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24/05/2023

Module: Psychologie des âges de la vie

Avec Piaget: Le constructivisme

• Piaget postule que la mission de la psychologie est d'étudier les différences


individuelles dans la relation entre la pensée autistique et la pensée rationnelle : la
pensée autistique, qui constitue des symboles personnels, nous accompagne tout au
long de notre vie. Cependant, son rôle change avec l'âge.

• Dans l'enfance, l'autisme est majeur. Plus tard, l'esprit se développe au détriment de
l'autisme, mais l'esprit peut-il se débarrasser complètement de la pensée autistique ? Il
ne semble pas le pouvoir. Il faut donc créer une psychologie pour déterminer la
relation exacte entre le niveau d'intelligence et le niveau d'autisme ou d'inconscience
de l'individu.

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Concept d'égocentrisme
Piaget a suggéré que la mission de la psychologie est d'étudier l'individu en termes de
différences dans la relation entre la pensée autistique et la pensée rationnelle.

Piaget a discuté des concepts de base de trois approches différentes de la psychanalyse, à


savoir les théories de Freud, d'Adler et de l'école de psychanalyse de Zurich.

À la suite de Freud, Piaget distingue deux modes de pensée différents : la pensée unitaire
ou symbolique et la pensée scientifique ou logique.

L'égocentrisme apparaît sous des formes existentielles et logiques.


L'ontologie égocentrique est due à des frontières floues de l'ego et à une incapacité à
délimiter clairement et subjectivement les frontières du sujet.

Formes de l’égocentrisme

• La logique de l'égocentrisme est représentée dans une variété de manifestations.


• Le discours égocentrique est une manifestation de l'égocentrisme logique.
• Le discours égocentrique indique qu'un grand pourcentage du discours des enfants
consiste en des monologues de groupe (c'est-à-dire que les enfants parlent sans s'écouter
les uns les autres),
• L'égocentrisme est associé à une mauvaise compréhension des concepts relationnels tels
que frère ou étranger, ainsi que des relations spatiales telles que gauche et droite.
• Les enfants ne ressentent pas le besoin de fournir des preuves pour leurs déclarations et
ne sont pas conscients des incohérences.
• La pensée égocentrique se caractérise par la conformité (c'est-à-dire la tendance à penser
globalement sans tenir compte des parties), la juxtaposition (c'est-à-dire la tendance à
relier des idées en une seule sans subordonner la pensée à une autre), la transposition en
logique (c'est-à-dire le passage d'une logique à une autre, au moins E.g., "Je n'ai pas
encore fait ma sieste, donc ce n'est pas l'après-midi".

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Le concept d'égocentrisme est défini par deux caractéristiques ;

En termes de structure, il s'agit d'une pensée sans critères.


En termes de contenu, il représente la priorité de la vision individuelle.

L'égocentrisme fait référence à :


• L'organisation de la pensée de l'individu à un moment du développement, qui montre
le contraste entre l'activité subjective et les transformations du sujet.
• L'individu ne dispose pas des mécanismes pratiques nécessaires pour se placer dans un
point de vue différent du sien.
• L'individu à ce stade croit que tous les sujets sont proches de lui, et il ne partage pas le
caractère social.
• Il peut construire des concepts qui conduisent à l'objectivité et à la coopération dans le
comportement.
À ce stade, la pensée de l'individu est unidimensionnelle, ce qui crée des erreurs
qualitatives de logique.

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Selon Piaget, l'égocentrisme est la tendance des enfants à ne voir l'environnement que de
leur propre point de vue. Et que le degré d'égocentrisme est directement lié au niveau de
développement cognitif de l'enfant.
Au stade de la petite enfance (de la naissance à l'âge de deux ans), les enfants apprennent
seulement à reconnaître et à interagir avec l'environnement, et c'est donc un stade
idéalement égocentrique.
À l'âge préscolaire (de 2 à 6 ans), les enfants sont capables de représenter le monde à
l'aide de symboles et d'images, mais sont incapables de distinguer leur propre point de
vue de celui des autres.
Au cours de l'enfance moyenne (6-12 ans), les enfants développent des capacités
cognitives plus importantes et donc des niveaux d'égocentrisme et de capacité à percevoir
le point de vue des autres plus faibles.

