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LIVRE
DE Par TAPEYOUM François Xavier
CHEVET
LECON 1 : INTRODUCTION A LA COMPTABILITE DE LA PAIE
DU GRH
A – DEFINITION
N01 La comptabilité de la paie est un système d’organisation de l’information financière relative aux
dépenses concernant d’une part, la rémunération « directe » servie aux salariés selon des critères arrêtés
dans les conventions collectives et les contrats de travail ; d’autre part, la rémunération « indirecte »
servie aux salariés selon des critères arrêtés par les organismes sociaux qui la répartissent entre les
salariés en fonction de divers critères ou événements, exemple : maladie, chômage, départ en retraite…
B – LES SALARIES
C’est l’ensemble des personnes qui se placent sous l’autorité d’une autre personne considérée
comme employeur pour apporter leur travail en échange d’une rémunération appelée salaire.
C – LE SALAIRE
C’est la contrepartie du travail que le code du travail définit comme « la rémunération ou les
gains susceptibles d’être évalués en espèces fixés soit par accord, soit par dispositions réglementaires ou
conventionnelles qui sont dus en vertus d’un contrat de travail écrit ou verbal par un employeur à un
travailleur, soit pour le travail effectué ou devant l’être, soit pour des services rendus ou devant l’être ».
(Code de travail article 61 alinéa 1)
A – LE SALAIRE DE BASE
C’est un salaire à la base de la conclusion du contrat de travail. Il est fixé selon les conventions
collectives ou d’après la négociation entre l’employeur et l’employé ou suivant les contrats. Il peut varier
d’un secteur d’activité à un autre, d’une zone de salaire à une autre, d’une catégorie professionnelle à une
autre, d’un échelon à un autre mais également d’un employé à un autre…
Le salaire de base est un élément de rémunération versée au travailleur assis sur la durée normale
du travail.
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2) LES HEURES D’EQUIVALENCE
Elles sont admises dans certaines professions pour combler les moments d’inactivité. Elles
correspondent aux heures normales.
La récupération se fait les jours ouvrables en respectant le repos du travailleur. Elle est limitée :
N.B. : les heures d’équivalence de prolongation et récupération sont payées au taux normal
1) DEFINITION
Les heures supplémentaires sont celles effectuées au-delà de la durée normale (40 heures par
semaine) et qui ne sont pas considérées comme des heures d’équivalence, de prolongation, de
récupération ; ou les heures effectuées les dimanches, les jours fériés et la nuit après 22 heures (pour les
employés travaillant le jour).
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Les heures supplémentaires sont cependant limitées à 20 heures par semaine
Si le salaire de base est mensuel, on calcule le taux horaire en appliquant la formule suivante :
C – LES PRIMES
Ce sont des sommes allouées aux travailleurs destinées à récompenser ou à encourager de bonnes
actions ou des services particuliers rendus. On distingue :
D – LES INDEMNITES
Il s’agit des sommes destinées à compenser ou à rembourser des frais engagés dans l’intérêt du
service ou des sommes destinées à réparer un préjudice. On peut citer :
- Indemnité de grand déplacement, destiné à couvrir les frais d’hôtel et de restaurant au cours d’un
voyage professionnel ;
- Indemnité de panier, destinée à couvrir les frais de repas de l’ouvrier ;
- Indemnité de repas, destinée à couvrir les frais de repas des salariés cadres ;
- Etc.
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Avantages en nature Plafond fiscal Plafond CNPS
Logement 15 % 1 fois par jour de travail
10 % par personne, (les enfants de moins de 15 ans2,5 fois par jour de travail
Nourriture comptant pour moitié) avec un maximum
de 50 000 F/mois.
Éclairage 4%
Eau 2%
Domestique 5 % par domestique
Voiture 10 % par voiture
Base de calcul Salaire taxable avant avantages en nature Taux horaire de la 1ère
(ou salaire taxable intermédiaire) Catégorie 1er échelon du
Secteur considéré
N.B. : Si le travailleur est logé dans un immeuble construit par l’entreprise, le taux de 15 % est
toujours appliqué.
NB : LES SALAIRES DE BASE, BRUT, BRUT TAXABLE ET NET TAXABLE PEUVENT SE
CONFONDRE.
