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Le travail est aussi vieux que l’homme. Pour certain l’homme se réalise par le travail, pour
d’autre le travail est un châtiment, mais en réalité il y a des milliards de personnes sur terre qui
travaillent ou qui font travailler. Ce monde est régit au départ par une liberté absolue, mais petit à
petit les gens ont réalisé qu’il fallait organiser ce monde du travail. Et c’est comme ça que le
droit du travail a vu le jour.
Définition
C’est le droit qui organise la société pour que les gens puissent vivre de leur travail et en vivre de
façon décente.
Le droit du travail trouve sa 2ème source principale dans le code du travail de 1946, dans la loi des
accidents du travail de 1943 et dans la loi sur la sécurité sociale de 1963.
Les juridictions
Elles sont au nombre de 2 :
La commission arbitrale des conflits collectifs
Le conseil arbitral du travail (CAT)
Il est prévus par l’article 77 du code du travail. Ils excitent des CAT dans chaque “mouhafaza” :
- 5 à Beirut
- 3 à Month Liban (Baabda)
- 2 dans chaque autres mouhafaza (Zahle, Tripoli, Saida, Nabatiyeh)
Chaque CAT est constitué d’un magistrat président, d’un représentant des employeurs, d’un
représentant des salariés et d’un commissaire du gouvernement. Le conseil tranche tous les
conflits individuels dans le travail, et le jugement qu’il rend peut-être attaquer devant la cour de
cassation. Il n’est pas nécessaire d’avoir un avocat devant le CAT, et la procédure est totalement
gratuite.
Chapitre 1 : L’entreprise
L’entreprise est définie par Larousse comme étant une affaire commerciale ou industrielle
dirigée par une personne morale ou une personne physique.
Au regard du droit du travail, l’entreprise est le cadre concret où se développent les rapports
individuels et collectifs du travail. C’est le lieu où les travailleurs exercent leurs activités et où se
développent leurs droits et leurs obligations ainsi que ceux du chef d’entreprise.
1er sens : C’est le lieu physique où les salariés développent leurs activités :
- C’est une notion purement matérielle dont l’intérêt est de définir qu’elle est le tribunal
compétant en cas de litige entre employeur et salarié.
- De plus cette définition permet de déterminer si les règles d’hygiène et de sécurité sont
appliquée par l’employeur.
- Cette définition permet aussi de définir les limites géographiques de l’obligation de non
concurrence.
En principe, a la fin du CD, le salarié est libre de travaillé matra7 ma bado. Cependant, le CD
peut avoir une clause de non-concurrence. Cette clause va interdire au salarié de travaillé chez un
concurrent après la fin du CD. Pour que cette clause soit valable, elle devra contenir une limite
dans le temps et dans l’espace. Pour connaitre la limite de zone de non-concurrence, on prend
l’entreprise comme centre de zone.
A. L’objet :
Pendant longtemps, l’objet économique été exigé, on considéré l’entreprise comme entreprise.
Mais aujourd’hui, on considère que l’entreprise peut avoir n’importe quel objet économique ou
non-économique pour vue qu’il ne soit pas contraire à l’ordre publique et au donneur.
B. Le personnel :
Au regard du droit du travail, une entreprise n’existe pas sans personnel.
C. L’organe directeur :
Dans toute cellule sociale, l’entreprise a besoin d’un chef pour la diriger. Ce chef peut être une
personne physique ou un groupe de personnes physiques (conseil d’administration).
A. Pouvoir sur les choses : Comprend de choisir et de disposer des choses au sens strict.
Mais il comprend aussi le droit de choisir et de changer l’activité de l’entreprise, sa
forme, son lieu et les méthodes de travails. Ce pouvoir est absolue et discrétionnaire.
B. Pouvoir sur les personnes : Ce n’est pas un pouvoir sur la personne physique du
salarié. Il s’exerce à 3 niveaux :
o Le pouvoir d’embaucher : L’employeur est la seule personne a embauché des
salariés, et son pouvoir dans ce sens est illimité, c’est-à-dire que l’employeur peut
engager autant de personne qu’il veut et qui il veut sans donner de justification.
