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*Jusqu’à la révolution indu on est dans une optique de production = entreprises produisent et
clients achètent
*+- 1930 les choses changent à cause du krach boursier aux USA. Il faut trouver des clients ->
techniques de vente et développement du packaging pour donner envie aux clients d’acheter
*1950 après la guerre -> les gens prêts à consommer donc les entreprises doivent se différencier
l’une de l’autre.
Avant on ne se souciait pas des besoins du clients mais mtn on développe l’offre et enfin on la
commercialise. On part du client pour retourner vers le client après.
Aujourd’hui la concurrence existe encore donc il est important de se différencier
On influence par étape (ex : on ne propose pas direct le mariage quand on rencontre qqn)
Première fois on ne propose pas au client d’acheter (rentrer dans le magasin, essayer, proposer un
abonnement gratuit pendant un mois etc.)
On cherche à influencer les clients, les futurs clients (prospect) et tous les publics dont
l’entreprise a besoin (les fournisseurs, les distributeurs, les influenceurs, les actionnaires toutes
personnes susceptibles de prêter de l’argent à l’entreprise, les pouvoirs public…)
On propose une offre aux clients qui vont la percevoir supérieure à ce que propose les
concurrents
Et pourquoi on fait ça ? Pour créer de l’argent ou créer de la valeur éco (Henallux cherche à offrir
des formations de qualité…)
Exemple :
Nespress
o influence quel type de client ? Les amateurs de café, ceux qui cherche la commodité, les
technophiles (qui aime la techno), prêt à mettre le prix dans une machine luxueuse. On ne vise
pas une classe sociale ou une tranche d’âge.
On essaye d’influencer les clients avec des techniques de vente pour créer une offre de
produits et de services (livraison etc) qui est perçue par sa cible durablement supérieure à
celle des concurrents.
Pour prendre des décisions il faut comprendre le monde et les clients pour anticiper leurs
comportements.
*On cherche à comprendre les attentes des clients (pour quoi vont t’ils dépenser une telle somme
d’argent ?)
*On cherche à comprendre les concurrents, que vont-ils faire futurement
*On cherche à comprendre et anticiper la réglementation éco, ce que les états vont faire (exemple
: encourager à trier les capsules Nespresso) (si l’aluminium devient interdit que va faire
Nespresso et si en 2035 voiture thermique interdite que vont-ils faire ?)
*Après on définit le mix marketing = PPPP produit, prix, distri, communication (+-3 ans)
*Puis on élabore le plan d’action -> calendrier, budget (on fait certaines choses en fonction du
budget), indicateurs de performances (comment on fera pour que ce soit un succès),
responsabilités (qui fait quoi ?) (Tout le temps)
Exemple :
2001 tablet pc -> marché pas prêt donc flop total et en 2010 iPad et c’est un succès mondial idem
pour teams pdt le confinement ++ alors qu’avant personne n’utilisait ça
Exemple :
Nokia qui n’a pas anticipé la concurrence et les besoins des consommateurs et mtn plus personne
n’achète un Nokia
Définition MARKETING
Le marketing est plus réfléchi mais on enjolive souvent la réalité
Grâce aux techniques de vente on peut influencer ou on manipule le consommateur (manip =
mauvaise, malveillante, volonté de nuire)
Exemple :
*Caudalie n’a pas d’intentions de nuire mais le produit à été testé sur un petit nombre de
personne (11) donc scientifiquement ça ne tient pas la route
*Persil diminue le nombre de dose pour le même prix sans que le client s’en rend compte et c’est
le cas de bcp de produits
*Switch faisait signer des contrats à des clients sans savoir ce qui allait se passer (ils débitaient
chaque mois 50 aux clients) = arnaque
*Le Blue Monday a été créée par une agence marketing de voyage pour en vendre plus,
supercherie
Ce qu’il obtient = les bénéfices que le client perçoit (qualité, produit, format, lieu où il est
distribué, goût)
L’image de la marque est importante
Dans le marketing ce qui est important c’est ce que perçoit le consommateur peut importer
si c’est vrai ou pas
Ce qu’il donne = les coûts perçue (prix, risque que s’il change ça ne lui plaise pas (le coût est plus
important si on parle de téléphone car ce n’est que « quelques euros » s’il est déçu)
Exemple :
Évian était l’eau des bébés et les parents choisissent l’Évian pour le Bibi des bébés par peur que
son bébé soit en moins bonne santé
On réduit les efforts que le client devra faire car à cause de ceux-ci il peut abandonner l’idée
d’acheter
Exemple :
Amazon propose de sauvegarder ses données bancaires pour la prochaine fois
On réduit le risque perçu lié au changement pour que le client ne soit pas déçu -> échantillon,
« satisfait ou rembourser », machine à faible prix (les imprimantes coutent peut cher car il se
rémunère grâce aux cartouches d’encre qui coutent plus cher)
Après l’achat :
Soit satisfaction, soit insatisfaction
Insatisfaction -> risque que le consommateur ne reste pas client sauf si c’est tjrs mieux que la
concurrence
Psychologue étant travaillé sur les besoins et qui les a hiérarchisé sous formes de pyramides -> on
ne sait pas monter d’une étape tant que les besoins précédents ne sont pas satisfaits
Besoin de sécurité =
Besoins physiologiques = la nourriture, les besoins vitaux
Besoin d’appartenance = Le fait d’appartenir à un groupe d’ami/sa famille/une autre communauté
Besoin d’estime = Être valorisé par soi-même mais aussi par les autres, il peut se manifestait par
des besoins d’objets pour être valorisé (acheté de la marque, une grosse voiture)
Besoins de s’accomplir = Réalisé ses talents, son potentiel (on ne fait pas gravir l’Everest par une
personne qui ne sait pas se nourrir en suffisance
Pour certain un sac peut être une motivation rationnelle (pour les cours) ou hédonistes (pour se
faire plaisir, shopping) ou éthique (choix de la marque qui est par ex : respectueux de
l’environnement)
Dominance/ motivation éthique -> producteur belge
Dominance/motivation hédoniste -> se faire plaisir en buvant un lait gourmand et onctueux
Dominance/motivation rationnelle -> lait au meilleur rapport qualité prix
En marketing il faut analyser pour voir si la majorité ont une certaine idée reçue
C’est un processus d’achat réfléchi, argument factuel ->Aldi est le meilleur prix
Faire en sorte que les gens viennent faire leur course chez Aldi
Faire en sorte que le client aime pour travailler la relation sur le long terme
Les clients qui veulent sortir le plus vite possible décident vite et décide soit sur base du prix, soit
sur base de la marque
Si la marque est peut connue on fait tester pour aider à l’achat
On prend parmi les croyances celles qui sont suffisamment profonde être suffisamment forte pour
être une motivation à l’achat
La publicité est basée sur une croyance des consommateurs (exemple : publicités basées sur un
savon qui mousse)
C’est le modèle des 5 grands traits de personnalité
Explique peu de choses au niveau du comportement d’achat du consommateur mais ça aide à se
faire une vision du consommateur
Pendant la seconde guerre mondiale -> peut de naissance et après la seconde guerre mondiale
-> pic des naissances appelé baby-boomers
Les générations portent un nom
Les différentes générations ont des préférence différente (exemple : les anciennes générations
préfèrent appeler qu’envoyer des messages)
Il ne faut pas oublier que les vieux consomment aussi et d’ailleurs ils ont plus de pouvoir d’achat
que les autres (ils sont + riche). Il faut être curieux, ouvrir ses perceptives. Ce n’est pas parce que
dans notre entourage fonctionne comme ça que le reste du monde fonctionne également comme
ça.
Qui influence le consommateur ?
L’enfant est souvent prescripteur pour les parents pour ce que lui veut mais aussi dans la vie
familiale. C’est lui qui choisit ce qu’il veut sinon on peut lui bousiller sa journée (exemple : iL
choisit sa boite de céréale ou encore la voiture familiale)
A l’adolescence l’influence à beaucoup plus d’importance. On utilise la tribu/le groupe auxquels
ont appartient (go pro ne communique qu’avec ses utilisateurs, les motards Harley Davidson sont
une communauté)
La communauté influence les achats qu’on fait
Mix des 3 et n’explique pas toute la consommation mais dans certains cas oui.
Le cinéma/le théâtre est consommé par des personnes à niveau de revenu élevé car c’est cher
On regroupe les individus pour essayer d’expliquer leur comportement
Achat à implication forte = un achat auquel le client s’implique fort-> voir les choses
différemment
Accroitre l’implication en l’associant à une préoccupation réelle des consommateurs
Quand on a envie de consommer on ne regarde plus le prix le moins cher mais une réponse à sa
préoccupation donc on répond au consommateur -> amener de la valeur à l’offre
Engagement = intérêt des internautes pour un site internet, une catégorie de produit, contenus des
réseaux sociaux etc
Exemple : engagement pour un site de marque s’appréciera en fonction de la fréquence des
On peut se différencier aussi par l’odeur (exemple : diffusion d’une odeur de pain le matin pour
inciter le consommateur à en acheter)
On influence grâce aux 5 sens
La présence de clients
Exemple :
Les marketeurs cherchent à comprendre le processus par lequel chaque consommateur est conduit
à la décision d’acheter ou de renoncer à l’achat. La figure que tu vois sur l’écran propose un
modèle de processus d’achat comportant cinq phases. Ce modèle fait clairement apparaitre que le
processus de décision d’achat commence bien avant l’acte d’achat proprement dit, et finit bien
après l’acte d’achat. Mais ces 5 étapes ne sont pas toujours dans cet ordre.
Ce schéma constitue un bon point de départ car il inclut toutes les questions susceptibles de
survenir pour un nouvel achat à forte implication, c’est-à-dire un achat réfléchi dans lequel le
consommateur s’implique fortement dans la recherche d’infos et l’évaluation des alternatives.
Pour bcp de consommateurs, c’est le cas de l’achat d’une voiture ou d’un ordi. Pour les jeunes
parents, l’achat du premier petit pot de panade est souvent un achat réfléchi à implication forte.
Le montant payé n’est donc pas le seul déterminant de l’implication
La recherche d’infos peut porter sur différents sujets et prendre de nombreuses formes. La
recherche d’infos est beaucoup plus facile grâce à internet qui nous donnent facilement des infos
et l’évaluation des alternatives.
Il reçoit bcp d’infos commerciales mais il accorde plus de crédibilité aux avis de ses amis et à son
expérience perso, c’est pour cela que les marques sollicitent leur consommateurs satisfait à
recommander leur produits (exemple : publication d’avis)
Chaque type d’info peut remplir un rôle différent dans le processus d’achat. Les pubs servent à
informer et s’adressent souvent à des non-clients de la marque. Les partages d’expérience
permettent d’évaluer et de donner des raisons de préférer la marque et d’y rester fidèle.
Les consommateurs cherchent peut d’info sur les produits. Certaines études révèlent que lors de
l’achat d’un produit durable (exemple : un ordi, une voiture) la moitié des consommateurs se
rendent uniquement dans 1 magasin et seulement 30% regardent + d’une marque. Cela montre
l’importance pour les distributeurs et les marques d’être le premier qui vient à l’esprit des
consommateurs et d‘avoir une image de marque forte.
D’autres études révèlent que les gens sont soumis à une pression temporelle -> - ils disposent de
temps pour faire leur achat, + ils trient les infos rapidement et s’intéressent aux critères les +
important pour eux et comparent un nombre réduit d’alternatives (exemple : pendant la période
de Noël, remplacement de pneus qui viennent de se péter car c‘est urgent)
Toujours cette importance que les marques construisent une image forte permettant au conso de
réaliser ses choix comme lorsqu’ils n’a pas bcp de temps.
Certaines marques créent artificiellement des situations d’urgence pour susciter l’achat en
limitant la recherche d’info et la comparaison d’alternatives (exemple : vente flash, collections
éphémères -> urgence)
Avec + d’infos le conso réduit son éventail de choix (= marques qu’ils prend en considération
avant de faire son choix). Une marque
On catégorise les produits afin que le client ai plus de facilité dans sa navigation dans les sites e-
commerce. Soit le consommateurs évalue des produits similaires, soit il cherche des
alternatives.
A mesure qu'il reçoit de l'information, le consommateur s'en sert pour réduire son incertitude
quant aux alternatives et à leur attrait respectif.
Pour parvenir à faire son choix, le consommateur va comparer les produits entre eux sur
certaines caractéristiques. Il ne se contente pas de savoir si le produit est « bon » ou « mauvais
» mais compare les produits entre eux sur plusieurs attributs.
Par exemple :
- Il va comparer les dentifrices entre eux sur les attributs suivants:
protection contre les caries, blancheur des dents, goût, prix...
- Pour un voyage en avion, les attributs considérés seront les horaires, les destinations, les
services en vol, les tarifs...
- Pour un service chez une coiffeuse, les attributs considérés seront les horaires, la
réputation, les services proposés, les tarifs...
Tous les acheteurs ne sont pas nécessairement intéressés par les mêmes attributs. On peut
d'ailleurs segmenter le marché en fonction des attributs recherchés par les consommateurs.
Nous t'en reparlerons prochainement dans la suite du cours.
Au fur et à mesure de leurs expériences et de leurs apprentissages, les individus développent
des croyances et des attitudes à l'égard des produits et des marques. Ces croyances et ces
attitudes influencent ensuite leurs comportements de consommation et d'achat.
Une croyance est une pensée qu'une personne entretient à l'égard d'un produit ou d'une
Exemple de croyances:
- Un yaourt aux fruits est de bonne qualité s'il contient des morceaux.
- Une couche-culotte est d'autant plus absorbante qu'elle est épaisse.
- Un savon lave bien s'il mousse.
- Un détergent sans odeur ne nettoie pas efficacement.
Les attitudes, ce sont les prédispositions des individus à l'égard des produits ou des marques, et
qui sont formées sur base des croyances, des expériences et des sentiments.
Exemples d'attitudes:
- l'apprécie la marque Danone car c'est la marque que je consommais déjà étant enfant,
j'aime le yaourt qui est onctueux et contient des morceaux de fraises.
Les marques doivent mener des études auprès des consommateurs pour comprendre leurs
croyances et leurs attitudes préexistances, et s'y adapter.
C’est un moment fugitif qui peut-être formalisé (dans les entreprises ou durant un rdv
commercial) ou plus généralement est implicite (devant un rayon de supermarché). La prise de
décision répond à un certain type de rationalité, mais qui est également liée à une dimension
émotionnelle.
Deux facteurs peuvent intervenir dans le passage de l'intention d'achat à la décision d'achat.
Le premier est lié à l'attitude d'autrui, qui peut agir positivement ou négativement sur la
décision d'achat.
Un consommateur peut préférer l'ordinateur le moins cher mais décider d'acheter la marque
plus chère car il subit l'influence de son entourage.
