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MES BRIOCHES VEGAN FAITES MAISON
MES SANDWICHS REPAS
CUISINER SANS CASSER D’ŒUFS
MES PETITES DOUCEURS DE NOËL
Je vais vous accompagner pas à pas à travers ces pages pour rendre cette
expérience facile, ludique et accessible, même si vous êtes débutants. Vous
ne reviendrez plus en arrière. J’espère faire naître en vous la passion et la
flamme qui animent le boulanger passionné par son métier. Ce livre se
veut une base de départ pour vous permettre de bien démarrer, mais le
levain naturel ne peut se réduire à une simple recette de cuisine
J’ai beau vous donner des indications, votre levain sera unique. Il aura ses
propres caractéristiques. Il va vivre sa vie et réagir selon l’environnement
dans lequel il évolue, même s’il est fabriqué avec exactement les mêmes
ingrédients que le mien et dans les mêmes proportions. Vous suivrez
ensemble votre propre chemin. Au fils du temps, votre levain deviendra de
plus en plus beau et fort. Partez de l’idée que vous devez apprivoiser une
matière vivante en évolution permanente.
Vous allez l’observer, apprendre à le connaître et respecter son cycle de
vie pour l’utiliser au mieux. Vous devrez jongler avec ses complexités et
apprendre à connaître les différentes conditions qui feront que votre levain
se portera plus ou moins bien. L’âge du levain, la température, l’humidité,
la saison, le type d’eau ou de farine ne sont que des exemples à prendre en
considération.
Pas de panique surtout ! Je vais vous aider à mettre toutes les chances de
votre côté pour réussir au mieux. Au fur et à mesure, vous occuper de
votre levain vous semblera aussi naturel que de vous occuper d’un
membre de la famille.
Le levain naturel, un nouveau membre dans votre famille
Vous n’avez plus d’excuse pour ne pas se lancer dans l’aventure ! Êtes-
vous prêts ? Alors commençons !
Tout savoir sur le levain
Le b.a-ba avant de commencer
Pour la santé : Le levain naturel comme son nom l’indique est un levain
naturel, composé de bactéries lactiques, vous savez, celles que l’on
retrouve dans notre flore intestinale et qui sont utilisées pour faire des
aliments fermentés comme le yaourt. Ces bonnes bactéries rendent le pain
bien plus digeste que les produits boulangers faits avec de la levure de
bière (qui eux contiennent plus de levures et pas de bactéries lactiques).
Comment ça marche ?
Le premier jour, on mélange eau et farine pour faire une petite boule de
pâte. Une fermentation naturelle va avoir lieu, c’est la naissance de notre
levain. La pâte est encore compacte, mais va tout doucement se liquéfier.
Une odeur acide se dégagera. Une fois que la fermentation a eu lieu, le
levain va commencer à buller. Plus qu’à la surface de la pâte, c’est surtout
à l’intérieur de la pâte que vous observerez la formation de petites bulles
(d’où l’intérêt de mettre son levain dans un bocal transparent). C’est le
signe que votre levain est bien vivant. Il faudra alors rafraîchir votre bébé
levain avec à nouveau eau et farine et cela, ainsi de suite, jusqu’à ce qu’il
soit assez fort pour être utilisé en boulangerie. Au début, le levain a
l’allure d’un chewing-gum collant à l’odeur très forte. C’est normal, il
faudra le rafraîchir plusieurs fois avant de pouvoir l’utiliser.
Si au bout de 3 jours votre levain n’a pas pris, mieux vaut recommencer à
zéro avec une farine bio, une eau de source et des ustensiles en verre ou en
plastique propres et secs (sans trace de savon) dans une pièce bien chaude.
Votre levain mère est né, il faudra désormais le maintenir en vie grâce à
ce qu’on appelle des rafraîchissements.
