Rédigé par : MOUMNE Othmane Remerciements Je remercie tout d’abord Allah de m’avoir donner la santé et la volonté d’entamer et de terminer cette recherche Ce travail ne serait pas riche et n’aurai pas pu le jour sans l’aide et l’encadrement de Monsieur Ouardi Hicham , je le remercie pour sa patience et sa rigueur durant ma préparation de ce travail Mes remerciements s’adressent à mon frère Adam , Qui m’a aidé à accomplir mon travail par ses conseils et ses indications , je remercie aussi mes parents , mes frères , mes amis qui m’ont bien encourager pendant cette période Dédicase
À ma famille et mes amis
Intimes LA Problématique le but de cette recherche c’est d’analyser syntaxiquement l’emphase, en nous basant sur une méthode analytiques et des exemples pertinentes. La première question doit être générale, à travers de laquelle nous allons poser les questions suivantes : C’est quoi l’emphase ? Qu’elle est la relation entre ce type et la grammaire ? Comment pouvons-nous distinguer entre les différents procédés de l’emphase ? Puis, nous allons montrer les caractéristiques de cette forme sur le niveau syntaxique, en définissant le structuralisme et en nous basant sur le modèle x- barre qui va s’appliquer dans la suite sur la phrase clivée. Enfin nous allons viser la cible sur le procédé de la dislocation (définition au niveau sémantique, typologie et caractéristiques syntaxiques) afin de montrer l’influence de ce genre dans les figures de style. introduction
Lorsque nous parlons de la syntaxe , nous nous
accordons à dire qu’elle fait partie de la linguistique , en effet ,cette science sert à traiter des règles qui permettent à expliquer l’ordre des mots dans la phrase (syntagmes) et les liens logiques entre les éléments de cette phrase qui peuvent être obligatoires ou facultatifs . Cette discipline se focalise sur une étude bien détaillé des procédés de l’hierarchisation linguistiques qui permettent de retrouver à travers une analyse linéaire la diversité de l’expérience à rendre . Il s’agit d’une étude qui s’établie sur un ensemble d’énoncés qui permet de savoir les unités qui les composent ; il sert à s’extraire les liens entre ces unités En effet ; cette analyse doit être basée sur une méthode d’analyse ou bien un modèle comme le modèle x-barre par exemple A ce sens ; nous pouvons dire que la syntaxe n’est qu’une partie générative de la grammaire Elle s’agit d’un ensemble de combinaisons qui existent entre les unités linguistiques, elle les donne une fonction grammaticale . La phrase est un ensemble autonome qui réunit les unités syntaxiques organisées à travers différents réseaux de relations ( chaque phrase a une forme). Nous considérons l’emphase comme l’une des 4 formes que peut affecter une phrase , même chose pour les trois autres formes : la négation, le passif et l’impersonnel . L’objectif de la forme emphatique c’est mettre l’accent sur un ou plusieurs syntagmes pour créer un genre d’insistance sur cet élément et le met en valeur . L’emphase met en projection les points forts que l’auteur veut montrer pour constituer un signal d’intention ( une phrase emphatique est une phrase qui exprime des idées dans un style éxagéré). Nous pouvons considérer le modèle x-barre , qui est introduit au début des années soixante-dix , n’est qu’un modèle réglementateur des structures syntagmatiques classiques qui ont échoués à reprèsenter quelques modifications des régularités fondamentales de la constituance des langues naturelles . (les syntagmes s’organisent autour d’un élément axial, qui détermine l’identité catégorielle du syntagme ) . Chapitre 1 : La phrase Emphatique . Axe 1 : c’est quoi l’emphase ? 1-1) La définition L’emphase est l’emploi des termes ou expressions avec une intensité très exagérée où il met en relief l’un des constituants de la phrase par l’intonation ou par l’ordre des mots. .
