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REPUBLIQUE DU BURUNDI
ET DE LA RECHERCHE SCIENTIFIQUE
Par
IZERIMANA Justin
et
NDIZEYE Samuel
DEDICACES
A mes parents ;
Justin IZERIMANA
A mes parents ;
Samuel NDIZEYE.
ii
REMERCIEMENTS
Un sentiment de profond respect est oriente vers nos parents qui nous ont
supportés dès notre enfance jusqu’à l’étape ou nous sommes.
Nous adressons aussi nos remerciements à tous les autorités qui nous ont
enseigne pendant 3 ans à l’UGL plus particulièrement celles de l’institut
finances et comptabilité.
Enfin nous remercions a tous les personnes qui, de près ou loin ont contribué
d’une façon ou d’une autre a l’élaboration de notre travail.
BC : Bon de Commande
BE : Bon d’Engagement
BM : Banque Mondiale
M.A : Maître-Assistant
RN : Route Nationale
DEDICACES.........................................................................................................i
REMERCIEMENTS.............................................................................................ii
INTRODUCTION GENERALE...........................................................................1
I.1.1. Définition.....................................................................................................5
III.2.1.1. L’engagement.......................................................................................13
III.2.1.2. La liquidation.......................................................................................15
III.2.1.3. L’ordonnancement................................................................................16
INTRODUCTION GENERALE
C’est pour cette raison que nous avons bénéficié un stage de deux mois au
MFBPE, c’est-à-dire du 9 janvier 2023 au 9 Mars 2023 où nous avons un
objectif global d’agrandir nos champs de connaissances en ce qui concernent les
finances publiques non seulement au niveau théorique mais aussi au niveau
pratique.
L’objectif global de notre stage était de nous familiariser avec les notions de
dépenses publiques.
Nous ne pouvions pas choisir ce sujet sans d’abord constater les différents
intérêts que nous pouvons trouver.
Notre travail est délimité dans le temps, dans l’espace et dans le domaine.
Le premierc chapitre porte sur les généralités sur le processus d’exécution des
dépenses publiques.
contrôle où nous avons fait notre stage mais aussi ceux des autres directions de
ce ministère.
Sur ce point, nous avons montré les définitions de la dépense publique selon
certains auteurs.
I.1.1. Définition
Selon Capel J.Y et Carnier (2005, p25), les dépenses publiques sont des
dépenses de l'Etat qui figurent dans le budget de l'Etat voté chaque année par le
parlement. Il s'agit des dépenses budgétaires (CAPUL, J.V et GARNIER, O.
(2005)).
Les dépenses publiques sont les dépenses de l'Etat telles qu'elles apparaissent
dans le budget de l'Etat, ceux des collectivités et des organismes parapublics.
Le professeur Philip. E. Taylor (1953, p.27) quant à lui, distingue les dépenses
neutres et les dépenses interventionnistes.
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Les dépenses publiques se définissent ici comme celles que l'Etat fait dans
l'exercice de ses pouvoirs de commandement. Au contraire, les dépenses faites
par l'Etat (et les autres collectivités publiques) dans les conditions analogues à
celles de particuliers ou organismes privés sont considérés comme des dépenses
privées.
Ainsi, désormais, toutes les dépenses des collectivités publiques ne sont pas des
dépenses publiques, mais une partie d'entre elles seulement.
Selon Philip L. (2004, P52) elle part de l'idée que l'Etat doit, pour garantir le
mieux-être de la population et la réalisation des affaires au pays, effectuer ces
dépenses sur base caisse en ne tolérant pas de déficit budgétaire. Est ici prise en
compte la notion de bonne gouvernance.
Dans ce contexte, la dépense publique est celle qui est faite par l'Etat ou les
collectivités publiques dans la limite des recettes réellement réalisées, en vue de
garantir au pays la stabilité économique et social et la promotion des affaires.
