Gestion Des Connaissances Version 3

GESTION DES
CONNAISSANCES
1
INTRODUCTION
2
Introduction C’est quoi la gestion des connaissances?
La gestion des connaissances est de nature multidisciplinaire, c’est pour cela qu’on trouve différentes
définitions dans la littérature.
• Du point de vue de l’entreprise:
- La gestion des connaissances est une approche collaborative et intégrée de la création, la capture,
l'organisation, l'accès et l'utilisation du capital intellectuel d'une entreprise. (Gray, 1996)
- La gestion des connaissances est une activité commerciale avec deux aspects principaux:
- Traiter la composante connaissance des activités commerciales comme préoccupation explicite des
entreprises qui reflète dans la stratégie, la politique et la pratique à tous les niveaux de l’organisation; -
Etablir un lien direct entre le capital intellectuel d'une organisation et les résultats commerciaux positifs.
(Barclay et Murray, 1997)
3
Introduction C’est quoi la gestion des connaissances?
C’est une discipline scientifique ayant pour objet
la description, l'explication, et la simulation des
mécanismes de la pensée humaine, animale ou
artificielle,
• Du point de vue de la science cognitive ou de la science de la connaissance:

- la gestion du savoir est la discipline qui permet aux organisations de bâtir, de
réactualiser et d’appliquer un corpus de connaissances dans le but de maximiser leur
efficience, leur compétitivité et leur capacité d’innovation. (Wiig, 1993)
• Du point de vue processus/technologie:
- La gestion des connaissances est le concept où les informations sont transformées en
connaissances concrètes et mises à la disposition dans une forme utilisable aux personnes
qui peuvent l'appliquer. (Information Week, 2003)
4
Introduction Historique
• Selon les chercheurs, la période [1950-1970] est la phase de prise de conscience et d’amorçage de la notion de
la gestion des C’est
connaissances. Cette
un système période de
organisé est manière
marquée par la parution de nombreux ouvrages, qui abordaient
la notion (des travailleurs
à répondredes connaissances,
aux exigences de la survie
connaissance implicite, management de l’innovation) .
dans
• En 1969, Drucker unleenvironnement
a été premier a avancé en évolution
l’idée de la société de connaissance et l’économie de savoir [the age
of discontinuity 1969].
• En 1970, N. Henry a utilisé le concept de « management of Knowledge », dans ses travaux de recherche sur le
VSM (Viable System Model), ensuite en 1974, N.Henry a utilisé pour la première fois le concept de la gestion
des connaissances.
• Barton-Leonard (1995) a documenté le cas de Chapparal Steel qui a mis en place une stratégie de gestion de
connaissance au milieu des années 1970.
• Nonaka et Takeuchi (1995) ont étudié comment la connaissance est produite, utilisée et diffusée au sein des
entreprises japonaises et comment elle a contribué à la diffusion de l'innovation. 5
Introduction Motivation
• Perte d’un capital immatériel

- Les employés rejoignent et quittent les équipes.
- Les employés partagent les connaissances.
- Un membre d’équipe perdu est une connaissance perdu
• Encourager Les experts à développer une culture du partage qui facilite la capacité d’innovation au sein de l'organisation.
• Créer une cohésion, une solidarité et une confiance au niveau des apprentissages dans tout l’établissement.
• Le développement de l’organisation dépend de la transmission du savoir et des connaissances interne.
• Accélérer la capacité d’apprentissage des nouveaux arrivants.
• La valorisation de la connaissance individuelle au niveau organisationnel nécessite une gestion qui assure la promotion du
partage des connaissances, la création de connaissances nouvelles et l’apprentissage intra organisationnel (A. Gupta et al.,
2000 ; I. Nonaka et al., 1995).(La gestion de cette ressource est appelée gestion des connaissances.) 6
Introduction Motivation de l’entreprise
Les raisons qui motivent les entreprises à vouloir gérer leurs connaissances et sont regroupées en quatre grandes
familles:
• Le devoir de conserver les connaissances pour éviter l’apparition de nouveaux dysfonctionnements (que l’on n’a
pas expérimentés dans le passé), ou pour améliorer les perspectives d’avenir.
• Pertes de connaissances: le patrimoine de connaissance de l’entreprise est vital car une perte brutale ou une
déperdition de connaissances sont susceptibles de paralyser l’entreprise [Loubet, 1992].
• Besoin de plus de connaissance: Pour être capable de fabriquer des produits toujours plus diversifiés, l’entreprise
doit acquérir les nouvelles connaissances lui permettant de maîtriser cette diversité accrue (loi de Ashby : le besoin
de connaissances croit avec l’augmentation de la variété [Ashby, 1956]).
• Besoin de perdre des connaissances: la perte de connaissances est une nécessité bénéfique dans certaines situations.
Il faut éliminer des connaissances, afin de permettre l’innovation [Hedberg, 1981]. C’est le cas lors d’un
changement radical de technologie.
7
Introduction Les Disciplines de la gestion des connaissances
Gestion de document et de l’information
Science cognitive Science organisationnelle

Disciplines de
Intelligence artificielle la gestion des Technologies collaboratives
connaissances
Systèmes d’aide à la décision
Technologies web
Technologies des bases de données
8
Introduction Pour qui ?
• La gestion des connaissances est importante pour toutes les organisations.

• Les preneurs de décisions sont pressé à prendre de meilleures décisions et plus
rapidement dans un environnement caractérisé par une forte complexité du domaine et
une volatilité du marché même avec:
- Le manque d’expérience des preneurs des décisions.
- L'issue de ces décisions pourrait avoir un impact considérable sur l'organisation
9
Les Bénéficiaires de la gestion des
Introduction
connaissances
Individu Groupe Organisation
10
Introduction Individu
• Aide les individu à faire leur travail et à gagner du temps grâce à une meilleure prise de
décision et à la résolution de problèmes
• Construit un liens communautaires au sein de l'organisation
• Aide l’individu à rester à jour
• Transférer les connaissances existantes
11
Introduction Groupe
• Développe des compétences professionnelles

• Favorise le mentorat entre pairs
- Les collègues peuvent apprendre les uns des autres de manière plus efficace
- Le « Matériel pédagogique » est réutilisable
• Facilite une collaboration plus efficaces
• DéveloppeIndividu
un code d'éthique professionnel que les membres peuvent
Groupe suivre
Organisation
• Développer un vocabulaire commun
12
Introduction Organisation
• Résolution plus rapide des problèmes

- Les solutions peuvent être sauvegardées et réutilisées
- Chaque membre de l'organisation peut être un solveur potentiel
l’ensemble des connaissances, du
• Partage les meilleures pratiques
savoir-faire au sein d’une
• Croiser les idées et accroître les organisation.
opportunités d'innovation
• Améliore les connaissances intégrées
- Dans les produits et services
- Propriétés spéciales ou motifs de conception
• Construit une mémoire organisationnelle
- La connaissance est conservée dans le temps 13
Introduction Organisation
Les connaissances organisationnelles ne sont pas destinées à remplacer les connaissances

individuelles mais à les compléter en les rendant plus fortes, plus cohérentes et plus
largement applicatives
14
Introduction Les Problèmes
La plus grande différence entre les systèmes de gestion d’information traditionnelles et les
systèmes de gestion des connaissances est l’implication des utilisateurs dans la création du
contenu de ce dernier.
15
Introduction Les défis
• Expliquer ce qu'est la gestion des connaissances et comment une organisation peut bénéficier.
• Évaluer les connaissances de base de l'entreprise, par employé, par département et par division.
• Apprendre comment capturer et traiter la connaissance.
• Adresser la zone de collaboration encore négligée
• Continuer à rechercher la gestion des connaissances pour améliorer et élargir ses capacités
actuelles.
• Comment faire face aux connaissances tacites.
16
Introduction Une gestion de connaissances efficace
• 80% Culture organisationnelle et facteurs humains.
• 20% Technologie.
17
DÉFINITIONS
18
Définition Buts de cette partie
• Comprendre la différence entre les données, l'information, la connaissance et la

sagesse.
• Comprendre les différents types de connaissances.
19
Définition Valeurs du savoir
20
Définition Valeurs du savoir Donnée
• Représente des faits non organisés et non analysé par exemple des numéros.
Exemple: Il pleut.
21
Définition Valeurs du savoir Information
• Contenu qui représente des données analysés.