La seule limite au pouvoir d’embaucher se trouve sur le travail des étrangers.
2) Le pouvoir réglementaire
L’employeur a le pouvoir de règlementer le pouvoir dans son entreprise comme il le désire. Pour
cela le code du travail lui donne le droit et parfois l’obligation (quand il a plus que 15 salariés) de
rédiger un règlement intérieur. Ce règlement intérieur doit obtenir l’approbation du ministère du
travail. Une fois cette approbation obtenue, le règlement intérieur doit être afficher dans
l’entreprise dans un endroit accessible aux salariés. Ce règlement intérieur va déterminer les
droits et les obligations des salariés, les sanctions qu’ils peuvent se trouver, les congés, …
3) Le pouvoir disciplinaire
C’est le troisième et dernier pouvoir du chef d’entreprise. C’est un pouvoir qui surprend et qui ne
surprend pas. Il surprend, car on se demande en vertu de quoi un employeur peut infliger des
sanctions à ses salariés. Il ne surprend pas, car il est normal qu’un chef d’entreprise puisse gérer
son entreprise à travers ce pouvoir disciplinaire parce qu’il n’y a pas d’ordre sans sanction.
En droit du travail il n’y a pas de liste de fautes disciplinaires ni une liste de sanctions
disciplinaires établies par l’état. Le salarié est désigné fautif par l’employeur et donc susceptible
de sanctions à chaque fois qu’il commet un manquement à ses obligations. C’est l’employeur qui
inflige les sanctions aux salariés.
Si ces 3 éléments sont vérifiés par le CAT, le CAT va déclarer la sanction légale et vat ce
dessaisir. Le CAT n’a pas le droit d’intervenir quand a l’opportunité de la sanction c.-à-d. si elle
est adéquate a la faute commise ou pas.
Chapitre 2 : Les rapports individuels du travail - Le contrat de travail
individuel
2. Le travail doit être libre, c’est une conséquence du principe de la liberté de travailler ou
non et de choisir son travail. En effet, il n’y a pas de travail forcer obligatoire, tout
homme est libre de travailler ou de ne pas travailler ou de choisir son travail. En principe
quand la prestation de travail n’est pas libre, le contrat de travail est nul, mais il y a des
cas où le contrat de travail est signé de façon forcée et cependant le contrat n’est pas
considéré nul par la loi :
Le service civil
La réquisition (l’état a le droit de réquisitionner et à forcer le travail)
L’assurance chômage
3. La prestation travail doit être accomplie en dehors de certains cadres, c’est ce qu’on
appelle les exclusions. Il y a 2 sortes d’exclusions dans la loi :
Les exclusions par nature :
o La fonction publique : Les fonctionnaires de l’état quand il travail pour
l’état ne sont pas soumis au code du travail mais au code de la fonction
publique.
o L’état religieux
Les exclusions législatives : Ce sont les cas où le législateur dans chaque pays
décide d’exclure certaines catégories de travail et de travailleurs de l’application
du code du travail. Ces cas diffèrent d’un pays à l’autre. Au Liban ces cas sont les
suivants :
o Les domestiques dans les maisons des particuliers.
o Les salariés agricoles. Lorsqu’un salarié travail dans l’agriculture dans une
entreprise purement agricole, il est exclu du code du travail
o Les salariés de l’état qui ne sont pas fonctionnaires de l’état. Ils ne sont
pas soumis au code du travail par la volonté du législateur.
o Les professionnels libéraux qui font partie d’un ordre professionnelle
(avocat) exception certains ingénieur.
ii. La rémunération
C’est le second élément du contrat du travail. C’est un élément indispensable au contrat de
travail. En effet il n’y a pas de contrat gratuit, le contrat gratuit c’est du volontariat. On applique
là un principe général du droit : “Tout travail doit être rémunéré et tous salarié a droit à un
salaire”. Le salaire appelle plusieurs commentaires :
a) La notion de salaire
Que doit être le salaire ? A-t-on le droit de payer n’importe quel salarié aux salariés ? Le salaire
doit-il être fixer en fonction de la capacité de l’employeur à payer ou des besoins du salarié, ou
des 2 à la fois ?