Les dépenses de transfert visent à redistribuer des crédits, des subventions, vers
les secteurs où l'Etat souhaite intervenir. Il ne s'agit pas de véritable
consommation.
Les dépenses d'investissement ont pour objet de faire entrer des biens durables
dans le patrimoine de l'Etat. Elles prennent la forme de commandes passées par
les personnes morales de droits publics, qui auront une influence sur la
production et l'emploi.
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Les dépenses publiques constituent une canalisation des recettes, des impôts et
des emprunts vers une réalisation de certains objectifs choisis. Mais l'Etat se
heurte à de nombreuses difficultés pour identifier, concevoir et réaliser les
opérations orientées vers la consommation, l'investissement susceptible d'élever
le revenu. C'est aussi qu'on peut constater que certaines dépenses comme les
dépenses de transfert finissent par favoriser la consommation au détriment de
l'épargne et par conséquent au détriment de la formation du capital. Pour mieux
comprendre les effets des dépenses publiques, il convient de faire le contour des
arguments théoriques et une analyse détaillée.
Une certaine somme va sortir des caisses du trésor, qu'il aura fallu y faire entrer
par divers moyens. Mais on pressent à première vue que cette dépense n'a pas la
même signification et la même portée dans toutes les hypothèses qu'on vient de
citer.
Dans ce contexte, nous avons pu définir d'une façon générale le budget de l'Etat.
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D'une manière générale, le budget de l'Etat est une liste de tous les produits et
charges planifiées.
Il s’agit d’un plan pour les économies et les dépenses à réaliser dans une future
proche. Un budget est état prévisionnel des dépenses et des recettes d’une
entreprise, d’un Etat, d’une collectivité territoriale, d’une institution, d’une
association, de tout agent économique ou d’un particulier. Le budget est la
traduction exprimé en valeur monétaire des différentes hypothèses concernant
l’environnement, l’activité, l’exploitation des investissements et les actions
envisagées au cours d’une période déterminée, en générale une année,
correspondant à un exercice comptable.
Le budget fait l’objet d’un suivi permanent pour assurer qu’il est respecté et
de mesures correctrices si son exécution s'écarte ce qui était prévu. Il peut faire
l'objet de révisions, par exemple semestrielles ou trimestrielles, si les hypothèses
de départ ont changé ou si le réalisé n'est pas conforme à la prévision initiale.
Le budget ordinaire ;
Le budget d’investissement.
Les Etats modernes sont confrontés à des multiples tâches dont ils doivent
assurer l’exécution. Ces tâches recouvrent des domaines à la fois vaste et variés :
le maintien de l’ordre public, la subvention aux différents agents économiques,
les dépenses d’investissement, etc…
D’après Déréel F. et Buisson (2001, p.15), le budget est l’acte pour lequel sont
prévus et autorisées les recettes et les dépenses des organismes de l’Etat.
La définition du budget n’est pas don aisée, elle a en effet évolue nommée
actuellement selon les acteurs. Le budget est l’état prévisionnel et limitatif des
dépenses et des recettes à réaliser, au cours d’une période donnée par une unité
économique.
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C’est un acte par lequel sont prévues et autorisées les recettes et les dépenses de
l’Etat. Il détermine les dépenses de fonctionnement et d’investissement ainsi que
les ressources pour les finances.
Selon cette disposition, les gestionnaires des crédits décident sur l’opportunité
de la dépense tandis que les contrôleurs des engagements de dépenses
s’occupent de la vérification de la régularité de la dépense.
I.3.1. L’engagement
Selon François A. et al. (2010, p125) l’engagement est un acte par lequel un
organisme public crée ou constate à son encontre une obligation
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I.3.2. La liquidation
Selon François A. et al. (2010, p125) la liquidation est l’acte qui vérifie la réalité
de la dette (l’existence du service faite et du droit du créancier) et arrête le
montant de la dépense.
