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Recherches externes :
o Je cherche les infos ailleurs mais des infos déjà crées
o Sur la presse professionnelle, Sur la presse de l’industrie Sur les rapports
commerciaux d’organismes de recherches privés (Nielsen, Ufc) ou publics (institut
national de la consommation CREDOC ex les tendances de la consommation), Les
rapports d’analyse faits par INSEE , Cnil, Inpi
o Sur internet toutes les infos possibles liées à notre étude :
Mon but est de recenser l’ensemble des personnes et organismes clés du secteur d’activité
que je cible Et obtenir le plus d’infos sur le marché
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On distingue les panels de consommateurs , mesurer les ventes, suivre la tendance d’un
marché, étudier les comportements d’achats … (SOFRES et PANEL NIELSEN : Panel de
14000 acheteurs dont les achats sont suivis grâce à un scanner) et les panels de
distributeurs , Suivre l’écoulement des produits de grandes distribution à travers les circuits de
distribution (NIELSEN 200 points de vente : relevés sur stocks effectués par 150 enquêteurs
ou INTERCOR 340 points de vente : relevés effectués tous les 2 mois par 200 enquêteurs)
Dans tous les cas, les entreprises peuvent souscrire des abonnements pour recevoir des
informations. Il existe aussi des panels spécialisés comme Médiamétrie qui mesure l’audience
TV
L’étude qualitative : est descriptive et se concentre sur des interprétations. Les résultats sont
exprimés avec des mots. En général on a besoin de recueillir moins de résultat que la
quantitative
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o Je fais des entretiens individuels pour comprendre les motivations et les
attitudes des consommateurs
o L’entretien peut être non directif ; L’enquêteur ne mène pas
l’entretien, il se contente de lancer un thème et de relancer la
conversation si l’enquêté n’a plus rien à dire
o L’entretien peut être semi directif : L’enquêteur mène le
débat, les questions sont ouvertes, les réponses sont libres
o L’entretien peut être directif : L’enquêteur utilise un guide
d’entretien détaillé avec des questions fermées ou semi-
fermées. Les questions fermées. Ce sont des questions dont la
réponse est OUI ou NON., semi fermée elles donnent la
possibilité d’avoir plusieurs réponses mais on donne des
orientations aux réponses ex on pose une question à choix
multiple avec réponse souvent, jamais, toujours ..
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2.2 ETUDE QUANTITATIVE
L’étude quantitative : permet de prouver ou démontrer des faits. Les résultats sont exprimés
en chiffres (statistiques).
Pour connaître les attentes des clients, il est possible de procéder à un recensement, ce qui signifie
interroger tous les clients. Il s’agit d’une méthode longue et difficilement réalisable. C’est pourquoi on
procède plutôt à partir d’un échantillon de personnes, auquel on va administrer un questionnaire. On
estime que, si l’enquête est bien menée, les résultats obtenus sont valables pour l’ensemble des
clients.
Avant de commencer l’enquête, il faut déterminer ce que l’on souhaite mesurer ou évaluer (le degré
de satisfaction sur les prix, l’attente aux caisses, la qualité de l’assortiment…), puis respecter
certaines étapes.
La population mère représente l’ensemble des individus dont on cherche à déterminer certaines
caractéristiques. Il peut s’agir de l’ensemble des clients du magasin.
Ensuite, il faut définir l’unité de sondage, qui constitue l’élément de la population à interroger
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(homme ou femme, ménage, unité commerciale…). Ce choix est important si l’on veut que les
résultats de l’enquête soient représentatifs. L’ensemble des unités de sondage constitue l’échantillon.
EXEMPLE
Ce sont surtout les femmes qui achètent les sous-vêtements masculins : l’unité de sondage sera
donc la femme.
EXEMPLE
Si l’on veut réaliser une enquête auprès des clients du magasin Le Furet du Nord à Nantes, la
population totale sera la population de la ville de Nantes, la population mère sera composée des
clients du magasin, l’échantillon sera composé d’une partie des clients et l’unité de sondage sera
le client interrogé.
2.2 / Je définie comment je choisis les personnes que je vais interroger ? Quelle méthode
utiliser ?
