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Franck Brillet, Franck Gavoille
Dans Management & Avenir 2016/2 (N° 84), pages 53 à 72
Éditions Management Prospective Editions
ISSN 1768-5958
DOI 10.3917/mav.084.0053
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Résumé
Certaines entreprises font face à de réelles difficultés de recrutement
sur certains métiers, dues en partie à une pénurie de candidats,
notamment en raison de problèmes d’attractivité des métiers. Dans
la mesure où de nombreux travaux en marketing montrent les
implications de l’image dans le comportement des individus, les
incidences de l’image métier sur le comportement à l’égard des
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Abstract
Some companies are facing difficulties for recruiting in some kind
of profession. The reasons are a lack of experience, of graduation
but also a shortage of candidates. At the same time, some researches
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Introduction
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L’image métier : exploration d’une notion au cœur du choix professionnel
L’approche par l’image permet d’une part, d’étudier le comportement des individus
à l’égard des métiers et de comprendre comment s’effectuent leurs choix profession-
nels, du point de vue du choix initial de métier avant expérience professionnelle, mais
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Après avoir présenté dans un premier temps la notion d’image métier à travers le
concept d’image mentale et ses implications théoriques dans les choix professionnels,
nous exposerons les résultats d’une étude exploratoire qualitative menée sur 64 métiers
différents auprès de 81 individus. Cette étude a permis de faire émerger des liens entre
les antécédents, les dimensions et les conséquences de l’image métier. Les contributions
de cette recherche ainsi que ses limites et ses prolongements seront enfin discutés.
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Dans le cadre de cette recherche, nous mobilisons la notion d’image mentale par rapport
au métier. Ainsi, la perception, la représentation du métier que peut avoir l’individu, va
influencer son comportement. À travers la définition préalable des concepts de métier
et d’image, nous tenterons d’apporter une définition à l’image métier et envisagerons
ses possibles conséquences sur les choix professionnels.
Le processus d’imagerie mentale s’initie dès lors que l’individu se trouve exposé à
l’objet de manière directe ou indirecte. L’expérience sensorielle issue de l’objet est
provoquée par des stimuli externes (parole, son, image, odeur, etc.) et internes (pensées,
imagination que suscite l’objet) (Gavard-Perret, Helme-Guizon, 2003). L’information
sensorielle générée par ces stimuli est intégrée par la mémoire de l’individu et génère
une image qui peut être remémorée en l’absence de l’objet d’origine.
L’image est ainsi le produit d’une perception et d’un codage mental de l’information
par l’individu. Elle se forme à partir de stimuli qui ne constituent qu’une part de l’objet
dans la réalité, le reste étant « fantasmé » par l’individu (Mitchell, 1984). Ceci confère
à l’image une part de subjectivité, et ainsi, une variabilité d’un individu à un autre
(Ratier, 2003). L’image formée peut être modifiée par l’exposition à d’autres stimuli
qui poussent l’individu à envisager une nouvelle perception de l’objet. En effet, l’image
est en interaction constante avec d’autres systèmes cognitifs qui lui donne un caractère
évolutif dans le temps (Gavard-Perret, 1987). Néanmoins, ce caractère est limité dans
la mesure où l’individu tend à simplifier l’image en la résumant aux significations qui
paraissent les plus essentielles, et ce en raison d’un seuil limite de gestion des infor-
mations et des images par l’esprit humain (Lindquist, 1974). Cette caractéristique
n’est pas sans rappeler la théorie de la rationalité limitée (Simon, 1957) selon laquelle
l’individu forme son opinion sur un nombre limité d’informations.
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L’image métier : exploration d’une notion au cœur du choix professionnel
L’image étant le produit des stimuli auxquels l’individu est exposé, le type d’image
dépend du type de stimuli à son origine. Il existe deux grands types d’images mentales :
les images mentales de mémoire et les images d’imagination (Piaget, Inhelder, 1966 ;
Denis, 1979). Les images de mémoire proviennent de stimuli externes et internes initiés
par une exposition directe à l’objet. Les images d’imagination se produisent lorsque
l’individu n’a pas été exposé directement à l’objet dont il s’est formé une image. Ces
images anticipées peuvent apparaître lorsque le stimulus perçu est, par exemple, la
parole. L’image se forme alors à partir de l’expérience du langage (De Schoenen, 1975 ;
Denis, 1979). Ainsi, dans le cadre d’un métier, l’observation directe ou l’exercice du
métier donneront une image de mémoire, et l’exposition à de seuls discours sur le
métier (par les médias, les proches, les professionnels, etc.) donnera lieu à des images
d’imagination.