I.3.3. L’ordonnancement
I.3.4. Le paiement
Selon François A. et al. (2010, p.126) le paiement est un acte par lequel un
organisme public se libère de sa dette. Si les dépenses sont reconnues comme
réguliers, le comptable procède du paiement proprement dit par virement, par
chèque sur le trésor ou par tout autre moyen.
L’équilibre budgétaire est l’acte d’égalité parfois entre les dépenses et les
recettes. Le principe de l’égalité budgétaire repose sur certains nombres des
règles :
Il se différencie du déficit public, car il n’englobe pas le solde des recettes et des
dépenses des autres administrations publiques (collectivités territoriales et
organismes de sécurité sociale notamment).
Le déficit budgétaire se traduit par des emprunts nouveaux que l’État doit
contracter au cours de l’année. Si l’État doit emprunter pour se procurer des
liquidités nécessaires pour couvrir les emprunts antérieurs arrivés à échéance, on
parle alors d’effet "boule de neige".
Selon les économistes, le déficit budgétaire peut jouer différents rôles. Pour
Keynes, il peut stimuler la croissance et l’emploi dans une économie en
récession. En revanche, les libéraux insistent sur les effets néfastes de
l’accroissement de la dette publique.
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Le MFBPE est sis dans son propre immeuble à six niveaux, situé dans le
Quartier Rohero I, commune Mukaza. Il est entouré par des immeubles et
constructions très reconnus.
II.1.3.1. Vision
II.1.3.2. Mission
Le ministère ayant les finances dans ces attributions dispose plusieurs missions
distinctes. Les principales missions sont les suivantes :
II.1.5.1.1. Missions
II.1.5.1.2. Attributions
Le Comptable Principal de l’Etat est chargé d’appliquer, les règles relatives aux
oppositions et à la prescription telle que définie par le RGGBP. Le Comptable
Principal de l’Etat doit veiller aux :
II.1.5.2. Organigramme
Direction de la Comptabilité
Publique et du Trésor
Secrétariat
Le service de reddition des comptes est un service chargé de la saisie des livres
journaux de toutes les comptabilités de l’Etat, même celle de la trésorerie. Il
s’occupe également de la rédaction des rapports sur le niveau d’exécution de la
loi des finances (budget général de l’Etat).
Ces rapports peuvent être mensuels, bimestriels, semestriels et annuels. Ils sont
transmis au ministère ou à la direction générale des finances à la fin de l’année.
des comptes au plus tard dans les six mois de l’exercice suivant celui au titre
duquel il est établi.
- La Cellule de tenue des fiches. Cette Cellule est là pour la tenue des fiches.
Sur ces fiches sont inscrits : le numéro de la facture, la date d’arrivée de la
facture et les numéros de titres de décaissement.
- La Cellule de Vérification des Titres de Créances. Elle vérifie les titres de
créances et la véracité des titres de créances. C'est-à-dire qu’elle vérifie si
toutes les conditions sont remplies à savoir les signatures et les pièces qui
accompagnent les documents.
Elle fait aussi la vérification arithmétique. C’est à dire qu’elle vérifie si les
chiffres sont exacts. Elle vérifie également si la lettre de créance est là.
Dans les lignes qui suivent, nous allons insister sur les points tels que les travaux
effectués pendant le stage ainsi que les difficultés rencontrées et les relations
entre les cours théoriques et le stage.
Durant ces deux mois que nous avons passé au MFBPE, nous étions sous
l’encadrement de la direction de la comptabilité publique et du trésor.
Dans ce service, le chef de service nous a montré les différentes étapes pour
exécuter les dépenses publiques. On vérifie également les titres d’engagement
provenant du budget pour établir le titre de décaissement.
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Après deux semaines que nous avons passé au service de prise en charge, nous
avons continué au service caissier d’Etat du Burundi (CAISBU) où nous avons
vu que ce service est un service homologue avec celle de BRB. Il est chargé de
faire la comptabilité pour la BRB. On vérifie les titres de décaissement en
provenance du ministère des finances et le transmet à la réception au service
chargé (caissier d’Etat du Burundi).