L'ampleur de cette influence dépend de 2 éléments:
o L'intensité de l'attitude d'autrui;
o La volonté de s'y conformer.
Plus l'attitude des autres est défavorable et plus le consommateur est influençable, moins son
intention d'achat sera affirmée.
Rem.: Autrui peut être un membre de la famille, un ami mais également un influenceur, un
critique, un journaliste, une association de consommateurs. ou même de parfai inconnus (par
exemple, au travers des évaluations postées en ligne).
Le second facteur tient aux situations imprévues. Entre le moment où l'ach planifié et celui où il
se réalise, le consommateur p ut faire face à ces apreus modifient, reportent ou font
abandonner son inter ion: perte de r ven ,produit indisponible en magasin, oubli, opération
promotio nelle d'un con urrent...
Le marketeur ne peut donc jamais considérer l'inte ,ion d'achat comme un indicateur du
comportement d’achat
RETARGETING = la marque nous montre les articles que nous avons consulté ou mis dans notre
panier pour nous pousser à acheter/à prendre une décision
Exemples d’approche :
Trois variantes de
retargeting pour cette
marque
– Nous sommes prêts si vous êtes prête.
– Votre panier se demande où vous êtes allée.
– Jetez un autre coup d’œil.
Si le parcours d’achat est plus complexe que prévu ou si le client a un remords quant à sa
décision ils peuvent renoncer à leur achat. (abandon de panier)
Exemple :
Selon l’Insee, le taux moyen d’abandon de panier dans les sites e-commerce est de 73,6%
Voir à chaque étape combien de consommateur nous perdons -> détecter les étapes
problématiques
1. On reconstitue le parcours de la cible en le fractionnant en étapes essentielles :
- Considération : le consommateur fait un tri entre les marques et produits pour n’en
retenir qu’un petit nombre (short list)
- Demande d’infos : le consommateur s’informe par internet, les magazines, son
entourage.
- Essai : demande d’essai
- Négociation : (exemple : pour l’achat d’une voiture on peut négocier son prix ou la
reprise de l’ancien véhicule)
- Évaluation : établie un ordre de préférence après avoir évalué les marques et produits
- Achat : achat ou abandon
- Recommandation : il recommande ou pas la marque à son entourage
2. On mesure par des études sur échantillons le pourcentage de la cible aux différents
stades du parcours d’achat (perte de consommateurs à chaque stade)
3. On calcule les taux de conversion, d’une étape à l’autre (à quel stade pert on le plus ?)
4. On met en œuvre les plans d’actions et on mesure leurs effets -> les étapes qui posent pb
5. Les funnels sur internet et les funnels « transcanaux »
Un test soit A soit B (se fait en ligne) et on va à exposer une page a la moitié des gens et une
autre page à l’autre moitié -> période de test qui permet par la suite d’améliorer le parcours du
visiteur et le taux de conversion afin de réduire le taux d’abandon de panier
Un bien tangible (que je peux toucher) peut être utilisé pour un service (exemple : l’imprimante
de l’école)
Support tangible (le journal dans lequel je cherche des infos -> c’est l’info qui m’intéresse et pas
le journal en lui-même)
Service peuvent être : intangible, s’appuie sur des éléments matériels (restauration, hôtellerie,
transport,…) et mise à la dispo de biens matériels (services de location ou de distribution)
Quand on achète un grille-pain on pense qu’il solide quand il est lourd, plus c’est solide donc on
accepte de payer plus cher donc certains ajoutait des plaques métalliques pour augmenter le poids
Il faut se mettre dans la peau du client qui devrait percevoir le produit comme qualitatif, bon,
beau… on utilise les 5 sens pour influencer la perception
Attention se déconnecter entre valeur d’usage et de signe = risque car le produit est très important
et il est difficile de soutenir une image sans produits fort
Toutes ses dimensions vont être utiliser pour avoir un avantage produit
Exemple :
- Une lessive peut être décrite sous une forme d’une liste des produits entrant dans sa compo,
avec leurs proportions respectives
Un produit d’assurance-
-
Formule produit de Patagonia (= textiles recyclés) = 60% des textiles Patagonia sont des textiles
recyclés
Formule produit de Levis 501 = utilise moins d’eau dans la production des jeans
On insiste sur la qualité de cette formule produit et sur la communication
Lié à la formule-produit
Parmi les performances du client, lesquelles feront l’objet de promesses aux clients ?
Exemple :
On attend qu’une poudre à lessiver soit efficace
On attend d’un voyage de nous donner une expérience unique
Lié aux composantes du produit et est l’objet de politiques de design qui se réfèrent à cette
identité sensorielle
Les 5 sens sont présents dans l’identité sensorielle (exemple : pour relancer les ventes chez
iPhone ils ont proposé des coques de couleur en touchant à cette identité sensorielle)
Exemple :
- Quand on achète une crème l’identité sensorielle est une bonne odeur, un touché
agréable (texture) et sensation laissée sur la peau
- Quand on voyage au Kenya l’identité sensorielle est le visuel c’est pourquoi l’affiche nous
propose une belle vue
- Quand on voyage en croisière l’identité sensorielle est le confort, la restauration, les
casinos, le luxe
La marque de moto
Harley-Davidson, faisant
face à la
La marque de moto Harley-Davidson, faisant face à la concurrence de copies japonaises, a
cherché à déposer le bruit rond et saccadé de ses moteurs (le son « pop-pop »),
arguant du fait qu’il s’agissait d’une composante constitutive de « l’expérience Harley-Davidson
».
Pour produire en masse il faut standardiser les produits mais il faut faire attention à ce que le
produit soit toujours attractif (Selon Jonathan Ive, ancien patron d’Apple, c’est le produit qui doit
s’adapter à l’utilisateur et pas l’inverse) et diversifié.
Le design est l’élément principal de la différenciation des produits, il peut faire la différence.
Il est rare qu’un client achète un produit s’il n’aime pas son design
Le design doit être attractif => tout le monde à des goûts différent concernant la beauté
d’un produit donc certaines entreprises peuvent suivre des politique de risques pour se
faire une image de marque ou viser une clientèle particulière
Fonctionnalité (utilité, ce qu’il est censé pouvoir faire) et ergonomie (facilité d’utilisation,
sécu, facilité de maintenance etc)
Exemple : Google l’utilisation et le design du site le rend simple d’utilisation
Efficience en termes de fabrication => produit conçu de façon à optimiser sa fabrication.
Identité de marque ou de produit => le design peut renforcer/valorisé l’identité de la
marque ou du produit
Le design BMW reste cohérent avec la marque car s’il sort une voiture comme Dacia il devrait
changer de nom sinon ça dévaloriserait la marque
3 catégories de packaging :
1. Emballage primaire = en contact direct avec le produit (berlingo de jus, pots de yaourt,
parfum etc)
2. Emballage secondaire = contient un produit déjà conditionné (boite à chaussures, pack
de 12 cannettes de bière, boite d’emballage de parfum etc)
3. Emabllage tertiaire = permet le transport (palette, cartons de transport) mais n’intéresse
pas les consommateurs car ils ne sont pas censé les voir sauf exeption
La protection du produit peut être utiliser à l’usage (exemple : bec verseur du lait)
Les fonctions techniques :
- Protection et conservation (exemple : produit sous vide permettant de conserver des
produits liquide ou dans des emballages hermétiques pour la soupe)
- Commodité d’utilisation (exemple : une marque de peinture s’est différencier en
améliorant les fonctions du pot en y apportant un couvercle vissant, poignée rabattable,
verseur anti-gouttes, etc.)
- Facilité de transport, stockage, de rangement et d’élimination (exemple : poignée pour
les packs de lait/eau)
- Protection de l’environnement (exemple : Évian a supprimé le suremballage de ses packs
d’eau minérale. Elles sont maintenant reliées grâce à des points de colle)
- Impact visuel -> déclencher l’impulsion d’achat (exemple : je vois une tablette de
chocolat sur le packaging et j’en ai envie car je vois le produit présent sous l’emballage)
- Identification -> on reconnait une catégorie de produit/une marque (exemple : je
cherche la moutarde Bister donc je cherche un bocal en forme de grenade, ovale vert de
Roquefort, vittel par le rouge...)
On voit la marque et on ne lit pas
- Expression du positionnement -> (exemple : la confiture bonne maman à l’air artisanale
grâce au packaging or que ça ne l’a pas)
- Information du consommateur -> dates limites, composition du produit, mode de
préparation, recettes (sur le packaging du mascarpone on retrouve la recette du tiramisu)
- Communication corporate -> packaging utilisé pour présenter leur engagement de
responsabilité sociale des entreprises (éthique, environnemental…) (exemple : sur la
boite des flocons d’avoine Quaker Oats la marque affiche leur engagement de réduction
de l’impact environnemental)
Les codes couleurs sont propres à leur pays
Ils ont imaginé une languette pour ouvrir proprement les choco prince
Packaging d’expédition : caisse en carton
Packaging secondaire : ce qu’il se trouve dans la boite en carton
Beaucoup de marketeurs ne savent plus quoi inventé donc ils se concentre sur le packaging
Un produit est souvent associé à un service (pas pick-up par exemple)
J’achète un véhicule, service associé -> garanties
Les services associés sont pas des accessoires mais une composantes d’une politique de produit
Services associés de base vs services associés additionnels :
Service de base = le min obligatoire à cause de la réglementation (délai de réflexion pour
un crédit) ou indispensable à la commercialisation et l’utilisation du produit (service
après-vente)
Services additionnels = tout le reste qui permettent de différencier une offre parmi une
catégorie de produits (exemple : chez Ryanair on a le droit un sac après l’achat de notre
billet)
Exemple :
La réglementation
européenne oblige les
constructeurs
La réglementation européenne oblige les constructeurs d’automobiles à garantir leurs
véhicules deux ans. Toyota ou Honda les garantissent trois ans, Kia sept ans. La garantie de
deux ans est un service de base, celle de trois ans ou plus est un service additionnel.
Parmi les services additionnels, distinguer les services intégrés à l’offre et les services tarifés :
- Intégrés = éléments permettant de situer l’offre à un certain niveau de gamme dans la
catégorie de produits ou la distinguer des concurrents. Quand les services sont intégrés
ils ne sont pas une option et ne conduisent pas à une tarification supplémentaire (pas +
cher)
- Tarifiés = peuvent faire objet d’une politique marketing et deviennent des produits
induits.
-
Classification des services associés :
1. Préparation de l’achat :
- Accueil
- Prise en charge
- Info sur l’offre
- Conseil à l’achat
- Traitement des cas particuliers
2. Facilitation de la transaction :
- Prise de commande et réservation
- Facturation
- Paiement
3. Après-vente :
- Livraison, installation et formation à l’utilisation
- Maintenance et réparation
- Traitement des réclamations
Service après-vente
Service après-vente
Les 4 caractéristiques :
- La réponse crédible à une attente réelle = si l’avantage-produit n’atteint pas les attentes
des clients ou si la performance du produit est insuffisante il sera considéré comme un
gadget (exemple : l’attente que j’attends quand j’achète un pc portable c’est d’avoir un
écran tactile)
- Potentiel de communication = doit être perceptible par les clients, doit être communiqué
par la pub, par les vendeurs de l’entreprise ou autre
- Prix acceptable = il ne faut pas que les bénéfices perçus soit annulé par un prix excessif.
La différence de prix est infinie
- Imitation difficile = doit être durable (ne peut pas être copié facilement et rapidement
par les concurrents)
Exemple :
- Avantage produit d’un dyson ?
Pas de sac, pas de file
- Avantage produit papier toilette sans tube (moltonel)
Ecologique, moins de déchets, sans tube
- Avantage produit du Handy bag
Pas d’odeur
Banalisation des produits = toutes les offres suivraient une tendance à l’indifférenciation et
deviendraient sensiblement identiques aux yeux des clients. C’est pourquoi il faut se différencier
en continuant à faire des recherches et développer le produit (exemple : Essity, vendeur de papier
toilette à développer un avantage-produit bien que son produit soit banal. Il à créer des tubes de
papiers toilettes recyclable)
A la base on écrasait le café à la main, ensuite on l’a vendu moulu, puis apparitions des dosettes
(dosé préalablement), finalement les capsules
Une amélioration de l’offre peut influencer la perception du client grâce à son packaging, une
modification de son apparence, caractéristiques sonores ou olfactives par exemple
- Ce qui plait c’est que le bébé est bien dans sa poussette, a l’abris de la pluie et du soleil,
bien allongé
Ce qui déplait c’est qui est volumineux
Donc améliore le produit, on peut le sécuriser avec la ceinture, prend moins de place,
accessoire qui permet au petit frère de ne pas marcher
- Sécurité de bébé n’a pas de prix donc je mets le prix
Pour des Tongue
Ce qui peut déplaire c’est l’inconfort
Une société a écouté ce qui plaisait et déplaire au consommateur
Ce qui pourrait me plaire c’est de ne pas irrité par les lanières et ne pas être embêté avec
la transpiration donc une société a fait des lanières en cuir et la semelle en liege
Personnalisation de produit
Catégories de produits :
Fonction (exemple : rouler, différentes fonctions au niveau du karcher)
Public cible -> B to B, B to C; generation
Circuit de distribution (exemple : cantine, restaurant)
Prix -> haut de gamme, bon marché
Gamme de produit peut être relativement large et au seins d’une ligne il peut y avoir plusieurs
références
Largeur de gamme -> ici largeur de gamme est importante car 5 lignes de produits
La longueur d’une gamme est le nombre total de toutes les références de l’entreprise
=> largeur . profondeur ou somme de toutes les lignes
80/20 -> 80 pourcent de votre chiffre d’affaires est réalisé par 20% des produits (80% de
référence qui ne vous rapporte que 20% du chiffre d’affaire) donc parfois ils faut en retirer du
marché afin de réduire les coûts
Il faut identifier la rentabilité des différents produits d’une gamme. Elle n’est pas forcément lié au
CA ou au prix du produit. Certains produits peuvent paraitre rentable alors qu’ils sont déficitaires
en raison de coûts cachés ou non pris en compte (coût de services aux clients, coût des services
après-vente, imputation du coût des vendeurs…)
Une gamme peut être très jeune ou trop vieille. On peut calculer l’âge moyen de la gamme et
ainsi connaitre la durée de vie qu’il reste à nos produits ou ceux des concu
Le guide Michelin n’est pas un bien tangible car c’est l’info qui nous intéresse et pas le support
Les niveaux de gamme :
- le bas de gamme/entrée de gamme = produits de moindre qualité (les premiers prix) et
les moins chers de la gamme
- le moyen de gamme = produits de qualité à prix moyen
- le haut de gamme = produits au prix le plus élevé dans leur catégorie car leur marque est
exclusive, relèvent d’une variété plus rare ou qu’ils offrent plus de fonctionnalités
Exemple :
Vélos = cycle de vie d’un marché
Moteurs diesel = cycle de vie de catégories de produits
Testa model 3 = cycle de vie d’un produit
1. Un produit peut échouer dans un marché en plein développement
Exemple : Take Eat Easy a fermé ses portes même si il était en plein développement
car la concu était trop forte
2. Un produit peut être lancé avec succès dans un marché en déclin
Exemple : moleskine est une marque de carnets/agenda qui connait un grand succès
malgré l’évolution de la technologie
Méthodo qualitative (entretiens face à face) pour enrichir la réflexion ou méthodo quantitative
(sondage) si on cherche à le valiser à un échantillon représentatif. On présentera le projet plutôt à
des prospect ou à un jury d’experts
Exemple : on demande on consommateur de retourner en ayant acheté une bière puis on voit si
quelqu’un a choisi la nôtre et si ce n’est pas le cas il faut revoir le produit/packaging
Tester le packaging :
4 types de tests
- Test d’usage = associé au design, on voit si le packaging est fonctionnel, simple
(observation et interview en général)
- Test d’impact visuel, de reconnaissance, d’identification = attire les regards des clients en
magasin et à être identifier par les connaisseurs de la marque et par les autres
- Test d’évocation = présenter le packaging à des consommateurs pris isolément
(entretiens individuels) soit en groupes (réunions de groupe) et les faire s’exprimer sur le
packaging avec un certain nombre de critères par exemple (élégance, modernisme,
qualité supposée…) (internet)
- Achat simulés en linéaire = consiste à faire circulé les conso dans un linéaire reconstitué
et à observer leur comportement dans celui-ci. On l’utilise souvent pour comparer
l’ancien packaging au nouveau (linéaires virtuels sur écran d’ordi)
Les entreprises peuvent cibler un segment du marché mais les innovateurs restent privilégié après
le lancement d’un produit
Certains produits ont échoués car ils n’étaient pas acheté par la masse du marché.