1-1-2) la phrase emphatique clivée:
La phrase clivée se focalise sur un processus d’insistance très utilisé dans le français parlé et il s’utilise aussi dans le code écrit. La phrase clivée est une phrase dans laquelle on divise la phrase indépendante originale en deux partie : La partie focalisante est introduite par C’est (ici, la forme du verbe peut changer). La deuxième est suivie d’une relative introduite par : Qui si le sujet de la relative est le groupe focalisé Que dans tous les autres cas. 2-1) L’emphase du point du vue des linguistes / des grammairiens : L’analyse de duras : Étudier l’emphase chez duras, c’est faire retour à la rhétorique par le biais linguistique, pour mieux cerner les enjeux d’une posture d’énonciation littéraire. La notion syntaxique d’emphase a été répandue par la grammaire générative et transformationnelle, qui l’a appliquée aux types de phrases. Son lien traditionnel avec la question de l’ordre des mots appelle une triple réserve L’écriture de duras met en jeu, aux niveaux intra-et interphrastiques , une tension entre segmentation et liaison soutenant la représentation de la phrase comme drame syntaxique . Le champ d’analyse sera restreint au tour d’extraction par c’est….. qu’-, système durassien qui se fonctionne comme un signal parodique. Il faut insister sur la composante énonciative de l’emphase, qui intéresse l’écriture de duras dans son rapport à la vocalité. Axe 2 : l’emphase au niveau syntaxique : L’emphase syntaxique se traite à partir du tour de clivage , le dernier conduit à savoir la relation entre le fait de langue et l’effet de style.
1-1) Définition du clivage :
Séparation en divers parties en fonctions de certains principes et critères. Le clivage est lié à l’expression, y compris dans la théorie , psycho-systématique de Gustave Guillaume , Cette théorie repose sur un principe d’actualisation qui mériterait d’être étendu à la phrase. Le clivage est une investigation linguistique et discursive qui conduit à différencier les modes de structuration qui relèvent à les thèmes d’énoncé. Il est développé les conceptions de l’expressivité développées par bally et guillame afin de l’envisager d’un point de vue textuel, entre fait de style et trait de style. Finallement , le tour syntaxique est décrit comme un style d’écriture de marguerite duras qui montre plusieurs formes de motivation contextuelle et le pouvoir singulier dans la construction du discours. Le clivage est susceptible d’être rapporté à une sémiologie textuelle qui engage la créativité de la lecture. Pour conclure, l’interprétation littéraire joue un rôle accordable dans l’appréhension d’énoncé clivé avec l’expressivité syntaxique. Le clivage ramène à deux modèles d’analyse au niveau syntaxique parce qu’il offre un point de passage entre deux types de phrase, liée et segmentée. Le premier est fondé sur l’utilisation d’outil C’est… que qui se fonctionne comme un opérateur syntaxique Claire blanche-Benveniste propose une définition de C’est….. comme un verbe de disposition à variations restreintes , couplé à une pseudo-subordonnée contenant le verbe constructeur de l’énoncé. Le second modèle prend en considération le rôle de la copule être dans sa construction. Sand feld a imposé l’hypothèse d’une transposition à partir d’une proposition relative indépendante.
Axe 3 :le rôle des procédés
emphatiques : La phrase emphatique utilise plusieurs processus syntaxiques pour mettre en évidence un aspect de l’idée , de la question , de l’exclamation. Elle se focalise sur l’effet de répétition et d’insistance pour attirer l’attention du lecteur. L’auteur peut cumuler divers procédés pour donner plus de force à son idée Elles traitent la variation linguistique dans la syntaxe , il met en interrogation la relation entre ce que la tradition logique montre comme un contenu propositionnel et les processus énonciatives qui lui sont appliquées ,Elles portent l’attention aux déterminations contextuelles qui considèrent le clivage et pseudo-clivage comme des variantes stylistiques. Sans oublier que ses procédés entrainent des rectifications entre le sujet de la phrase et le propos. Chapitre 2 : études syntaxiques de la phrase emphatique
Axe 1 : l’école structuraliste
La grammaire générative est une théorie
linguistique qui est élaborée par Noam chomsky et les linguistes de MIT dans les années 60. Cette théorie vient comme une rupture contre le distributionnalisme et le structuralisme. Chomsky la définit comme un exposé d’invention et de la créativité du sujet parlant pour savoir sa capacité à énoncer et à comprendre un nombre de phrases inédites . Pour chomsky , la grammaire est un dispositif fini qui permet d’engendre l’ensemble illimité de phrases grammaticales bien formées et justes d’une langue . La notion syntaxique d’emphase qui veut dire l’insistance et l’accentuation. Cette notion a été répandue par la grammaire générative et transformationnelle qui l’a employée aux types de phrases ( son lien avec la question de l’ordre des mots appelle une triple réserve). La même notion doit mettre en interrogation pour que la construction du phrase respecte les restrictions grammaticales. f
Axe 2 : Analyse syntaxique de la
phrase clivée. dans la phrase clivée, on divise la phrase originale en deux parties : La partie qu’on veut insister est introduite par C’est, et la partie focalisée est suivie d’une relative introduite par : Qui si le groupe focalisé est le sujet de la relative. Que dans tous les autres cas. Le cas D’analyse ( la focalisation des éléments de la phrase clivée) Si le sujet du verbe de la phrase est l’élément accentué, on utilise C’est…..que. Si l’élément focalisé est un pronom personnel, le verbe de la relative s’accorde en genre et en nombre avec l’antécédent du pronom que. Ex : Mustapha vient en automne. - C’est Mustapha qui vient en automne. EX2 : je lui ai déclaré la plainte -c’est moi qui lui ai déclaré la plainte .