Exemple: La température a chuté quand il s’est mit à pleuvoir.
22
Définition Valeurs du savoir Connaissance
• L’information prenant un sens spécifique dans un contexte spécifique.

• Ce sont des informations importante validées et organisées dans un modèle.
Exemple: Si l'humidité est très importante et si la température chute sensiblement,
l'atmosphère ne peut plus retenir les gouttelettes et il pleut.
23
Définition Valeurs du savoir Sagesse
• Savoir utiliser ses connaissances pour atteindre un objectif souhaité.

• Capacité de prendre des décisions
• Donner une signification
Exemple: Si l'humidité est très importante et si la température chute sensiblement,
l'atmosphère ne peut plus retenir les gouttelettes et il pleut. alors je dois prendre mon
parapluie
24
Définition Les types de la connaissance
Il existe deux types majeures des connaissances:

• Connaissance tacite
• Connaissance explicite
25
Définition Les types de la connaissance Connaissance tacite
• Tout ce qui n’est pas formalisé.

• Se trouve dans le cerveau humain à travers l’expérience.
• Elle comprend les idées et les intuitions.
• Difficile à articuler.
• Difficile à communiquer et à partager.
Exemple: Gérer un projet complexe, composer une œuvre musicale.
26
Définition Les types de la connaissance Connaissance explicite
• L’information est clairement affichée, exprimée et expliquée.

• Transmissible au moyen d’un langage formel
Exemple: Le code de la route, modèle pour fabriquer un produit, procédure.
27
Définition Les types de la connaissance Caractéristiques des connaissances tacites et explicites
Connaissances tacites Connaissances explicites

• Inexpressive sous une • Codifiable
forme codifiable • Objective
• Impersonnel
• Subjective • Contexte indépendant
• Personnel • Facile à partager
• Spécifique au contexte
• Difficile à partager
28
Définition Les types de la connaissance Relation entre les connaissances tacites et explicites
• Selon Nonaka et Takeuchi, les connaissances sont une interaction entre connaissance
tacite et explicite. Ils désignent ce phénomène la spirale des connaissances.
• Nonaka et Takeuchi considèrent que la conversion de connaissances constitue le
«moteur» de la création de connaissance.
• Ils distinguent quatre modes de conversion qui sont des mécanismes à travers
lesquelles la connaissance individuelle est articulé et développée à l’organisation.
29
Définition Les types de la connaissance La spirale des connaissance
30
Les types de la
Définition La spirale des connaissance Socialisation
connaissance
• La socialisation (tacite à tacite) consiste à partager la connaissance de façon naturelle et à

travers l’interaction sociale.
• Elle est effectuée de manière informelle.
• Rarement noté ou documenté, elle reste tacite.
• Un processus effectif pour créer et partager la connaissance.
• Le partage des connaissances est fait à partir de l’observation, l’imitation et la pratique.
Exemple: Honda organise des réunions de remue-méninges (Brainstorming) pour discuter comment
résoudre les problèmes difficiles dans le développement des projets.
31
Les types de la
Définition La spirale des connaissance Externalisation
connaissance
• L’externalisation (tacite à explicite) est substantiel dans la création de connaissance.

• Permet l’articulation de la connaissance et les savoir-faire.
• Les connaissances tacites sont formalisées sous forme de concepts, d’écrits,
enregistrements...
• Besoin d’un intermédiaire (expert) qui peut interpréter, extraire et synthétiser les idées d’une
manière concrète.
Exemple: Prise de notes dans une réunion : on transforme un contenu tacite en un contenu
explicite, journaliste.
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Les types de la
Définition La spirale des connaissance Combinaison
connaissance
• La combinaison (explicite à explicite) est le processus de combinaison des éléments

distincts de la connaissance explicite dans une nouvelle forme (rapport, résumé exécutive,
nouvelle base de données pour organiser le contenu).
• Les concepts sont stockés et systématisés dans une base de connaissance.
Exemple: préparation d’un cours.
33
Les types de la
Définition La spirale des connaissance Internalisation
connaissance
• L’internalisation (explicite à tacite) est l’appropriation des informations par l’individu.

• Converti et intègre les connaissances partagées en des modèles mentaux individuelles.
• La nouvelle connaissance internalisée est utilisée par l’employé qui la développe et la
réorganise au sa propre base de connaissances tacite.
• Lorsque la connaissance est internalisée, elle devient un capital de valeur pour l’individu,
sa communauté de pratique et l’organisation.
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Définition Les types de la connaissance dans l’intelligence artificille
• Connaissance procédurale: Elle représente comment un problème est résolu. Elle

indique comment réaliser une tâche
• Connaissance déclarative: Elle décrit ce qui est connu du problème (des énoncés
décrivant les objets, les concepts, etc.) , c’est une connaissance peu profonde et qui peu
être rapidement rappelée car elle consiste d’informations simples. Ce type de
connaissance réside souvent dans la mémoire à court terme.
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Définition Les types de la connaissance dans l’intelligence artificille
• Méta Connaissance: Elle décrit la connaissance sur la connaissance. Par exemple, quelle
connaissance est adaptée à un moment donné pour résoudre une tâche donnée
• Connaissance heuristique: Appelée aussi connaissance de surface. C’est une
connaissance empirique acquise par un expert au fil de ses expérience passée, elle sert à
guider le raisonnement. Cette connaissance est difficile à extraire et à capturer.
• Connaissance structurée: Elle est très organisée, elle décrit un modèle mental de
l’expert sous forme de structure (concepts, sous-concepts, objets, vocabulaire, faits,
relations etc.)
36
CYCLE DE LA GESTION DES
CONNAISSANCES
37
Les principales
Cycle de la gestion des connaissances
approches
• L’approche de Wiig (1993)

• L’approche de Meyer et Zack (1996)
• L’approche de Bukowitz et Williams (2000)
• L’approche de McElroy (2003)
• L’approche Dieng (2005)
• L’approche de Grundstein (2009)
38
Les principales
Cycle de la gestion des connaissances
approches
Wiig (1993) Meyer et Zack Bukowitz et McElroy (2003) Dieng (2005) Grundstein
(1996) Williams (2000) (2009)
Construire Acquisition Obtenir Apprentissage individuel et en Détection des Repérer les

Tenir Raffinement Utiliser groupe besoins connaissances
Mettre en Stockage Apprendre cruciales
commun récupération Contribuer Validation de la réclamation de Construction
Appliquer Diffusion Évaluer connaissances Diffusion Préserver des
Présentation Construire Evaluation connaissances
maintenir L'acquisition d'information Maintenance
Dépouiller Valoriser des
Validation des connaissances connaissances
Intégration des connaissances Actualiser les

connaissances
39
Cycle de la gestion des connaissances Cycle de la gestion des connaissances
Evaluer
Capture et Partage et
création des diffusion des
connaissances connaissances
Mettre à jour Acquisition et Contextualiser

application des
connaissances
40
Cycle de la gestion des connaissances Cycle de la gestion des connaissances Capture
• Dans cette phase, on distingue entre l’identification ou la capture des connaissances et savoir-faire
internes existants au sein de l’organisation et la création de nouvelles connaissances. Dans une
organisation, il est nécessaire de capturer les deux types de connaissances, tacites et explicites,
• La capture de la connaissance est une tâche difficile, plus particulièrement dans le cas de la
connaissance tacite.
41
Parsaye (1988) a décrit trois approches majeures pour la capture des connaissances :
• Entretien des experts : La technique la plus utilisée pour convertir la connaissance tactile d'un individu
dans des formes plus explicites. Dans de nombreuses organisations, les entretiens structurés sont
effectués lorsqu’un employé compétent est proche de l'âge de la retraite.
• Apprendre en étant dit : La personne interrogé exprime et raffine sa connaissance, en même temps, le
gestionnaire du savoir clarifie et valide ces connaissances qui les rendent sous une forme explicite.
Cette forme d’acquisition de connaissances implique généralement une analyse de domaine et de
tâches, le suivi des processus et l'analyse de protocoles. L'analyse des tâches est une approche qui
observe chaque tâche clé qu'un expert effectue et caractérise les tâches en termes de connaissances
préalables / compétences requises, criticité, conséquences d'erreur, de fréquence, de difficulté et
d'interrelations avec d'autres tâches et individus, ainsi que la façon dont la tâche est perçue par la
personne. 42
• Apprentissage par observation : Il existe au moins deux types d’expertises : compétences (Par
exemple, faire fonctionner une machine) et une expertise cognitive (Par exemple, faire un
diagnostic médical). L'expertise est une démonstration de l'application de la connaissance.
L'approche d'apprentissage par observation implique la présentation d’un exemple de problème,
de scénario ou d'étude de cas que l'expert va résoudre. Bien que nous ne puissions pas observer
la connaissance de quelqu'un, nous pouvons observer et identifier l'expertise. La clé est d'utiliser
l'audio ou la vidéo pour enregistrer ce que expert sait.
43
Cycle de la gestion des connaissances Cycle de la gestion des connaissances Codification
• La conversion d’une connaissance de valeur de la forme tacite à la forme explicite s'appelle