Les innovateurs peuvent faire des efforts pour apprendre à connaitre le nouveau produit mais la
masse du marché est réticente face à des produits compliquer à utiliser. Les innovateurs peuvent
accepter certaines imperfections du produit mais la masse du marché cherche la fiabilité, la
sécurité et la facilité d’utilisation -> par d’imperfections
Les innovateurs cherche à essayer un produit car il est nouveau mais la majorité attend une
promesse claire et plus conventionnelle en termes d’avantages et bénéfices produits
Exemple : Segway fut un échec à cause de ses imperfections -> prix élevé, peu d’autonomie,
lourd, besoin d’entrainement et port du casque
Pour imposer leur innovation, les entreprises doivent adapter leur offre pour satisfaire les
attentes de la masse du marché
Crossing cham -> le produit n’était pas adapter à la cible (B to C) mais à un autre marché (B to
B)
Pour ne pas tomber dans le gadget il est indispensable d’identifier ce que seront les besoins et
usages de demain
B to B :
On retrouve des objets connectés dans tous les secteurs : énergie (exemple : compteurs qui
mesurent la consommation de gaz ou d’électricité), agriculture (exemple : drone utilisé pour leur
capacité de reconnaissance visuelle -> surveillance et cartographie), mobilité (exemple : outil
utilisé pour surveiller le parcours des véhicules de employés), santé, logistique et transport…
B to G :
Principaux usages :
- Sécurité : vidéosurveillance, contrôle d’accès…
- la gestion des flux dans la ville intelligente (smart city ; exemple : poubelles
intelligentes à Singapour qui envoit un signal quand elle est pleine) : optimisation de la
consommation d’électricité (éclairages publics…), du trafic (péage, signalétique sur
les routes, gestion des embouteillages, gestion des places de parking…), etc. ;
- l’environnement (smart environment) : gestion des déchets,
- contrôle de la pollution, des inondations, alertes tremblements de terre, du bruit, etc. ;
- La géolocalisation des équipements publics ;
- La collecte de preuves lors d’enquêtes policières.
On a les objets (montre qui contrôle les battements de cœur) que l’on porte et qui sont chez soi
(maison ou entreprise) (b to c)
Les objets connectés liés à la domotique répondent aux besoins de confort (gestion
d’énergie, optimisation de l’éclairage et du chauffage), de sécurité (surveillance, alarme), de
contrôle (pilotage d’appareils à distance) et d’information ou de communication (enceinte
connectée avec assistant personnel) que l’on peut retrouver dans les maisons (b to c)
Les consommateurs peuvent créer un lien avec leur assistant personnel et donc influencer leur
comportement. Il peuvent des formes surprenantes (comme Gatebox) (b to c)
Certains objets peuvent se mouvoir eux-mêmes ou actionner un mouvement (on peut les
assimilés à des robots) comme les voitures autonomes par exemple (b to c)
Système de géolocalisation (b to c)
Le RGPD est là pour protéger les données perso
Protection -> GAFA s’assure que les assistants intelligents (Siri, Alexa d’Amazon, Google
Assistant) respectent le droit des consommateurs dans l’utilisation des données qu’ils collectent
Éthique (difficile d’accepter qu’on aura bientôt les voitures qui conduiront sans nous et qui
suivent les lignes mais qui pourront causer la mort d’une personne)
Pour l’oral :
- Différent niveau de produits
- Comment définir un produit (tangible, intangible), dimensions du produit (expliquer
chaque dimension)
- Développer ce qu’on entend par packaging
- Design
- Types de services associés
- Les parcours d’achat
- Définir avantages produit
- Leviers de différenciation d’un produit
- Gamme de produits (expliquer : largeur, profondeur, cohérence, exemple)
- Extension de gamme (quelles sont les diff méthode pour étendre ta gamme, exemple)
- Cobranding (différents cobranding, exemple de marque, avec des personnalité,
ingrédient)
- Cycle de vie du produit
- Design thinking
- Crossing chasm
Chapitre 4 : la politique de prix
C’est de plus en plus difficile pour un responsable marketing de choisir le juste prix
En fonction de la taille du marché, possibilités de mieux négocier et en plus grande quantité donc
achat à de meilleurs prix
On fixe des objectifs de gamme -> maximiser les ventes & les profits de toute la gamme
Les objectifs doit être clairement formulés et hiérarchisés dès le lancement du produit et l’un
deux sera prioritaire et les autres seront des seuils minima à atteindre.
Exemple :
Un grand fabricant de
rasoirs électriques
s’apprête à fixer
Un grand fabricant de
rasoirs électriques
s’apprête à fixer
Un grand fabricant de
rasoirs électriques
s’apprête à fixer
Un grand fabricant de
rasoirs électriques
s’apprête à fixer
Un grand fabricant de rasoirs électriques s’apprête à fixer le prix d’un nouveau modèle
de sa gamme. Il définit ses objectifs dans les termes suivants :
◗ L’objectif prioritaire : maximiser la part de marché de ce
L’objectif prioritaire : maximiser la part de marché de ce nouveau modèle.
Les autres objectifs à atteindre :
◗ Les autres objectifs à atteindre :
– la rentabilité : obtenir sur une période de trois ans un rendement minimum de 30 % sur les
capitaux investis ;
– la gamme : ne pas cannibaliser de plus de 5 % les ventes du modèle le plus cher de la
gamme actuelle ;
– l’image : positionner le nouveau modèle comme un rasoir d’excellente qualité, sans être un
objet de luxe.
Prise en charge (exemple : si les parents prennent en charge les vêtements on va pas se
restreindre)
- On analyse les statistiques des ventes passées au fur et à mesure de l’évolution des prix
- Enquête = étude de marché
On test le produit et le prix
Exemple :
Dans l’exemple
précédent (nouveau
modèle de rasoir
Dans l’exemple précédent (nouveau modèle de rasoir électrique), le prix de vente
consommateur minimum permettant d’atteindre l’objectif de rentabilité qu’on s’était fixé
était, compte tenu de la structure des coûts de l’entreprise et des marges prévisibles des
distributeurs, de 140 €.
Exemple :
Dans l’exemple
précédent, le producteur
de rasoirs
Dans l’exemple précédent, le producteur de rasoirs électriques souhaitait positionner son
nouveau modèle tout en haut de sa gamme, mais au-dessous du modèle le plus prestigieux
de la marque de luxe Braun. Le modèle le plus cher de la gamme actuelle du producteur était
vendu au prix consommateur (PVC : prix de vente consommateur) de 130 €. Pour s’en
démarquer et pour réduire les risques de cannibalisation, le nouveau modèle devait être vendu
au moins 15 % plus cher, soit 150 €. Quant au modèle le plus cher de Braun, il était vendu au
prix de 199 €, ce qui a conduit le producteur à juger que le prix maximal de son
nouveau modèle ne devait pas dépasser 90 % de ce prix, soit 179 €.
Contraintes d’acceptabilité par la clientèle:
Ne pas dépasser le prix jugé « normal » par la majorité des clients potentiels par rapport aux
caractéristiques du produit considéré (par un test). Au-delà de ce seuil le pourcentage
d’acceptabilité diminue rapidement.
Exemple :
Exemple :
Ikea est moins cher aux Pays-Bas car il y a une plus forte concurrence là-bas donc ils doivent
s’harmoniser sur la concurrence
Exemple :
Dans l’exemple du rasoir
électrique, le plus élevé
des prix
Dans l’exemple du rasoir
électrique, le plus élevé
des prix
Dans l’exemple du rasoir électrique, le plus élevé des prix minima correspondait à la contrainte
de positionnement dans la gamme actuelle, soit 150 €, et le plus bas des prix maxima
correspondait au prix d’acceptabilité de la part des clients potentiels, soit 166 €. La
fourchette se situait donc entre 150 € et 166 €.
On cherche la qualité/prix
10€ -> on dit que c’est de la mauvaise qualité
80€ -> très bonne qualité
- Coûts directs = les coûts lié à la production de mon produit (exemple : coûts des matières
premières et des fournitures pour fabriquer un produit, commissions versées aux
vendeurs sur les ventes)
Coût indirect = les coûts qui concernent plusieurs ou tous les produits de l’entreprise et
qui sont répartis entre eux (exemple : coûts des services généraux de l’entreprise,
campagne publi corporate)
- Coûts fixes = coûts qui restent constant quel que soit le volume des ventes
Exemples coûts fixes directs : amortissement des machines utilisées, salaires et charges
du personnel permanent
Exemple coûts fixes indirects : campagne publicitaire corporate
La majorité des coûts marketing sont des coûts fixes car tous les budgets de recherche et
développement d’un new produit, du packaging, de pub etc ne dépendent pas des résultats
commerciaux
- Coût moyen = somme de tous les coûts/nombre d’unités vendues
Coût marginal = coûts variables directs/nombre d’unités vendues
Coût marginal => le coût d’une unité en plus, qu’est-ce que ça me coûte de produire cette
unité en plus ?
Le coût unitaire varie selon le volume des ventes : (à combien me revient le produit)
Rarement, le coût unitaire peut augmenter si le volume des ventes augmentent
Exemple :
- pour augmenter ses ventes, un vigneron achète du raisin ailleurs qui lui reviendront + cher que
sa propre récolte
- quand la consommation d’électricité augmente en hiver, EDF importe de l’électricité et l’achète
très cher
Dans la plupart des cas, quand la production augmente les coûts unitaire de production et de
commercialisation baissent
Marge unitaire = le chiffre d’affaire, ce que l’on gagne sur une vente (je vends 2€ et j’achète 1€)
La méthode généralement utilisé -> envisager un petit nbre de prix possible et pour chacun de ces
prix construire un scénario de ses effets probable. 2 volets principaux pour chacun d’eux :
Exemple :
Le producteur de rasoirs
électriques dont il a été
question
Le producteur de rasoirs électriques dont il a été question précédemment a étudié cinq scénarios
correspondant aux prix de 152 €, 158 €, 160 €, 162 € et 165 €. Sur ces cinq scénarios, il
est apparu que les trois premiers ne satisfaisaient pas l’objectif minimum de rentabilité
que s’était fixé le producteur. Parmi les deux autres prix possibles, c’était celui de 162 € qui
permettait de maximiser l’objectif prioritaire de part de marché. C’est donc ce prix qui a été
choisi.
- Si le prix d’achat d’un bien est de 10€, la réponse doit être supérieure à 10
Cv = 10€
CT = 300 000€
Q = 50 000
C u = 10€
Cu = 10€ + 300 000/ 50 000 = 16€
Exercice :
1.
CF = 300 000
Q = 50 000
PV = 20€
CV = 10€
A. MCV ?
MCV = PV – CV
= 20 – 10 = 10€
B. TMCV ?
TMCV = MCV/PV
= 10/20 = 0,5
C. SR ?
= CF/TMCV
2. CF = 24€
CV = 9€
PV = 12€
MCV = 12€ -9€
TMCV = 3/12€ = 0,25
=24€/0 ,25 + 96€ => Q = 96/12 =8
CVTOT = Q . CVUNIT
= 8 . 9 = 72
Exercice :
- Une entreprise a des CF de 500 00, un TMCV de 0,25 et souhaite dégager un bénéfice de
150 000. Quel devrait être CA ?
CA = CF + profit/ TMCV
= 500 000 + 150 000/ 0,25 = 2 600 000
CV (marchandise et matière première, tout ce qui commence par 6.0) => 110 000 + 10
000 = 120 000
tout ce qui n’est pas coût variable et coût fixe
CF = 383 000 – 120 000 = 263 000
La politique de pénétration :
= politique privilégie le développement des volumes vendus et de la part de marché sur la
marge unitaire
Cette politique peut se justifier :
- Si l’élasticité des ventes par rapport au prix est selon elle élevée
- Si la production augmente -> baisse du prix de revient unitaire
- Stimuler la croissance et conquérir des parts de marchés. Cette politique peut constituer
des barrières face aux éventuels concurrents. Le but est de devenir l’acteur dominant
(exemple : la politique de pénétration a causé l’arrêt de Take Eat Easy face aux acteurs
concurrents)
- Sur le marché mature, empêcher d’éventuels concurrents d’entrer dans le marché
Exemple :
Xiaomi s’est lancé dans plusieurs marchés avec une volonté de pénétration soutenue par des
prix bas. Leur prix étaient plus bas que tous les concurrents en terme de drones, trottinettes et
télé LED
Écrémage, guerre des prix et pénétration ont tous les 3 des objectifs différents :
Guerre des prix -> stratégie dans le but d’éliminer les concurrents
Écrémage -> maximiser les marges avant de développer les ventes par une baisse de prix
Pénétration -> objectif est de créer rapidement pour son offre un marché à volume important
Cependant, une entreprise peut choisir de distribuer son logiciel en open source mais
bénéficie de toutes les sources et revenus complémentaire
Exemple :
- Recevoir des donations et subventions
- Proposer un produit gratuit et une version premium payante (modèle freemium)
- Être rémunéré par des développeurs et des ajouts spécifiques
- …
Le prix de prédation :
Peut prendre la forme du dumping -> vendre un produit à perte pour éliminer des concurrents
plus faible en vendant en dessous de ses coûts (bien que ce soit illégale mais difficile à prouver)
2 types de cannibalisation :
- Cannibalisation involontaire = un produit de gamme se développe au détriment d’un
autre alors que ce n’était pas prévu et pas souhaitable pour l’entreprise (exemple :
nouveau modèle de voiture)
- Cannibalisation volontaire = l’entreprise organise la cannibalisation (exemple : Apple ->
cannibalisation entre ses anciens modèles et les nouveaux)
Exemple :
Cette politique descendante est mieux que l’inverse car il plus facile de diminuer le prix plutôt
que de l’augmenter. Il est plus facile de justifier un prix élevé aux acheteurs et intermédiaires au
cours des premières phases de vie du produit.