Après un mois dans le service caissier d’Etat du Burundi, nous avons passés au
troisième service de la direction de la comptabilité publique et du trésor qui est
la reddition des comptes.
Dans ce service, on nous a dit que la loi budgétaire est votée à la base de toutes
les ressources de l’Etat (collecter les recettes et décaissement réelle).
Tout au long de notre stage, il y’a des cours qui nous ont aidé à mieux
comprendre les activités du Ministère des Finances qui nous a accueilli.
Ces cours sont donc en corrélation avec la formation suivie à l’Université des
Grands Lacs à la Faculté d’Administration et Gestion des Affaires.
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C’est notamment :
III.1.1. Le gestionnaire
Le CED est nommé par le ministère des finances et il est placé auprès de chaque
ministère dépensier.
III.1.3. L’ordonnateur
On distingue :
Les comptables publics sont nommés par le ministre des finances sur
proposition du comptable principal de l’Etat (CPE).
Il est nommé par décret présidentiel sur proposition du ministre des finances. Il
est chargé du paiement, des dépenses du budget général de l’Etat, de la
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A ce titre, la BRB est la banque de l’Etat. Elle tient le compte unique de l’Etat
qui encaisse toutes les recettes de l’Etat, les recettes fiscales et non fiscales et
qui assure la conservation de ses liquidités qui servent à payer les dépenses de
l’Etat.
Le caissier de l’Etat exécute donc les paiements et reçoit les versements pour le
compte de l’Etat.
Dans ce point, nous allons présenter les procédures d’exécution des dépenses
publiques.
Selon l’article 63 du RGGBP énonce que les dépenses budgétaires font l’objet
de cinq opérations successives, dans l’ordre suivant : l’engagement, la
liquidation, l’ordonnancement, le paiement et le décaissement.
III.2.1.1. L’engagement
A. Le gestionnaire de crédits
Il est chargé :
B. L’Ordonnateur Délégué
III.2.1.2. La liquidation
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Après s’être assuré que le bien a été livré ou que le service ou les travaux ont été
effectués conformément aux termes de l’engagement juridique, le gestionnaire
prépare la liquidation.
- Le constat de la dépense et ;
- Le constat de la créance du fournisseur.
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III.2.1.3. L’ordonnancement
III.2.1.4. Le paiement
Le paiement est l’acte par lequel l’Etat se libère de sa dette. Il est effectué, par
un comptable public qui, dès réception de l’ordonnance de paiement doit
vérifier :
La qualité de l’ordonnateur ;
L’assignation et l’exacte imputation de la dépense ;
L’intervention préalable du visa du contrôleur des engagements de
dépense ;
La régularité et l’exhaustivité des pièces justificatives communiquées à
l’appui de l’ordonnancement ;
Le caractère libératoire du paiement et, notamment, l’identité du
créancier.
La liste des pièces justificatives qui doivent accompagner les dossiers transmis
aux comptables ainsi que les délais impératifs que ces derniers doivent respecter
pour l’exécution de leurs contrôles sont fixés par ordonnance du Ministre chargé
des Finances. Une fois ses contrôles effectués, le comptable public doit
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III.2.1.5. Le décaissement
Source : Burundi-eco.com
1600
1400
1200
1000
600
400
200
0
2017 2018-2019 2019-2020
Le graphique ci-dessus nous montre que les dépenses de 2017 sont inférieures à
celles de 2018-2019 et de 2019-2020.
50
Source : Burundi-eco.com
1350
1300
1250
1200
1100
1050
1000
2017 2018-2019 2019-2020
De ce graphique, nous avons constaté que les dépenses ont diminué de 2017 à
2018-2019, de 2018-2019 à 2019-2020. Donc, les ressources de 2019-2020 sont
beaucoup augmentées.