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Avec Vygotsky: Le socio-constructivisme

Les principaux axiomes de Vygotsky sont à considérer :

• La dimension sociale est une caractéristique essentielle de l'existence humaine


Les fonctions mentales supérieures n'évoluent pas naturellement et principalement
par des facteurs biologiques, mais elles évoluent culturellement à travers des
médiateurs socioculturels.

• En conséquence, l'éducation semble être le facteur principal dans l'histoire de


l'enfant. L'apprentissage précède toujours la croissance.

• Le développement de l'intelligence trouve sa source dans les relations


interpersonnelles,

Dans sa théorie du développement cognitif, Vygotsky dit : Le développement cognitif de


l'enfant se situe d'abord au niveau social, puis au niveau individuel ou personnel.

Le développement cognitif implique une transformation qualitative des fonctions


psychologiques qui deviennent des fonctions psychologiques supérieures caractérisées
par « la pensée et la maîtrise, c'est-à-dire la prise de conscience et l'intervention de la
volonté, Les capacités de l'enfant se développent grâce à certains des moyens qu'il trouve
dans son environnement, dont le langage, qui constitue le moyen et l'outil de base.

L'activité pratique à laquelle s'engage l'enfant y est incorporée comme une activité
mentale, qui se transforme en opérations complexes dues au vocabulaire, qui à son tour
se transforme en concepts.

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Vygotsky mentionne l'importance du lien entre le langage et la pensée en soulignant ce


qui suit : Le rôle de ce langage est d'aider l'enfant à réfléchir et à surmonter les difficultés
qu'il rencontre dans ses activités.

Si la pensée à travers le langage d'expression externe s'incarne dans la parole, alors la


parole disparaît dans le langage intérieur, permettant la naissance de la pensée.

Il n'y a pas de fusion complète entre la pensée et le langage, car deux aspects les
distinguent : Une manifestation liée à la pensée technique et de performance et qui ne
dépend pas directement de la langue.

Une manifestation dans le langage qui ne dépend pas de la pensée (comme montrer une
chanson ou un poème), Vygotsky affirme que la relation entre le langage et la pensée est
un processus dynamique qui permet à la pensée de se matérialiser dans le langage.

Concept: L'égocentrisme est une caractéristique qui distingue la tendance


d'un individu à rendre tout ce qui l'entoure à lui-même, sa pensée n'est
préoccupée que par son propre monde intérieur..

S'appuyant avant tout sur soi, la prise en compte par l'individu de ses
comportements, pensées et opinions comme seule référence acceptable
l'égocentrisme se caractérise par la tendance à tout ramener à soi.

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La tendance égocentrique est une étape naturelle du processus de développement


au cours de laquelle l'enfant perçoit le monde de son propre point de vue.

Jean Piaget et Vygotsky, chacun a une vision :

Piaget soutient que le langage égocentrique diminue au cours de développement.


Vygotsky considère que le langage égocentrique dans l'enfance est une
caractéristique sociale qui se transforme ensuite en langage intérieur à l'âge
adulte.

FORMATION MENTALE DE L'ENFANT

Le socio-constructivisme Le constructivisme de
de Vygotsky Piaget

Dialogue avec des objets et


Interactions sociales et des expériences
relations d'aide personnelles
Du social à l’individuel. Du l’individuel au social
L'importance de la médiation S'appuyer sur la pédagogie

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Le langage égocentrique est un Langage caractérisé par la tendance


intérieure d'un individu, qui émerge dans l'enfance.

Le langage interne par sa fonction mentale et le langage externe par sa


nature physiologique.