- Le salaire en fonction du travail fournis : Traditionnellement ce prix est comme le prix
de travail, et ce prix comme tout prix était connu grâce à l’offre et la demande, mais dans
ce concept l’Homme était complètement oublié c’est ce qui a amené à la 2ème conception
- La réalité est mixe : On se laisse influencer par la 2eme conception pour atténuer la 1ère
sans pour autant l’abandonner. La 2eme conception nous permet de déterminer le salaire
minimum à partir de ce seuil, va jouer la loi de l’offre et de la demande.
Toute ces formes de salaires sont légales, et toutes les combinaisons entre ces formes de salaires
sont possibles. Souvent, il y a un salaire classique combiné à d’autres formes de salaire
o Le contenu du salaire
Généralement, le salaire contient une partie évidente dite salaire de base, mais il arrive en plus de
ce salaire de base le salarié reçoive d’autres rémunérations en contre partie ou à l’occasion de
son travail ex : les heures de travails supplémentaires, un bonus occasionnel, etc.
3 critères nous permettent de déterminer quels sont les montants qui font partis du salaire :
1. Tous les montants qui sont payés au salarié en remboursement de frais effectivement
engagé dans l’intérêt de l’entreprise et non dans l’intérêt propre du salarié et sont destinés
à empêcher le salarié de “s’appauvrir” ne font pas partit du salaire. Ex : les indemnités de
transports effectivement engagés, les frais de représentation, la prime de salissure.
2. Les montants qui sont payés au salarié accidentellement, occasionnellement, que le
salarié ne peut prévoir et sur les quelles il n’eu peux compter ne font pas partir des
salaires. Ex : prime de mariage, prime de natalité, bonus occasionnels
3. Les montants qui sont payés au salarié de façon constante, fixe et généralement font
partis du salaire. Ex : le 13eme mois.
Petit à petit la juriste prudence a abandonné les deux conditions de généralité et de fixation, elle
s’est contentée uniquement du critère de constance de la répétition. Malgré sa simplicité, ce
critère suscite des problèmes au niveau de plusieurs payement qui pourtant sont constant :
1. Les primes de scolarité
2. Les indemnités de déplacement. Il y a 3 catégories :
a. Les indemnités de déplacement qui font partie du 1er critère ne font pas partie du
salaire
b. Les indemnités de déplacement remboursent des frais engages par le salarié mais que
celui-ci était supposé supporter de lui-même, c.a.d le prix de son déplacement pour
venir et quitter du travail. Ce paiement devrait faire partie du salaire mais la loi qui a
fixé l’indemnité de transport quotidien à 8000 LBP par jour de travail effectif a
précisé que ces indemnités ne font pas partie du salaire.
c. Les indemnités de déplacement forfaitaire. Ces indemnités de transport font partie du
salaire
La dépendance juridique est un fait qui peut être prouver par tout moyen. Le CAT ne se contente
pas d’un seul critère mais s’appuie sur un faisceau d’indices pour retrouver la dépendance
juridique (DJ) dont le lien de subordination (LS) du contrat de travail (CT). Quels sont ces
indices (il faut qu’il y ait plusieurs indices pour dire qu’il y’a dépendance)
3. Le mode de rémunération : Si le salaire est payé au temps, c’est un fort indice qu’il y
a DJ donc il LS et CT
Ainsi, grâce a ce faisceau d’indices, les juges du CAT vont pouvoir bâtir leur conviction et
qualifier le contrat de CT ou non.
Le contrat de travail peut être a durée déterminée ou indéterminée. Le CDD est un contrat dont le
terme est fixé à l’avance par les parties. Ce terme peut être une date, une durée ou un événement.
