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Fiche Monnaie + Social
Fiche Monnaie + Social
DEF :
Ordre social : ensemble des mécanisme qui hiérarchise et légitime la société
Les monnaies marchandises, sont des monnaies qui ont une valeur intrinsèques
On peut donc noter que les formes de la monnaie ont évolué dans le temps : si la
monnaie-marchandise a prévalu un certain temps, elle a ensuite été peu à peu
remplacée par la monnaie métallique, elle-même remplacée ensuite par la monnaie
divisionnaire et duciaire. Ces deux dernières formes de monnaie existent toujours
désormais au côté de la monnaie scripturale. On observe alors un processus de
dématérialisation progressive de la monnaie (la monnaie scripturale n’étant pas du
tout matérielle, palpable).
1) Les banques de second rang sont celles qui crée leur propre monnaie
scripturale et qui doivent être capable de la convertir en monnaie centrale, elle
possède un compte à la BCE.
2) L’expression monnaie de banque désigner la monnaie scripturale crée par les
banques ordinaires, par opposition à la monnaie centrale.
3) L’expression « monnaie centrale » est la monnaie émise par la Banque centrale.
4) Non elle se règle en monnaie centrale puisque chaque banque à un compte à
la BCE. C’est par l'intermédiaire de ces comptes que les banques se règlent
les dettes entre elles, par des opérations de compensation interbancaire.
Conclusion : Quelles sont les trois limites de la création
monétaire ?
Il existe trois limites à la création monétaire : – Les fuites
interbancaires
– Les retraits au guichet
– Les réserves obligatoires
Plus les banques augmentent leur crédit, plus elles
s'exposent à ces limites. Ainsi, elles ont tendance à limiter
les crédits qu'elles octroient.
1) On entend par marché monétaire l’échange de liquidité entre les banques
commerciales et la bc. Le re nancement désigne l’action où la BC envoie des
liquidités aux banques
2) Le taux re est le taux d’intérêt que la banque centrale utilise pour prêter de l’argent
au banques commerciales.
3) La Banque centrale peut faciliter le re nancement des banques, et donc la
création monétaire, en o rant beaucoup de liquidités et en faisant baisser ses
taux d’intérêt, ou, au contraire, freiner la création monétaire en réduisant son
o re de monnaie et en relevant ses taux d’intérêt.
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1) Pourquoi lors de la crise des subprimes les banques ont –
elles refusé de se prêter mutuellement de la monnaie centrale
sur le marché monétaire ?
A cause d’un climat de dé ance installé par les premières manifs sur la crise des
subprimes. Cette dé ance est lié à l’insolvabilité des banques.
Les normes sont les règles découlant des valeurs et qui sont admises communément par un
groupe.
Les valeurs sont des ensembles de croyances et d’idéaux que le groupe juge bon de suivre.
2) Une réprobation perceptible est une critique par laquelle qlq désapprouve le comportement et
l’attitude produite par une ou plusieurs autres personnes
3) La di érence et que la norme juridique est écrite et la norme sociale est inculqué via a la
socialisation primaire et n’est pas écrite
Le contrôle social est un processus de régulation propre à une société ou un groupe social
donné visant à assurer que la plupart des individus se conforment aux règles de conduite émises.
Il s'agit donc de l'ensemble des moyens dont dispose une société pour assurer la conformité du
comportement de ses membres aux normes et valeurs en vigueur dans cette société. On
distingue le contrôle social formel du contrôle social informel. Le contrôle social formel est le
processus par lequel des groupes sociaux et des institutions spéci ques (police, justice, église...)
régulent les activités sociales a n d’assurer le maintien des règles et la conformité des
comportements à la norme. Il se réalise par l’application de sanctions souvent écrites et
impersonnelles, qui peuvent être juridiques et pénales, morales, religieuses, etc.
Le contrôle social informel est, quant à lui, exercé par les individus au cours de leurs
interactions quotidiennes, et permet d’assurer le maintien des règles et la conformité des
comportements à la norme. Il se réalise notamment au cours de la socialisation par des
sanctions positives (approbation : sourire d’acquiescement, félicitations, cadeaux...) ou
négatives (désapprobation : remarque désobligeante, rire moqueur, mise à l’écart...).
On constate que, si ces deux formes de contrôle social coexistent, elles ont connu des évolutions
dans le temps. On observe en e et un a aiblissement du contrôle social informel au pro t du
contrôle social formel, qui, lui, a tendance à s’accroître.
L’e et attendu du contrôle social est la dissuasion : le contrôle social est dit dissuasif si
l’anticipation de la sanction qu’il prévoit su t à ce que l’individu renonce à commettre un acte
déviant. Cependant, le contrôle social a également pour e et de stigmatiser les déviants, ce qui,
bien souvent, leur interdit une vie normale. On entend par stigmatisation un processus par lequel
un individu, du fait de l'une de ses caractéristiques particulière, se voit déconsidéré, discrédité. Le
contrôle social vise à assurer le respect des normes juridiques et sociales au sein d’une société
(bien que parfois les premières ne soient pas en accord avec les secondes). En outre, les normes
ne sont pas universelles et immuables : elles sont socialement construites, ce qui explique
qu’elles puissent di érer dans le temps et dans l’espace.
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