Focalisation d’un autre élément :
Si on focalise sur un élément qui se fonctionne comme un complément de verbe direct , un complément de verbe prépositionnel, un complément de phrase ,un complément du nom, un complément d’adjectif, un attribut , un complément d’agent , un adverbe de temps ou de lieu , on utilise cette forme : C’est + élément extrait + que Ex : il a regardé ce match C’est lui qui a regardé ce match
NB : la construction clivée est fréquemment
utilisée dans les phrases qui contiennent un superlatif. EX : C’est lors de ce voyage à bruxelles que j’ai bu la meilleure bière de ma vie. Attention à la forme des pronoms : Quand les pronoms à un référent animé, les formes pleines focalisées sont les mêmes formes pleines utilisées comme un constituant prépositionnel. Mais quand la référence du pronom est un nom animé, les formes prépositionnelles et les formes focalisés sont différents.
Les éléments des formes syncrétiques
sont dissociés :
La fusion de cette forme a été divisée en deux
éléments. Un pronom faible (lui, leur, en) est une construction syncrétique qui inclut la préposition. Ex : il me regarde, le pronom me signifie (à+je). Ex : je lui frappé, lui démontrer (à elle) Ex : elle en rêve, il signifie (de ça). Quand le pronom n’est plus épaulé au verbe comme dans la forme clivée, il faut rétablir la préposition cachée dans le pronom. Exemples avec divers pronoms : EX : elle le sait = C’est elle qui le sait. EX : il le sait = C’est lui qui le sait. Accord du verbe être : Dans le code écrit, si le sujet est un groupe nominal pluriel ou un pronom de personne. Le verbe être du groupe introducteur se met au pluriel. Ex : ce sont tes parents qui ont achetés ce cadeau. Ce ne sont pas eux qui l’ont acheté.
La focalisation avec C’est : limitations
Focalisation d’un adverbe La focalisation se fait avec certains adverbes, et elle dépend des relations sémantiques contrastes au sein du contexte. Cas particulier de ne…….que Pour que la focalisation d’un élément en fonction de sujet ou CVD soit efficace en l’encadrant par ne ……….que . EX : il est le seul qui m’ait aidé Il n’ya que cet ami qui m’ait aidé. Focalisation du verbe Il sera possible si elle est développée par une construction négative qui simplifie le sens. Focaliser un verbe qui n’est pas accompagné d’aucun autre élément focalisable. Le mécanisme est assez simple. Ex : C’est manger que je veux, pas boire. La focalisation d’une subordonnée Pour focaliser des subordonnées adverbiales de cause, de but, de temps, il faut avoir des raisons sémantiques et logiques. Nous ne pouvons pas focaliser toutes les conjonctions et il faut donc mieux éviter de focaliser les subordonnées adverbiales. NB : les phrases pseudo-clivées représentent un procédé de focalisation qui se base sur une proposition relative qui contient le thème et d’une partie introduite par C’est qui représente le propos . L’ordre est l’inverse de celui des phrases clivées .