Une forme transitionnelle entre le langage social, dirigé vers les autres, et
le langage interne, dirigé vers soi-même

La zone de proximité de développement est :

q La distance entre le niveau de développement réel qui survient en traitant un


problème de manière indépendante et le niveau de développement qui est
susceptible de se produire en traitant le problème avec l'aide d'un adulte.

q Une capacité potentielle qui peut être activée lors de l'interaction, Ce concept
reflète la relation entre l'apprentissage et le développement au cours de
l'histoire sociale de l'enfant.

q L'enfant au cours des différentes étapes de son développement se caractérise


par deux aspects : son niveau actuel de développement, qui peut être estimé
et évalué en le mesurant tel quel, Son niveau potentiel de développement
correspond à ce qu'il est capable de faire avec l'aide d'un adulte à un moment
donné et ainsi pouvoir accomplir seul par la suite.

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Psychologie de l’adolescent

• L’adolescence est la période de l’épanouissement de l’enfant qui se transforme


en un adulte, afin qu’il devienne acteur responsable de son environnement
sociale.
• L’adolescence est une période créatrice avec une affectivité étant plus
intérieure, plus intense, plus passionnée. Un éveil affectif, l’adolescence est
aussi une confrontation avec la société.
• C'est un processus et non un produit. Ainsi, vous ne pouvez, comme
l'apprentissage, qu'appréhender ses effets, les incidences qu'elle peut avoir sur
le comportement d'un jeune à une période déterminée.

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• L'adolescence est explorée sous un angle plus psychologique,


physiologique et anatomique.
• L'adolescence se rapporte à cette période de la vie qui est à la fois une
construction identitaire sur une identité déjà construite.
• Sur le plan physique: elle est caractérisée par l’acquisition de la condition
physique, du développement des qualités foncières (force, vitesse,
endurance, résistance),

• Sur le plan psychomoteur : elle est caractérisée par le développement des


qualités psychomotrices : adresse, équilibre, acquisition des notions de
temps, d’espace, de rythme, de coordination et de prise de conscience du
schéma corporel.
• Sur le plan social : la personnalité « se fait » durant les 3 aux 5 premières
années de la vie. L’adolescence offre la possibilité de résoudre les
conflits de l’enfance de manière spontanée. Si ces mêmes conflits
persistent, ce serait du domaine du pathologique.

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Les Etapes de l’adolescence


Il s’agit de 3 étapes de travail psychique à l’adolescence, telles que
révélées par Braconnier & Marcelli (1988) :
• La phase de l’attente,
• La phase de changement
• La phase de découverte.

1. L’attente ou la phase de la puberté


• Une étape qui correspond à la période de la préadolescence (aux environs de
12- 13 ans). Elle est marquée par le début de la puberté.
• La grande majorité des enfants est désormais prévenue de l’irruption
prochaine de l’adolescence et des transformations qu’elle suscitera.
• Les psychologues la considèrent comme le prolongement de l’enfance qui
représente le terrain dans lequel l’adolescent va planter ses racines.
• La croissance est alors caractérisée par des variations rapides du taux
d’hormones en agissant, à l’intérieur du corps, en opérant des changements
radicaux.

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2. La phase de changement

• Il s’agit d’un changement physique qui s’effectue d’une façon brusque, voire
radicale. Au bout de quelques mois seulement, les enfants se transforment en
quasi-adultes.

• L’adolescent devra donc chercher de nouvelles sources d’intérêts et de


plaisir. Il a aussi besoin de s’éloigner de ses parents même s’il s’agit d’une
distance symbolique.

• Un changement qui s’illustre par le mouvement psychologique de déception que


l’adolescent éprouve à l’égard de ses parents et le besoin de chercher à
l’extérieur du cercle familial ses sources nouvelles de satisfaction.