L’image occupe une place importante dans le comportement des individus. Lorsque
l’objet est évoqué, l’image permet d’émettre une opinion à son égard (Leclaire, 1992) et
de diriger le comportement à adopter. L’image produite par la perception et combinée
avec la connaissance et l’information dont l’individu dispose est à l’origine du compor-
tement humain (Boulding, 1956, cité par Lindquist, 1974). Ainsi, le comportement est
fonction de ce que l’individu croit être vrai et non de ce qui est vrai.
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Le concept métier présente trois caractéristiques principales (Sire, 1999 ; Boyer, 2002 ;
Piotet, 2002 ; Osty, 2003 ; Boyer, Scouarnec, 2009) à savoir une identité professionnelle
qu’il confère à celui qui l’exerce, un niveau de qualification certain à acquérir pour
pouvoir l’exercer et, une technique dominante liée à sa finalité. Le métier s’entend
également à différents niveaux et peut être envisagé du point de vue de l’individu (mé-
tier individuel), de l’entreprise (métier d’entreprise) ou du secteur (métier sectoriel).
Ces réflexions soulignent que les « futurs entrants » sur le marché du travail devront
posséder les compétences nécessaires à l’exercice des métiers ayant des besoins de
main-d’œuvre sur le marché de l’emploi à venir. Ainsi, les individus doivent comprendre
les réalités des métiers pour pouvoir mettre en place les actions qui correspondront
aux besoins futurs. Mais envisager cette future adéquation entre besoins et offres
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En rapprochant les concepts d’image et de métier tels que nous les avons exposés
précédemment, nous pouvons proposer la définition suivante :
L’image métier est une représentation globale du métier dans l’esprit des indivi-
dus. Elle correspond à l’ensemble des représentations mentales formées suite à
l’exposition d’un individu à différents stimuli internes et externes.
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L’image métier : exploration d’une notion au cœur du choix professionnel
Le choix de métier est ainsi défini en fonction des confrontations entre les représenta-
tions des filières et des métiers, et des représentations mentales de soi (Huteau, 1992).
L’image de soi « donne à chacun une identité qu’il essaye de faire comprendre et accepter
aux autres » (Lévy-Leboyer, 1993). Elle est le déterminant des comportements sociaux
et de la motivation. C’est à travers la référence à sa propre représentation que l’individu
envisage son environnement et la manière dont il agit par rapport à lui.
Ainsi, à l’instar des travaux de Huteau (1982), par un mécanisme d’appariement entre
l’image mentale qu’il se fait d’un métier (l’image métier) et l’image qu’il se fait de lui-
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même, l’individu trouve une résolution identitaire qui lui permet de construire son iden-
tité de métier (Zarca, 1988 ; Osty, 2003). Dès lors, l’individu trouve dans l’image métier
les éléments en concordance avec son image de soi qui lui permettent sa construction
identitaire pour lui et pour les autres, et ainsi donnent du sens et guident ses actions
à l’égard du métier.
Aborder la question du métier est aujourd’hui au cœur des préoccupations des diffé-
rents acteurs du marché de l’emploi (institutionnels, administrations, organisations
publiques et privées), des salariés et des agents, surtout dans un contexte où, l’emploi
est de plus en plus précaire et que le taux de chômage est élevé. La communauté
scientifique s’intéresse depuis longtemps à cette question du métier et c’est d’ailleurs
principalement en sociologie que l’on identifie de nombreuses recherches en la matière.
Les fondements de cette approche s’articulent autour de trois grands axes : le métier
comme rapport subjectif au travail, le métier comme groupe social d’appartenance, et
le métier comme forme spécifique d’intégration à l’entreprise (Osty, 2008).