codification des connaissances. Tout ce qui permet aux connaissances de l'organisation
d'être communiqué indépendamment de son propriétaire relève du processus de codage, par
exemple, un document, un enregistrement sonore ou vidéo, une image, un film, etc. La
connaissance doit être codifiée pour être compris, maintenu et amélioré dans le cadre de la
mémoire de l’entreprise.
• La codification des connaissances explicites peut être réalisée grâce à une variété de
techniques telles que la cartographie cognitive, les arbres de décision, les taxonomies du
savoir.
44
• Cartes cognitives : une carte de connaissance ou une carte cognitive est une
représentation du modèle mental de la connaissance d’un individu, et cela fournit une
bonne manière pour codifier la connaissance. Un modèle mental n'est qu'une
représentation symbolique de certaines connaissances dans le monde réel. La carte
cognitive est un moyen très utile de codifier les connaissances capturée parce qu'elle
capture les relations complexes
45
46
• Arbre de décision : C'est une autre méthode pour codifier les connaissances explicites.
Elle est sous la forme d'un organigramme. Elle a d'autres parties alternatives qui indiquent
l'impact des différentes décisions. Température <37,5 °
oui non
Gorge irrité malade
oui non
malade Bien portant

47
• Taxonomies du savoir : C'est un processus par lequel la connaissance est partitionnée et

une relation est définie entre la connaissance partitionnée. Après cela, une classification
est faite.
48
Evaluatio
Cycle de la gestion des connaissances Cycle de la gestion des connaissances
n
• Durant la transition de la capture / création de connaissances au partage/diffusion des

connaissances, le contenu de la connaissance est évalué. L’évaluation est effectuée pour
valider les connaissances capturées.
49
Cycle de la gestion des connaissances Cycle de la gestion des connaissances Partage
• Une fois que les connaissances sont capturées et codifiées dans une organisation, il faut les
partager. Les individus doivent être informé que le fait de partager leur connaissance
n'impactera jamais leur position, mais cela va leur gagner beaucoup de respect de leurs pairs.
• Le coût de ne pas trouver l'information est extrêmement élevé pour les individus et
l'organisation dans son ensemble.
• Le partage des connaissances se produit de manière efficace dans les communautés de
pratique où les membres partagent un intérêt et un but professionnel.
• Le partage peut être effectué en utilisant les email, les groupeware ou wikis.
50
Cycle de la gestion des connaissances Cycle de la gestion des connaissances Diffusion
• La connaissance n'est utile que si elle est livrée à la bonne personne, au bon moment, au
bon endroit. La diffusion de connaissances est définie comme le processus qui permet
d'obtenir des connaissances aux personnes présentées sous une forme qu’elles peuvent
être utilisés.
• La diffusion peut être réalisée grâce aux technologies réseaux (intranets, extranet,
serveurs web ou navigateurs).
51
Cycle de la gestion des connaissances Cycle de la gestion des connaissances Contextualisation
• La connaissance est contextualisée pour être compris ("acquisition") et utilisé

("application"). La contextualisation est le processus dans lequel les attributs clés du
contenu sont identifiés pour correspondre aux besoins des utilisateurs cibles. Par
exemple, créer un court résumé pour l'utilisateur afin qu'il puisse rapidement passer par le
document est une contextualisation.
52
Cycle de la gestion des connaissances Cycle de la gestion des connaissances Acquisition
• Une fois que les sources de connaissances sont identifiées, elles sont ensuite rassemblées
dans un référentiel afin de faciliter l'accès et la récupération pour toutes les personnes de
l'organisation
53
Cycle de la gestion des connaissances Cycle de la gestion des connaissances Application
• L'application de connaissances fait référence à l'utilisation réelle des connaissances créées

et capturées.
• L'un des moyens par lesquels l'application des connaissances se fait au niveau individuel
est l'analyse des tâches et la modélisation. L'analyse des tâches consiste à décrire une
tâche en la divisant en des composants principaux.
54
Cycle de la gestion des connaissances Cycle de la gestion des connaissances Mise à jour
Cette phase consiste à vérifier si les connaissances sont pertinentes, précises et encore
utiles. Sinon, il faut les mettre à jour.
55
MÉTHODOLOGIE
56
Méthodologie Types de Méthodologies
• Méthodes de modélisation
• La modélisation des connaissances revient à construire un modèle abstrait du système pour réduire la complexité des éléments qui le composent et rendre
compte des relations entre eux pour permettre une utilisation plus facile des éléments de connaissances ainsi construits et leur partage entre tous dans un
même formalisme.
• Méthodes rédactionnelles
• Dans cette approche, la mémoire documentaire reste un bon système de structuration des connaissances descriptives. Elle est la moins coûteuse afin de
capitaliser des connaissances.
• Le retour d’expérience permet de faire des économies d’échelle à partir des solutions éprouvées afin d’investir dans les solutions innovantes.
• Méthodes cartographiques
• La cartographie des connaissances est l’ensemble des techniques et outils utilisés pour analyser et visualiser des domaines de connaissances, les relations
entre ces domaines dans le cadre de certaines spécificités des métiers.
• Dans ce cadre, les cartes de connaissances sont conçues en transmettant certains attributs de la connaissance tacite ou explicite sous une forme graphique
plus compréhensibles par les experts. 57
Méthodologie Types de Méthodologies Méthode de modélisation
• La modélisation des connaissances revient à construire un modèle abstrait du système

pour réduire la complexité des éléments qui le composent et rendre compte des relations
entre eux pour permettre une utilisation plus facile des éléments de connaissances ainsi
construits et leur partage entre tous dans un même formalisme.
• Plusieurs méthodes et techniques sont utilisées pour la modélisation des connaissances.
Ces méthodes peuvent être regroupées en trois types d’approches : approches
descendantes, approches ascendantes et approches mixtes.
58
Méthodologie Types de Méthodologies Méthode de modélisation Approches descendantes
• Les méthodes descendantes sont dirigée par les modèles. L’élaboration de modèles de
connaissances dans cette approche consiste à trouver des modèles génériques préexistants
(dans des bibliothèques, par exemple) et les adapter au domaine et à l’application
concernée.
• Parmi les approches descendantes, il y a la méthode CommonKADS [Schreiber et al.,
1994a; Schreiber et al., 1994b] et la méthode MKSM [Ermineet al., 1996].
59
Types de Méthode de Approches
Méthodologie CommonKADS
Méthodologies modélisation descendantes
• La méthode CommonKADS est la méthodes de référence en ingénierie de connaissance

pour la modélisation et le développement de systèmes à base de connaissances (SBC).
Elle a été développée dans le contexte du Programme Européen ESPRIT.
60
Contexte Modèle
Modèle de
de Modèle
Modèle de
de Modèle
Modèle
Pourquoi? l’organisation
l’organisation tâches
tâches d’agents
d’agents
Concept Modèle
Modèle de
de Modèle
Modèle de
de
Quoi? connaissances
connaissances communication
communication
Artefact Modèle
Modèle de
de
Comment? conception
conception
61
Types de Méthode de Approches Modélisation
Méthodologies modélisation descendantes du contexte
• Etude de la portée et la faisabilité

 Modèle de l’organisation (OM)
 Description et analyse de l'environnement organisationnel général
• Etude des impacts et des améliorations

