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Notes Comptabilité
Commentaires généraux sur les états financiers
Il est normal que le résultat net et la trésorerie soient différents en raison de la COMPTABILITÉ
D’ENGAGEMENT et DU PRINCIPE DE RATTACHEMENT AUX PRODUITS
Deux méthodes pour les stocks : PEPS (premier entré premier sorti) et coûts moyens
Toujours distinguer la partie courante d’une dette long terme
Actif
- Courant (à payer l’année suivant)
Trésorerie et équivalents de trésorerie (placements courts/3 mois, pas fluctuations)
Stocks (PEUVENT ÊTRE DÉPRÉCIÉ)
Créance clients et autres débiteurs (si pas reliés aux ventes) (ATTENTION À LA DÉPRÉCIATION!)
Charges/frais payées d’avance (montant versé par compagnie pour services plus tard)
Provision pour créance douteuse (appliqué au compte clients, risque d’impayé)
Charges payées d’avance
-Non-courant
Placements (peuvent être courants) stratégique/non stratégique
Immobilisations corporelles (TOUJOURS par composantes, attention v. résiduelle, linéaire/dégressif,
TOUJOURS VÉRIFIER FIN EXERCICE ET DATE D’ACQUISITION, considérer les frais d’installation dans le coût
si NÉCESSAIRE À L’UTILISATION DE L’OBJET AMMORTI)
Immobilisations incorporelles (utilité finie=amortie, non déterminé = tests de dépréciation)
*Goodwill (prix payé – valeurs éléments identifiables)
Total actif
Passif
-Courant (si étant dans les 12 prochains mois)
Fournisseurs et autres
Découvert bancaire
Produits différés (quand client n’a pas reçu encore son produit/service, poste disparaît quand reçu)
Partie courante de l’emprunt long-terme
Impôts sur le résultat à payer
Intérêts à payer
Comptes à payer
Provisions pour risques et charges
-Non-courant
Provisions pour risques et charges (peuvent être courantes, dettes probables, 3 conditions dans tableau)
Emprunts long termes (pas inclure intérêts)
Impôts différés (impôts comptables – impôts fiscaux)
Capitaux propres (si société par action = c. propre, si société en nom collectif = avoirs des associés)
Capital-actions
Surplus d’apport
Résultats non-distribués (résultat cumulé – dividendes)
Cumul des autres éléments du résultat global (AERG)
Total passif et capitaux propres
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1. Placements : des actifs qui proviennent du fait que l’entreprise a affecté des sommes d’argent à
l’achat de valeurs mobilières ou immobilières.
1.1 Placements stratégiques : sont des placements acquis pour un établissement de relations
d’affaires.
1.2 Placements non-stratégiques : excédents de trésorerie, elle (l’entreprise) peut décider de les
investir dans des placements afin de les faire fructifier. Ex : intérêts, obligations, dividendes,
actions, gains sur des placements vendus.
1.3 Placement dans des immeubles de placement : bien immobilier détenu par l’entreprise pour
en retirer des loyers et/ou valoriser son capital. NE LES UTILISE PAS DANS SES OPÉRATIONS!
1.4 Instruments financiers dérivés : instrument qui voit sa valeur fluctuer en fonction d’un
référentiel, tel que le prix d ’un titre, le prix d’une marchandise, taux d’intérêt, taux
de change.
2. Immobilisations corporelles : tous les biens matériels, donc physique, qui font l’objet d’un
investissement et qui sont nécessaires à l’exploitation à long terme.
2.1 Terrains : ne s’amortissement pas!
2.2 Bâtiments
2.3 Mobilier, machines, etc.
2.4 Matériel informatique
2.5 Etc.
3. Dépense en capital : augmentation de l’actif visé, augment la durée d’utilité de cet actif ou sa
productivité. A un effet sur la base du calcul de l’amortissement.
4. Dépense d’exploitation : n’augmente en rien la durée d’utilité de l’immobilisation, vise à la
réparer ou la rendre conforme à des normes. N’a pas d’effet sur la base du calcul de
l’amortissement.
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5. Immobilisations incorporelles : bien identifiable qui n’a pas de substance physique, mais qui est
nécessaire au bon fonctionnement de l’entreprise et lui procure des avantages.
5.1 Immobilisations incorporelles à durée d’utilité finie : doit être amorti comme les corporelles.
Brevets, droits d’auteur, marque de commerce, franchises, dessins, listes de clients, frais de
développement.
5.2 Immobilisations incorporelles à durée d’utilité indéterminée : aucun facteur de nature
juridique, réglementaire, contractuelle, concurrentielle, économique ou susceptible de la
réduire. Ne peut pas être amorti.