*** Voir Levain liquide ou levain dur selon le taux d’hydratation du levain
RAFRAICHISSEMENT D’UN LEVAIN DUR ET D’UN LEVAIN
LIQUIDE
Pour un levain dur : diluez le levain dans la moitié de son poids en eau
en mélangeant bien avec une fourchette ou un fouet, puis ajoutez son
poids en farine. Mélangez et faites une boule à la main. Incisez une
croix avec un couteau ou des ciseaux. Laissez reposer.
Sauf si vous boulangez tous les jours, il est inutile de rafraîchir votre
levain quotidiennement. On rafraîchit son levain chaque jour quand on
part de zéro jusqu’à ce qu’il soit suffisamment fort. Une fois que votre
levain est lancé et adulte, rafraîchissez-le uniquement quand vous voulez
faire votre pain ou tous les 3 ou 4 jours selon la méthode de conservation
choisie (Comment conserver mon levain ?).
Surveillez votre levain. Une fois rafraîchi, il doit être utilisé avant qu’il ne
commence à retomber, car bien sûr, il ne peut pas gonfler à l’infini.
Observez les traces de levain sur la paroi du bocal pour voir jusqu’où il est
monté. Une fois que le levain retombe, il sera encore actif, mais son goût
sera plus aigre. Plus on attend, plus le levain va s’acidifier et aura besoin
d’être à nouveau rafraîchi. Apprenez à reconnaître le cycle de votre levain.
Nous en avons déjà parlé, il n’y a pas qu’une seule méthode pour faire son
levain. On peut créer un levain dur ou un levain liquide. Tout dépend du
degré d’hydratation de votre levain. Le taux d’hydratation est la
proportion d’eau et de farine dans la pâte. Plus on y met d’eau, plus la pâte
est liquide, moins on y met d’eau, plus la pâte est dure.
Le levain dur est un levain hydraté à 50%, c’est-à-dire qui contient deux
fois plus de farine que d’eau, soit 100 g de farine pour 50 g d’eau.
Le levain liquide est un levain hydraté à 100%, c’est-à-dire qu’il contient
autant d’eau que de farine, soit 50 g de farine pour 50 g d’eau. Il a l’aspect
d’une épaisse pâte à pancakes ou d’une mousse a chocolat quand il est
actif.
Taux d’hydratation d’un levain de 100 g
*Il existe différentes applications que vous pouvez télécharger sur votre
téléphone pour calculer les taux d’hydratation de votre pâte à pain.
J’utilise BackerCalc – La calculette du boulanger.
Les deux types de levain se ressemblent, leur fonction est la même. Les
deux ont besoin d’être rafraichis et sont sensibles aux conditions
extérieures telles que humidité, chaleur, qualité de la farine, de l’eau…Le
levain liquide est plus facile à rafraîchir puisque pâte est « liquide ». Il
suffit de touiller avec une cuillère pour le rafraîchir.
Mais alors lequel utiliser ? C’est une question de préférence, il n’y a pas
de bonne ou de mauvaise méthode et rien ne vous empêche de passer de
l’un à l’autre.
J’utilise une méthode intermédiaire et c’est celle que je vous propose de
réaliser dans les pages suivantes. Je crée un levain hydraté à 60%. C’est un
levain qui a déjà l’aspect d’une pâte à pain. Il est prêt à être utiliser
directement dans une recette, puisqu’il a le même degré d’hydratation que
la plupart des pains, soit 60% (500 g de farine pour 300 g d’eau). Tout en
gardant une certaine consistance, j’ai aussi les avantages du levain liquide
car je le rafraichis rapidement et facilement. Je mélange bien avec une
grande cuillère en bois, je racle ensuite les bords de mon récipient avec
une raclette pour bien amalgamer le tout et je fais quelques plis.
Avec un levain liquide, il faudrait modifier les proportions d’eau et de
farine de la recette puisque le levain est très hydraté. Il faut où baisser la
quantité de liquide de la recette ou augmenter la quantité de farine, ce qui
pourrait complètement changer l’aspect désiré de la pâte à pain et
compromettre le résultat.