• Au niveau psychique, on parle de fragilité intellectuelle, de volonté influençable,


d’affirmation de soi par déstructuration et restructuration, de rupture avec le
milieu familial et ses valeurs, de changement d’objet d’amour, d’appel à l’idéal
(aspirations élevées), de mécanismes d’identification, de conflit, de dépendance,
de volonté d’indépendance, de vulnérabilité affective.

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• Un changement qui s’illustre sur le plan psychologique par une déception que
l’adolescent éprouve à l’égard de ses parents et le besoin de chercher à
l’extérieur du cercle familial ses sources nouvelles de satisfaction.

• Au niveau psychique, on parle de fragilité intellectuelle, de volonté


influençable, d’affirmation de soi par déstructuration et restructuration, de
rupture avec le milieu familial et ses valeurs, de changement d’objet d’amour,
d’appel à l’idéal (aspirations élevées), de mécanismes d’identification, de
conflit, de dépendance, de volonté d’indépendance, de vulnérabilité affective.

3- La phase de la découverte

• Il s’agit de la découverte de soi-même. L’adolescent doit aussi découvrir ce qu’il


aime et ce qu’il désire. Ce qu’il aime dépend de son passé, de l’identité qu’il se fait
et qu’il se reconnaît, des modes de relations établies avec ses parents et ses
proches.

• L’adolescent doit donc se forger son propre idéal qui n’est plus celui de son
enfance ni celui de ses parents. Ce travail psychologique est essentiel et décisif
pour le choix, ente autres, professionnel que l’adolescent devra effectuer.

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• La necessité de faire de choix comportant des déterminants collectifs et


individuels, à travers ses attentes, ses expectatives, ses ambitions, mais aussi à
travers ses compétences propres.

• L’adolescence représente une période de profonds bouleversements. C’est le


temps d’une triple transformation d’ordre physiologique, psychique et
psychologique.

• L’adolescence est considérée comme un âge de crise et elle peut être aussi une
lutte pour trouver son identité et acquérir son indépendance. Cette crise differe
d’une societe à autre.

Le développement cognitif à l’adolescence

Lors de la phase d’enfance, une pensée sur le concret en identifiant le signifié et


le signifiant.
Lors de l’adolescence, une pensée formelle hypothético-déductive en travaillant
plus sur des hypothèses.

Le comportement social à l’adolescence


Il se distingue par 3 phases:

1. Phase d'opposition : Refus des normes et valeurs sociales.


2. Phase d'affirmation du Moi : le désir d’indépendance.
3. Phase d'insertion : Réalisation de l’indépendance affective, l'accès au
travail…

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Identité à l’adolescence
v Une crise endogène et exogène.
• Endogène due aux des transformations biologiques naturelles, génétiquement
programmées.
• Exogène due à des éléments extérieurs appartenant à l’environnement social.
v Le besoin d’appartenance à un groupe
En reponse à des nécessités éducatives, sociales et à des motivations intra
psychiques personnelles.
v Les risques de la non-identification
La marginalité, la délinquance juvénile à savoir les délits de violence, délits
sexuels, prostitution, toxicomanie, constitution de bandes asociales, etc.

Imagerie mentale

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Imagerie mentale

• Une représentation interne qui donne lieu à l'expérience de la perception en l'absence de


l'entrée sensorielle appropriée.

• Les psychologues utilisent le terme d'imagerie mentale pour décrire ce processus cognitif
que nous utilisons tous les jours pour représenter des choses dans la mémoire de travail
en l'absence de données sensorielles appropriées.

• L'imagerie implique une perception sans sensation sensorielle, l'imagerie résulte de


l'interprétation d'informations stockées, basées sur la mémoire. Ainsi, le processus de
génération d'une image mentale peut être compris grossièrement comme une perception à
l'envers.