Le CDI est un contrat dont le terme n’est pas fixé au départ par ces parties. Le CDD se termine à
l’arrivée de son terme sans aucun préavis et sans conséquence, alors que l’extinction du CDI est
soumise à des conditions et emporte des conséquences. Les CAT considère que tous CDD qui se
renouvellent et dont la durée totale dépasse 2 ans se transforment automatiquement en CDI
D. Le terme et la condition
a. Le terme (voir si CDD et CDI) Le terme peut être une date, période de temps ou
événement.
b. La condition : La condition la plus courante dans un contrat de travail est la condition
d’essais. C’est une condition prévue par l’article 74 du code du travail. Cette condition
d’essais est spécifiée à 3 mois du contrat de travail, c’est une condition que si elle se
réalise met fin au contrat de travail. Durant cette période, l’employeur et le salarié
peuvent mètrent fin au contrat de travail à n’importe quel moment sans aucune
conséquence.
E. Les conditions spéciales du travail des femmes et des enfants (articles 21 à 29)
a. Les enfants : Un enfant n’a pas le droit de travail Si :
- Il n’a pas 13 ans révolue (yaane 7tafal bi 3id el 14).
- Il doit obtenir un certificat de santé du ministère de la santé et ne peut travailler
plus que 7 heures par jour.
- Doit avoir 1 heure de repos chaque 4 heures de travail.
- Il est interdit aux enfants de travail pendant 19h le soir et 7h le matin.
b. Les femmes :
Il est interdit aux femmes de travailler dans les industries mécaniques et industrielles
Il est interdit aux femmes de travailler entre 20h et 5h du 1er Mai au 30 Septembre et entre
19h et 6h du 1er Octobre au 30 Avril.
Chaque femme a droit à 10 semaines de maternité congés payé, et il est interdit à
l’employeur de licencier une femme durant sa grossesse et durant son congé de maternité.
Le régime du surplus de travail : L’article 33 du code du travail dispose “Il est possible
de déroger au principe de la semaine des 48h dans les seules limites de 12h par jour
maximum et aux conditions suivantes :
Les règles relatives au travail des enfants et des femmes soient respectées.
Les tâches à accomplir est un caractère exceptionnel et urgents.
L’employeur doit informer dans les 24h qui suivent le ministère du travail de ces
heures supplémentaires.
L’heure supplémentaire doit être payé 1 fois et demi.
B. Les congés :
Ils se divisent en 2 grandes catégories :
1. Les congés ordinaires
Les jours chaumés : Ils se divisent en 3 catégories :
Les jours chaumés légaux : Ce sont les jours pour toutes les entreprises
sont obligées de chaumer sous peine d’amande et de prison. Ce sont la
fête de l’indépendance (22 novembre), la fête du travail (1 mai), et la fête
de la délivrance (25 mai)
Les jours chaumés officiels : Se sont les jours où l’état chaume et qui ne
sont pas obligatoire pour les entreprises privées (Noël, Pâques, etc)
Les jours chaumés conventionnels : Se sont les jours où certaines
entreprises chaumes (St Joseph pour USJ)
Le contenu du salaire
A. La politique des salaires et des contenues
Tout état doit pratiquer la politique de salaire et ne peut payer n’importe quel salaire au salarié
puisque ce dernier a un impact a l’économie. Le salaire ne doit être ni bas ni très haut pour ne
pas affecter le salarié.
B. Le salaire minimum
L’article 44 d code du travail distingue entre le salaire minimum vital qui ne doit pas être
inférieur au salaire minimum légal. Selon l’article 45, le salaire minimum est fixé par une
commission spéciale (commission des indices) dans lequel se trouve les employés, les
employeurs et le ministère du travail. L’article 46 stipule que le salaire minimum doit être revu
chaque fois que les conditions économiques auront changé, aujourd’hui le salaire minimum est
de 675 LBP depuis 2012 suites a :
1. Le salaire minimum s’applique aux personnes moins de 20 ans
2. Le SM s’applique aux hommes et au femmes
3. Le SM s’applique aux personnes dans le code du travail
4. Le SM s’applique que pour un travail plein temps (travaille plus de 20h par semaine)
Les modifications substantielles sont celles qui touchent un élément du contrat qui a étais pris en
considération par la volonté des parties au moment de la signature du contrat.