Je rafraichis désormais mon levain « à l’œil, » selon le pain que je veux
réaliser et vous ferez de même avec un peu d’expérience. Je laisse mon
levain plus liquide quand je veux réaliser une pâte plus souple comme une
pâte à focaccia (Focaccia à la fécule de pomme de terre) ou des pâtes
sans pétrissage (par exemple Petits pains aux olives sans pétrissage).
J’hydrate moins mon levain quand je veux réaliser un pain qui a besoin de
plus de force pour lever avec des farines complètes, de l’épeautre ou du
seigle. Au fur et à mesure que vous l’utiliserez, vous trouverez la méthode
qui vous convient le mieux.
Si le levain liquide peut sembler plus simple à maintenir en vie, sachez
qu’une pâte à pain à pain ou à brioche très hydratée est aussi plus difficile
à travailler puisqu’elle colle énormément. Il sera difficile de lui donner
une certaine forme. Cette méthode est très utilisée aux États-Unis pour les
pains dits sans pétrissage, très à la mode. Je vous conseille d’utiliser un
moule pour cuire ce genre de pains, une cocotte en fonte est alors idéale.
Selon le pain que l’on veut préparer, le degré d’hydratation du levain va
changer.
Pour un pain tradition classique, on utilisera un levain plus solide avec un
degré d’hydratation de 60%.
Pour une baguette, on utilisera un levain hydraté entre 60 et 70%.
Pour un pain plus moelleux (en général les pains sans pétrissage), on peut
utiliser un levain hydraté à plus de 70%.
Avec quelle farine commencer un levain ?
La farine T65 est facile à trouver dans n’importe quelle magasin bio et
facile à utiliser au quotidien. C’est une excellente base de départ pour tout
type de pain.
Pour un levain sans gluten, faites votre levain avec de la farine de sarrasin,
de riz semi-complet ou même de châtaigne. Les farines sans gluten sont
beaucoup plus gourmandes en eau. Je vous conseille alors de faire un
levain liquide.
Un levain adulte pourra lui être rafraichi avec n’importe quelle farine.
Évitez quand même de passer en une seule fois d’une farine blanche T55 à
une farine complète T130, introduisez la nouvelle farine petit à petit. Si
vous avez besoin de donner un petit coup de peps à votre levain,
rafraîchissez-le avec 20% de farine de seigle.
La conservation du levain :
Le levain doit être placé à l’abri des courants d’air à une température
comprise entre 4 et 28 degrés. Plus il fait chaud, plus le levain va
fermenter rapidement. S’il fermente trop rapidement, il aura vite une
odeur très forte et nécessitera des rafraîchissements beaucoup plus
rapprochés. Inversement, s’il fait froid, le levain mettra plus de temps à
fermenter et les rafraîchissements pourront être plus espacés.
Si vous préférez laisser votre levain à l’air libre, couvrez-le d’un linge
humide pour éviter qu’il ne croûte.
Baigner le levain
Si votre levain sent fort et où est trop acide car il n’a pas été rafraîchi
depuis plusieurs jours, couvrez-le d’eau tiède. Laissez-le reposer 15
minutes dans l’eau. Ôtez l’eau et rafraichissez votre levain comme indiqué
précédemment.
On boulange, c’est parti !
Tout savoir sur les farines
J’utilise rarement la farine T55 pour les pains, la farine T65 reste ma base
à laquelle j’ajoute des farines complètes, des farines de seigle, d’épeautre
etc. J’utilise la T55 pour les brioches ou les préparations nécessitant de
très longues levées comme le Panettone, la Colomba de Pâques ou la pâte
à pizza (Choisissez une farine italienne 00 spéciale pizza).
Par quelle quantité de levain remplacer la levure de
boulangerie dans une recette ?
Un peu d’organisation
La préparation du pain au levain en soi ne prend pas énormément de
temps, mais elle s’étend sur plusieurs heures, voire sur plusieurs jours à
cause des temps de rafraîchissement du levain et des levées qui sont
relativement longs. Il faut donc s’y prendre à temps.