SALAIRE DE BASE (A)
+ Rémunération des heures supplémentaires
+ primes
+ Indemnités
+ Avantages en espèces
+ Éléments exceptionnels
= SALAIRE BRUT (B)
- Indemnité de représentation
- Indemnité de déplacement
- Indemnité en espèces représentatives d’avantages en nature
- Allocations spéciales destinées à couvrir les frais inhérents à la fonction ou à l’emploi
= SALAIRE TAXABLE SANS AVANTAGE EN NATURE OU SALAIRE
TAXABLE INTERMEDIAIRE (C)
+ Avantage en nature (logement 15 %, eau 2 %, électricité 4 %, par véhicule 10 %,
Par domestique 5 %, nourriture 10 % par personne avec un maximum de 50 000 F par mois)
= SALAIRE BRUT TAXABLE (D)
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- 30 % du Salaire Brut Taxable représentant les frais professionnels évalués forfaitement
= SALAIRE NET TAXABLE (E)
SALAIRE BRUT1/BRUT
- Frais professionnel (Indemnité de panier, de lait, de bicyclette ou de cyclomoteur, de
représentation, de déplacement, de transport, de salissure, d’outillage, de sécurité)
- Indemnité de prime de licenciement, de fin de carrière, de rupture abusive du contrat de
Travail, de décès, de départ à la retraite, de bonne séparation, de reconversion
S1+ avantage en nature (logement 1 fois sal. B i (1), nourriture 2,5 fois sal. Bi (1)
= SALAIRE COTISABLE C.N.P.S. (plafonné à 750 000 F)
V - RECAPITULONS
Salaire de base
+Rémunération des Heures sup
+Primes
+indemnités
+Avantages en espèces (Sommes d’argent représentant les AVN, exple
indemnité de logement)
+ Elément exception
= Salaire brut -( indemnité de représentation, indemnité de déplacement, Allo Fam
,indemnité en espèce représentant les AVN)
= Salaire Taxable sans AVN (Salaire taxable intermédiaire)
+AVN déjà évaluer au bon montant
=Salaire Brut Taxable
-CNPS (ou PVID=4.2% Salaire cotisable plafonné à 750.000)
- Frais professionnel (30% SBT)
=Salaire Net Taxable SNT
SNT (bases) de type calcul= SBT * 07 ( ou -30% SBT) – PVID – 41667 (fraction
mensuelle de l’abattement forfaitaire de 500.000 annuel)
NB : Si le salarié est logé dans un bâtiment construit par l’entreprise le taux de 15% est toujours
appliqué.
Les évaluations et les valeurs réelles permettent de calculer le Salaire Taxable
Définitif = STI + Valeur Taxables AVN (on peut créer une constante de type calcul
qui sommes toutes les valeurs de AVN dans le mémo Eval).
Le salaire brut (SB)
Le salaire brut est égal au total des salaires (salaire de base, salaire des heures
supplémentaires, salaire exceptionnel), indemnités (y compris l’indemnité de transport),
ainsi que de tous les avantages en nature ou en argent accordés aux intéressés ; à
l’exclusion des allocations à caractère familial, de celles destinées à couvrir les frais
inhérents à la fonction ou à l’emploi, ainsi que les réparations des dommages
d’accidents de travail.
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VI – LES RETENUES PRECOMPTEES SUR SALAIRE
2) CALCUL DE L’IRPP
L’algorithme de détermination des Barèmes. Barème dur la base du salaire Brut Taxable.
Salaire Taxable Mensuel Taux IRPP en Principal
Jusqu’à 63 323 / 0
63 323 - 310 000 10 % (Stm x 70 % - Stm x 4,2 % - 41 667) x 10 %
310 001 - 429 000 15 % 16 693 + (Stm – 310 000) x 70 % x 15 %
429 001 - 667 000 25 % 29 188 + (Stm – 429 000) x 70 % x25 %
Plus de 667 000 35 % 70 830 + (Stm – 667 000) x 70 % x 35 %
Tranche du SNT Taux Montant
0 – 2000000 10 % 200 000
2000000 – 3000000 15 % 150 000
3000000 – 5000000 25 % 500 000
Plus de 5000000 35 % …
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Salaire Net Taxable Tranche Mensuel Cumul Taux Impôts Cumuls
0 à 166 667 166 667 166 667 10% 16 668 16 668
166 668 à 250 000 83 333 250 000 15% 12 500 29 168
250 001 à 416 667 166 666 416 666 25% 41 665 70 834
416 668 et plus 35%
Remarque :
- 63 323 F correspond à la partie exonérée mensuelle prévue par l’administration
fiscale, pour le calcul des retenues fiscales.
- 4,2 correspond au taux en vigueur de la pension vieillesse
- 70 % représente le net après abattement (taux d’abattement 30 %)
- L’IRPP est un impôt progressif payable par acompte mensuel donc, la première ligne de
l’algorithme est équivalente mensuelle des tranches de progressivité annuelle.