Autres produits
Amortissements
Résultat net
Existe aussi un état du résultat global qui prend en considération les AERG (AERG=gains et pertes
latentes)
Regrouper les charges par fonctions/selon usage = populaire (sinon = par nature)
Activités abandonnées et quote-part des entreprises associées et coentreprises (en utilisant la mise en
équivalence)
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Flux trésorerie
Capitaux propres
Capital- RND Cumul des Total
actions AERG
Solde 1er janvier 2020
Variations des capitaux propres
Emissions d’actions (augmentation capital) +
Rachat d’actions
Résultat net de l’exercice + ou -
Moins : dividendes déclarés -
AERG
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Méthode du coût moyen pondéré : coût moyen pondéré à chaque article en stock.
Méthode du premier entré, premier sorti (PEPS) : attribuer les derniers coûts d’achat aux articles en
stock à la fin de l’exercice.
Méthode directe : recommandée par IFRS, mais peu utilisée (on part de 0 et on inclut ce qui a un
impact sur la tréso)
Méthode indirecte : plus utilisée. On part du résultat net pour arriver AUX FLUX DE TRÉSORERIE LIÉS
AUX OPÉRATIONS (pas d’impact sur sections investissement et financement)
o La majorité de ce qu’il y a dans le résultat net à un influence sur la tréso. ON ÉLIMINE CE QUI
N’A PAS D’IMPACT (ex. créances douteuses, dotations aux provisions, amortissements qu’on
ADDITTIONNE AUX RÉSULTAT NET)
o Encaissement client N+1 (∆ clients) = Ventes N+1 – (client à la fin de N+1-clients à la fin de N)
o Appliquer le même principe pour toutes les ∆ (ex. ∆ stocks, ∆ charges payées d’avance, ∆
fournisseurs, ∆ impôts à payer, ∆ honoraires à payer, etc.)
o Un nb négatif sur poste d’actif : LE POSTE A AUGMENTÉ DEPUIS L’EXERCICE PRÉCÉDENT
o Un nb négatif sur poste passif : LE POSTE A DIMINUÉ DEPUIS L’EXERCICE PRÉCÉDENT
Augmentation Diminution
- +
ACTIF
Impact sur la
trésorerie
PASSIF
+ -
Rapport annuel
Rapport de direction : établit les responsabilités des acteurs vis-à-vis les états financiers + explique les
outils de contrôle interne pour s’assurer de la fiabilité.
Connaitre l’entreprise
3 éléments clés : activité, taille (chiffre d’affaire, total actif et nb de salariés) et informations plus
précises avec les états financiers.
Si états financiers consolidés => GROUPE
L’Information sectorielle permet de :
o Connaître la nature et les contributions des activités de l’entreprise + zones géographiques.
o Comprendre la performance de l’entreprise (par rapport au secteur par exemple) et d’évaluer
les risques.
TOUJOURS VÉRIFIER DATES DE DÉBUT ET DE FIN.
Analyse verticale
Permet de voir l’importance relative des postes par rapport aux autres et par rapport aux autres
entreprises.
Dans l’analyse, mentionner les postes les plus importants, TOUJOURS GARDER EN TÊTE LE SECTEUR.
Comparer la proportion des passifs par rapport aux capitaux propres pour voir COMMENT SE FINANCE
L’ENTREPRISE.
Si les RND augmente, cela signifie que les dividendes ne sont PAS GRANDES/PEU DISTRIBUÉES = moins
d’argent aux actionnaires (fréquent dans les entreprises familiales), permet à l’entreprise d’utiliser sa
trésorerie pour autre chose (comme des investissements).
S’il s’agit d’une entreprise de service/industrielle, il est normal que débiteurs + immobilisations soient
des postes importants (on a besoin de machinerie/de locaux ainsi que d’emprunter pour opérer.
Analyse horizontale
Permet de voir l’évolution des postes à travers le temps, permet de voir si l’entreprise est en mesure
de maîtriser ses coûts.
Calculer pour les postes importants selon l’analyse verticale.
TOUJOURS TENTER D’EXPLIQUER ! Pour la trésorerie, voir le flux de trésorerie et la contribution des 3
grandes sections.
Mentionner si certains postes reliés évoluent différemment (ex. plus faible augmentation du poste
fournisseurs en comparaison aux stocks, si le coût des biens vendus augmente moins que les ventes,
l’entreprise a une meilleure gestion de ses coûts de production => MEILLEUR TAUX DE MARGE BRUTE.
