende est donc variable et non OBLIGATOIRE.
La loi permet pr l’e de verser des dividende autrement qu’en espèce (numéraire), on peut etre
rémunérer en bon d’actions (BSA), ou aussi en actions.

Il y a 4 grades familles de titres d’actions, qui correspondent à des secteurs d’éco

1. Les valeurs cycliques (cycle éco) : elles ont 4 caractéristiques principales =


a. ces actions évoluent // au phases du cycle éco. Ce sont des valeurs dont le cours est
corrélé à l’activité eco.
b. Ces valeurs sont sensibles aux taux d’interets, au risque d’inflation
c. Les marchés anticipent tjr la reprise ou la récession, la valeur des titres se met à chuter
plusieurs mois avant la récession et els cours se mettent à remonter bien avant la
reprise
d. Elles sont volatiles

2. Les valeurs contracycliques (défensives) : elles permettent de mettre de l’épargne en


protection – nécessaire en bourses pour avoir une valeur protectrice. Elles ont 4 caractéristiques
principales =
a. Elles sont sensibles aux évolutions de la conjoncture et notamment en période de crise
et récession
b. Dans ces secteurs, les bénef connaissent une croissance assez régulière
c. Ces valeurs sont intéressantes dans certains cas, elles permettent de passer et
d’attendre qu’un certain cap d’activité soit terminé. En particulier le cap de la
surchauffe éco. (surchauffe = quand l’act devient trop importante, et dans l’éco = un
risque d’inflation)
d. Ces valeurs sont peu volatiles, il faut les acheter en fin d’expansion car l’expansion
risque de mener la surchauffe.

3. Les valeurs de croissance : ce sont des valeurs moins constante, elles instables.
a. Valeurs ou on peut anticiper une forte progression ; ce sont des valeurs ou il y a une
grosse attente
b. Ce sont des valeurs qui appartiennent a des secteurs très porteurs (des start-up, TMT°
c. Le prix de ces actions est généralement élevé voir très élevé, voir surévalué.
d. Ces actions sur performe l’indice (la moyenne d’évolution de la bourse)
e. Les bénef de ces valeurs sont généralement élevé et en phase d’expansion

4. Les valeurs de rendements : ce sont des valeurs qui sont opposé à celles de croissance, elles
peuvent s‘assimiler aux valeurs défensives
a. Ces valeurs sont stables et assez linéaires
b. Ont les retrouvent dans els secteur à maturité (EDF, engie, casino)
c. Son cours d’action n’est pas très cher
d. Les bénef sont assez régulier et les dividendes aussi

STOP PR LE DST !!!!!


B. Détermination des cours d’émission
Pour estimer le cours d’une action à l’émission et à la cotation, il y a 2 méthodes :

1. La méthode de la valeur comptable : on va estimer le cours d’une action avec un rapport, qui
va dire que la valeur comptable de l’action = rapport entre le total des capitaux propres
(numérateur) / le nb d’action émise (dénominateur). Ce calcul est simple mais insatisfaisant
car il ne reflète pas toute la réalité.

2. La méthode du PER (Price Earning Ratio) : c’est un indicateur boursier pr des firmes qui sont
déjà coté à la bourse. Le PER est un indicateur de performance futur et il va indiquer « une
promesse » éventuelle de bénefs. C’est un chiffre brute entre 1 et 100+, qui va indiquer le
degré de futur performance. Le PER est el rapporte n le cours de l’action / le BNA (le bénéf net
par action)

Un PER entre 10 et 17 = une croissance normal de l’e.


Un PER entre 17 et 25 = l’action de l’e est un peu surévaluée, elle est un peu plus chère.
Un PER > 25 = on est dans le spéculatif, en achetant l’action, risque important.
Un PER < 10 = sousévalué
C. Caractéristiques et compartiments du marché des actions
D. Le rôle des indices
a. Présentation du CAC 40
b. Composition du CAC 40
c. Conditions d’admission au CAC 40
d. Enjeux de la cotation au CAC 40
E. Conséquences d’une introduction boursière
F. Actionnariat et contrainte de rentabilité
G. Facteur d’évolution du marché financier

III. Exemples et applications

A. Cas récapitulatif – introduction en bourse


B. Opération à terme sur le marché obligatoire
C. Les options (call/put)

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