NB : Que le calcul se passe par le barème ou par l’algorithme, il est capital de respecter la grille de
calcul correspondant au salaire mensuel taxable sans toutefois faire le cumul de l’IRPP. Car, dans le
calcul de l’IRPP annuel, on procède en faisant le cumul des sommes obtenues par tranches.
2) LES RETENUES SOCIALES
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VIII – LE BULLETIN ET LOGICIEL DE PAIE
A – LE BULLETIN DE PAIE
1) DEFINITION
C’est un document qui permet de constater le paiement du salaire d’un employé. Cet écrit est
obligatoire sous peine de sanctions pour l’employeur. Le bulletin de paie doit comporter toutes les
mentions qui pourraient permettre de vérifier l’exactitude de la somme payée établi au moins en deux
exemplaires, il est individuel.
2) PRESENTATION
Les rubriques de type brute font parties de la rémunération des salariés et vont permettre de définir
l’assiette de calcul des cotisations sociale et fiscale. Les retenues à caractère sociale se font sur la base
de l’assiette cotisable. Les rubriques cotisation/retenue elles viennent en diminution du brut : IRPP ;
FNE ; TDL ; CAC. Les rubriques non soumises, elle augmente ou diminue le salaire. Exemple les
avance sur salaire, bref les éléments exceptionnels, les gratifications annuelles. Le salaire de base est
une revenue de type brut et non brut dans les cas des paiements horaire. Elles sont brutes car le
montant est fixé au départ.
Les constantes
Une constance formalise l’un des 4 éléments de paie suivant : Une donnée à caractère légale soumise à
un (plafond de cotisation sociale=62000 pour l’IRPP). Un élément de paie dont la valeur est constante
et caractéristique de l’entreprise (75200 par ans à la CNPS). Un élément de paie dont la signification
est identique à tous les salariés mais avec une valeur spécifique pour un salarié ou un groupe
(l’ancienneté, le salaire de base…). Un calcul de paie résultant de la combinaison de plusieurs
constantes (le salaire brut taxable, IRPP). Bulletin modèle est un plan de paie type pouvant d’appliquer
à un ensemble de salariés ( Un type de bulletin pour les cadres, les ouvriers , les ingénieurs…).
Bulletin salarié est le bulletin de chaque salarié. Nature d’évènement, permet de définir et paramétrer
les heures de travail (pause, congés, heures de travail…). Créer les codes mémos avant les rubriques. Il
faut cocher sur report pour les éléments inchangeable comme le salaire de base
LES AVANTAGES
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Le choix de l’outil de paie : une étape cruciale
Pour choisir un logiciel de paie adéquat aux besoins et à la taille de votre entreprise, vous devez
définir en priorité 4 axes majeurs :
Quel est le budget alloué : le budget doit être défini en amont et ne rien négliger (achat de la
licence ou abonnement, coût de mise en œuvre, exploitation etc.);
Quelles sont vos contraintes techniques : hébergement dans l’entreprise, mode, exploitation
et maintenance etc…
Quelles sont les ressources (équipes compétentes) dont vous disposez dans l’entreprise pour
gérer l’outil de gestion de la paie;
Quelles sont les fonctionnalités souhaitées : vous définissez ainsi le périmètre du projet
(gestion de la paie, DSN, GTA etc.).
Article 52.- (1) La convention collective de travail est un accord ayant pour objet de régler les
rapports professionnels entre les employeurs et les travailleurs, soit d'une entreprise ou d'un groupe
d'entreprises, soit d'une ou plusieurs branches d'activités. Cet accord est conclu entre:
- d'une part, les représentants d'un ou plusieurs syndicats ou d'une union de syndicats de
travailleurs;
- d'autre part, les représentants d'une ou plusieurs organisations syndicales d'employeurs ou de
tout autre groupement d'employeurs ou un ou plusieurs employeurs pris individuellement.
(2) La convention collective peut mentionner des dispositions plus favorables aux travailleurs que
celles des lois et règlements. Elle ne peut déroger aux dispositions d'ordre public.
(3) Les conventions collectives déterminent leur champ d'application. Celui-ci peut être national,
interdépartemental ou local.
(4) Le texte des conventions collectives est publié sans frais au Journal Officiel à la diligence du
ministre du Travail dès que ce dernier a reçu notification du dépôt de ces instruments au greffe du
tribunal compétent.