Voir l’évolution des dividendes (augmentation des dividendes = signal positif pour les investisseurs).
Augmentation des actifs long termes est aussi un bon signal pour les investisseurs, car cela signifie que
l’entreprise sera performante sur le long terme.
S’il n’y a pas d’augmentation significative des capitaux propres, c’est surement car l’entreprise est
financée davantage par ses passifs/sa dette.
L’INFRS 16 AUGMENTE LE PASSIF ET LES ACTIFS (Désormais, les immobilisations louées par l’entreprise
sont prises en considération dans les actifs alors que la dette pour acquérir ces immobilisations est
intégrées dans les passifs, sauf si le bail à long-terme ne respectent pas certains critères)
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Une diminution des intérêts peut être liée à une diminution de la dette ou un taux d’intérêts plus faible
S’il y a une diminution des charges d’amortissements, peut être que l’entreprise a moins
d’immobilisation (ventes d’immobilisation) et DONC UN FLUX DE TRÉSORERIE POSITIVE DANS LES
INVESTISSEMENTS.
Une augmentation des créances douteuses peut être due à une augmentation des créances clients
et/ou une augmentation du délai de recouvrement (politique de paiement trop souple)
Si les salaires augmentent au même rythme que les ventes, les salaires sont peut-être basés sur la
quantité vendue (commissions)
Ratios de performance
Les ratios ne sont pas tous pertinents selon le secteur (la marge brute n’est pas pertinente dans
entreprises de service car les coûts de production sont négligeables)
Rendement de l’actif permet de voir le résultat dégagé de l’actif et renseigne sur la rentabilité
générale, L’INFRS 16 AUGMENTE L’ACTIF ET DIMINUE LE RATIO.
Les ratios sont influencés par l’impôts : différences entre traitement comptable et fiscale (en raison
entre autres des différentes temporelles). TOUJOURS VOIR LA NOTE SUR L’IMPÔT.
Dans ERN, la charge d’impôt se décompose en 2 catégories :
o Impôt exigible : calculé à partir du résultat imposable dans la déclaration de revenus.
o Impôt différé : charge d’impôt – impôt exigible (découle des écarts temporels).
Comparer entre les années et avec l’industrie.
Si la marge brute augmente, cela peut être causée en raison de l’augmentation des acquisitions,
l’augmentation du prix de ventes, une meilleure gestion des coûts et/ou une baisse des coûts des
matières premières/de l’énergie pour le fonctionnement de l’entreprise.
L’augmentation des frais de financement peut faire diminuer la marge nette.
Achat marchandise
Délai de paiement des fournisseurs
Paiement des
Stocks
fournisseurs
Délai écoulement des stocks
Vente de
marchandise
Délai recouvrement des
comptes clients Entrée de tréso / sortie de tréso
Rouge – bleu = délai de financement
Les ratios dépendant des méthodes comptables, donc VOIR LES NOTES + présentées celles qui sont
pertinentes pour mieux comprendre.
Si on compare avec l’industrie, vérifier le calcul des ratios (pas de normes précises)
Liens à faire ente ces ratios et partie « opérations » du tableau de flux de trésorerie.
On peut avoir une idée de la stratégie de marketing de l’entreprise (marge ou volume ?)
o Rendement de l’actif = rotation de l’actif * marge nette
Stratégie de VOLUME ÉLEVÉE FAIBLE => faibles prix, + ventes, price penetration
…
Ratio de rotation de… :
poste
poste
Délai de … : ∙365
…
Dans les ratios des fournisseurs : achat = coût des ventes + (stocks fins- stocks début)
Délai de financement = temps pendant lequel l’entreprise n’a pas d’entrée de trésorerie. Plus le
résultat est grand, plus l’entreprise a besoin de fonds de roulement pour gérer ses activités. Si le délai
est négatif, l’entreprise n’a donc pas besoin de financement externe.
Le délai d’écoulement des stocks dépend beaucoup du secteur (produits périssables ou non…)
Pertinents d’établir des liens avec la partie « financement » du tableau de flux de trésorerie.
Les ratios permettent de comprendre la structure de financement de l’entreprise (financement par
passifs ou capitaux propres?) + situation en termes d’endettement.
INFLUENCE DE L’INFRS 16 : permet d’appliquer le principe de la prééminence de la substance
économique sur la forme juridique, donc une immobilisation louée DOIT ÊTRE INTÉGRÉE dans les actifs
de l’entreprise, TOUT COMME LA DETTE QUI AURAIT DUE ÊTRE CONTRACTÉE POUR AVOIR
L’IMMOBILISATION (dans les passifs) EXCEPTION : LES IMMOBILISATIONS DONT LE CONTRAT DURE
MOINS D’UN MOIS.