On peut utiliser cette politique si l’innovation est significativement différente par rapport à la
concurrence.
Produit haut de gamme :
Si le produit se trouve dans le segment haut de gamme ou luxe -> prix élevé
Certains clients utilisent le prix comme indicateur de qualité lorsque les performances objectives
du produit sont difficilement perceptible (on appelle cela les produits d’image)
Si une marque c’est positionnée dès le départ dans du haut de gamme, elle peut se servir d’un
prix élevé pour conforter son image
Exemple :
Bling -> bouteille d’eau à 60-80€ en entré de gamme dont le prix se justifie par un
positionnement publicitaire digne des marques de parfums, bouteille conçue par des designers
reconnus, serties de cristaux de Swarovski incrustés à la main, éditions limités…
Les prix bas attirent les personnes sensible au prix et ne prend aucun autres critères avantageux
donc certains décident de communiquer sur la qualité des produit (exemple : Aldi «la meilleure
qualité au meilleure prix »), d’autres communiques d’autres dimensions de leur positionnement
(exemple : Zara n’a pas un positionnement qui se résume à sa politique de prix. Les collections
sont fréquemment renouvelées, mode tendance, design au niveau des points de vente…) et
certains considèrent que l’image de prix bas est suffisamment attractive
= Biens ou services identiques, provenant du même producteur ou distributeur sont vendus à des
prix différent. L’offre n’a pas la même valeur perçue pour tous les clients
3 méthodes :
1. Le marchandage : (= négociation)
Pratique courante en B to B et pour des produits à forte valeur (voiture, bien immobilier,…). La
négociation se fait en one to one (acheteur et vendeur) qui vont ajuster le prix.
2. Les enchères :
Mise en concurrence des acheteurs. L’acquéreur n’a pas forcément atteint son prix max mais que
les autres offrent oui.
Types d’enchères :
- Enchères classiques = 1 vendeur vs acheteurs qui proposent un prix qui va augmenter
- Enchères inversées = 1 ou plusieurs acheteur vs vendeurs qui proposent un prix de vente
qui va en décroissant. L’acheteur achète au vendeur ayant fait la meilleure offre.
3. L’individualisation des prix en fonction de ce que le client veut payer :
Le principe est de ne pas fixer de prix de vente, ni de plancher et c’est le client qui fixe et paye le
prix qu’il estime être le bon.
L’individualisation du prix sur la base du CRM :
Connaissance individuelle des clients. (connaissance de l’historique d’achat, évolution de sa
consommation, réaction aux offres promotionnelles). Les offres peuvent donc être
individualisées. (exemple : Tesco envoie chaque années à ses 16,5 millions de membres des
coupons de réduction personnalisé en fonction de leur comportement d’achat)
- Le prix d’une entrée pour le festival d’Esperanza est moins élevé si j’habite dans le
commune de Floreffe
- Le prix est plus élevé pour les touristes européens voyageant au Maghreb que pour les
habitants
- Les prix Apple sont différents aux Etats-Unis et en Europe. Les européens ne peuvent pas
acheté sur le site américains où les produits sont moins cher
Discrimination d’image :
- Certains industriels commercialisent un même produit sous des noms de marques et à des
prix différents (Exemple : Omo et Dash)
Discrimination en fonction du temps :
- Dans certaines discothèques, je paie mon entrée moins cher à partir de 2h du matin
Utiliser lorsque les capacités de production sont fixe (exemple : toujours le même nombre
d’avions dans les compagnies aériennes et le même nombre de chambres dans un hôtel) et
lorsqu’on ne peut pas stocker les produits (pas possible de mettre les places d’avions inutilisées
ou les nuitées non vendues) -> un producteur doit diminuer ses prix pour remplir ses capacités de
production et les augmenter quand ces capacités risquent d’être saturée
Politique également utilisée quand les coûts fixes sont élevés et les coûts variable faible
Exemple :
- Si la demande est élevée dans une zone, Uber Eat augmente le prix des courses de cette
zone
- Le prix de l’électricité varie selon les jours et les heures de la journée
Exemple :
Le prix d’une cannette de coca cola dans un distributeur automatique n’est pas le même que dans
une grande surface -> discrimination selon le canal de distribution
Exemple : le prix elle plus élevé si les clients achètent leur ticket auprès du chauffeur par rapport
à ceux qui effectue leur achat en ligne car il est plus difficile de comparé les prix avec ceux des
concurrents lorsque l’on est déjà monté dans le bus
Pour ne pas que le client privilégient un canal plutôt qu’un autre les producteurs utilisent de
nombreux stratagèmes :
- Proposer le même produit sous des marques différentes (Omo et Dash)
- Ne proposer certaines gammes que sur certains canaux
- Mauvaise expérience d’achat sur les canaux à bas prix
- Limiter la visibilité des ventes sur les canaux à bas prix -> pas d’accès libre (exemple :
ventes visible que par les utilisateurs inscrits)
Tarification où on va réaliser une offre groupée (un package)
Si j’achète les 4 séparément je paierais plus cher que si je prends le pack à 99€
On mets plein de prix très cher et quelques un moins cher donc les gens vont sauter sur l’occasion
après avoir vu des prix très élevé juste avant
Étude faite : le faite de mettre une offre qui ne rime à rien influence le choix. Si les gens doivent
choisir en une offre qui ne rime à rien mais peu cher et une offre comprenant tout mais qui coûte
plus cher ils choisiront l’offre la plus cher.
Les prix rond sont des prix de prestiges (se termine par 0)
- Si on n’a un produit de moins de 100€, pour faire des promotions il faut privilégier les
pourcentages (et pas une réduction de 5€ par exemple)
Si on a un produit de plus de 100€ on peut utiliser de 100€ par exemple (Apple)
- Le 1 + 1 gratuit marche bien
- Quand il y a un « plus que » -> urgence car on ne veut pas rater l’occasion de rater une
bonne affaire donc on se précipite d’acheter (même si le stock de l’entreprise est pleine)
Exemple :
Un fabricant de
boissons vend son
produit aux grandes
Un fabricant de boissons vend son produit aux grandes centrales d’achat au prix-tarif de 1
euro le litre. Certains distributeurs (par exemple, les magasins E.Leclerc ou Intermarché)
peuvent décider d’utiliser ce produit comme produit d’appel, en le vendant à prix coûtant.
D’autres distributeurs, par exemple, ceux qui gèrent des rayons alimentaires dans les
stations-service, peuvent au contraire décider d’appliquer un coefficient multiplicateur élevé. Il
en résulte que le même produit pourra être vendu, selon les magasins, à des prix variant de 1
à 2 € sans que le producteur maîtrise ce résultat.
2) Leasing ou crédit-bail
Contrat de location assorti d’une promesse de vente = option d’achat. Le locataire peut lever
l’option « location » et devenir le proprio du bien en faisant un versement final de la partie
qui n’a pas encore payé du bien.
Solution pour les personnes ou organisations qui veulent ou pas faire une acquisition finale
(exemple : un conducteur peut changer de véhicule après la fin du contrat de location au lieu
d’acquérir la voiture).
Traitement comptable & fiscal différent de l’acquisition d’un bien à crédit (coût en charges et
pas en actif) -> attractif pour les entreprises
Aux États-Unis, le
leasing a représenté
pendant longtemps
Aux États-Unis, le
leasing a représenté
pendant longtemps
Aux États-Unis, le
leasing a représenté
pendant longtemps
Aux États-Unis, le
leasing a représenté
pendant longtemps
Exemple :
Aux États-Unis, le
leasing a représenté
pendant longtemps
3) L’abonnement
= soit l’acquisition régulière de bien (exemple : abo à un magazine) soit l’usage d’un service
(exemple : abo au théâtre).
Règlement fixe (abo à un magazine) ou variable (consommation d’électricité).
Payé d’avance (magazine, théâtre) ou échelonné (téléphone, électricité)
L’abonnement peut concerner un bien ou un service.
Au peut également retrouver des abo qui font découvrir mensuellement des produits aux
clients.
Ce mode de formulation permet d’afficher un prix d’appel attractif même si certaines options
Dans le secteur
sont presque indispensable.
Habituellement, les
plaques de plâtre n’ont
que deux
Habituellement, les
plaques de plâtre n’ont
que deux
Habituellement, les plaques de plâtre n’ont que deux bords amincis sur quatre, en raison
de contraintes liées au processus de fabrication. Lorsqu’il réalise les joints entre les plaques, le
plâtrier a besoin de poncer deux bords pour éviter les surépaisseurs, ce qui est consommateur de
temps et donc d’argent. Lafarge a repensé le processus de fabrication et grâce à un procédé
technologique innovant, a lancé Synia sur le marché, la seule plaque de plâtre aux quatre
bords amincis. Ce produit est vendu plus cher que les plaques traditionnelles, mais le coût
d’utilisation étant réduit en raison du temps de pose inférieur, il reste compétitif.
Certains bien durable peuvent être revendue et donc avoir une valeur de revente. Un prix d’achat
+ élevé peut être justifié en raison d’une valeur de revente + importante qui réduit le coût total
pour le client (exemple : valeur de revente + élevé chez Mercedes justifie un prix d’achat + élevé)
Marché en crise et trop de stock -> diminution des prix
Dégradation des images -> pourquoi diminuer les prix ? pas bon produit ?? ça se vend pas bien ?
Maintenir ses prix (j’ai un avantage produit que eux non pas)
Aligner ses prix (pas d’avantage produit)
Même prix que les concurrents = prix de marché
Pour ne pas perdre du CA, les acteurs de marché surveillent les prix des concurrents et peuvent
ajuster leur prix plusieurs fois par semaine ou par jour.
En B to B, le client peut faire pression sur le fournisseur en insistant sur le fait que les
concurrents ont de meilleures prix et donc de le pousser à s’aligner
Maintenir ses prix et contre attaquer (modification du produit)
Lancer un produit moins cher (sous un autre nom moins cher)
7) Communication
Distribution = média important (affichage des prix, caractéristiques des produits, pub, promo etc)
Les distributeurs ont des bases de données sur la nature et le volume des transactions par
catégorie de produits, marque et produit. Et souvent des bases de données sur le comportement
d’achat des clients en ligne (compte client) ou en magasins (identification des clients par carte de
fidélité)
On regarde tous les intervenants qui sont au sein mais aussi en dehors de l’entreprise
On peut identifier les risques que l’on a dans la production, dans le transport, dans la distribution
et dans la livraison jusqu’au client final
Identifier tous les intervenants entre la matière première et l’acquisition d’un bien finale
Flux de produit = matière première, emballage
Flux de donnée = catalogue, autorisation (exemple : importation)…
Flux financier = crédit, droit de douane…
Exemple :
Agriculteur qui vendent directement au client (B to C)
Ou un choix stratégique :
Libération de pouvoirs intermédiaires, retrouver le contact avec le marché finale, marge ++,
mieux contrôler l’expérience du client
Circuit indirect :
Court :
Circuit où le distributeur est le seul intermédiaire entre producteur & client.
- Vente à distance, distribuent au consommateur les produits achetés chez les producteurs
(exemple : Amazon)
- Franchises, commerçant indépendant mais lié à un producteur par un contrat (Exemple :
Yves Rocher)
- Réseaux succursalistes du commerce intégré (intègrent fonction de grossiste) : grande
distribution alimentaire (Carrefour ou Auchan), grandes surfaces spécialisées (Darty),
grands magasins ou magasins populaires,…
- Réseaux du commerce associé (E.Leclerc ou Intermarché) -> pas complétement intégrés
(= chaque pt de vente appartient à un commerçant indépendant). La centrale d’achat est au
service exclusif des membres.
Long :
Circuits adaptés à des marchés comportant de nombreux petits pt de vente indépendants.
Le producteur ne doit donc pas traiter directement (vente, service, livraison, facturation,…)
Grossiste se charge de distribuer (peut être une centrale d’achat) leur production auprès de
distributeur (exemple : Groux fait appel à un grossiste afin de vendre du Nike)
Qu’on soit dans de la distribution directe ou indirecte beaucoup de coûts restent identiques
(coûts de stockage, de transport,…). Un circuit indirect n’est pas nécessairement + cher
qu’un circuit directe.
Points de vente appartenant à une même entreprise.
Intégré car les fonctions de grossiste (centrale d’achat) et de détail (= achat de marchandises chez
un grossiste, fournisseur, producteur pour les revendre à des conso ou acheteurs) sont intégrées
dans la même entreprise de distribution.
Inno attire une clientèle qui vient de plus loin que la clientèle de DI (clientèle de quartier)
2 types d’association :
Groupements de commerçants => forme coopérative
Des indépendants mettent des moyens en commun pour développer leur activité ou réduire les
coûts. Les adhérents gardent le pouvoir et dirige le groupement de façon égal (1 personne = 1
voix => égalité).
Franchise
= collaboration entre une entreprise (le franchiseur) & plrs indépendants (les franchisés) pour
exploiter une marque, un concept de service ou de distri.
Les franchisés sont proprio de leur entreprise => sont indépendants mais lié par un contrat avec le
franchiseur qui définit leur o° et droits.
Franchise de service :
La franchise de service est le type de franchise le plus répandu et certainement celui qui reflète
le mieux l’esprit de la franchise. En l’absence de produits à fabriquer ou de marchandises à
vendre, contrairement aux franchises de production et de distribution, le savoir-faire porte ici sur
la manière de délivrer une prestation de service. En ce sens, la franchise de service repose
principalement sur la transmission d’une expertise et de méthodes de travail éprouvées, mais
également sur une notoriété de marque basée sur une excellence de service.
Franchise de distribution :
La franchise de distribution consiste à vendre un bien ou un ensemble de biens par le biais
d’un réseau de magasins franchisés. Le franchiseur peut être producteur ou exportateur
exclusif des produits qui sont distribués par son réseau de franchisés. Il peut aussi être
seulement diffuseur de produits sélectionnés auprès de fabricants et distribués via son réseau de
franchisés.