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2000
1500
1000
Axis Title
0
2017 2018-2019 2019-2020
-500
Axis Title
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L’exécution des dépenses publiques est basée sur la chaîne des dépenses au
MFBPE. Certains problèmes peuvent entraver le bon fonctionnement de ce
service. Nous avons donné ces problèmes ici dessous :
Les ressources ont diminué mais les besoins ne cessent de majorer car c’est un
pays en voie de développement (malgré cette pauvreté, l’éducation primaire
gratuitement les femmes ont mis du monde gratuitement les fonctionnaires ont
besoins des salaires, les enfants de moins de cinq ans reçoivent des soins
médicaux gratuitement et malgré la rareté des ressources, le pays a toujours des
projets à réaliser). Cette rareté des ressources pose des difficultés à l’exécution
des dépenses publiques ce qui pousse l’Etat à ignorer certaines dépenses pour se
concentrer sur l’essentiel plus que les autres.
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Vu la situation qui règne actuellement, beaucoup plus des bailleurs de fonds ont
tourné les dons et subventions au Burundi doit vivre seulement de ses propres
moyens, à savoir les recettes de l’OBR.
La croissance des dépenses publiques constitue ainsi une force de pression qui
oblige l’office burundais des recettes (OBR) à majorer les taxes. Mais ce n’est
pas une chose facile pour l’OBR de collecter cet argent vu la situation politique
actuelle :
Les entreprises et les magasins ont fermé des commerçants ont quitté le pays et
même ceux qui sont restés ici gagnent difficilement la vie et cela devient
difficile pour eux de payer les taxes et impôts sur les revenus.
Les contrôleurs des engagements des dépenses qui jouent ce rôle d’exécution est
du contrôle des dépenses ne sont pas suffisamment équipés. Le transfert des
dossiers n’est pas rapide suite au manque des équipements modernisés.
Par exemple : Le logiciel des questions des finances publiques n’est pas installé
dans le ministère auxquels les contrôleurs des engagements de dépenses sont
rattachés ; ils doivent se déplacer vers ces ministères mais s’il y avait des
moyens.
Les stratégies suivantes sont posées au MFBPE pour faire face aux plusieurs
problèmes identifiés sont :
Il s’agit entre autre d’une plus forte distribution du secteur privé au financement
du développement à travers le renforcement du partenariat entité (public et
privée) dans le financement des grands édifices et ouvrages socio-économiques.
Nous pouvons du gouvernement d’activité le développement économique et le
bien-être de la population. Cette situation fait face à une lacune : celui
d’améliorer la qualité de la gestion publique.
Le gouvernement doit être essayé de dialoguer avec les bailleurs pour connaître
les raisons qui ont poussés à se retirer et essaie de trouver la solution de cette
situation.
Aussi le gouvernement doit assurer sécurité du pays à tel point que chaque
citoyen soit satisfait de sa sécurité et aussi chaque étranger soit libre et l’envie
de visiter de vivre au Burundi. Cela permettant également d’attirer des
investissements directs étrangers et d’augmenter les ressources pour le pays.
Nous n’avons pas oublié de s’élever les problèmes que rencontre le ministère
des finances en générale. Enfin, nous avons proposé des stratégies pour évoluer
les conditions de travail au ministère des finances.
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CONCLUSION GENERALE
Durant la période de notre stage que nous avons effectué au MFBPE (Ministère
des Finances, du Budget et de la Planification Economique), nous avons eu une
occasion d’analyser la façon dont les recettes et dépenses peuvent être exécutées
et les lois de leur mise en place.
Le troisième chapitre qui est le dernier est porté sur l’analyse de l’exécution
budgétaire des dépenses publiques au sein du ministère des finances, du budget
et de la panification économique.
REFERENCES BIBLIOGRAPHIQUES
A. Ouvrages généraux
4. Philip L. (2004), les principes généraux des finances publiques, Paris Dalloz.
5. Philip L. (1987), les principes généraux des finances publiques, Paris Dalloz.
B. Cours consulté
C. Rapports consultés
Annexes
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