Capacité de l’entreprise à payer ses obligations court terme (passif courant = dénominateur des 3
ratios)
Surtout utilisé par les banquiers, qui doivent savoir s’il est trop risqué de prêter de l’argent à la
compagnie.
Plus les ratios sont élevés, meilleure est la situation.
S’il y a une grosse différence entre liquidité relative et fonds de roulement, on peut conclure que les
stocks représentent une part importante des actifs courants de la compagnie (PAS DANS LE CALCUL DU
RATIO DE LIQUIDITIÉ RELATIVE).
S’il y a une grosse différence entre liquidité relative et immédiate, on peut conclure que les comptes
clients représentent une part importante des actifs courants (PAS DANS LE CALCUL DU RATIO DE
LIQUIDITÉ IMMÉDIATE).
L’analyste peut vouloir connaître l’ampleur des flux trésorerie dégagés par l’actif :
Flux de tréso des activités opérationnelles
actif total
L’analyste peut vouloir établir le rapport entre le niveau d’activité et les flux de trésorerie qui en
flux de tréso des activités opérationelles
résulte :
ventes
- Analyse verticale : exprimer postes sous forme de pourcentages (de l’actif total pour éléments de situation financière, pourcentage du chiffre d’affaire
pour les éléments du résultat net). Permet d’avoir conscience des données générales, de comprendre la structure financière, de déterminer
l’importance de certaines charges.
- Analyse horizontale : analyse des tendances, évolution en pourcentage d’un même élément sur plusieurs périodes.
- Permet de :
Situer l’entreprise par rapport à d’autres comparables.
Comparer les résultats and ceux obtenus ultérieurement, tout en voyant tendances pour faire prévision.
- Performance :
Marge bénéficiaire nette : rentabilité de l’exploitation de l’entreprise (proportion des ventes qui deviennent r. net). Les entreprises veulent qu’il
soit élevé (optimise effort de ventes). JAMAIS OUBLIER CONTEXTE. Marge bénéficiaire brute et d’exploitation = composantes.
Part marché : part des ventes faites par l’entreprise sur les ventes du marché.
Ratio de marge bénéficiaire brute : Indique la proportion des ventes qu’une entreprise conserve après avoir couvert les coûts directement liés aux
ventes. Renseigne sur la stratégie de fixation des prix, sur le contrôle du coût des ventes. PAS PERTINENTS POUR ENTREPRISE SERVICE.
Ratio de marge bénéficiaire d’exploitation (RAIIA) : Indique la proportion des ventes qu’une entreprise conserve après avoir couvert toutes les
charges d’exploitation, excluant les amortissements. Renseigne sur la rentabilité opérationnelle.
Ratio de marge bénéficiaire d’exploitation (RAII ou résultats avant intérêts, impôts) : Indique la proportion des ventes qu’une entreprise conserve
après avoir couvert toutes les charges d’exploitation. Renseigne sur la rentabilité opérationnelle.
Rendement de l’actif : met en relation le r. net et les ressources dont elle disposait, permet de voir rentabilité générale de l’entreprise, pertinent
pour bailleurs de fonds (car actif = passif + capitaux propres). Capacité de l’entreprise à dégager du résultat à partir de son actif.
Rendement capitaux propres : rendement que actionnaires obtiennent sur ce qu’ils ont investi. Possibilité de calculer des ratios par type
d’actionnaires (ordinaires et privilégiés)
Résultat par action : objet de normes précises, s’applique seulement aux actions où droit de participer sans restriction (résultat par action de
base). Mesure le résultat attribuable à chaque action ordinaire en circulation. TOUJOURS DANS ÉTATS FINANCIERS.
Résultat par action dilué : Mesure le résultat attribuable à chaque action en circulation ou qui pourrait exister si tous les détenteurs d’instruments
de dilution les exercent (plus pessimiste que RPA, RPA dilué < RPA car plus il y a d’actions potentielles, moins le résultat par action sera élevé).
Exemple de dilution : si la compagnie vent des actions privilégiées futures pour les dirigeants. TOUJOURS DANS ÉTATS FINANCIERS.