 Modèle des tâches (TM) and modèle d’agents (AM)
 Plus ciblée et détaillée
 Zoom sur la partie pertinente de l'organisation
 TM: tâches et connaissances liées au problème
 AM: agents impliqués dans les tâches TM
62
Types de Méthode de Approches Modélisation Modèle de
Méthodologies modélisation descendantes du contexte l’organisation
• Décrire les aspects organisationnels:

 Opportunités/problèmes
 Contexte, buts, stratégie
 Organisation:
• structure
• processus
• personnel
• ressources (connaissance, équipements,…)
• Analyser la faisabilité:
 Du point de vue des affaires en fonction des coûts et bénéfices anticipés
 Du point de vue technique en fonction de la complexité des tâches et de la disponibilité des outils techniques
 Du point de vue de l’organisation en fonction des ressources et des compétences disponibles, ainsi que de
l’engagement des décideurs et gestionnaires
63
64
Formulation du
produit
Fabrication Propriétés du produit commercialisation
Processus de
production
Boucle d'apprentissage des réactions Préférences du

consommateur
Figure1: vision pour la gestion des connaissances des crèmes glacés, vue comme boucle d’apprentissage des réactions
65
MODÈLE DE L’ORGANISATION OM1- CONTEXTE, PROBLÈMES ET SOLUTION
Identifier les parties

Entretiens avec les parties Développer une approche
prenantes et les sponsors
prenantes d’évaluation de l’usine
du projet
Résultat de l’étude de
Évaluer les usines
faisabilité
Figure2: Approche de PARIS dirigée par les parties prenantes
66
MODÈLE DE L’ORGANISATION OM2: STRUCTURE D’UNE USINE DE CRÈME GLACÉE
Directeur
général
Directeur
Directeur Directeur
Directeur des ventes
du de finance
technique et du
personnel
marketing
Gestion du
Gestion Gestion de Gestion de Gestion des Gestion
département
logistique développement fabrication entrepôts d’information
technique
Conception Assurance Développement 67

d’emballage de qualité des glaces
Figure3: Structure d’une usine de crème glacée

Types de Méthode de Approches Modélisation Modèle des
Méthodologies modélisation descendantes du contexte tâches
• Permet d’étudier les sous-processus d’affaires

• Analyse l’organisation globale:
 des tâches
 les entrées et les sorties
 les pré-conditions
 Les critères de performance
 les ressources et compétences nécessaires
68
Types de Méthode de Approches Modélisation Modèle des
Méthodologies modélisation descendantes du contexte tâches
Résumé Développer le Description Produire les

de marketing concept du du produit prototypes
produit du produit
Prototypes
des produits
Réviser
Spécification (itérativement) les Discuter les
résultats avec le Tester les
du produit final descriptions du
marketing prototypes
produit et/ou les
prototypes
Figure4: Diagramme des sous-tâches de la tâche de phase de faisabilité dans le développement de produits de
glaces
69
Types de Méthode de Approches Modélisation Modèle
Méthodologies modélisation descendantes du contexte d’agents
• Après la construction du modèle de tâches, le modèle d’agents décrit les caractéristiques

des agents qui peuvent être soit des humains, soit des systèmes d’information, soit
d’autres entités capables d’effectuer une tâche.
• Les agents sont les exécuteurs des tâches. Le modèle décrit leurs compétences, leur
autorité et leurs contraintes ainsi que les liens de communication
70
Types de Méthode de Approches Modélisation Document de
Méthodologies modélisation descendantes du contexte décision
• Contient les résultats de la modélisation du contexte

• Destiné aux décideurs
• Contient les actions proposées en vue d’améliorer le fonctionnement de l’organisation par
une solution de connaissances.
• Contient une évaluation de la faisabilité de cette solution de connaissances.
• Sa rédaction est guidée par le tableau Organisation-Tâches-Agent (OTA-1).
71
Types de Méthode de Approches Modélisation Document de
Méthodologies modélisation descendantes du contexte décision
la modélisation du contexte 72
Méthodologies modélisation descendantes du contexte connaissances
• Un modèle de connaissances comprend trois catégories de connaissances:

 Connaissance du domaine
 Connaissance d’inférence
 Connaissance de la tâche
• Un modèle de connaissances contient les éléments suivants:

 Un diagramme du schéma de domaine complet
 Un diagramme de structure d’inférence
 Une liste des rôles de connaissance
 Spécification textuelle et graphique des tâches et des méthodes de tâche
73
Méthodologies modélisation descendantes du contexte connaissance
Les catégories de connaissance dans un modèle de connaissances

74
INFÉRENCE ET RÔLE DE CONNAISSANCE
• Rôle de connaissance: décrit le rôle fonctionnel des données sur lesquelles l'inférence
fonctionne et décrit
 Rôle dynamique: les objets de données instanciés au moment de l'exécution , ils sont l'entrée et
la sortie d'une inférence
 Rôle statique: objets de données stables au fil du temps
• Les E / S d'inférence sont décrites en termes de rôles fonctionnels - noms abstraits

d'objets de données qui indiquent leur rôle dans le processus de raisonnement
75
EXEMPLE DE RÔLES DE CONNAISSANCE
Plainte hypothèse
vérifier
Modèle causal
Règles de
dépendances d’état
76
CONSTRUCTION DU MODÈLE DES CONNAISSANCES
77
Modèle de Construction
Méthodologie CommonKADS connaissanc de modèle de
e connaissance
ÉTAPE I: IDENTIFICATION DE LA CONNAISSANCE
• Sélectionner une tâche de connaissance et les éléments de connaissance principale liés à

cette tache
• Examiner les éléments de connaissance et les préparer pour la spécification du modèle de
connaissance de la deuxième étape
• Deux aspects de tâches:
 Aspects liés aux données: Explorer et structurer les sources d'information pour la tâche
(familiarisation au domaine)
 Aspects liés à la tâche: étudier, vérifier et réviser les tâches dans plus de détails. La liste des
composants réutilisables potentiels du modèle de connaissance
78
Modèle de Construction
Méthodologie CommonKADS connaissanc de modèle de
e connaissance
ÉTAPE II: SPÉCIFICATION DE LA CONNAISSANCE
• Trois activités principales:

 Choisir un modèle de tâche
 Construire un schéma de domaine initial
 Spécifier les trois catégories de connaissances dans ce domaine d’application
79
Modèle de Construction Étape II:
Méthode
Types de
de Approches Modélisation
Méthodologie CommonKADS connaissanc de modèle de Spécification de
Méthodologies
modélisation descendantes du contexte
e connaissance la connaissance
CHOISIR UN MODÈLE DE TÂCHE
• Choisir un modèle de tâche qui a été déjà utilisé:

 Un modèle de tâche est un modèle de connaissance partiellement générique où l'inférence et la
connaissance des tâches sont spécifiées
 CommonKADS fournit un catalogue de ces modèles de tâches: tâches analytiques
(classification, diagnostic, évaluation, suivi, prédiction) et tâches synthétiques (conception,
configuration de conception, affectation et correspondance, planification, modélisation)
• Lorsqu’une correspondance entre une application et une tâche générique est trouvée,
annoter les liens entre elles
80
Méthode
Types de
Méthodologies
CONSTRUIRE UN SCHÉMA DE DOMAINE INITIAL
• Deux types de connaissances sur le domaine inclus:

 Concepts de spécification de domaine: types de données
 Concepts spécifiques à la méthode: Axiomes / règles
81
Méthode
Types de
Méthodologies
SPÉCIFICATION COMPLÈTE DU MODÈLE DE CONNAISSANCE
• Étant donné un modèle de tâche et un schéma de domaine initial

• Approches de mapping:
 Middle-out: travail à partir de connaissances d'inférence vers l'extérieur pour compléter et
correspondre à la connaissance de domaine et de tâche (modèle). Cette approche est
préférable, mais elle nécessite le modèle de tâche choisi de fournir une décomposition des
tâches qui est suffisamment détaillé pour agir comme une bonne approximation de la structure
d'inférence.
 Middle-in: travail à partir de la connaissance de la tâche et du domaine vers l'intérieur en
décomposant les tâches à travers des applications consécutives de méthodes ainsi que pour
affiner les connaissances du domaine de sorte que les deux extrémités rencontrent l'adéquation
avec les composants dans la structure d'inférence.
82
Méthode
Types de
Méthodologies
APPROCHES DE MAPPING MIDDLE-OUT AND MIDDLE-IN
Tâche et méthode de tâche
Tâche et contrôle d'exécution
Middle-in Structure d’inférence Middle-out
Mapping des rôles de connaissance
Schéma de domaine
Base de connaissance
83
Méthode
Types de
Méthodologies
TÂCHES DANS COMMONKADS
• Deux tâches principale: tâche et méthode de tâche