2. DU PAIEMENT DU SALAIRE
Article 68.- (1) A l'exception des professions pour lesquelles des usages établis prévoient une
périodicité de paiement différente et qui seront déterminées par arrêté du ministre chargé du Travail,
pris après avis de la Commission nationale consultative du travail, le salaire doit être payé à intervalles
réguliers ne pouvant excéder un (1) mois. Toutefois, les travailleurs peuvent, sur leur demande,
recevoir au bout de quinze (15) jours un acompte portant sur la moitié de la quotité mensuelle de leur
rémunération de base, leur situation étant obligatoirement apurée lors du paiement immédiatement
consécutif. (2) Les paiements mensuels doivent être effectués au plus tard huit (8) jours après la fin du
mois de travail qui donne droit au salaire.
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3. DE L'APPRENTISSAGE
Article 45.- Le contrat d'apprentissage est celui par lequel un chef d'établissement industriel,
commercial ou agricole ou un artisan s'oblige à donner ou à faire donner une formation professionnelle
méthodique et complète à une personne et par lequel celle-ci s'oblige, en retour, à se conformer aux
instructions qu'elle recevra et à exécuter les ouvrages qui lui seront confiés en vue de son
apprentissage. Article 46.- Le contrat d'apprentissage doit être constaté par écrit, à peine de nullité
absolue. Il est exempt de tous droits de timbre et d'enregistrement. Article 47.- Les conditions de fond
et de forme et les effets de ce contrat ainsi que les cas et les conséquences de sa résiliation et les
mesures de contrôle de son exécution, sont fixés par décret pris après avis de la Commission nationale
consultative du travail.
4. De la classification professionnelle
ARTICLE 17.- Classification professionnelle 1.- Des annexes au présent décret déterminent :
1°- la classification professionnelle des emplois, qui comporte douze catégorie de douze
échelons chacune ;
2°- Les taux des salaires minima afférents aux échelons de chaque catégorie.
2.- Le classement du travailleur dans une catégorie est fonction soit du diplôme dont il est
titulaire, soit de sa qualification professionnelle dans le service.
3.- Le passage d’une catégorie à une catégorie supérieure ne peut résulter que du changement
de qualification professionnelle justifié par la présentation de nouveaux titres ou diplômes
officiellement reconnus, sous réserve de l’existence d’une dotation budgétaire dont l’inscription ne
saurait, en tout état de cause, être différée au-delà de l’exercice suivant celui en cours.
ARTICLE 18.- Avancement d’échelon
1.- L’engagement d’un travailleur se fait Cil principe au premier échelon de sa catégorie de
classement. Cependant dans le cas où un travailleur, licencié pour compression d’effectif, este
réembauché il conserve, à égalité de catégorie, le bénéfice de l’échelon qui lui était attribué lors du
licenciement, mais sans ancienneté dans ledit échelon.
2.- L’avancement d’un échelon inférieur à l’échelon immédiatement supérieur a lieu tous les
deux ans. Il tient compte à la fois, de l’ancienneté du travailleur et de sa bonne manière de servir à tous
égards annuellement constatés par un bulletin de notes et d’appréciations. La note professionnelle
minimale requise pour l’avancement est de 17/20.
3.- Si la manière de servir du travailleur ne donne pas satisfaction son avancement peut être
retardé d’une période d’une ou deux années supplémentaires. Cependant au bout de quatre ans le
passage à l’échelon supérieur est de droit pour le travailleur, sauf retard à l’avancement prévu à
l’article 9 ci-dessus.
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Une convention de formation ne doit être établie que dans le cadre d’une action de formation
professionnelle telle que définie dans l’article L.6111-1 du Code du Travail. Il faut donc vérifier que
l’action prévue entre bien dans l’une des catégories prévues par la loi :
Insertion ou de la réinsertion professionnelle
Maintien du salarié dans son emploi
Développement de compétences ou accès à un niveau supérieur de qualification professionnelle
Sécurisation des parcours professionnels, promotion sociale
Retour à l’emploi des personnes ayant interrompu leur activité pour s’occuper de leurs enfants ou
d’un ascendant ou conjoint dépendant
L’obligation de délivrance d’une attestation de formation s’applique à tous les organismes de formation,
c’est-à-dire aux professionnels enregistrés ou ayant déposé une déclaration d’activité en cours
d’enregistrement. Les formateurs indépendants inclus. L’attestation de formation doit être fournie même
quand la formation débouche sur l’obtention d’une reconnaissance officielle : certificat, titre ou diplôme
professionnel. La mise en œuvre d’une procédure d’évaluation est obligatoire pour mentionner des acquis
directement liés à la formation. Les modalités de contrôle doivent être conformes à celles prévues dans la
convention de formation.