Ratio cours-bénéfice : Combien de fois le résultat par action un investisseur est prêt à payer pour une action ou combien d’années un investisseur
est prêt à attendre pour récupérer son capital? Plus le ratio est élevé, plus les anticipations de croissance ou de profit sont grandes (et plus
l’action est prisée !).
capitaux propres−capital actions privilégiées
Autre ratio : la valeur comptable d’une action '
nb d actions ordinaires
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- Activité/exploitation :
Ratio de rotation de l’actif : intensité d’utilisation de l’actif, montant du chiffre d’affaire dégagé par $ investi, plus le ratio est élevé, plus
l’entreprise mobilise toutes ses ressources. On doit chercher la cause dans les variations non proportionnelles.
Ratio rotation stocks: fréquence de vente du stock au cours de l’année (nb de fois où stocks doivent être réapprovisionnées pour réaliser ventes).
Ration faible signifie niveau de stock élevé, frais d’entreposage et de manutention, risque d’obsolescence (peut être que l’entreprise anticipe ↑$).
Ratio élevé signifie parfois ruptures de stocks. TOUJOURS COMPARER AUX NORMES + RÉSULTATS ANTÉRIEURS + FACTEURS.
Délai écoulement des stocks : autre manière d’analyser stocks, combien de temps pour écouler stocks. Délai élevé = comme ratio de rotation
faible. Court délai = comme ratio élevé.
Délai recouvrement clients : estimer le temps entre ventes et date encaissement, permet d’évaluer politique de crédit + application. Pour bonne
analyse = COMPARER AVEC NORMES DANS INDUSTRIE. Allongement de période = entreprise a dû ou devra avoir financement supplémentaire
donc frais de financement et dégradation de la qualité des créances. Court délai = durcissement de la politique de crédit, peut causer
mécontentement donc baisse des ventes et de la rentabilité.
Délai règlement fournisseurs : comme ratio client mais pour fournisseurs, parfois info difficile à avoir donc on remplace le coût des achats par le
montant dans coûts des ventes.
TOUJOURS CHERCHER SI DEUX RATIOS NE SONT PAS PROPORTIONNELS .
- Financement:
Ratios d’endettement par rapport à actif : indice de l’importance des capitaux empruntés dans financièrement total, peut être calculé facilement,
prend en compte les dettes exigibles à moins d’un an DONC L’INVESTISSEUR NE DEVRAIT PAS EN TENIR COMPTE.
Ratio endettement par rapport c. propres : ratio d’endettement long terme, détermine dans quelle mesure financièrement long terme provient de
sources externes. Indication sur la politique de financement de l’entreprise (principalement par dette ou par capitaux propres ?). Les créanciers le
vérifient puisqu’ils n’ont pas intérêts à prendre plus de risques que les actionnaires.
- Solvabilité/liquidité :
Ratio du fonds de roulement (liquidité générale) : exige analyse détaillée des postes clients et stocks (vérifier si recouvrables), car leur exigibilité
varie selon le type d’exploitation, permet de comparer entreprises ou de trouver tendances. PRÉSUME QUE LES ACTIFS COURANTS SONT
UNIQUEMENT UTILISÉS POUR RÉGLER DETTES COURANTES. L’entreprise possède-t-elle assez de ressources à court terme (= AC) pour couvrir ses
dettes à court terme (= PC) ? Un ratio supérieur à 1 correspond à un fonds de roulement (AC – PC) positif. Un ratio inférieur à 1 correspond à un
fonds de roulement négatif.
Ratio de liquidité relative : évaluer la capacité d’honorer rapidement ses dettes, plus restrictif que ratio de fonds de roulement. L’entreprise
possède-t-elle assez de ressources à court terme sans avoir à vendre des stocks pour couvrir ses dettes à court terme ?
Ratio de liquidité immédiate : plus restrictif que le ratio de liquidité relative, seulement en considération ce qui est disponible IMMÉDIATTEMENT.
L’entreprise possède-t-elle assez de ressources à court terme sans avoir à vendre des stocks et sans avoir à encaisser les créances clients pour
couvrir ses dettes à court terme ?
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c . propres
V. comptable action :
nb d ' actions
cours action
Ratio cours/v. comptable :
v . comptable action
dette non courante
Ratio endettement par rapport actifs immobilisés :
actif non courant
r . avamt intérêts et impôts X (1−taux impôt)
Taux rendement brut l’actif total :
actif total
frais commerciaux
Ratio des charges par rapport aux produits (aussi entre charges elles-mêmes) : exemple
ventes
r . avant intérêts et impôts
Ratio couverture intérêts :
intérêts
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r . avant intérêts+impôts
Ratio couverture rembou. du capital + intérêts :
intérêts+ ¿ ¿
Fonds de roulement :
Actif courant–passif courant
Besoins/contribution en fonds de roulement d’exploitation = délai règlement fournisseurs – (délai écoulement des stocks+ recouvrement clients)