J’ai plusieurs moyens de choisir mes échantillons :
- La méthode probabiliste (c a d tout le monde a la même probabilité d’être retenu
pour être interrogé)
o J’ai accès à toute la liste des clients du magasin par ex. Je tire au sort
certaines personnes. (Je peux en tirant au sort prend la 3eme personne, la 8
-ème, la 22 -ème … , c’est aléatoire) Tout le monde a donc la même
probabilité d’être tiré au sort : Ça s’appelle le sondage aléatoire simple
o J’ai accès à toute la liste des clients du magasins par ex ils sont 1000 et je
décide que je vais interroger 200 personnes en tout. Dans ce cas j’oriente
mon échantillonnage en fonction du nombre total de personnes. C’est-à-dire
si je dois sélectionner 200 personnes sur 1000 je fais 1000 / 200 donc
j’interrogerai une personne toutes les 5 personnes : Ça s’appelle
l’échantillonnage systématique
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- La méthode non probabiliste
Les individus sont sélectionnés selon des caractéristiques, souvent selon les
critères
Sexe, age, CSP, …
o On choisit le clients disponibles mais pour des raisons pratiques (ex on a une
personne dans notre magasin qui est libre pour interroger tous les clients à
l’ouverture, de 8 à 9 h ) : c’est l’échantillon de convenance (méthode
d’ailleurs peu fiable)
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qu’il puisse effectuer le suivi des personnes interrogées.
-
-
-
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2.2 / Je vais définir à combien de personnes je vais attribuer mon questionnaire ?
Pour calculer le nombre de personnes à interroger, on part du budget alloué au sondage, en tenant
compte du tarif de conception du questionnaire, et du coût d’administration et de traitement de
chaque questionnaire.
EXEMPLE
Si le budget disponible est de 1 000 €, le coût de conception du questionnaire de 500 €, le coût
d’administration de 3 € le questionnaire, et le coût de traitement de 2 € par questionnaire, on pourra
administrer : 1 000 – 500 = 500 €, 500 / (3 + 2) = 100 questionnaires.
Pour calculer la taille de l’échantillon, soit on réalise un prétest du questionnaire avec dix
questionnaires environ, soit on se base sur les résultats d’une précédente enquête et on va partir de
ces résultats pour calculer la taille de l’échantillon.
Dans ce cas, le calcul de la taille de l’échantillon s’appuie sur une formule issue d’une loi statistique
(loi Normale) qui tient compte des résultats du prétest ou de l’enquête précédente (p) et d’un « seuil
de confiance » attribué à ces résultats. Un seuil de confiance de × % signifie que l’on est sûr à × %
que les résultats obtenus dans l’enquête sont valables pour toute la population.
EXEMPLE
Pour une enquête sur des jus de fruit, on réalise un prétest auprès de 10 personnes. Il résulte de ce
prétest que 90 % des personnes achètent du jus de fruit. Pour calculer la taille de l’échantillon, on
part de ce résultat, auquel on attribue un seuil de confiance : ici, on suppose que le résultat est fiable
à 95 % et qu’il y a une marge d’erreur de 3 %.
1. L’organisation du questionnaire
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– il se termine avec les questions signalétiques (âge, sexe, CSP, revenu…), qui sont personnelles.
Il est parfois utile de recourir à des questions de contrôle pour vérifier la sincérité des réponses de la
personne interrogée. Le questionnaire doit être relativement court (pas plus de 15-20 questions).
• Éviter les questions tendancieuses, trop vagues, qui peuvent avoir plusieurs sens.
EXEMPLE
Pensez-vous qu’il y a trop de radars en France ?
• Éviter de poser deux questions dans la même phrase (Quelle est la marque de votre voiture et
quelle est sa consommation ?), de faire appel à la mémoire (Quel film avez-vous regardé le 15
août ?).
• Éviter les mots techniques.
• Éviter les questions qui font référence aux désirs, au prestige, au milieu social.
• Le vocabulaire doit être adapté à la personne interrogée et doit être précis (ne pas employer de
termes comme « souvent, longtemps, parfois »).
Tester le questionnaire
Avant d’être administré, le questionnaire doit être testé, c’est-à-dire administré auprès d’un petit
nombre de personnes afin de vérifier que les questions sont bien comprises.
Ces logiciels permettent de gérer les enquêtes et les données. Ils sont organisés en trois parties :
– élaboration des questions et mise en forme ;
– saisie des réponses : collecte de tous les résultats d’enquête, avec saisie des réponses, leur
gestion, leur consultation, leur modification ;
– traitement et analyse : dépouillement des résultats, analyse des données, tri.
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IV / COMMENT JE LE DISTRIBUE
Il s’agit de la répartition des différentes réponses pour chaque question. Ces tableaux sont souvent
accompagnés de graphiques qui donnent une vue globale des résultats.
EXEMPLE
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Les tris croisés
Ils permettent de voir s’il existe un rapport entre les réponses à deux questions différentes.
EXEMPLE
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VI / JE PRESENTE MES RESULTATS
Le rapport d’enquête peut se faire sous traitement de texte s’il doit être diffusé au réseau ou par le
biais d’un diaporama si l’analyse doit être transmise à l’équipe.
Nous analysons ci-dessous un extrait de rapport d’une enquête de satisfaction concernant le
magasin Shoe Discount réalisé sous forme de diaporama.
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