Voici un indice pour les temps des levées qui vous permettra de vous
organisez au mieux :
_ 2-8 heures pour rafraîchir son levain.
_ 5-10 minutes pour pétrir la pâte.
_ 6-8 heures à température ambiante ou une nuit au frais pour la première
levée.
_ 10 minutes pour le façonnage.
_ 1-2 heures pour la deuxième levée, dans un endroit chaud (toujours plus
courte que la première levée).
_ 50 minutes pour la cuisson.
La base
Un grand récipient ou un saladier transparent, une grande cuillère en bois,
une spatule rigide, un fouet, une balance électrique, du papier sulfurisé,
une corne ou une raclette à pâtisserie, des moules (à cake) et un bon four
ménager sont une bonne base de départ pour pouvoir boulanger à la
maison.
Un robot pétrisseur
On peut tout faire à la main à condition d’avoir un bon coup de bras pour
pétrir suffisamment la pâte (au risque que le pain ne se développe pas
comme il faut). Mais si vous vous passionnez pour la boulangerie et vous
comptez désormais faire votre propre pain de manière régulière, je vous
conseille d’investir dans un bon robot pétrisseur. Choisissez un robot ayant
un moteur suffisamment puissant qui vous permettra de pétrir de gros
pains avec des farines complètes. Cela vous fera gagner énormément de
temps et surtout de l’énergie. J’utilise un robot de la marque Kenwood
depuis des années, grâce auquel je pétris jusqu’à 800 g de farine + levain,
eau et graines. Le robot KitchenAid est un produit équivalant.
Un banneton
Il s’agit d’un panier en osier recouvert d’un linge (une toile de lin) dans
lequel on fait reposer le pain en attendant de l’enfourner (durant la
deuxième fermentation). On en trouve de différentes formes et de
différentes tailles (rondes, ovales, allongées). Le boulanger retourne
délicatement le pâton qui a bien gonflé sur sa pelle au moment de
l’enfourner. L’avantage de l’osier est de laisser circuler l’air. On peut créer
un banneton fait-maison avec un récipient couvert d’un linge en coton.
LES RECETTES
Fabrication du levain
Jour 1 – mercredi :
Matériel nécessaire :
● Un récipient ou un saladier en verre ou en plastique (pas en acier)
● Une grande cuillère en bois ou une spatule rigide
● Un bocal en verre ou en plastique haut et étroit (pas en acier) pour
conserver le futur levain. Par exemple, un pot de confiture ou de
cornichons.
Ingrédients : (photo 1)
● 100 g de farine de type 1 bio moulue sur pierre ou une farine T65 ou une
farine de seigle
● 60 g d’eau à température ambiante (ni froide, ni chaude). Pas d’eau
minérale, mais une eau de source ou une eau du robinet filtrée et non
chlorée.
Préparation :
Dans un récipient, mélanger rapidement la farine et l’eau à l’aide d’une
cuillère en bois, puis pétrir à la main et faire une petite boule. (2) Entailler
la pâte au couteau ou avec des ciseaux en forme de croix. Placer le petit
pâton dans un récipient en verre ou en plastique étroit et haut que vous
aurez précédemment rincé à l’eau bien chaude. La chaleur va aider le
levain à démarrer. (3) Couvrir avec un linge propre et fermer avec un
élastique ou avec un couvercle non hermétiquement fermé car la pâte doit
pouvoir respirer. Retirer par exemple le joint en caoutchouc des bocaux.
Placer le bocal dans un endroit tiède (température idéale comprise entre 18
et 24 degrés) à l’abri des courants d’air pendant 48 heures (photo 4 :
levain de 24 heures - photo 5 : levain de 48 heures) La cuisine est
généralement l’endroit de la maison le plus adapté. Un placard ou le four
éteint sont des endroits idéaux.
Jour 3 – vendredi :
Même si votre levain semble avoir pris et gonfle vite, comptez au moins
une semaine de rafraîchissements quotidiens avant de pouvoir utiliser
votre levain.