Les franchiseurs diffuseurs peuvent disposer d’une centrale d’achat ou d’une centrale de
référencement. Dans le premier cas, le franchiseur endosse le rôle de grossiste s’il achète les
produits qu’il revend aux franchisés, ou de commissionnaire s’il achète directement les produits
pour le compte des franchisés. Avec une centrale de référencement, le franchiseur joue un rôle
de courtier en référençant des fournisseurs auprès desquels les franchisés s’approvisionnent
directement.
Franchise industrielle :
La franchise de production est certainement le type de franchise le moins connu. Il s’agit pour
le franchiseur de transmettre à ses franchisés une technologie ou un procédé industriel exclusif
pour fabriquer et vendre des produits sous sa marque. Cela se fait par la mise à disposition
d’un savoir-faire de fabrication, d’une technologie, voire d’un système de production. En
contrepartie de la mise à disposition de ses procédés de fabrication, le franchiseur perçoit des
redevances de ses franchisés. S’il concède une licence de son ou ses brevets et de sa marque pour
la fabrication et le vente de ses produits, il en reste propriétaire.
Les franchises de production diffèrent des franchises de distribution et de service qui
n’impliquent pas la fabrication des produits vendus. La vocation première d’une franchise de
distribution est de rapprocher les sites de production des lieux de vente. Elle est majoritairement
utilisée dans le cadre d’un développement international et particulièrement développée dans
l’industrie agro-alimentaire. La marque Yoplait, par exemple, s’appuie sur un réseau de
partenaires franchisés pour son développement international depuis les années 1970. Coca Cola
est un autre exemple de franchise industrielle mondialement réputée.
Ils jouent sur la qualité des produits, des services, de l’aménagement des points de vente et les
horaires d’ouverture.
Concurrencés à l’heure actuelle par de + petites surfaces qui proposent les mêmes avantages à
une échelle encore + locale.
Format inférieur au supermarché.
Implantation en centre-ville, horaire d’ouverture élargis, assortiment adapté à une population de
célibataires et de couples.
Exemple : Night
Tous les magasins où on retrouve des articles à prix très réduit, prix le plus faible possible mais
souvent des produits de mauvaises qualité (sauf action et trafic dont les produits sont des
invendus/problème d’étiquetage de grande marque comme Dash donc ce sont souvent de bons
produits)
m-commerce = l’ensemble des transactions commerciales réalisées par smartphones & tablettes
Le succès d’un site e-commerce dépend de sa politique relationnelle. Beaucoup de sites ont
échoué car ils n’ont pas su fidéliser leur clientèle.
m-commerce :
L’accès à internet s’effectue le + souvent à partir de smartphone (51%) puis par l’ordi (31%) et
enfin par la tablette (6%) -> le smartphone domine.
Progression importante du m-commerce -> ventes sur mobile -> +20% en 2 ans
Maintenant les ventes sur mobiles représente 38% de leur CA contre 11% en 2013.
Le poids du m-commerce varie selon les sites et le secteur d’activité.
Les mobinautes achètent + ou – les mêmes chose (habits, produits cultuels, voyages, produits
électroniques & électroménager, produits d’hygiène et de beauté et jouets)
Click and mortar = e-commerçant qui a un magasin physique et un site internet (possible
d’acheter le produit en ligne ou en magasin)
Exemple :
Decathlon
Drop shipping = arnaque, pas de stock => vendre des choses que tu n’as pas
- Les e-commerçants :
Proposent un catalogue de produits physiques, de produits digitaux ou de services.
Utilisent le modèle marchant => = facturer le client final & prélèvent une marge sur chaque vente
Transaction sur leur site Internet ou sur leur appli mobile
Exemple : Amazon
B to B ou B to C ou C to C
Plateformes réservées des vendeurs pro (Cdiscount) ou réservées aux vendeurs particuliers
(BlaBlaCar) ou accepter les 2 (eBay)
Exemple : Rakuten
Comparateurs se distinguent des guides d’achats selon plrs critères (prix, notes et avis
d’utilisateurs,…). Ils aident au choix et proposent des intermédiaires de confiance.
Utilisent le modèle média => facturent le distri au clic ou au lead.
Transaction effectué en dehors de leur site (souvent sur le site du distri)
Il y a les comparateurs qui référent seulement les distri qui ont payé pour figurer sur leur site et
les comparateurs qui référencent tous les distri (même ceux qui n’ont pas payé pour y figurer) =>
repose sur la structuration des listes (ordre d’apparition des distri) donc les distri qui veulent être
bien positionné doivent payer. Le but de ces plateformes est de convaincre de nouveaux distri à
se souscrire à leurs services payants (être mieux placé)
Exemple : Idealo, Google Shopping, Yuka (proposent de meilleures alternatives)
Il y a substitution du distri traditionnel qd celui-ci est remplacé par un pure player digital. (1)
Parfois, au lieu de s’approvisionner chez un grossiste, on vas plutôt s’approvisionner direct chez
un producteur. (2)
Et enfin, un nouvel acteur du numérique peut prendre la place des producteurs historiques en
développant ses propres produits. (3)
Exemple (3) :
Netflix se substitue aux chaines de télé tradi, aux distri de télé payante et aux producteurs.
Uber se substitue aux centrales de réservation (distri), aux taxis (producteur), par des VTC
Les clients finaux sont mis en relation sur la plateforme mise en place par le nouvel
intermédiaire : peuvent vendre, louer, partager ou acheter des B et S à d’autres conso ;
Les producteurs et distri traditionnels => remplacés
New intermédiaire peuvent être => spécialisés (Airbnb) ou généralistes (Lebon coin)
Bénéficient de l’effet de réseau => valeur du service = + d’utilisateurs
Confiance assurée par la « notation communautaire » (utilisateurs-offreurs et utilisateurs-
demandeurs s’évaluent mutuellement)
Les utilisateurs sont + intéressés par les prix bas et le service pratique que par l’opportunité de
nouer des liens avec les autres utilisateurs.
Exemple :
- Ryanair commercialise ses vols sur son site internet sans faire appel à des agences de voyages, -
- Free ne se sert pas d’intermédiaires pour commercialiser ses abo mais se sert d’Internet,
téléphone et par les bornes de distri automatique accessibles dans certains commerces
Point de contact = un peu la chaine de distribution
Distribution multicanale :
Acheter en ligne et hors ligne sont des comportements complémentaires. Les acheteurs en ligne
n’arrête pas forcément d’acheter en magasin => acheteurs « multicanaux » = utilisent plusieurs
canaux (magasins, Internet, centres d’appels,…)
Distribution omnicanale :
But => assurer la cohérence de l’assortiment, des prix & des services entre les canaux mais
surtout d’éliminer les ruptures (faire en sorte que le client continue son achat dans le canal dans
lequel il l’a commencé ou de le conclure dans un autre, sans perte d’info)
Grâce à des politiques omnicanales, les distri traditionnels peuvent prendre leur revanche sur les
e-commerçants. Les distributeurs physiques peuvent s’appuyer sur leur réseau de points de vente
pour s’adapter au mieux aux attentes des clients transcanaux et leur proposer le meilleur des 2
mondes. (exemple : drive dans l’alimentation)
Les clients peuvent utiliser plrs canaux lors d’un même parcours d’achat : recherche d’infos sur
Internet, consultation des caractéristiques du produit en boutique, choix sur un comparateur,
paiement sur mobile. De clients multicanaux ils sont devenus « transcanaux » (= qd utilisation de
différents canaux au cours d’un même parcours d’achat).
Chacun des canaux peut répondre à une étape du parcours d’achat.
Web to store :
=> Consiste à orienter les consommateurs qui utilisent Internet dans les premières étapes de leur
parcours d’achat vers les pts de ventes physiques.
Ces techniques s’appuient sur le site internet et l’appli mobile du distri et permettent de de :
- trouver un magasin (store locators) + horaires
- vérifié si le produit recherché est de stock
- réserver un produit
- choisir de se faire livrer en magasin (click and collect)
- prendre rdv en magasin
- consulter les promos et télécharger des e-coupons,…
Donc on simplifie la vie du client, évite de se déplacer pour rien, gain de temps, attire en magasin
à l’aide des promos et services => efficace pour la fidélisation
Pas vrm de solution miracle pour attirer les prospects dans les pts de vente. La meilleure solution
est d’être bien côté sur Google.
Store to web :
=> Consiste à orienter les consommateurs qui utilisent les magasins dans les premières étapes du
parcours d’achat vers Internet.
On incite les clients à se diriger vers Internet quand les produits ne sont pas dispo en magasin soit
parce qu’ils sont en rupture de stock ou car ils sont fabriqués spécifiquement pour le client.
Peut aussi permettre de fidéliser le client en leur évitant de revenir en magasin pour leur prochain
achat (c’est le cas quand le produit a été personnalisé pour le client ou choisi avec l’aide d’un pro
lors du 1er achat)
Exemple :
Le tailleur demi-mesure
Les nouveaux ateliers a
mis en
- Le tailleur demi-mesure Les nouveaux ateliers a mis en place des « cabines 3D » permettant
de prendre les mesures des clients en moins d’une seconde. Les clients se rendent en magasin
pour prendre leurs mesures et choisir avec un conseiller-styliste un tissu et un modèle de
costume. Lorsque le client se connecte sur le site e-commerce des nouveaux ateliers, il peut
réutiliser les mesures prises en magasin pour réaliser une nouvelle commande, ce qui lui
évite de se tromper sur sa taille ! Ce parcours simple de rachat en ligne présente un gain de
temps appréciable pour une clientèle masculine, parfois peu adepte du shopping.
Exemple :
Mise en place par les distri de bornes de prise de rdv avec un conseiller pour faciliter la relation
entre personnel de vente et acheteurs potentiels.
Borne utilise quand le magasin est grand avec des offres comprenant une dimension technique
(ex : produit électronique)
Le contact avec les vendeurs est un très principaux avantage de la distri tradi donc ils doivent être
dispo.
Le personnel en magasin est de + en + souvent équipé d’outils digitaux d’aide à la vente. Les
vendeurs peuvent accéder à l’historique d’achat des clients grâce à leur carte de fidélité par
exemple donc ils peuvent proposer des offres + pertinentes. Ils ont également accès au stock
dispo dans le magasin et dans les autres pt de vente de l’enseigne, des caractéristiques techniques
du produit et des services complémentaires. On les appellent parfois « vendeurs connectés ».
Exemple : Décathlon
Proposer des solutions de tests de produits et d’essayage :
Solutions de tests ou d’essayage permettant de tester virtuellement les produits, c-à-d simuler leur
utilisation.
Exemple :
Ikea -> Voir ce que pourrait rendre un certain meuble ou tapis chez sois
Pour certains vêtement -> prendre une photo de soi et tester sur soi le vêtement grâce à la
numérisation
Simplifier le paiement :
2) L’encaissement nomade : consiste à enregistrer la transaction au sein des rayons grâce à des
outils d’encaissement nomade.
Apple a mis en place cette techniques en équipant les employés de terminaux mobiles de
paiement et d’édition de factures.
3) Le libre-scannage : consiste à mettre à dispo des clients des douchettes ou une appli mobile
afin qu’ils scannent eux-mêmes les produits qu’ils veulent acheter. Ces solutions permettent de
réduire le temps passé en caisse et les évitent de décharger leur chariot de courses.
Dans les enseignes où les clients achètent souvent une qtt importante de produits libre-
scannage (self scanning)
4) Le paiement mobile : paiement par smartphone (Apple Pay, Google Pay,…) qui est un mode
de paiement très sécurisé car il nécessite d’entrée des données biométriques ou de composer un
code.
Selon une étude, les motivations principales des clients transcanaux qui préfèrent acheter en
magasin est de pouvoir voir le produit, l’essayer, d’en disposer direct et pas de frais de livraison.
Les motivations principales des clients transcanaux qui préfèrent l’achat en ligne sont le prix, le
gain de temps, pas devoir se déplacer, les promo et d’effectuer leur achat quand et où ils veulent.
Prise de décision => influence des autres (influenceurs, amis, famille,…) ou par le numérique
Ils peuvent avoir des comportements différents selon le produit (exemple : alimentaires => Full
store & électroménager/ameublement/automobile => Full digital ou Showrooming pour + d’1/3)
Modèle marchant = modèle traditionnel du commerce, où le distri achète ou fabrique un produit,
et le vend en réalisant une marge
(Modèle média = consiste à monnayer une audience auprès d’annonceurs)
Un hypermarché ou un e-
commerçant achète hors
taxes un
Un hypermarché ou un e-commerçant achète hors taxes un produit au prix unitaire de 8 € et le
revend hors taxes au prix de 10 €. Sa marge brute unitaire est donc de 2 €. Son taux de marque
sur ce produit est de 20 %
Taux de marge => pour un producteur
Exemple :
Un bijoutier, qu’il
distribue ses produits en
boutique ou en
Un bijoutier, qu’il distribue ses produits en boutique ou en ligne, calcule le prix de vente
d’une montre, qu’il achète 120 €, en appliquant au prix d’achat un coefficient
multiplicateur de 1,8. Son prix de vente est alors :
PV = 120 € × 1,8 = 216 €
Sa marge est de 96 € et son taux de marque de 44,4 %.
multiplicateur de 1,8. Son prix de vente est alors : PV = 120 € × 1,8 = 216 €
Marge arrière => négociation avec le producteur avec le service qu’on va lui faire
= avantage financiers versés par un fournisseur à un distri en échange de services.
Différence entre prix d’achat facturé par le four au distri et le prix réel payé par le distri
Ce n’est pas nécessairement la référence qui a le + haut taux de marque qui dégagera la + forte
marge brute totale.
On va essayer d’améliorer la fréquentation du magasin (il faut l’évaluer avec des calculs pour
savoir si elle est bonne ou mauvaise)
On peut aussi mettre en place des outils de contrôle, on utilise des calculs pour le taux de
conversion
Que puis-je faire pour augmenter le panier moyen (exemple : en moyenne le client sort avec un
panier moyen de 200€)
PA = 8€
PV = 9€
marge brute = 1€
Q = 12 000
marge brute totale = 12 000€
C’est pas parce qu’on vend cher qu’on va mieux gagner sa vie (exemple : Ryanair, Lidl)
Fréquentation = nombre de visiteurs dans une période donnée
Taux de conversion = visiteurs deviennent clients
Panier moyen = montant moyen des achats de chaque client
Taux de rotation = combien de fois je dois réapprovisionner ma marchandise dans mon rayon par
jour/mois/année (exemple : minimum 10 pots de Nutella sont vendus par jour)
Au plus le taux de rotation est faible -> au moins je dois réapprovisionner souvent mon rayon
(iPhone)
Au plus le taux de rotation est élevé -> au plus je dois réapprovisionné souvent mon rayon
(Nutella)
Parfois on peut entendre parler des 5 P du marketing mix
Le cinquième P est le personnel
La politique de communication :
2 formes de communication chez un distributeur :
1) Communication de marque => Ayant pour objectif d’établir ou faire évoluer l’image d’une
enseigne. Appelé également communication d’enseigne ou communication d’image.