En effet, « si l’analyse d’une régulation sociale de métier renvoie à la désignation d’un espace
d’identification spécifique, s’ancrant dans une expérience de travail » (Osty, 2008, p.95),
l’image métier ne fait pas référence et ne repose pas sur une quelconque expérience de
travail. L’identité de métier constitue un mode d’identification par le travail alors que
l’image métier non ; elle ne présuppose pas cette expérience de travail. Cette identité
de métier est une forme de socialisation « où l’expérience de travail occupe une place
prépondérante dans le mode de définition de soi » (Osty, 2008). Or, lorsque nous nous
intéressons à la question de l’image nous sommes dans une situation où les individus
n’ont pas eu cette expérience de travail et aucune expérience collective en lien avec
ce métier qui serait de nature à faire l’objet d’un processus d’identification spécifique.
Certes, cette dimension identité de métier est importante mais elle semble intervenir
après expérience de travail lorsque les individus sont en lien avec sa réalité. On pour-
rait alors considérer que cette voie de l’identité de métier pourrait être de nature,
expérience de travail faite, à réduire la dissonance qui existerait entre image perçue et
réalité du métier. Un renforcement de cette identité de métier pourrait alors modifier
l’image du métier que se font ceux qui pourraient l’exercer ; peut-être pourrait-elle être
considérée comme une variable modératrice dans la construction de l’image métier.
Ceci constitue une voie de recherche stimulante qui nous amènera alors à étudier la
question de la sociologie des professions dans laquelle elle puise ses racines.
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L’image métier : exploration d’une notion au cœur du choix professionnel
Avant de présenter l’étude empirique, nous proposons le tableau suivant qui distingue
et lie entre eux les concepts mobilisés que sont l’image mentale, l’image métier et
l’identité de métier :
Ainsi, dans cette troisième partie, nous présentons les résultats d’une enquête explora-
toire qualitative cherchant à comprendre le phénomène de l’image métier en spécifiant
ces différents éléments.
Q2 – Sachant qu’une image est une représentation globale, quelles sont les différentes
dimensions de l’image métier ?
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Q3 – Sachant que l’image a une influence sur le comportement, quelles sont les consé-
quences de l’image métier sur le comportement des individus à l’égard des métiers ?
La matrice de codification est présentée plus loin avec les résultats. La fiabilité a été
mesurée par le calcul d’un taux de similarité intercodeur de 0,82 ce qui dépasse le seuil
acceptable de 0,8 (Allard-Poesi et al., 2007 ; Drucker-Godard et al., 2007). La validité
de l’étude a été assurée par la recherche de saturation théorique et sémantique, dès
lors que des entretiens supplémentaires n’enrichissaient plus la recherche et que la
variété des répondants était suffisante au regard des métiers occupés par les 81 ré-
pondants (Romelaer, 2005 ; Royer, Zarlowski, 2007). Nous présentons désormais les
résultats de cette analyse.
4 Le guide d’entretien peut être fourni sur demande auprès des auteurs.
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L’image métier : exploration d’une notion au cœur du choix professionnel
L’utilisation de verbatim dans ce développement doit être considérée comme une véri-
table analyse et pas seulement une description de phénomène(s). On en distingue deux
types : les verbatim par contexte et les verbatim selon le contenu. C’est essentiellement
ce deuxième type que nous avons privilégié dans notre analyse. Nous avons donc choisi
de sélectionner les citations en fonction de ce qui a été dit par nos 81 individus. Cette
approche privilégie le contenu qui peut être repéré par le travail d’analyse de contenu
thématique réalisé avec NVivo 8. Ainsi, l’extraction et la présentation des verbatim il-
lustrent et décrivent mais, plus que cela, elles permettent de comprendre et d’analyser
les données collectées lors de nos 81 entretiens.
Les antécédents sont les éléments qui vont permettre à la personne de déterminer
plusieurs dimensions de l’image caractérisant le métier. Ils sont préalables à la
construction de l’image et constituent une somme de stimuli perçus qui nourrissent
les différentes représentations qu’ont les individus. Ces antécédents sont d’origines
multiples :
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à l’égard du métier. L’image influe ainsi sur l’attraction ou non qu’éprouve l’individu
pour un métier avant de l’exercer : « J’ai voulu changer d’orientation et la formation m’a
toujours attiré » (Conseiller en formation).