• Les tâches peuvent être décomposé en sous fonctions: une autre tâche, inférence ou
fonction de transfert
• Tâche primitive ou composée:
84
Méthode
Types de
Méthodologies
EXEMPLE DE DIAGNOSTIC DE PANNE DE VOITURE: TÂCHE ET MÉTHODE DE TÂCHE
Diagnostic
Diagnostic à partir de
générer-et-tester
Inférence
vérifier prévoir comparer obtenir

Méthode de tâche
Tâche
85
Méthode
Types de
Méthodologies
EXEMPLE DE DIAGNOSTIC DE PANNE DE VOITURE: DIAGRAMME D’ACTIVITÉ UML
Plaintes Résultat=n’est pas égal

vérifier
Observations
Aucune solution trouvée

Aucune nouvelle solution
(hypothèse) trouvée
Nouvelle solution
(hypothèse)
Résultat=égal
prévoir Solution trouvée
Résultats attendu basé

sur les expériences
Comparaison des résultats

obtenir comparer prévus et réels
Résultats réelles
86
Méthode
Types de
Méthodologies
EXEMPLE DE DIAGNOSTIC DE PANNE DE VOITURE: MAPPING INFÉRENCE-DOMAINE
Plainte vérifier hypothèse
Modèle
Mapping inférence-domaine Mapping inférence-domaine
causal
Mapping inférence-domaine
Règles de
État de voiture visible dépendances État de voiture invisible
d’état
Comportement du
moteur
fusible batterie 87
Modèle de Construction Étape III:
Méthode
Types de
Méthodologie CommonKADS connaissanc de modèle de Raffinement de
Méthodologies
Deux activités principales:

• Validation et vérification:
 Vérifier la consistance, complétude/couverture du domaine d’application
 Vérification synthétique et sémantique
 Validation par scénarios: basée sur papier ou prototype
• Population du modèle de connaissance:

 Les instances de connaissances dérivés de fiches d'entretiens, des protocoles, etc., sont inclus ,
ils sont appelés types de connaissances.
88
Modèle de
Méthodologie CommonKADS communicatio
n
• Détaille les interactions entre l'agent humain et le logiciel, et les facteurs humains
nécessaires au développement de ces interfaces utilisateur.
• Il est décomposé en trois couches:
 La première a pour but de spécifier le plan de communication global
 La seconde couche concerne la description de chaque transaction individuelle
 la troisième couche porte sur les spécifications de l'échange d'informations pour chacune des
transactions identifiées
89
Méthodologies modélisation descendantes du contexte conception
• Le modèle de conception permet la spécification technique du système basé sur les cinq
autres modèles en matière d’architecture, de plate-forme d’implantation, de modules
logiciels, de modes de représentations et de mécanismes de calculs nécessaires pour
mettre en application les fonctions spécifiées dans le modèle de connaissances et de
communications.
90
• Entrée:
 Modèle de connaissance: exigences de résolutions de problèmes
 Modèle de communication: exigences d’interactions
 Autres modèles: exigences “non fonctionnel”
• Sortie:
 Spécification de l’architecture du système
 Conception de l’application dans cette architecture
91
• Quatre étapes sont nécessaires pour mener à bien le processus de conception:

 la conception de l'architecture du système: consiste à décomposer le système global selon la
métaphore du Modèle-Vue-Contrôleur (MVC) en spécifiant le mode de représentation des
connaissances, la disponibilité de librairies d'interfaces usager ("Vue") et le support des
librairies CommonKADS.
 l'identification de la plateforme cible
 la spécification des composantes du système
 la spécification de l’application avec l'architecture
92
Méthode
Types de
de Approches Modélisation Modèle de Étape 1: Architecture
Méthodologies
modélisation descendantes du contexte conception globale du système
Contrôleur Vues Interface utilisateur

Entrée utilisateur
Contrôleur/vue Fournit la sortie au
Gère les entrées des agents externes
agents externes et (interface utilisateur,
des fonctions requête de base de
Base de données
internes données Interface système externe
Invocation des Accès à

Rapport Mise à jour
fonctions l’information
résultat
Modèle d’application
Fonction de raisonnement
(tâche, inférence)
Schéma de domaine
Base de données/connaissances
93
Méthode
Types de
Méthodologies
SOUS SYSTÈME: MODÈLE DE L’APPLICATION
• Contient les données et les fonctions de l’application: objets du modèle des

connaissances.
• Données:
 Base de connaissances
 Données dynamiques manipulés durant le raisonnement (rôle dynamique)
• Fonctions:
 Tâches, inférences et fonction de transfert
94
Méthode
Types de
Méthodologies
SOUS SYSTÈME: VUE
• Visualisation des données et des fonctions de l'application

• Possibilité de visualisations multiples
95
Méthode
Types de
Méthodologies
SOUS SYSTÈME: CONTRÔLEUR
• Centrale "unité de commande et de contrôle"

• Fournit des gestionnaires pour des événements externes et internes
• Permet l'activation des fonctions d'application
96
Étape I1: Identifier
Méthode
Types de
de Approches Modélisation Modèle de
Méthodologie CommonKADS une plateforme
Méthodologies
modélisation descendantes du contexte conception
d’implémentation
Exemple d’environnements:
• Prolog: représentation déclarative des connaissance, langage faible, pas de protocoles
standard de gestion des événements
• Java: bibliothèque de vues, aucune représentation déclarative de connaissances, interfaces
DB, actuellement, aucun support de CommonKADS
• Aion8: bibliothèque de vue d’objets, représentation semi-déclarative de la connaissance,
interfaces ODBC / CORBA, prise en charge de CommonKADS
97
Étape III: spécifier
Méthode
Types de
de Approches Modélisation Modèle de
Méthodologie CommonKADS les composants
Méthodologies
modélisation descendantes du contexte conception
architecturaux
• Spécifiez les interfaces des composants

• Concevoir les installations architecturales générales :afficher le mécanisme de mise à jour
98
Étape 1V:
Méthode
Types de
de Approches Modélisation Modèle de spécification de
Méthodologies
modélisation descendantes du contexte conception l’application avec
l'architecture
• Mapping des informations d'analyse sur l'architecture :assure une approche qui conserve
la structure
• Ajouter des détails de conception: Liste des détails de conception qui doivent être ajoutés
pour l'opérationnalisation complète d'un modèle d'analyse
99
Types de Méthode de Approches MKS
Méthodologie
Méthodologies modélisation descendantes M
LA MÉTHODE MKSM (METHODOLOGY FOR KNOWLEDGE SYSTEMMANAGEMENT)
• Appelée également MASK (Method for Analysing and Structuring Knowledge), est une
méthode de gestion des connaissances qui a été élaborée au sein du CEA (Commissariat à
l'Énergie Atomique) [Ermine et al., 1996].
• D’après son auteur J-L. Ermine, MKSM « se présente comme une méthode d'analyse des
systèmes de connaissances, et a pour but de rendre ces systèmes intelligibles à ceux qui en
sont les acteurs, afin qu'ils puissent mettre eux-mêmes en place leur propre système de
connaissances». Elle n’aboutit donc pas forcément à la conception d’un système
informatique. Mais, elle offre, comme dans le cas de CommonKADS, tout un cadre général
de modélisation du patrimoine de connaissances dans une entreprise.
100
Méthodologie
• La méthode MKSM se base sur un modèle général de la connaissance au sens de la

systémique. Ce modèle général se base dans un premier niveau sur le triangle sémiotique
dont les trois axes correspondent aux trois points de vue suivants [Ermine et al., 1996]:
101
Méthodologie
102
Méthodologie
• Points de vue syntaxique de la connaissance: il concerne l'information. Cette dernière