2) Communication de vente => Ayant pour objectif d’augmenter les ventes d’un produit en
particulier
La distri comparative = comparer ses produits ou services avec ceux d’une ou plusieurs marques
différents mais peu courante car règles strictes
- L’annonce doit porter sur des produits ou service similaires (camionnette = voiture)
- La comparaison doit porter sur des éléments « pertinents et quantifiables » pour éviter les
jugement de valeur
- Les pub comparatives ne peuvent pas être publié sur n’importe quel support
Le marketing direct, un levier abondamment utilisé par les distributeurs traditionnels et les
e-commerçants :
= communication directement adressé à la cible, par voie postale ou par e-mail.
Dans la distri, forme la plus courante => ISA (imprimé sans adresse) mais critiqué en raison de la
saturation du public et de son impact environnemental. Mis en place d’un autocollant « Stop
Pub » pour ne plus recevoir ces imprimés.
Plusieurs aspects :
- aménagement commercial : style de meuble, choix des couleurs du décor, choix des finitions,
organisation de l’espace (pas seulement sous l’aspect fonctionnel)
- éclairage commercial : but => mise en valeur les produits, animer & rythmer le point de vente,
mettre en avant certains produits ou rayons,…
- design sonore : but => plaire au client, mettre un état d’esprit favorable à l’achat et d’exprimer
le concept marchant de l’entreprise.
- design olfactif : élimine des sources d’odeurs désagréables pour le client, apporte un confort
olfactif, attire l’attention sur un rayon (exemple : odeur de pain => rayon boulangerie) ou même
exprime le concept de l’enseigne
Dans un hard discounter, le design est minimisé : meubles fonctionnels, linéaires basiques,
produits présentés dans des caisses en carton => ambiance permettant de réduire les coûts et
exprime le positionnement éco de l’enseigne.
D’autres enseigne peuvent créer un univers différent de leurs concurrents pour se différencier,
raconter une histoire dans laquelle le client se reconnait (évoquer l’histoire, les racines de
l’entreprise) et théâtraliser un acte d’achat.
Il existe des codes partagés par la plupart des sites e-commerce (exemple : panier en haut à droite
de l’écran) mais chaque enseigne peut se différencier des concurrents en créant sa propre
expérience.
Zone géo où on retrouve notre clientèle
Zone plus ou moins large
Conseil : si on veut qu’elle soit internationale il faut commencer par les pays limitrophe
- Marques internationales
- Les MDD
Les MDD :
= marque de distributeur
Marques propres = développement de son propre produit, on fait appel à un producteur qui va
produire de notre propre recette
Crédit -> au lieu d’acheter un produit d’un coup on paye chaque mois jusqu’au remboursement
total du produit
Dans la distribution il existe un lien entre le niveau de service et le niveau de prix car le service
entraine des frais , notamment de personnel.
Un hard discount va donc réduire au max le niveau de service, alors que le point de vente d’une
grande marque va pousser les services et justifier un prix premium. Mais ce n’est pas vrai sur le
canal digital car Amazon par exemple offre un niveau de service premium sans appliquer des
tarifs premium.
Service « gratuit » ou pas (mais si elle gratuit il sera de toute façon compris dans le prix)
En libre-service, la plupart des produits sont placé dans des meubles de ventes appelé gondoles
comportant plrs niveaux (étagères, une table => tous ce qui permet de présenter les articles) =
linéaire
Linéaire au sol = longueur totale des consoles d’un magasin, ou de la partie des consoles d’une
catégorie de produits
Linéaire développé = longueur totale des étagères correspondantes
Exemple :
Si,
Linéaire développé = longueur totale des étagères correspondantes
Facing = nombre de produits/d’unités qui sont présenté de face visuellement (exemple : facing de
4 pots et on peut l’augmenter à 8 pots)
Exemple :
Rôle du linéaire
1) stocker la marchandise => quantité d’un produit stockée dans un rayon est proportionnelle au
linéaire attribué. Si le linéaire est trop petit par rapport à ses ventes => rupture de stock ou
réapprovisionnement fréquent
2) Rôle attractif visuel & incitation à l’achat => + la surface occupée par un produit est grande, +
il a de chances d’être vu et identifié. On estime que le linéaire min pour qu’un produit ait des
chances d’être vu est de 50 cm dans un hyper & 25 cm dans un super = seuil de visibilité.
De nombreuses indiques que la présentation massive d’un produit, grâce au linéaire important ,
inspire aux clients une confiance qui leur fait penser « qu’il se vend bien »
En tête de gondole = en tête d’étagère (souvent des articles en promotions, qui se vendent
facilement comme le saucisson)
Le merchandising en magasin :
Pour un distri, le marchandising vise à optimiser la rentabilité du mètre linéaire de ses magasins
en privilégiant les produits qui pourront lui apporter une grosse marge brute, ou qui, lui permettra
de réduire ses coûts financiers par une rotation rapide des stocks.
Le merchandising en ligne :
=> même finalité que le merchandising en magasin mais doit tenir compte de l’extrême volatilité
du visiteur qui est toujours à un clic du site concurrent.
La problématique principale est de savoir comment le client va trouver simplement qui
l’intéressent dans un volume d’offre parfois considérable.
Les principaux indicateurs de performance des parcours d’un site marchand sont le taux
de conversion, qui mesure la capacité du site internet à transformer les visiteurs en acheteurs,
et le panier moyen, qui correspond au montant moyen des achats des clients.
Il faut améliorer ce taux pour assurer la rentabilité d’une boutique en ligne.
Pour identifier des pistes d’amélioration de ce taux (c.-à-d. des performances du site marchand),
on s’intéresse à des taux + précis (t de c des premières visites au t de c des visiteurs réguliers). On
peut aussi suivre les t de c selon l’origine du trafic (t de c des visiteurs venant des e-mail
marketing, t de c des visiteurs venant des moteurs de recherche en référencement naturel ou
payant,…)
Enfin on peut diviser un parcours d’achat en plrs étapes et mesurer le t de c entre chaque étape.
Trade marketing
=> Consiste à rechercher des domaines dans lesquels les intérêts d’un producteur et d’un distri ne
sont convergents (= tant au même résultat), et à mener des actions qui servent à la fois les intérêts
de l’un et de l’autre.
Dans une négo tarifaire classique, ce que l’un gagne, est perdu par l’autre. Alors que dans le trade
marketing, les 2 sont gagnants.
Les distri assurent des prestations marketing pour les marques dont ils commercialisent les
produits
Exemple : valoriser un produit dans un linéaire, réaliser de la pub en marketing direct (catalogue
envoyé par courrier) ou sur le lieu de vente avec des affichettes ou vidéos de démonstration ou
proposer des opérations promotionnelles avec les marques fournissant les produits.
Category management :
=> on organise l’assortiment en fonction d’univers de produits (plutôt que par catégories) et
confier à une personne (le category manager) les responsabilités stratégiques de l’ensemble de cet
univers (assortiment, achat, méthodes de ventes, merchandising)
Exemple :
On mets tous les articles bébés ensemble
On mets tous les articles animaux ensemble
On mets toutes les bières ensemble
On mets tous les vins ensemble
…
Surface de vente = surface accessible aux clients (caisses inclues) => + la surface est grande, + le
COS est faible
On peut améliorer la circulation dans le point de vente en ayant un COS qui se rapproche de 30-
40
Performance opérationnelle = l’efficacité avec laquelle un pt de vente est géré
« l’organisation des rayons est-elle optimisé ? », « les rayons sont-ils correctement
approvisionnés ? », « les stocks sont-ils bien gérés ? »
1) Rentabilité au linéaire
=> marge brute rapporté au linéaire au sol (ou marge brute totale/linéaire développé)
2) Rendement au linéaire
=> chiffre d’affaires rapporté au linéaire au sol
Quand on cherche un produit, un produit similaire à notre recherche apparaitra plus tard
Les géants de l’e-commerce (Amazon, Alibaba) cherchent à concurrencer les géants de la pub en
ligne (Facebook, Google)
Une boutique en ligne se compose d’une page d’accueil présentant les meilleures vente et le
menu de navi. Le menu de navi permet d’accéder aux catégories de produits, souvent organisées
en sous-rubriques. Les sous rubriques envoient les internautes aux pages présentant les produits
individuels.
La qualité d’une fiche produit dépend de la qualité de rédaction et la précision des descriptifs, et
de l’usage des possibilités offertes par le multimédia : vidéo, 3D, photos HD, possibilité de
configurer le produit, de le voir en situation d’usage réel et de les observer dans les moindres
détails avec des zoom très puissant. Un travail comme celui-là est très couteux !
Les sites marchands proposent plrs mode d’entrée : chat avec un conseiller, appel au service
client, demande rappel (web call back), prise de rdv en magasin, …
Obj principal = accroitre la qualité de service mais aussi, rassurer le client si il veut « parler à
qql » donc accroître le taux de conversion => doit donc être suffisamment visibles
Un service client peut coûter très cher car assuré par de vrais employés. Il faut donc faire un
calcul éco (estime et compare le gain incrémental au coût du mode de contact) pour prendre la
décision de proposer ou non un mode de contact. Le développement des IA et des robots
conversationnels devrait réduire ces coûts, sans les supprimer totalement.
Technique la + courante : mise en avant de produit à + forte marge en les suggérant en choix
alternatif sur les fiches produits. Mentions de type « les clients ont également apprécié… » ou
« Les clients ayant consulté cet article ont également regardé… »
Peut être fondé sur les analyses stat d’achats. On mettra en avant les autres produits achetés par
les clients ou les articles complémentaires. (ex : smartphone + accessoires de protection ou
écouteurs)
Ces suggestions d’achats complémentaires peuvent être affichés au sein des fiches produit, ou
dans la page de consultation du panier avec une mention « nos clients complètent leurs achats
avec… »
L’up-selling et le cross-selling jouent sur le désir et les besoins des conso, en tenant compte du
comportement de navi et d’achat du client => continueront de se développer avec la
sophistication du marketing prédictif
Image représentant le parcours d’achat sur internet du pt de vue de l’internaute
=> ensemble des étapes qui conduit au paiement en ligne, après la consultation de la fiche
produit : ajout du produit au panier, validation du panier, choix du mode de livraison, saisie des
coordonnées, confirmation de commande, paiement de la commande.
La diminution du taux d’abandon de panier est un des obj majeur chez les e-commerçants =>
modifications successives pour améliorer le taux de conversion du tunnel d’achat
B2B -> Business to business = entreprise qui vendent à d’autres entreprise (exemple : Nesle vend
au supermarché donc d’une entreprise à une autre)
Une entreprise doit adopté une pol de communication, qui consiste à communiquer avec des obj
ambitieux mais réalistes, des cibles bien définies, des messages qui incitent à un achat immédiat
ou qui construisent dans la durée des marques puissantes, des médias qui véhiculent avec
efficacité et au meilleur coût ces messages vers leurs publics cibles.
On peut également communiquer à des personnes à qui on ne veut pas forcément vendre
Exemple :
- Kellogs fait de la communication aux enfants et aux parents. Le parent est quelqu’un de
différent que celui qui va consommer le produit
- Les sociétés pharmaceutique communique auprès des médecins et pharmaciens alors que les
consommateurs seront les patients car ce sera le médecin qui prescrira le médicament au patient
mais pour les médicaments qui se vendent sans ordonnance il faut communiquer auprès des deux
car le médecin peut conseiller de prendre ce médicament et donc il influencera le patient
- Les éditeurs de livre pour enfants communique par les enseignants qui recommande le livre aux
parents et ce sera l’enfant qui lira
- La marque Elmex se sert des professionnels de l’hygiène buccale pour influencer la cible
Pour une question de budget on cible uniquement une partie de la cible totale
Distributeur -> exemple : Nesle communique vers ses distributeurs sans qu’on le voit
Investisseur -> besoin de convaincre des banquiers, investisseurs privé pour qu’ils m’aident à me
développer
Leaders d’opinion -> on communique auprès des influenceurs (au sens large) en espérant qu’ils
communiqueront une bonne image de notre produit
Permet de passer d’une représentation abstraite des segments à une compréhension plus directe (il
illustre une segmentation)
Il est généralement construit selon les critères clés de segmentation suivants :
- sociodémographique
- comportement d’achat
- attitudes et croyances (insights)
- avantage recherché
Souvent utilisés dans la présentation d’un plan marketing ou des business plan de start-up. Une
présentation sera plus convaincante si on explique au préalable la façon dont on a segmenté le
marché et défini les cibles.
On va créer ce persona ensemble pour se mettre d’accord à qui on parle car on a tous vécu des
expériences différentes donc on a tous une représentation différente de la cible visée.
Ce qui est important sont les attentes et les attitudes de la cible et pas son âge ou son prénom par
exemple. On explique ce que les personnages rencontrent et on montre comment l’offre proposé
va les aider à les résoudre.
L’image c’est les représentations mentales de la marque (exemple : l’image dans notre tête quand
on pense à coca cola ou à Colgate)
Souvent mettre les 3 objectifs dans l’annonce c’est trop car trop d’info donc on ne voit pas tout
Parfois les marques comparent leur produit avec celui des concurrent pour faire paraitre le leur
meilleur (exemple : MacDo vs BK) mais elles ne le font pas souvent pour l’effet retour de
flamme et l’effet de savoir ce que les consommateurs vont pensez (n’ont -il rien d’autre à dire
que de se moquer de leurs concurrents ?)
Souvent la marque parle via un porte-parole (exemple : personnage de dessin animé pour les
enfants, un mannequin, un acteur, représentation d’un professionnel du métier)
Un canal doit couvrir la cible de comm, à un prix acceptable, dans de bonne exposition au
message, avec une répétition suffisante & valoriser le message en l’exprimant dans sa plénitude
Pour véhiculer la
promesse de
gourmandise d’un
Exemple :
Pour véhiculer la promesse de gourmandise d’une friandise au chocolat auprès d’une large
cible, la radio peut bien la couvrir et permettre une forte répétition du message en peu de temps.
En revanche, elle suggérera très mal les sensations gustatives et visuelles du produit. La
presse magazine est préférable grâce à la quadrichromie et l’excellente qualité de
reproduction. La télévision est le nec plus ultra : excellente couverture d’un très large public,
répétition, démonstration du plaisir donné par le produit.
Relation public => événements, journées portes ouvertes, visites d’entreprises destinées à la
clientèle, relation avec la presse et les milieux pro, loisir offerts aux clients (voyage, spectacles,
…) …
Parrainage => parrainage d’événements notamment sportif ou parrainages de personnes
Médias de masse = les médias dans lesquels on peut diffuser un message pour toucher un
maximum de personnes non-individualisé (même message pour tout le monde)
Communication one to many
À l’heure actuelle on a une fragmentation de l’audience donc il faut utiliser plusieurs outils pour
toucher un maximum de personnes.