LEVAIN DEBORDANT D'ENERGIE !
Les pains blancs
La recette :
Préparation :
La recette :
● 400 g d’eau
● 600 g de farine de blé dur
● 120 g de levain rafraîchi
● 12 g de sel
La recette :
Si vous n’avez pas de pierre de cuisson, placez votre pain sur une plaque
farinée ou dans une cocotte avec son couvercle. Chauffez la cocotte dans
le four, puis transférez le pâton dans la cocotte tapissée de papier cuisson.
Fermez la cocotte et faites cuire 30 minutes. Ôtez le couvercle et
prolongez la cuisson 10 minutes ou jusqu’ à ce que le pain soit bien doré.
L’introduction de vapeur dans le four est inutile avec une cocotte.
La recette :
La recette :
La farine de lin est issue des graines de lin broyées finement. Elle s’utilise
comme une farine de blé traditionnelle dans de nombreuses recettes :
pâtes à tarte, gâteaux, viennoiseries ou pains. Je l’aime pour son petit
gout de noisette, mais aussi pour ses nombreux bienfaits. Elle est riche en
fibres, en acides gras essentiels (oméga 3) et en protéines végétales. De
plus, c’est une farine exempte de gluten.
Préparation :
La recette :
La recette :
1. Pétrissage : verser le levain et l’eau dans le bol du robot. Diluer
complètement le levain avec l’eau en mélangeant avec un fouet ou une
fourchette. On obtient une préparation blanche liquide et pleine de bulles.
2. Ajouter les farines, les graines et le sel. Commencer à pétrir à vitesse
lente jusqu’à obtention d’une pâte homogène.
3. Pointage : couvrir la pâte et faire reposer de 6 à 8 heures à température
ambiante.
4. Façonnage : transférer la pâte sur un plan de travail, sans dégazer la
pâte. Étirer la pâte en un rectangle. Replier chaque côté vers le milieu ou
les coins au centre de la pâte, retourner le pâton en le faisant rouler sur lui-
même pour lui donner une belle forme.
5. L’apprêt : disposer la pâte, clé au-dessus, dans un banneton fariné.
Couvrir et mettre dans un endroit chaud (25°C) et à l’abri des courants
d’air pendant 2 heures.
6. La cuisson : préchauffer le four à 220° avec la cocotte en fonte. Une fois
bien chaude, retourner délicatement le pain dans la cocotte tapissée de
papier cuisson, de manière à avoir les plis sur le dessous. Grigner et
enfourner le pain pendant 40 minutes. Ôter le couvercle et prolonger la
cuisson 15 minutes environ ou jusqu’à ce qu’une belle croûte dorée se soit
formée.
7. Laisser refroidir le pain sur une grille avant de couper en tranches.
Pain aux fruits secs
La recette :
La recette :
La recette :
Variantes : remplacez les olives par des tomates séchées ou des oignons
grillés.
Pour garnir :
● Huile d’olive extra vierge
● 5-6 tomates juteuses
● 1 oignon
● Romarin (ou thym, basilic, origan)
● Fleur de sel
La recette :
Pour le glaçage :
● 3-4 Sucre en poudre
● 2 c. à c. d’eau
● Cannelle
La recette :
Pour une bonne levée, j’allume le four au minimum pendant 1-2 minutes.
J’éteins le four et j’y place ma brioche pour la deuxième pousse. La
première pousse se fait à température ambiante ou au frais, la deuxième
est plus courte et se fait dans un endroit chaud.
Cinnamon rolls, mais pas que ! Utilisez cette recette pour faire des
brioches tressées, des petits pains briochés au chocolat, etc.
Retrouvez toutes mes astuces pour une bonne brioche dans mon livre
« Mes brioches vegan faites maison »
Beignets farcis
Pour garnir :
● Crème de noisette (environ 1 c. à c. par beignet) ou une confiture au
choix
● Huile
● 60 g de sucre de canne
La recette :