représente la partie visible de la connaissance : la forme sous laquelle se traduit la
connaissance, le code qu'elle utilise pour prendre forme, etc. ;
• Point de vue sémantique de la connaissance : il concerne la signification de l'information. C'est
ce point de vue qui s'occupe du fond par rapport à la forme de la connaissance, de la structure
qu'elle utilise pour prendre sens ;
• Point de vue pragmatique : il concerne le contexte dans lequel le sens de l’information se met
en place. C'est donc ce point de vue qui s'occupe du système, de l'environnement que la
connaissance utilise pour se mettre en contexte.
103
Méthodologie
En se basant sur ce modèle général, Ermine propose un « cycle de modélisation » à cinq phases :
• Phase 1: définir et délimiter le système sur lequel on désire travailler. Cela fournit une
première cartographie des connaissances. Une représentation du système selon le triptyque
système opérant/système d’information/système de décision avec les flux cognitifs peut être
utilisé.
• Phase 2 : élaborer le modèle du domaine qui décrit sous forme de processus les phénomènes
fondamentaux qui doivent être maîtrisés dans le cadre de l’activité des experts.
104
Méthodologie
• Phase 3 : élaborer le modèle d’activité. Il s’agit d’une analyse de l'activité du système qui produit
ou utilise les connaissances, et cherche à replacer les connaissances du domaine dans le cadre d'une
utilisation opérationnelle.
• Phase 4 : élaborer le modèle des concepts qui représente l'aspect « statique » de la connaissance.
Un modèle des concepts dans MKSM est très proche du schéma du domaine dans CommonKADS.
• Phase 5 : élaborer le modèle des tâches qui décrit la connaissance dynamique. La connaissance
dynamique est vue sous deux angles. Le premier est celui de la résolution de problèmes, il
correspond au modèle de la connaissance de la tâche dans CommonKADS. Le deuxième aspect de
la connaissance dynamique est celui de la manipulation de la connaissance statique et il correspond
au modèle de la connaissance des inférences dans CommonKADS.
105
Méthodologie
• Les phases 2 et 3 permettent de décrire les connaissances selon le point de vue du contexte à
travers la construction des modèles du domaine et d’activité.
• Les phases 4 et 5 permettent de modéliser les connaissances de point de vue sémantique.
• L’avantage de MKSM par rapport à CommonKADS est le fait qu’elle met plus le point sur les
processus.
106
Avantages et limites
Méthodologie des approches
descendantes
Avantages Inconvénients
• offrent un support pour • Il est nécessaire de
disposer d’une large
guider l’acquisition des
bibliothèque de
connaissances. modèles/composants
• La réutilisabilité des génériques.
modèles • L’adaptation d’un
modèle existant à une
application spécifique est
une tâche difficile.
107
Méthodologie
Méthodologies modélisation ascendantes
• L’approche ascendante est dirigée par les données, elle se base sur une étape d’élicitation
des connaissances des experts (entretiens, analyse de documents, analyse des tâches, etc.)
suivie d’une étape de conceptualisation.
• La méthode KOD (Knowledge Oriented Design) [Vogel, 1989] et la méthode MIKE
(Model-based and Incremental Knowledge Engineering) [Angele et al., 1996] sont des
exemples typiques de cette famille.
108
La méthode KOD
Méthodologie (Knowledge
Oriented Design)
C’est une méthode d’aide à l’extraction et à la modélisation des connaissances consiste à

élaborer trois modèles:
• Le modèle pratique.
• Le modèle cognitif.
• Le modèle informatique.
109
Types de Méthode de Approches Le modèle
Méthodologie KOD
Méthodologies modélisation ascendantes pratique
• Consiste à élaborer un modèle à partir d’un corpus M.P., pour extraire les termes et les
relations qui les lient au moyen d’une analyse de façon à constituer un langage
terminologique. Les termes du langage sont classés en <taxèmes, actèmes, inférences>
110
Méthodologie KOD
• Les taxèmes permettent de représenter les objets et les concepts considérés par les experts
du domaine au moyen de prédicats binaires de type < Objet, Attribut, Valeur > Exemple:
< Population, EST COMPOSÉ DE, Habitants >
< Habitants permanents, SORTE DE, Habitant >
< Habitants permanents, QUANTITÉ, Nombre_Entier >
< Habitants isolés, SORTE DE, Habitants permanents >
< Habitants isolés, NOM, Nom_personne >
111
Méthodologie KOD
• Les actèmes décrivent les activités pouvant être effectuées par les experts et provoquant des
changements d’états au niveau des objets et des concepts. La modélisation sous forme d’actèmes
consiste alors à organiser les termes au sein d’une structure de type 7-uplet modélisant les activités ainsi
: < Destinateur, Action, Destinataire, Propriétés, Etat1_Dest, Etat2_Dest, Instruments >. Exemple:
CONTACTER
Éléments Valeurs
Destinateur Le responsable de la cellule logistique
Destinataire Les entreprises
Etat 1 (Destinataire) 1. (Non, Oui)
1. Contacte
Etat 2 (Destinataire) 1. (Oui, Non)
1. Contacte
112
Instruments (Annuaire, Téléphone)
Méthodologie KOD
• Les inférences sont les éléments grâce auxquels les experts construisent leurs
raisonnements pour interpréter une situation et projeter leur intention d’action. Exemple:
Un exemple d’inférence de type reconstruction (extrait d’un entretien) est le suivant :
« Le camion s’est levé tout doucement du milieu. »
« La voiture qui le suivait a marqué le stop et démarré derrière le camion. »
« La route était assez large pour que la voiture double le camion. »
« La voiture, elle a dû dépasser le camion. »
113
Méthodologie KOD
Méthodologies modélisation ascendantes cognitif
• Effectuée à partir du modèle pratique, au moyen d’un langage conceptuel basé sur la
terminologie du domaine. Le processus consiste à :
- Analyser les termes synonymes et homonymes.
- Transformer les termes résultants en concepts et les relations lexicales en relations
sémantiques.
En accord avec les trois paradigmes de la méthode, le modèle cognitif est organisé en
<taxinomies, actinomies, schémas de raisonnement>
114
Méthodologie KOD
• Les taxinomies sont le résultat de la classification des taxèmes. Elles se présentent sous
forme d’une structure arborescente hiérarchique de type « sorte-de » ou « est-un » liant
les concepts et les objets du domaine. Exemple de taxinomie du concept « population »
115
Méthodologie KOD
• Les actinomies sont le résultat d’une organisation ordonnée des actèmes définissant un
plan d’action..
116
Méthodologie KOD
• Les schémas de raisonnement définissent une structure d’inférence modélisant le

raisonnement de l’expert lorsqu’il planifie ses actions.
117
Méthodologie KOD
Méthodologies modélisation ascendantes Informatique
• Cette étape nécessite d’exprimer au préalable le modèle conceptuel au moyen d’un

langage formel. Le choix de ce langage dépend des propriétés du modèle conceptuel.
L’opération de formalisation consiste à intégrer les éléments du modèle conceptuel dans
la définition de classes et d’objets qui vont être utilisés pour le développement du
logiciel.
118
La méthode MIKE (Model-
Méthodologie based and Incremental
Knowledge Engineering)
Cette méthode a été développée par [Angele et al., 1996]. Elle recouvre toutes les étapes de
construction d’un SBC que nous présentons ci-dessous et qui sont effectuées dans un
processus en spirale :
• Elicitation : c’est la première étape de MIKE et elle consiste à faire des interviews avec
les experts pour recueillir des connaissances sur le domaine et la tâche de résolutions du
problème. Ces connaissances sont stockées dans des protocoles de connaissances.
• Interprétation: elle consiste à structurer les connaissances recueillies dans l’étape
précédente selon le modèle expert de CommonKADS (domaine, tâche et inférences) dans
un langage semi-formel. Cette étape aboutit à la construction du modèle structurel.
119
Méthodologie MIKE
• Formalisation/opérationnalisation: le modèle structurel est représenté dans le langage

