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Victor hugo est un ecrivain , poète ,

dramaturge et chef du file de romantisme ,a


révolutionné le 19 ème siècle siècle par ses
receuils poétiques (Les chatiments ) (Le rayon
et le soleil) . Il était un auteur engagé et
lyrique , il mettait sa plume au service du
peuple en dénonçant les injustices sociales et
a été le premier écrivain a écrire contre la
condamnation à mort .
Dans ce poéme de quatre strophes extrait de
la deuxième partie du receuil des
contemplations (aujourd’hui 1843 à 1856) ,
Victor Hugo se pose des questions existentiels

Comment a travers ce poème Hugo se


pose des questions existentiels ?
Dans le vers 1 l’auteur utilise des question
rhétorique pour interpeler le lecteur en l’incitant
à se poser sur le sens de la vie et le pronom « nous » ne représente pas Victor
Hugo mais plutôt l’humanité .

Dans le vers 2 l’utilisation de métaphore en combinant le vautour à la fatalité ,


il nous dresse en quelque sorte un portrait du destin et que la racine humain
est une proie du destin

Dans le vers 3 L’interjection « oh » et l’utilisation de l’impératif


« parlez »explique la ténacité et l’insistance de ce doute et ici l’auteur attend
une réponse de dieu

Dans le vers 4 , 5 et 6 l’auteur évoque la non existence du divin en mettant en


relation l’infinis de l’espace avec l’infinité de l’âme qu’on peut remarque grâce
au champ lexical de l’astronomie « étoiles » « rayons » « ombre » « soleils » .

En second temps la deuxième strophe débute aussi par un questionnement ou


l’auteur suggère si nos croyances n’ont pas juste été transmises par nos
parents, on comprend que le doute de l’auteur s’accentue

Dans le vers 9 l’auteur accuse le « destin » de lui avoir donné ce sentiment de


doute ,ici le doute est exprimé par une passion tueuse

Dans le vers 10 , 11 et 12 l’auteur introduit un élément religieux en présentant


indirectement l’opposition de dieu et de satin par un parallélisme doublé d’
une antithèse « l’un veut notre gloire , et l’autre notre chute » . Victor Hugo
veut nous faire comprendre que avec le doute fait naître la crainte .

La troisième strophe s’ouvre sur le fait que victor hugo nous dresse un tableau
d’une scène fantasmagorique , mêlant existentialisme au surnaturel . Cette
dernière est présenté à l’image d’une légende ou d’un conte mythologique
comme nous le montre l’emploi du verbe « jadis » .dans le vers 14 il décrit une
sorte de jeu célèste dans lequel regne une ambiance inquiétante comme nous
le montre la rime sombre / ombre aux vers 13 ET 14 et l’adjectif qualificatif
« effrayants
Le vers 15 comme un rappel de crainte préponderante dans la seconde
strophe et au doute en evoquant l’aspect spirituel de cette scène avec « qui
prier »

Dans le vers 16 ,le 15e vers vient renforcer cette peur en décrivant les Manès et
les Zoroastre ,qui sont perspectivement les sages et les âmes des anciens dans
d’anciennes croyances comme les spectateurs de ce jeu

Dans les deux dernieres strophes l’auteur se demande si l’univers entier n’est
qu’un jeux un simple divertissements auquel certains assistent qui est une
veritable remise en questions spirituelles et existentiels que nous présente le
poéte

Enfin la dernière strophe constitue une conclusion dans laquelle l’auteur les
questionnements qu’il a énoncé précédemment dans une ultime question aux
vers 19 et 20 « le bien, le mal, de cette voute ? » après l’exclamation du mal
être « songe horrible ! »

Conclusion :

Il présente donc a ses lecteurs la profondeur de sa réfléxion concernant le sens


e la vie , l’intérêts de la mort , partageant son doute de l’humanité entière a
travers de nombreuses métaphores , interrogations ou encore des
supplications .il transmettra ensuite sa crainte ,avec de diverses réponses telles
que l’astrologie ,le conflit entre dieu et satin et mettra en exergue l

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