Quand tous les supports relèvent du même canal ou média => comm monocanale
Quand on fait appel à plrs canaux => comm multicanale (cas le + fréquent)
Avant on pouvait toucher 80% de la communication en faisant passé une pub de produits vers
l’heure du JT sur la seule chaine disponible en Belgique donc c’était facile et les marques
utilisaient une grande partie de leur budget pour ce type de pub et si ils leur restaient du budget ils
utilisaient d’autres supports
Pour atteindre la cible visée dans la contrainte de budget il faut choisir le type de communication
Paid media :
Audience achetée dans les médias.
Achat d’une base de donnée d’autre marque (Ferrero peut loué un fichier d’adresse à Carrefour
grâce à la carte du magasin/carte de fidélité qui collecte les données et les vendent)
Quand je cherche à touchés en masse des clients et prospect que je ne connais pas
But => connaitre les clients
Owned media :
Audience des supports contrôlés par les marques.
Supports détenu par la marque (exemple : appli Nike)
Avec ceux-ci on va pouvoir touché des clients, prospects mais peut-être un + petit nombre de
clients que si on avait payé
Son packaging, son site web, ses points de vente etc
Earned media :
Audience gagnée de l’entreprise (obtenue sans l’achetée) mais elle n’est pas non plus gratuite car
il faut souvent engager des frais pour obtenir et entretenir de telles audiences.
On cherche à générer du partage, faire connaitre la marque, obtenir des avis et des
recommandations.
Seul les fan/influenceurs/leader d’opinion de la marques vont donner leur expérience (outre ceux
qui ne sont pas satisfait)
Push = les marques/fabriquant pousse un message vers une cible potentielle qui n’a rien demandé
(top-down => fabriquant vers la cible visée)
On ne demande pas à voir une affiche, elle est sur notre chemin.
Puisque c’est la marque qui dit quelque chose (c’est elle qui choisit ce qu’elle dit) dans le
message et la manière dont il est communiquer => message pas déformé donc contrôle total de la
communication par l’entreprise
C’est intrusif pour certain clients car ils n’ont a rien demandé, ce n’est pas le moment, ça ne les
intéressent pas (exemple : pub pendant notre vidéo YouTube). Ça fonctionne sur le mode de
l’interruption. Le degré d’intrusion dépend des moyens de communication utilisés, des messages,
du contexte de leur réception et de la sensibilité de chacun.
Les affiches sont moins intrusive car on ne les remarquent plus quand on marche dans la rue
Offline exemple : la pub dans les média de masse, marketing direct, communication sur les lieux
de vente, annonces des opérations de promotion des ventes,…
Online exemple : bannières ou les vidéos surgissent dans les pages que l’on visionne sur
ordinateur ou sur smartphone, e-mail commerciaux
Comment sortir du lot et retenir l’attention des consommateurs ? (qui est l’enjeu majeur)
Une attention élevé signifie qu’on concentre nos efforts intellectuels vers un stimulus. Si
l’attention est faible, notre esprit est ailleurs et va réfléchir à autre chose. On ne sait pas
emmagasiné toutes les infos donc on rejette une très grande partie des stimuli auxquels on est
exposé. L’attention sélective désigne ce processus de filtrage.
Accroche :
Maintenir l’attention grâce à une forte accroche.
Quand elle n’est qu’une pièce rapportée, elle à un défaut considérable : quand le récepteur
n’arrive pas à décrypter le sens du message. Une bonne créativité consiste à formuler la promesse
de sorte que, sans autre artifice, elle attire l’attention, la retienne, exprime le bénéfice
consommateur et incite à passer à l’achat (comm de vente) ou à modifier l’image qu’on a de la
marque (comm de marque).
Pour capter l’attention, bcp de marques utilisent des ambassadeurs qui ne servent pas seulement à
retenir l’attention, les clients se projettent également dans ces stars. Les marques s’identifient
donc à elles et leur empruntent leur capital d’admiration et de sympathie.
Surprise :
Dire qql chose de surprenant, choquant. On peut surprendre par le lieu, le moment, le format du
message, la provocation, l’ambiguïté du message,…
Personnalisation du message :
On s’adresse à la personne (chère madame…) => nom et prénom du destinataire.
Souvent dans les mails adresser aux clients.
Fréquente dans le marketing direct, la vente par correspondance, le marketing relationnel et le
commerce électronique
Communication one to one
Pour limiter le caractère intrusif d’une communication il faut cibler le message => on ne l’adresse
pas à ceux qui ne sont pas concernés, ni intéressés.
Ce n’est pas une bonne chose d’agacer le consommateur (Exemple : l’achat de Pampers
n’intéresse pas les jeunes donc ça agasse les jeunes de recevoir ça lors de leur vidéo YouTube
mais si c’est une pub sur un new ordi les jeunes seront + intéressé) => cibler le message
1) Soit le consommateur fait une recherche direct auprès de la marque => par les canaux tradi :
courrier, tel, visite d’un magasin ou par e-mail, tweet, SMS, visite de site Internet
Ils recherchent des renseignements souvent précis ou font une réclamation auprès du service
consommateurs. Internet facilite les recherches car presque toutes les marques ont un site
Internet.
2) Online => les supports tradi comme la presse spécialisée ont développé des versions en ligne,
et de new sources d’infos que l’on peut seulement trouver sur Internet , comme les avis clients ou
les forums.
Internet à énormément développé la communication pull grâce à son champ immense d’infos et
grâce à la techno permettant de repérer les internautes en quête d’infos (savoir ce qu’ils
cherchent, leurs profils avec leur historique et de leur envoyer des messages ad hoc).
Dès qu’on est en ligne, un fichier s’enregistre (cookie) et permet de nous identifier en
enregistrant l’adresse IP (ne connais pas + d’infos sur nous que l’adresse IP) pour permettre de
nous cibler/diriger mais si on est inscrit sur le site on peut nous identifier + en profondeur (nom,
adresse e-mail, adresse,…) car on a dû entrer des infos personnelles et ainsi mieux nous guider
dans notre recherche.
Requêtes génériques => un mot (fréquemment acheté par les annonceurs, et tarifiés aux enchères)
Requêtes de longue traîne => expression ciblée (pression concurrentielle bcp + faible)
On achète des mots clefs pour être afficher dans la page de résultats de recherche (ex : pour le
mot robe ça va couter très cher car beaucoup de concurrents veulent acheter le mot. A contrario,
ça coutera moins cher pour les requête de longue traine car moins de concurrents)
Ordres d’affichages => + on est haut, + les gens vont cliquer sur le lien
Au-delà de la première page de résultats, les chances de bénéficier d’un clic sont très infimes
Les marques de producteurs et d’enseigne de distri doivent idéalement apparaitre dans les
premières positions sur les requêtes génériques (= l’offre) et sur un max de requêtes de longue
traine
La marque communique à une cible intermédiaire (influenceurs) qui va communiquer aux
consommateurs finaux.
La marque fait du push auprès des influenceurs, qui font du push auprès des consommateurs
(prescripteur) ou sont sollicité par eux (pull).
Ils servent à :
- la comm corporate
- au lobbying => intercéder en faveur de l’entreprise ou de la profession, auprès des autorités
réglementaires
- à la promo de marques ou de produits grâce à leur influence
Bouche à oreille :
- Entre pairs => il se fait entre personnes de même statut
- Des infos et des jugement de toute nature => peut être le partage d’un message (ex : partage
d’une vidéo à un ami) ou être des recommandations (ex : conseiller un film, déconseillé un
roman)
- A des fins non commerciales => infos désintéressée
- Variable selon les catégories de produits (luxe, auto, voyage (produit qu’on achète qu’une fois))
Marketing viral :
= exploitation du bouche-à-oreille sur Internet ou les mobiles, pour créer une réaction de chaîne.
Viral => se développe sans l’intervention d’une marque et pouvant l’affecter en bien ou en mal.
Marketing viral => campagnes virales orchestrés et signées par des marques (but => provoqué la
viralité)
Ensemencer => Diffuser la campagne de communication auprès de gens qui vont eux-mêmes la
diffuser à d’autres. Il faut que le viral commence très fort. On peut choisir de viser une cible
étroite mais influente comme les blogueurs ou de toucher direct une cible + large en déposant
l’agent viral aux carrefours de larges audiences.
Développement => si la campagne viral prend, son développement est rapide et ne dure que qql
jours, au mieux qql semaines.
Déclin et arrêt/ bilan de campagne => elle s’effondre encore + vite qu’elle ne s’est développé. Il
s’éteint lorsqu’il est largement diffusé car il n’y a plus d’effet de surprise.
Le marketing viral est du bouche à oreille mais le bouche à oreille n’est pas forcément du
marketing viral
Seul le producteur peut prendre l’initiative d’une opération de promotion des ventes. Quand le
distributeur facture une opération de promotion des ventes aux producteurs, on parle de trade
marketing.
Un avantage permanent n’est pas une technique de promo des ventes (ex : 10% pour les
étudiants, jouet dans les kinder surprise). (On parle alors d’une politique de produit et de prix)
La promotion et la publicité sont très souvent utilisées conjointement, car elles peuvent se
renforcer mutuellement.
Une opération de
Exemple :
couponing pour un
nouveau produit aura
Exemple : Une opération de couponing pour un nouveau produit aura plus de succès auprès des
consommateurs que ce produit se sera fait connaître préalablement ou simultanément par
une campagne de publicité.
Réduction temporaire de prix :
en €, en %, en 1 + 1 etc
1) La réduction directe du prix de vente consommateur => technique promo la + simple et la +
fréquente. Un producteur peut vendre son produit aux distributeurs à prix réduit et d’en faire
profiter les consommateurs mais il n’est pas certain que les distri fassent profiter les
consommateurs de la promo totale à laquelle ils ont eu droit
2) Le couponing (bon de réduction) => distribution de coupons aux consommateurs leur donnant
droit à une réduction de prix à l’achat d’un produit. Le couponing est populaire aux USA.
Les coupons peuvent distribuer aux acheteurs :
- Sur Internet (imprimer les coupons) = couponing électronique
- Par mailing
- Par la presse (journal, magazine)
- Coller sur le paquet du produit ou à l’intérieur
- En sortie de caisse
Les coupons présente l’avantage de mieux faire ressortir à l’acheteur l’économie qu’il réalise
mais l’inconvénient majeur est que le travail administratif imposer aux distri la collecte de
coupons que les producteurs doivent leur rembourser => les distri n’aime pas les opé de
couponing et demande une indemnisation pour accepter de se prêter à ce jeu.
4) Le rabais sur quantité => achat d’une grande + importante de produit (ex : 30% de produit en
plus, et vendu au prix du format normal = promo girafe ou encore un lot de plrs unités de
produits)
6) Critique et défense de la promo par les prix => souvent critiqué car elle dégrade l’image de la
marque, qu’elle diminue la fidélité des conso, qu’elle accroît la sensibilité au prix des conso et
qu’elle focalise le management a court terme. Elle peut aussi avec un coût élevé en termes de
« manque à gagner » car une partie des acheteurs auraient acheté les produits même si ils
n’avaient pas été en promo => les ventes promo cannibalisent les ventes normales qui sont plus
rentablen
1) La prime directe => on offre un objet en même temps que le produit acheté. Objet différent du
produit acheté. Le conso retrouve sa prime
- In pack = dans le produit porteur de l’offre (ex : céréales)
- auprès d’un animateur des ventes en magasin contre l’achat de produits de la marque mis en tête
de gondole.
- à l’accueil après le passage en caisse. Le + souvent dans une opération de Trade marketing entre
l’enseigne et la marque
- à la caisse avec présentation d’un bon récupéré sur Internet
2) La prime différée => le consommateur collecte un certain nombre de preuves d’achat requit
pour obtenir la prime. Sa valeur est importante car la règle des 7% s’applique sur le nbre total
d’actes d’achats effectués.
10 preuves d’achat d’un
produit acheté à 5 euros
l’unité
Exemple : 10 preuves d’achat d’un produit acheté à 5 euros l’unité permettent d’offrir une
prime d’une valeur égale à 10 × 5 × 7 %, soit une prime de 3,50 euros.
3) La prime différée auto-payante => on offre un produit en échange de l’achat d’un ou plrs
produits (ex : un film DVD proposé à 4 euros avec le paiement d’un plein d’essence). Si la
participation financière couvre totalement le prix d’achat de l’objet proposé par la marque =
prime « auto payante » et si ce n’est pas le cas la marque « prend à sa charge le compl du prix de
l’article proposé.
Jeux concours :
Technique souvent destiner à récolter les données des consommateurs quand il s’inscrive pour y
participer. Quand l’opération n’est pas du hasard donc quand elle ne dépend que des
connaissances ou de la perspicacité des concurrents => concours. En général, une proportion
importante des lots prévu dans les concours sont gagné par des pro. Quand cela comporte une
part de hasard => jeux de loteries
Essais et échantillon :
Surtout en points de ventes mais parfois en ligne (exemple : quand on commence un parfum sur
certains sites on reçoit quand même des échantillons)
Moyen promo très efficace mais le + couteux.
Plusieurs formes : échantillons, dégustation, essai gratuit d’un bien semi-durable (ex : voiture) ou
d’un service (ex : Amazon Prime)
Elle peut viser les clients des concurrents ou des non-consommateurs relatifs (relatif => peut-être
boivent-ils autre chose que du café mais ils pourront peut-être commencer à en boire)
On ne vas pas aller vers des non-consommateurs absolu car ils ne consommeront jamais le
produit (pour des raisons physiques, religieuse ou morale)
Non-consommateurs relatifs :
Pas de sens de leur offrir un mug gratuit si ils ne boivent pas de cafés donc ils faut leur faire
déguster une tasse de café en direct ou leur offrir un bon « satisfait ou remboursé »
Les autres techniques n’ont pas d’intérêts
On va plutôt travailler avec des primes ou des jeux concours car beaucoup d’inconvénient avec
les réductions de prix.
Certaines marques qui ont des engagements écologique ne font pas de promo des ventes pour ne
pas inciter le consommateur à sur-consommer le produit et gaspiller
Facile à mesurer car on sait mesurer immédiatement ce que ça coûte, on sait combien de clients
ont participer au concours, on sait combien de clients ont eu un cadeau grâce à une promo
Plan d’action : qui, quoi, où, quand , comment ça va se faire
Prétest : on test un échantillon sur une cible et on observe l’impact/ce que ça peut donner
Contrôle : s’assure que tout roule, comment le produit est présenter, si ça se passe bien,…
Mesure de l’efficacité : simple à comprendre pour le consommateur, spectaculaire = provoque un
waw chez le consommateur (0,20€ ce n’est pas spectaculaire aux yeux du conso), singulière être
singulier = sortir du lot, stratégique = il faut que l’opération valorise la marque
On va regarder ce qui s’appelle le taux de remontée = nombre de bons de réductions qui revient
du supermarché vers la marque, ce qui remonte du points de vente vers le fabriquant => permet
de mesurer l’efficacité de la campagne.