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L’étude met en évidence un certain nombre de dimensions mais nous pouvons envi-
sager, à l’instar des antécédents, qu’il en existe d’autres. Cette remarque nous pousse
à nous interroger quant à la variabilité des dimensions de l’image d’un métier à un
autre et d’un individu à un autre. Nous pouvons également nous demander si certaines
dimensions prennent une place plus importante que d’autres dans l’image que se fait
un individu par rapport à un autre, et le cas échéant, en fonction de quels critères. En
ce sens, nous remarquons que certaines dimensions relèvent de ce que « coûte » le
métier à l’individu (risques encourus, sacrifices sur la vie personnelle, responsabili-
tés) et ce qu’il lui « rapporte » (accomplissement, rétribution). Ceci suggère une image
métier perçue en fonction d’un rapport entre contribution et rétribution et rappelle la
théorie de la justice perçue (Adams, 1963 ; 1965). Le métier pourrait alors être évalué
par l’individu en fonction de ce rapport ; ce qui constitue une piste de réflexion quant
à l’attractivité ou non de certains métiers.
Les dimensions de l’image étant issues des antécédents, l’image métier dépend des
différentes perceptions de l’individu. Ces perceptions proviennent en partie des dis-
cours issus de la vie sociale de l’individu à travers l’entourage, les enseignants, les
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L’étude met en évidence des antécédents dans la formation de l’image mais l’on peut
se demander quelle est leur influence respective dans ce processus de formation et si
l’étude a bien identifié tous les antécédents possibles. On peut également se demander
s’il existe une hiérarchisation de ces antécédents chez les individus en fonction du degré
d’attention qu’il leur accorde et de leur importance dans la création des dimensions
de l’image.
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L’image métier : exploration d’une notion au cœur du choix professionnel
doit paradoxalement s’effectuer sans l’avoir exercé, les images métier d’anticipation
constituent probablement l’essentiel des images impliquées dans le choix professionnel.
L’image métier a pour conséquence l’attractivité vers certains métiers, à travers son
implication dans le choix professionnel (Guichard, Huteau, 2006). On peut ainsi s’in-
terroger sur l’image des métiers faisant face à des difficultés de recrutement pour
envisager des solutions à ces problématiques. D’autant que, si l’image est au centre
du choix professionnel, elle ne s’applique probablement pas uniquement lors du choix
initial. L’image peut donc constituer une voie de recherche intéressante dans les be-
soins en mobilité vers certains métiers. En nous référant aux travaux sur l’identité de
métier (Zarca, 1988 ; Dubar, Tripier, 1998 ; Osty, 2003), nos résultats suggèrent que
la quête d’identité à travers un métier et l’appariement avec l’image de soi se fait au
travers des dimensions que nous avons exposées précédemment. Dès lors, les métiers
qui peinent à attirer des individus et à susciter des vocations nécessiteraient de s’as-
surer que ces éléments identitaires sont communiqués auprès des différents publics
et auprès de différentes cibles, afin de permettre la résonnance avec l’image de soi.
Dans la mesure où l’image métier semble se construire majoritairement par anticipa-
tion à partir de l’expérience du langage, la manière dont sont présentés les métiers et
la communication qui en est faite constituent une piste à explorer pour répondre aux
problématiques relatives aux choix professionnels. Ceci suggère d’élargir le champ du
marketing RH (Panczuk, Point, 2008), jusqu’ici essentiellement centré sur la marque
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Conclusion
Comprendre l’image métier dans sa construction mais également dans son influence
sur le comportement présente des enjeux théoriques et managériaux intéressants pour
envisager des solutions à des problèmes d’attractivité et de fidélisation des individus.
Par son implication dans le choix professionnel, l’image métier peut constituer un le-
vier puissant pour favoriser l’orientation vers des filières de métier faisant face à des
difficultés de recrutement, voire anticiper l’orientation des individus vers ces métiers
pour éviter un écart futur entre besoins et ressources en main-d’œuvre qualifiée et
disponible. S’intéresser à l’image métier offre la perspective de susciter des vocations
vers des métiers émergents, ou de les maintenir vers des métiers existants en s’assu-
rant de l’évolution de l’image en fonction de la réalité de l’évolution du métier. L’image
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