Axe 3 : l’application du modèle x-barre
sur la phrase clivée La théorie x-barre est une théorie qui a été proposée par noam chomsky en 1970 dans le cadre de la linguistique générative. Elle permet d’émouvoir des processus sur la classe des catégories grammaticales possibles qui permettent une mise en parallèle de ces dernières à une généralisation de plusieurs règles . La syntaxe X’ trouve sa formulation dans une proposition de chomsky. Elle traite par la suite une hypothèse forte sur la nature des catégories lexicales et syntagmatiques comme le nom, le syntagme nominal, le verbe, le syntagme verbale et leur représentation profonde. Le modèle chomskyen se repose sur deux parties de représentation , une partie de la structure profonde et l’autre de la structure de surface , chaque niveau est un résultat de l’application des règles spécifiques : les règles de réécriture et d’intégration lexicale pour les structures profondes, les transformations pour les structures de surface . La structure de la phrase est englobée par un principe de projection. Ce principe veut montrer que toute information lexicale est représentée au niveau syntaxique. On peut considérer la phrase clivée comme une phrase composée. Une phrase qui se compose de deux verbes conjugués (verbe+ spéc). Cette phrase se divise en deux parties : la partie qui est introduite par C’est. Et la deuxième partie est suivie d’une relative ,donc on peut la présenter dans deux propositions syntaxiques . On prend l’exemple : C’est Mustapha qui vient en automne. P’ Comp flex’’ N’’ flex’ Spéc(N’) N’’ flex V’’ N comp(N) sp(v’) V’ P V N’’ Comp flex’’ spéc(N’) N’ N’’ flex’ N comp Spéc(N’) N’ flex V’’ N comp sp(v’) v’ V prép’’ Spéc(prép’) prép’ Prép N’’ Spéc(N’) N’ N comp Chapitre 3 : la dislocation Axe 1 : une définition générale et son rôle dans le sens d’une phrase Une dislocation, un double marquage ou reprise nominale, est un procédé d’emphase comme le clivage. Ce genre emphatique se focalise sur un constituant qu’il détache en tête ou en fin de phrase et la reprise du constituant par un pronom. Il s’emploie beaucoup dans l’oral. Les structures disloquées viennent comme une rupture avec l’ordre canonique de la syntaxe française, qui oblige un ordre des mots de type (sujet+verbe+objet) L’ordre qui respecte les règles de la structure traditionnelle. La dislocation est une élaboration syntaxique dont un des éléments est détaché en début ou en fin de phrase (à gauche ou à droite du verbe) Ce procédé représente l’avènement des travaux qui concentre sur l’oral et sur l’interaction sociale. Ces nouvelles recherches ont permis de porter un regard critique sur un certain nombre de présupposés de la linguistique et sur ses unités d’analyse. On qualifie communément de dislocations à droite ou à gauche des constructions syntaxiques dans lesquels un argument du verbe est exprimé deux Foix, par un pronom et un syntagme détaché.
Axe 2 : typologie et
caractéristiques syntaxiques de la dislocation. Dans l’habitude, le syntagme mis en relief (à gauche ou à droite) est un SN focalisé et défini (pronominal ou nom) correspondant à différentes fonctions dans la phrase (le sujet, l’objet direct ou indirect ou le complément circonstanciel). Dans le dernier cas, nous constatons que seule la dislocation à gauche est possible. Sujet : ils sont tous nuls, les élèves. Les élèves, ils sont tous nuls. Objet direct ou indirect : Elle, je la connais / je la connais, elle Complément circonstanciel Maldive, on peut passer des bons moments. La dislocation peut viser, tant à gauche qu’à droite des attributs ou des adverbes qui sont attribués par un pronom clitique. Dans le cas de l’attribut, le SN disloqué peut être un adjectif ou un syntagme nominal sans déterminant. Acteur, il le restera toujours. Sans oublier que l’élément de reprise pour une structure disloquée ne sera pas toujours un pronom clitique qui se place devant le verbe. On peut trouver un constituant disloqué repris par un déterminant possessif à l’intérieur d’un syntagme nominal ou un pronom contenu dans un syntagme prépositionnel. Ali, je parle souvent de son échec. Les autres pronoms et les déterminants possessifs peuvent reprendre le syntagme disloqué. EX : paul, pierre s’est battu avec cet idiot. La dislocation peut être repris par le pronom en si elle est ciblée par un objet indéfini pluriel. Des yeux de statue, on en avait vu par milliers. Il existe d’autres cas de dislocation qui mettent en conférence un caractère générique au syntagme périphérique. Celles-ci se forment avec les pronoms démonstratifs Cela ou ça. Le SN disloqué peut être soit défini, soit défini. Ex : ça dérange beaucoup, un bruit. 2-1) dislocations multiples : La dislocation ne se limite pas à un seul constituant dans la phrase. Ex : je le lui ai donné, le manuel, à ali. 2-2) La dislocation dans les complétives : Les exemples que nous avons traités, se limitent aux cas ou l’élément disloqué et le pronom de reprise se trouvent dans la même proposition mais ils peuvent se trouver dans des propositions distinctes. Cette fille, on m’a dit qu’elle était brillante. On constate que l’élément disloqué peut se trouver en tête d’une complétive déclarative ou relative 2-3) Quelques différences entre dislocation à gauche et dislocation à droite :
Il existe certaines différences syntaxiques entre
la dislocation à gauche et la dislocation à droite. La première différence se focalise sur la construction de l’élément disloqué lorsqu’il correspond à un complément du verbe de type prépositionnel La présence de la préposition est importante dans la dislocation à gauche. Une autre différence se concentre sur la distribution des éléments périphériques de la phrase. Les syntagmes disloqués sont suivis par les pronoms interrogatifs. Mais dans la dislocation à droite, c’est l’image miroir que nous obtenons parce que les syntagmes gardent la position d’origine.