A) PENDANT LE MOIS
1) ACOMPTES OU AVANCES
2) OPPOSITIONS
A) A LA FIN DU MOIS
REMARQUES
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a) Les remboursements de frais
Les remboursements de frais réels engagés par le salarié pour le compte de l’entreprise sont
débités par nature dans les consommations de biens et services, 60 à 63, même s’ils figurent sur le
bulletin de paie.
b) Les avantages en nature
Les avantages en nature consentis aux salariés sont également débités par nature, en :
- 614 transport du personnel
- 622 locations, charges locatives
- 624 entretien, réparations, remise en état et maintenance
- 628 frais de télécommunication
- Etc.
Mais en fin d’exercice, ils sont régularisés globalement par le débit des comptes 6617 et 6627
avantages en nature par le crédit du compte 781 transferts de charges d’exploitation
d) Rémunération de l’exploitant
Le SYSCOHADA prévoit également un compte de rémunération pour l’entrepreneur
individuel 6661 Rémunération du travail de l’exploitant. Son emploi demeure facultatif si le
patrimoine de l’entité se confond avec celui de l’exploitant. En revanche, ses charges sociales sont
obligatoirement enregistrées 6662 charges sociales de l’exploitant individuel
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422 personnel rémunération due
EXERCICE
La SARL MBALLA B.P. 7 227 Yaoundé, immatriculation CNPS n° 4831 – M, Numéro
contribuable 96 865 Z, vous communique les renseignements suivants relatifs à la paie du mois de mai
2010 :
Annexe 1 : extrait du fichier personnel ;
Annexe 2 : barème de retenue de la taxe communale ;
Annexe 3 : barème de redevance audio-visuelle ;
Annexe 4 : état de la paie.
Jours 1ère semaine 2ème semaine 3ème semaine 4ème semaine 5ème semaine
Lundi 8 h (1er mai) 11 h 8h 9h 10 h
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Mardi 12 h (a) 12 h 10 h 12 h 12 h ©
Mercredi 11 h 10 h 11 h 11 h 11 h
Jeudi 9h 11 h (b) 8h 4 h (25/05)
Vendredi 12 h 9h 10 h 12 h
Samedi 3h 3 h (20/05)
Dimanche 3h
(5) le Directeur Général est logé par l’entreprise : loyer mensuel, 100 000 F ;
(6) le Directeur Général a un véhicule de service. Amortissement annuel 1 200 000 F ;
(7) le Directeur Général bénéficie d’une ration alimentaire mensuelle de 100 000 F ;
La taxe communale
Article C 57.- (1) Il est institué, au profit des communes, une taxe communale appelée taxe de
développement local.
(2) Cette taxe est perçue en contrepartie des services de base et des prestations rendus aux
populations, notamment l’éclairage public, l’assainissement, l’enlèvement des ordures
ménagères, le fonctionnement des ambulances, l’adduction d’eau, l’électrification.
La redevance audiovisuel
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La redevance audiovisuelle est due par les salariés des secteurs public, parapublic et privé et par
les personnes physiques et morales redevables de la contribution des patentes.
Article 3.- (1) La base de calcul de la redevance audiovisuelle due par les salariés est constituée
par le montant brut des salaires perçus.
Activités
Recrutement
Gestion de l'emploi
Relations sociales et syndicales
Communication interne
Formation…
Activités techniques
Manager l'équipe
Définir les objectifs des collaborateurs
Répartir les tâches et assurer l'organisation du service
Animer et organiser les réunions internes
Procéder aux entretiens annuels et fixer les objectifs à atteindre
Repérer et définir les besoins en formation des collaborateurs
Coordonner les activités de l'unité
Emplois-types
Conseiller recrutement
Gestionnaire ressources humaines
Responsable gestion de l'emploi
Responsable ressources humaines
Conseiller relations écoles
Responsable rémunération
Gestionnaire relations sociales
Responsable relations sociales
Animateur formation
Concepteur de formation
Responsable formation
Responsable développement ressources humaines
Responsable paie / administration du personnel
Assistant social
Responsable service social...
Environnement
Formations
Compétences attendues
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Spécialiste des Ressources Humaines
Connaissances (savoir)
Connaissances (savoir)
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Gérer des compétences
Mettre en place des dispositifs de formation
Mettre en application des procédures et des règles
Prévenir et gérer les conflits ou situations sensibles
Optimiser la gestion de l'ensemble des moyens humains et matériels
Savoir conduire des politiques de changement
Savoir gérer les situations d'urgence
Savoir utiliser les applicatifs de gestion spécifiques à l'activité
Compétences clés
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