Les modifications accessoires touchent les éléments qui ne changent pas la volonté des deux
parties.
Les parties peuvent modifier les modifications accessoires au travail librement alors que les
modifications substantielles ne peuvent être modifiées par une des 2 parties sauf, si elles sont
prévues dès le départ par le contrat.
Si l’une des parties impose une modification substantielle à l’autre, elle sera considérée comme
ayant volée le contrat.
Cas de SA :
La maladie en dehors du congé maladie
La maternité en dehors du congé maternité
La grève
Les devoirs civiques
La paralysie de l’entreprise
L’emprisonnement préventif
La mise à pied
Cas de SR :
Le congé annuel
Le congé maladie
Le congé maternité
Le congé de famille
Les jours chaumés
Ce droit est reconnu par l’article 50 qui soumet cette résiliation unilatérale a des conditions et
défini les responsabilités qu’elle engage si elle est utilisée abusivement.
1. L’application de cette condition : Cette condition s’applique au CDI. Le préavis n’a pas à
être donnée si la résiliation repose sur u événement grave. Les événements grave sont
ceux mentionnés aux articles 74-75 du code de travail. En effet l’article 74 du code de
travail permet à l’employeur de licencier un employé sans préavis si un salarie commet
Usurpation d’use fausse nationalité
Durant les 3 mois d’essaie
Les négligences délibérées
La violation du règlement intérieure 3 fois par ans malgré l’avertissement
L’absence du salarie sans prévision pendant 15 jours ou 7 jours de suite
Agression verbale ou physique
2. La durée du préavis : La durée du préavis est entre 1 mois et 4 mois selon l’ancienneté
Ancienneté Préavis
De 0-3 mois : période d’essai Pas de préavis
De 3 mois a 3 ans 1 mois de préavis
De 3 ans a 6 ans 2 mois de préavis
De 6 ans a 12 ans 3 mois de préavis
+ de 12 ans 4 mois de préavis
3. La forme de préavis : Le préavis doit être fait à l’écrit et doit notifier l’autre partie.
4. Les effets du préavis : Le préavis n’a pas pour effet de mettre fin au contrat de travail
mais de l’annoncer. C’est pourquoi en cours de préavis le contrat de travail continue de
produire tout ces effets selon l’article 51 du code de travail, le salarie à le droit de
s’absenter 1 heure chaque jour en cours de préavis pour chercher du travail.
5. Les sanctions du préavis : L’article 5 stipule que la partie qui ne respecte pas le préavis
doit payer à l’autre partie une indemnité
B. Les conséquences
Lorsque la résiliation du CDI est légitime c.a.d lorsque le préavis a été donne selon la loi et
lorsque la résiliation a des causes liées au travail il n’y a aucune conséquence a cette résiliation n,
le salarie pourra alors liquidée ces indemnités de fin de services au près de la caisse nationale de
la sécurité nationale. Par contre si la résiliation est illégitime. C.a.d si le préavis n’a pas été
respecté ou la résiliation n’est pas relatif sur le travail, la partie qui résilie le contrat d’une façon
illégitime devra paye à l’autre partie une indemnité.
Si c’est une démission abusive, le salarié devra paye à l’employeur une indemnité qui varie entre
0 et 4 fois le dernier salaire mensuel.
Si le licenciement est abusif, l’employeur devra paye au salarie une indemnité qui varie entre 2
fois et 12 fois le dernier salaire mensuel.
C’est le CAT qui va fixer le montant de l’indemnité, pour cela il va se base sur :
L’âge du salarie
Sa position dans l’emploie
Sa situation familiale
Son niveau académique
Son ancienneté
Son expérience.