Axe 3 : l’influence de la
dislocation sur les figures de style. Les figures de style sont des processus expressifs par lesquels l’auteur cherche à convaincre son lecteur. La dislocation est la volonté de mettre en relief un sujet, c’est un processus emphatique, tous ceux qui veulent insister sur un sujet ou persuader leur auditoire l’utilisent. Cette figure a une réputation qui fait le plaisir aux journalistes politiques. L’influence de la dislocation sur les figures de style a été commencée dans les débats politiques. La nouvelle figure de style récurrente de François hollande s’appelle la dislocation à gauche. à la lumière du débat présidentielle entre François hollande et Nicolas Sarkozy. Le premier avait fait refléter l’anaphore mais l’autre n’avait pas été en reste en redécouvrant une épiphore. L’utilisation de ces figures de style dans le discours par les politiciens était le travail de la presse et surtout l’anaphore. Mais une nouvelle figure de style a été apparue dans le discours présidentiel c’est la dislocation avec l’habitude d’ajouter un pronom personnel après un sujet dans une phrase. Voici quelques exemples relevés notamment par L’AFP et libération lors de la conférence de presse organisée. L’Europe, elle a besoin de la France parce que nous sommes la deuxième économie de l’europe. La dislocation a un emploi immodéré du double sujet qu’elle rend une figure du style très répandue dans les discours politiques. Conclusion Nous pouvons confirmer que nous avons répondus aux questions posées dans la problématique. En effet, l’école structuraliste vise à privilégier la totalité par rapport à l’individu, la synchronicité des faits plutôt que leur évolution, et bien sur les relations qui combinent ces faits plutôt que les faits eux-mêmes dans leur caractère hétérogène et anecdotique. Nous avons définis l’emphase, ses caractéristiques qui apparaissent nettement au niveau syntaxique, mais aussi les procédés emphatiques, surtout le procédé de la dislocation .Nous pouvons ajouter aussi que nous sommes très satisfaits de cette recherche, car nous avons atteint des nouveaux objectifs. En effet, cette recherche nous a permis de comprendre et apprendre à maitriser et de distinguer entre les différents procédés de l’emphase , en nous appliquant le modèle x-barre sur les phrases clivées. Nous pouvons ajouter au préalable que la théorie x-barre qui permet de capturer la généralisation d’endocentricité, inclure des informations lexicales dans la syntaxe , c’est-à-dire le principe de projection , afin de distinguer des niveaux structurels. Cette théorie permet donc de faciliter et de simplifier la syntaxe en désignant par des symboles les classes naturelles. Nous pouvons considérer l’emphase comme une figure de style , qui sert à exagérer une façon de s’exprimer oralement ou l’inverse, ce qui nous montre que cette figure désigne un groupe des procédés d’insistance qui permettent d’enrichir un propos ou bien de mettre en valeur une idée. Pour conclure nous allons ajouter à cet effet que cette recherche n’est qu’une étape primaire pour une carrière professionnelle que pour des études plus approfondies, parce que nous ne prétendons pas avoir résoudre le problème posé dans son intégralité.