Pour mesurer la notoriété il faut avoir une enquête avant et après avoir consommer la marque =>
+ difficile/ + long/ /+ couteux
Rentabilisation : il faut qu’il y ai beaucoup d’acheteur pour rentabiliser la promotion des ventes
Chapitre 8 : Segmentation et ciblages
Une cible marketing est un segment de clients ou d’influenceurs que l’on cherche à acquérir
et/ou fidéliser par des actions marketing adaptées. Un cœur de cible est un sous-ensemble que
l’on juge prioritaire dans la cible.
- Chaque groupe ont les mêmes besoins mais avec des attentes différentes.
- si la segmentation privilégiée est celle des clients, on peut distinguer différents acteurs dans un
processus de décision : utilisateurs, prescripteurs, acheteurs,… qui sont autant de cibles d’une pol
de marketing
Marché = ensemble des public qui partagent les mêmes besoins et qui cherchent à les satisfaire
par des offres substituables (on peut en remplacer l’une par l’autre)
Ex : marché des cyclistes, marché des seniors (à partir de 50 jusqu’à la fin de l’année mais ils
n’ont pas les mêmes besoin car ne font pas la même chose dans leur vie don cils faut les
segmenté . Les 60-65 sont des gens qui ont de l’argent, du temps et sont peut être en bonne santé
=> ça peut être un marché spécifique)
On peut
Des segments inutilisables ne servent à rien (ex :
Ex transport :
plrs manière de satisfaire ce besoin
secteurs d’activité : => bus, taxi, hélicoptère,…
catégorie => car longue distance
marque => ouibus propose la liaison bordeaux-Barcelone,… => catalogue de produit
marché d’un produit => concurrent direct (font la même chose) de ouibus. Quand le
consommateur est face à un besoin de transport, il choisit la meilleure option en fonction du
budget, du temps (on paie la rapidité => le tgv coûte + cher que le bus)
Les critères vont déterminer si on fait partie d’un groupe ou d’un autre groupe (ex : pour
beaucoup de choses les filles et les garçons ont des besoins différent) et ces groupes peuvent être
choisi comme cible d’une action marketing. Ces groupes homogènes ont des attentes différentes
et répondent différemment à des sollicitations marketing.
Pour des raisons opérationnelles, on évite de faire une segmentation trop détaillée.
Ex : Pour des raisons opérationnelles, on évite de faire une segmentation trop détaillée
Sur l’image (segmentation selon la couleur des vêtements => sur base d’un seul critère)
Geographics :
Language => utilisé en Belgique car 3 langues. On propose un produit différent aux
consommateurs flamands et aux consommateurs wallons et vont va prouver qu’on est capable de
travailler dans d’autres langues.
Climate => pas le même dans le nord et dans le sud
Area => besoin de se refroidir (sud) et besoin de se chauffer (nord)
Ex :
En marketing
politique, les critères
d’âge et de niveau
En marketing politique, les critères d’âge et de niveau d’éducation sont très influents.
D’autres critères peuvent également jouer. Aux États-Unis, on a ainsi constaté à l’occasion
des élections présidentielles d’octobre 2020 que :
- les « blancs » représentaient plus de 80 % des votes Républicains contre moins de 60
% des votes Démocrates ;
- les plus de 50 ans représentent 56 % des Républicains contre 50 % des votes Démocrates ;
- 41 % des électeurs Démocrates ont fait des études supérieures (college) contre 30 % des
électeurs Républicains ;
- 79 % des électeurs Républicains se déclarent chrétiens contre 51 % des Démocrates .
Demographics
Les besoins d’un enfant de 9 mois à 3 ans sont différents des besoins d’un enfant de 9 à 12 ans.
Certains livres sont destiné aux filles mais on est dans une société où la question du genre peut en
offusquer donc ça devient de + en + compliqué. Certaines marques développent des gammes de
produit non genré
Le cycle de vie
Dans une vie il y a des moments spécifiques à travers lesquels la pop d’un marché passe. On peut
développer des produits spécifique selon ses moments spécifiques.
Critère de génération => permet de divisé les générations en fonction de ce qu’elles ont vécu en
commun. Chaque génération à des points de repère. Les gens qui ont vécu ça s’en rappellent
Ex : les génération x ont vécu la chute du mur de berlin, ont découvert le téléphone portable et le
pc
On peut vendre des produits générationnelle en faisant des ref que certaines générations
comprendront (business, campagne publi)
Dans les assurances ont différencie les proprio des locataires.
Ils n’ont pas les mêmes besoins donc on les différencie
Critère + difficile à appréhender et à percevoir => utile pour enrichir une réflexion mais + rare
pour segmenter un marché.la segmentation par style de vie est + fréquente car + opérationnelle.
Préoccupation sur les valeurs, style de vie. Il faut distinguer, celles qui ont un caractères
individuel (profil psycho) et celles qui ont une dimension + collective (styles de vie s’agrégant en
communautés de vie ou d’intérêts => gay/lesbienne, luxe par ex)
Les ONG travaillent sur des segmentation de ce type. S’adresse à des gens qui. On telle ou telle
valeur => les gens vont se mobiliser par cette cause/cette valeur
Usage => fréquent, moins fréquent. Usage pro ou de loisir (= attentes spécifiques)
Intent => on s’intéresse au segment des acteurs (ex : Pour un producteur de logiciels
pédagogiques, il est nécessaire de définir à la fois des cibles d’utilisateurs, c’est- à-dire les
catégories d’élèves et d’étudiants auxquels seront destinés ses produits, et des cibles
d’acheteurs, c’est-à-dire les établissements d’enseignement auxquels il cherchera à les
vendre) + prescripteurs & préconisateur
Pour un producteur de
logiciels pédagogiques,
il est
Occasion => ex : produit acheté pendant la période de Noël
Buyer stage => Phase dans laquelle on est
User statuts => lié aux choix de sources de volume. Non-utilisateurs, utilisateurs potentiels,
anciens utilisateurs, new utilisateurs, utilisateurs occasionnels et utilisateurs réguliers
Engagement => utilisés quand les attitudes et les comportements à l’égard d’un produit varient
pour un même client selon les moments et les situations (ex : lessives à la machine à laver et
lessives à la main lors des déplacements en vacances). L’implication peut être un critère de
segmentation très efficace qui peut varier selon le contexte et le moment (naissances, mariage,
études, premier emploi,… => entraînent des besoins et un intérêt spécifique du conso)
Les gens ne cherchent pas la même chose dans la consommation de vin => bénéfice recherché
par les consommateurs
Celui qui a des dents sensibles, celui qui cherche à supprimé le tartre,… => avantage recherché
Signal => développement d’une gamme de produits ayant dont chaque produit à un avantage
différent
Ex : une marque de cafés propose des produits différent selon la situation
Chez soi, au travail à la pause à café (le réseautage se fait autour de la machine à café) ou dans
l’HORECA => on peut le consommer dans différente situation
D’abord il faut convaincre le consommateur puis le fidéliser (ex : Apple à un taux de fidélité
important)
Promo selon les fidélités (ex : les clients fidèles bénéficient d’un cadeau gratuit) (ex : orange)
Si on a pas la capacité/les moyens de produire autant, on peut utiliser seulement deux segments
Soit on va chercher des infos soit même pour créer des segments, soit on se renseigne sur des
études de marché qui ont déjà été faite.
Par ex, on mesure le potentiel de chaque province (ex : on vise Bx car + de pop)
Il est généralement facile d’identifier la taille des segments en se rapportant à de nombreuses
dispo.
Suffisamment d’utilisateurs, de consommateurs,…
On développe une pol spécifique pour chaque segmentation (4P) => ça prend du temps et bcp de
travail
Il faut qu’il y ai de vrai différence entre un groupe et un autre pour pouvoir vrm les distinguer.
Ça ne s’applique pas qu’au critère choisi, aussi aux choix des variables à l’intérieur de ce critère.
Ex :
Si l’âge apparaît comme un critère pertinent pour le marché de la musique, le choix du
nombre de tranches d’âge doit être orienté par le souci de distinguer des comportements
réellement différents.
Pour la musique
classique, on pourra se
limiter à un
Pour la musique classique, on pourra se limiter à un nombre restreint de tranches d’âges,
car les attitudes et les comportements ne varient sans doute pas d’une manière significative
par petites différences d’âge. On pourra alors distinguer par tranche de 25 ans : les moins de
25 ans (cible réticente à l’égard de la musique classique auprès de laquelle on peut conduire une
politique d’évangélisation), les 25- 50 ans (gros du marché) et les 50 ans et plus dont les goûts
musicaux ont été formés il y a plusieurs dizaines d’années. En revanche, pour les autres types
de musique, dont le cœur du marché est composé de préadolescents et d’adolescents, des
tranches d’âge de 5 ans sont sans doute trop larges pour capter les sensibilités
générationnelles.
Si l’âge apparaît
comme un critère
pertinent pour le
Atteignable = que l’on puisse développer des pol marketing spécifique pour le segment et qu’il
puisse les recevoir
La plupart du temps il n’y a vraiment pas de pb pour atteindre certains segments que ce soit pour
la distribution ou la communication
grand producteur de
volaille qui a
Douce France est un
grand producteur de
volaille qui a
Ex : Douce France est un grand producteur de volaille qui a développé une gamme de
produits élaborés à base de poulet et autres volatiles. Douce France a identifié un segment
défini comme celui des barbecues pour lesquels la marque propose des produits tout prêts
: brochettes aux poivrons, ailerons de poulet au paprika, saucisses aux herbes de Provence,
etc.
Le but de toute entreprise est d’augmenter sa part de marché sur tout les segments. Quand la part
de marché diminue c’est dangereux car cela veut dire que les concurrents nous piquent des
clients.
On ne segmente pas et on vend un produit à tout le monde. On se développe qu’une seule sorte de
produit
Pratiqué par les petites entreprises au départ. C’est au fur et à mesure de la croissance de
l’entreprise qu’ils vont développer d’autre produit et segmenter la clientèle
Ex :
Si on prend de l’eau au robinet => marché non segmenté
Si on prend de l’eau en bouteille => marché segmenter (marque et goût différent)
Le marché est segmentés et, les segments possible on va tous les satisfaire. On couvre tous les
besoins du marchés mais segments différent donc besoins différent sur le marché (ex : coca cola
couvre l’ensemble des segments sur le marché des boissons non alcoolisé)
Il faut avoir les moyens de le faire => coûte très cher
Niche = segment de petite taille (peu de consommateur), avec des consommateurs qui
recherchent des produits ou des avantages très spécifiques des autres et qui sont d’accord de +
valorisé le produit (payer + cher pour avoir un produit qui correspond à leur attente). Les prix
d’une niche sont toujours supérieur
Le consommateur créé son produit. On demande au conso de créer une recette à leur goût
Le consommateur à l’impression d’avoir été impliqué dans l’élaboration dans quelque chose donc
il en est fier
En fonction de la localité. On développe qql chose qui est spécifique à une appartenance
Chapitre 9 : Le positionnement
On créer une image distincte de celle de nos concurrents dans l’esprit des consommateur. Les 4 P
doivent être en cohérence avec le positionnement.
On se positionne différemment des concurrents pour que les clients aient une image différente de
notre marque et des autres. L’entreprise choisit l’image qu’elle veut donner mais il faudra vérifier
que le consommateur perçoit notre positionnement de la bonne manière à l’aide d’enquête, études
de marché pour retirer les infos pour adapter le positionnement.
On cherche à créer quelque chose de durable et qui va s’installer dans l’esprit des consommateurs
=> psychologique
Identification : sert à rassurer le consommateur qui identifier chaque produit à une catégorie de
produit (quand on pense à du café on a une texture, une odeur, une couleur,… tête => si on fait
entrer un new produit, il faut que les gens pensent que c’est du café)
= Point de similarité à ce que proposent mes concurrents dans la catégorie de produit
Différenciation : en marketing on veut tjrs être différent de ce que les autres font/proposent.
Pourquoi les clients vont-ils nous choisir nous ?
La différence va fait qu’on va être remarqué et choisit
Sauf pour les produits qui sont monopoles, on peut substituer un produit ou une marque par autre
chose
Concurrence indirecte = (ex : on remplace le café par du thé, le café soluble le cacao,… => choix
alternatif)
Les consommateurs ont eu du mal à identifier la catégorie de produit dans lequel ce produit était.
Ca ne correspondait pas au standard des motos ni des scooters => new produit. Le consommateur
a donc été perturbé par l’arrivée d’un produit différent de ce à quoi il a été habitué => problème
de l’innovation de new produit que le conso n’a jamais vu
Banques qui ont plusieurs types de clientèles
Vélos partagé => mise à dispo de vélos partagés dans les grandes villes
Il faut prouver qu’on est plus performant que les autres grâce à la communication
Dimension + psychologique => subjectif
Sheba => positionnement symbolique c-à-d dans ce cas-ci l’amour que les gens donne à leur chat
à travers la nourriture. Univers où le chat est considéré comme un humain
Jupiler => univers où c’est la bière des hommes viriles & exclusif pour les hommes et peu ouvert
aux femmes
Evian => l’eau ne rend pas plus jeune mais l’eau peut avoir des effets bénéfique. Pour Evian elle
est présentée comme élixir de jeunesse
Les radios sont souvent positionner selon le public qu’elle vise => radio = très segmenter
Nostalgie = public nostalgique, + âgés
Situations de consommations/d’usages
Éléments de preuves = il faut pouvoir prouver qu’on est + performant que les autres
L’attribut n’a de l’intérêt que si les autres ne le proposent pas (ex : Dove à un ¼ de crème
hydratante dans leurs produits)
C’est aisément copiable et rattrapable par les concurrents
Il est toujours + intéressant de se positionner selon le bénéfice car les consommateurs sont +
attirés par les bénéfices ou sur les valeurs de la marque puisqu’elles sont difficilement copiable
Bic n’a pas de positionnement qualitatif donc les parfums BIC n’ont jms été crédible => flop
Un parfum de qualité ne peut pas être pas cher selon les consommateurs
Il faut répondre à des attentes pas encore satisfait par les concurrents
Les clients été frustré de ne pas retrouver la même qualité d’un Nespresso servi au café et d’un
Nespresso qu’on fait chez soi => invention de machines pour combler cette attente non-satisfaite
TLS vend cher à des consommateurs qui cherchent un produit très précis
Élaboré pour durer longtemps => une fois qu’il est réfléchit il faut qu’il dure
Le positionnement de Porsche n’a pas évolué depuis plusieurs années
D’un produit qui est récent on raconte une histoire qui fait que les gens pensent qu’elle date de
nombreuses années et dans laquelle le consommateur s’y retrouve
Suppression de la classe A => plus d’entrée de gamme
Pour rester en accord avec le positionnement prix (pour se diriger vers le luxe)