formel KARL ce qui donne le modèle KARL ;
• Conception : le modèle KARL, issu des étapes d’acquisition ci-dessus, représente tous les
besoins fonctionnels du SBC. L’étape de conception permet de considérer les besoins non
fonctionnels du SBC tels que l’efficacité, la maintenabilité, etc. Cette étape donne le
modèle de conception;
• Implémentation: il s’agit d’implémenter le modèle de conception dans un environnement
logiciel.
120
Types de Méthode de Approches Avantages et limites des
Méthodologie
Méthodologies modélisation ascendantes approches ascendantes
Avantages Inconvénients
• Laisse la liberté aux • Coût élevé en terme de
temps et d’expertise lors
experts d’exprimer leurs
des processus
perceptions ainsi que d’élicitation et de
leurs tâches sans les validation.
contraindre. • Conflits entre les experts
sur le plan opérationnel
• Les modèles élaborés et le plan conceptuel.
correspondent aux points • Difficilement
de vue existants. réutilisable. 121
Méthodologie
Méthodologies modélisation mixte
• Des approches mixtes ont été proposées dans [Duribreux-Cocquebert et al, 2000] et
[Aussenac-Gilles et al., 1992] pour bénéficier des avantages des différentes approches
précédentes.
• Il s’agit de construire des modèles de connaissances en combinant des étapes issues des
deux approches précédentes.
122
Méthodologie
Méthodologies modélisation mixte
I. La première étape ascendante, il s’agit de recueillir des connaissances sur le domaine

et la tâche de résolution de problème à partir des données sans qu’aucun modèle ne
soit à priori choisi.
II. La deuxième étape est descendante et elle consiste à choisir, en tenant compte des
connaissances préalablement recueillies, un schéma du modèle conceptuel (MC).
III. La troisième étape consiste à instancier le schéma par les données collectées pour
construire le MC.
IV. La dernière étape consiste en l’opérationnalisation du MC (i.e. le rendre exécutable)
en construisant le modèle opérationnel [Aussenac-Gilles et al., 1992].
123
Types de Méthode de Approches Projet
Méthodologie
Méthodologies modélisation mixte ACACIA
• Parmi les exemples d’application de l’approche mixte, il existe une étude menée dans le
projet ACACIA (Acquisition des Connaissances pour l'Assistance à la Conception par
Interaction entre Agents).
• ACACIA est un projet pluridisciplinaire au sein de l’INRIA qui vise à développer des
aides méthodologiques et logicielles pour l'acquisition, la modélisation et la capitalisation
des connaissances pour la construction, la gestion et la diffusion de mémoire d'entreprise.
124
Méthodologie
Huit ingénieurs de connaissances et sept experts en accidentologie ont participé à cette étude qui a consisté en
quatre étapes principales [Dieng et al., 1996] :
1) Elicitation des connaissances. Le protocole utilisé a consisté en une collection des documents à l’INRETS
(rapport, article, notes, etc.), des entretiens non directifs avec chacun des experts pour décrire son travail (ses
tâches, ses activités, etc.), résolution individuelle de l’analyse d’un cas d’accident et une résolution collective
de l’analyse d’un cas d’accident.
2) Analyse des connaissances élicitées et élaboration de modèles de connaissances: un modèle par expert, un
modèle par type d’expert et des modèles théoriques. Certains modèles portent sur le processus cognitif des
experts lors de la résolution de la tâche d’analyse d’accidents. D’autres, sont propres à l’accident et utilisé par
les experts pour l’analyse de l’accident. Pour les modèles relatifs à la tâche d’analyse de l’accident, des
modèles génériques de diagnostic, de planification, de conception, etc ont été sélectionnés et adaptés de la
bibliothèque de CommonKADS [Breuker et al., 1994].
125
Méthodologie
3) Validation des modèles de connaissances obtenus. Deux types de validation ont été
conduits. La première validation des modèles a été effectuée entre les ingénieurs de
connaissances. La deuxième a été effectuée avec les accidentologistes : les modèles ont
été présentés et expliqués aux accidentologistes qui ont donné leur avis. Leurs
remarques ont été ensuite intégrées pour améliorer les modèles.
4) Construction d’une mémoire d’entreprise. L’ensemble des modèles obtenus ainsi que
les liens entre ces différents modèles forment une mémoire d’entreprise.
126
Types de Méthode
Méthodologie
Méthodologies rédactionnelles
• Dans cette approche, la mémoire documentaire reste un bon système de structuration des
connaissances descriptives. Elle est la moins coûteuse afin de capitaliser des
connaissances.
• Le retour d’expérience permet de faire des économies d’échelle à partir des solutions
éprouvées afin d’investir dans les solutions innovantes.
• Parmi les exemples de ces méthodes, les méthodes REX (retour d’expérience) et MEREX
(mise en règle de l’expérience).
127
Types de Méthode La méthode REX
Méthodologie
Méthodologies rédactionnelles (retour d’expérience)
• La méthode Rex [Malvache et Prieur, 93] est une méthodologie conçue initialement pour
sauvegarder les connaissances et expertises acquises au cours de l’étude des Réacteurs à
Neutrons Rapides (RNR) comme Super Phénix au sein du Commissariat à l’Energie
Atomique (CEA). Elle a été ensuite utilisée dans d’autres domaines tels que la
conception de générateurs électriques et l’aéronautique.
128
Types de Méthode
Méthodologie REX
• Cette méthode est basée sur le principe de recueil direct des éléments de connaissances ou
d’expérience qui seront stockés dans une mémoire d’expérience avant leur réutilisation.
• Ces éléments sont transcrits sous forme de fiches « d’expérience », qui sont construites à
partir d’entretiens auprès d’experts métiers et de documents techniques. Ces fiches
récapitulent la définition de la situation du problème et l’intervention de l’expert (avis,
hypothèses, commentaires, recommandations, solution, références).
129
Types de Méthode
Méthodologie REX
Son application se fonde sur trois axes :

1. L’analyse des besoins et l’identification des sources de connaissances de l’organisation :
Durant cette étape, il faut identifier les spécialistes et les experts des domaines d’activités, et
concevoir les éléments de connaissances qui sont susceptibles d’être produits.
2. La construction d’éléments de connaissance documentaire (ECD), relatifs à une activité : A
l’issue des interviews, de l’analyse de documents et de l’interrogation des bases de données
existantes. Chaque élément de connaissance est composé par les éléments suivants : un entête
(un titre, le nom des experts), une description ou corps, une liste de référence.
3. L’exploitation du système de gestion des connaissances mis en place : la méthodologie.
130
Types de Méthode
Méthodologie REX
• REX propose un outil informatique permettant à la fois de mémoriser et d’accéder aux

éléments d’expériences. L’interface permet la consultation de la mémoire d’expérience
constituée, au moyen des requêtes en langage naturel.
131
Types de Méthode
Méthodologie REX
132
Élément de connaissance du système de gestion des connaissances Rex du CEA
Types de Méthode La méthode MEREX (Mise
Méthodologie
Méthodologies rédactionnelles En Retour de l’Expérience)
• La méthode de Mise En Règle de l'Expérience (MEREX), est une méthode de

capitalisation de l'expérience mise au point par Corbel J-C en 1995, à la suite d'un projet
avec l'Aérospatiale. Suite à sa constatation des erreurs récurrentes pendant les phases de
conception, Renault a décidé de mettre au point un système de capitalisation de
l'expérience pour l'amélioration des processus de l'ingénierie des véhicules .
• La méthode MEREX repose sur l’utilisation des fiches qui mettent en valeur les règles de
conception et les solutions des problèmes, et des check-lists qui font la synthèse du
contenu des fiches.
133
Types de Méthode MERE
Méthodologie
Méthodologies rédactionnelles X
• Les fiches obtenus des méthodes REX et MEREX sont complémentaires. La première
décrit les dysfonctionnements et les problèmes et la deuxième propose des solutions
validées.
134
Types de Méthode
Méthodologie
Méthodologies Cartographique
• La cartographie des connaissances est l’ensemble des techniques et outils utilisés pour
analyser et visualiser des domaines de connaissances, les relations entre ces domaines
dans le cadre de certaines spécificités des métiers.
• Dans ce cadre, les cartes de connaissances sont conçues en transmettant certains attributs
de la connaissance tacite ou explicite sous une forme graphique plus compréhensibles par
les experts.
• Plusieurs méthodes et techniques sont utilisées pour la modélisation des connaissances.
Ces méthodes peuvent être regroupées en deux types d’approches : approches processus,
approches domaine.
135
Types de Méthode Approche
Méthodologie
Méthodologies Cartographique processus
• Ce sont les démarches de cartographie qui s’appuient sur une modélisation, description et
analyse des processus métiers de l’entreprise pour déterminer les connaissances dites
«critiques ».
• Parmi les approches processus, il y a la méthode GAMETH [Grundstein et al, 2009a, b]
et la méthode Tseng et Huang [Tseng & Huang 2005].
136
GAMETH (Global
Méthodologie Analysis
METHodology)
• La méthode GAMETH conduit essentiellement à clarifier les besoins en connaissances, à