• Des techniques de neuro-imagerie montre que le cortex occipital ou centre visuel du


cerveau (situé à l'arrière de la tête) est activé lorsqu'on demande aux gens d'imaginer des
choses. 31

Types et dimensions de l'imagerie mentale

• L'imagerie est une expérience multisensorielle. En d'autres termes, nous avons


la capacité d'imaginer "voir", "entendre", "goûter", "sentir" et "ressentir" divers
stimuli et/ou sensations.

• Plus le nombre de modalités sensorielles que nous utilisons pour créer notre
représentation mentale de l'information non présente est élevé, plus l'expérience
d'imagerie mentale qui en résulte est vivante.

• Les images diffèrent les unes des autres non seulement par leur vivacité, mais
aussi par la possibilité de les contrôler.

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Théories de la pratique mentale


Trois approches conceptuelles principales ont été postulées pour expliquer les effets de la
Pratique Mentale :

• Le modèle "neuromusculaire" (Jacobson, 1932), neuromusculaire propose que les effets de


la pratique mentale soient médiés principalement par une faible activité dans la
musculature périphérique.

• La théorie cognitive (denis, 1985) attribue à l'imagerie mentale un rôle important dans le
développement de l'activité physique, le modèle cognitif attribue les mécanismes de
causalité à une représentation stockée au niveau central dans le cerveau.

• La théorie "bio-informationnelle" (lang, 1979): postule que les effets de la pm reflètent


l'interaction de trois facteurs différents : l'environnement dans lequel le mouvement en
question est exécuté (information "stimulus"), ce qui est ressenti lorsque le mouvement se
produit (information "réponse") et l'importance perçue de cette compétence pour
l'exécutant (information "signification").
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Théories neuromusculaires de la pratique mentale


Les premières théories de la répétition mentale contenaient deux propositions clés.

1- elles suggèrent que l'imagination d'une action physique tend à susciter un modèle de
mouvements musculaires faibles et localisés.

2- ils affirment que cette activité musculaire peut fournir un retour d'information
kinesthésique à l'exécutant, ce qui lui permet d'apporter des ajustements à cette
compétence lors d'essais ultérieurs.

Cette version de la théorie neuromusculaire a été soutenue par Jacobson (1932) qui a
suggéré que la visualisation provoque de minuscules "innervations" dans les muscles
qui sont réellement utilisés dans l'exécution physique de l'habileté répétée secrètement.

Cette minuscule activité musculaire subliminale était considérée comme similaire,


mais de moindre ampleur, à celle produite par l'exécution physique réelle des
mouvements concernés.
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Théories cognitives de la pratique mentale

• Les théories cognitives proposent que la pratique mentale facilite à la fois le codage et la
répétition des éléments clés de la tâche.

• Sackett (1934) (L'un des premiers partisans de cette approche ) a découvert que les
performances d'une personne dans une tâche de labyrinthe à doigts s'amélioraient après
la répétition mentale des schémas de mouvement impliqués.

• Elles se concentrent sur la possibilité que la répétition mentale renforce la représentation


centrale du cerveau ou le schéma cognitif de l'habileté ou du mouvement visualisé.
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Théorie bio-informationnelle de la pratique mentale

Lang (1979) a commencé par affirmer que les images mentales ne sont pas des "images dans la tête"
mais des représentations propositionnelles dans la mémoire à long terme.

Ces représentations propositionnelles sont des codes cognitifs abstraits, proches du langage, qui ne
ressemblent pas physiquement aux stimuli auxquels ils se réfèrent.

Trois types d'informations sur l'objet ou la situation imaginés sont codés dans ces représentations
propositionnelles:

1- les propositions de stimulus sont des énoncés qui décrivent le contenu de la scène ou de la
situation imaginée.
2- les propositions de réponse sont des énoncés qui décrivent comment et ce que la personne
ressent lorsqu'elle réagit au scénario imaginé.
3- les propositions de signification font référence à l'importance perçue par la personne de
l'habileté imaginée.

La théorie de Lang (1979) postule que les informations provenant de ces trois types de propositions
sont organisées dans un réseau associatif dans l'esprit. 36

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