identifier, localiser, caractériser, estimer la valeur de ces connaissances, et à définir et
justifier les actions de capitalisation sur les connaissances à développer (Dieng et al,
2005)
• Cette démarche se base sur une analyse des processus et une modélisation des processus
de l’entreprise en trois étapes
137
GAMETH (Global
METHodology)
• Cadrage et identification des processus sensible : Elle inclut la spécification du contexte

du projet, du domaine avec ses limites d’intervention et détermine le processus à
analyser,
• Repérage des connaissances potentiellement cruciales : il s’agit de distinguer les
problèmes qui fragilisent les activités qui peuvent mettre en danger les processus
sensibles. La modélisation de ces derniers, tout en évaluant les risques déclenchés par ces
processus et en déterminant leurs activités critiques, est un moyen pour repérer les
connaissances potentiellement cruciales.
138
GAMETH (Global
METHodology)
• Identifier les axes d’une initiative de gestion des connaissances : A ce stade les connaissances
cruciales sont définies, localisées et caractérisées. Pour cela, nous cherchons à répondre à la question
suivante :Qui utilise quelles connaissances dans quelle phase du cycle du processus sensible ?
• la caractérisation de la connaissance peut être basée sur des critères de qualification des
connaissances suggérées par l’approche systématique de Le Moigne (Le Moigne, 1984). En effet,
(Saad et al, 2003) ont proposé trois familles de critères qui peuvent guider cette qualification :
- Critères liés à la nature de la connaissance: permettant d’évaluer sa vulnérabilité ; - - -
Critères liés au cycle de vie de la gestion de la connaissance permettant d’étudier la durée de vie
de son utilisation,
- Critères liés au rôle de la connaissance permettant de calculer de degré de sa contribution aux
objectifs de l’entreprise. 139
Types de Méthode Approche La méthode de
Méthodologie
Méthodologies Cartographique processus Tseng et Huang
• C’est une démarche pour identifier les connaissances nécessaires pour résoudre les
problèmes portant sur un objectif donné, et qui devraient être capitalisées dans une
entreprise.
• Elle est basée sur une analyse quantitative de l’information recueillie en interviewant des
experts (managers, techniciens, etc.). Pour cette dernière, différentes techniques
d’acquisition sont utilisées (DELPHI (Linstone, 1975), The Nominal Group Technique «
NGT » (Delbecq et al, 1975), etc.) pour recueillir et classer les besoins en matière de
connaissances pour la résolution de problèmes.
• L’appproche propose une procédure algorithmique à partir des données recueillies afin de
déterminer quatre ensembles qui caractérisent l’importance de la connaissance 140
Types de Méthode Approche La méthode de
Méthodologie
Méthodologies Cartographique processus Tseng et Huang
• Les connaissances vitales : ce type de connaissances est considéré par les auteurs comme
très important et elles devront être repérés. Elles doivent être répertoriées et situées dans
leur contexte.
• Les connaissances devant être acquises rapidement : ce type de connaissances est
considéré par les auteurs comme important car il permet de résoudre facilement certains
types de problèmes fréquents.
• Les connaissances dites saisonnières : ce type de connaissances n’est pas utile lors de la
résolution de la plupart des problèmes.
• Les connaissances insignifiantes : ce type de connaissances n’est pas collecté et aucune
action n’est recommandée, sauf en cas de besoin particulier.» 141
Méthodologie
Méthodologies Cartographique domaine
• Dans ces démarches, on cherche à effectuer une analyse « montante » en partant d’une
masse d’informations afin de réorganiser celle-ci dans une logique autre que
fonctionnelle, en regroupant des activités en domaines de connaissances. Ce sont des
démarches peu naturelles en soi nécessitant une grande capacité d’abstraction.
• Parmi les approches processus, il y a la méthode MASK II ou bien M3C » [Tounkara et
al, 2005] et la méthode d’Arbres de connaissances [Authier et Levy, 1992],
142
Méthodologie MASK II
• inspirée des travaux du Club de Gestion des Connaissances (CGC)4. Selon (Ermine et al,
2006), cette méthode a pour objectif de représenter de façon hiérarchique les différents
domaines de connaissances d’une organisation.
• La mise en œuvre de la méthode MASK II nécessite de suivre plusieurs étapes de façon
chronologique:
143
• L’identification des connaissances de l’organisation : cette identification est réalisée à

partir des différents documents émis par l’entreprise (statuts, organigramme, descriptions
des stratégies, études, publication de résultats etc.) ;
• La construction d’une première version de cartographie : Cette première version est
conçue en suivant un processus itératif : appropriation du problème, co-construction de la
représentation et validation.
• Entretiens individuels et collectifs d’experts : Ces entretiens ont pour objet de discuter,
modifier ou valider la première version de la cartographie.
144
• Élaboration de critères de classification de domaines de connaissance : Cette étape permet

de classer chaque domaine de connaissance de la carte réalisée précédemment en fonction
de son caractère plus ou moins critique pour l’entreprise.
• Réalisation de la carte de connaissance : La version finale de la cartographie se fait après
échantillonnage, collection et buts (scoring) des données. De manière similaire, la
construction d’une cartographie et la réalisation d’une analyse de criticité des
connaissances (sous forme de savoir-faire) métiers, d’après (Aubertin, 2006 et 2007),
nécessite la mise en place d’un processus méthodique.
145
Types de Méthode Approche Arbre de
Méthodologie
Méthodologies Cartographique domaine connaissances
• En 1992, Pierre Lévy et Michel Authier ont proposé une solution de repérage des savoirs
et savoir-faire que Authier a ensuite implémenté grâce à un logiciel nommé GINGO.
• Les arbres de connaissances consistent à fournir une représentation cartographique des
connaissances considérées comme éléments d’un «capital humain » d’une organisation.
La réalisation de ces arbres doit guider et soutenir la transmission des connaissances au
sein d’une communauté donnée.
• Graphiquement, ils apparaissent comme des schémas composés de briques représentant
une compétence identifiée. Ils peuvent être réalisés à un niveau individuel, collectif ou
organisationnel.
146
Méthodologie
• En 1992, Pierre Lévy et Michel Authier ont proposé une solution de repérage des savoirs
et savoir-faire que Authier a ensuite implémenté grâce à un logiciel nommé GINGO.
• Les arbres de connaissances consistent à fournir une représentation cartographique des
connaissances considérées comme éléments d’un «capital humain » d’une organisation.
La réalisation de ces arbres doit guider et soutenir la transmission des connaissances au
sein d’une communauté donnée.
• Graphiquement, ils apparaissent comme des schémas composés de briques représentant
une compétence identifiée. Ils peuvent être réalisés à un niveau individuel, collectif ou
organisationnel.
147
Méthodologie
Les grandes étapes de construction d'un arbre :

• Dépôts des brevets : Chaque membre du groupe peut déposer un brevet, c'est-à-dire
décrire une compétence qu'il maîtrise et proposer des modalités (exercices et critères de
réussite) permettant à d'autres de l'acquérir.
• Acquisition des brevets pour enrichir son blason : Les épreuves menant à l'obtention de
brevets peuvent être passées par tout individu du groupe, à tout moment. Dans cette quête
de connaissance, l'apprenant peut obtenir de l'aide de la part d'un titulaire de brevet sur la
même compétence. Chacun peut devenir ainsi, à un instant donné, le maître de ses pairs.
On le comprend, le "tuteur" est alors tout autant un apprenant que le "tutoré".
148
Méthodologie
• Constitution d'un arbre des connaissances du groupe : Il est possible de matérialiser le

capital de connaissances du groupe par un arbre sur lequel les feuilles représentent les
brevets des membres du groupe (une feuille par brevet avec notation au dos des
titulaires). Chaque membre créant ou passant avec succès un brevet contribue à faire
pousser l'arbre.
149
EVALUATION DES
CONNAISSANCES
150
Evaluation des
connaissances
• La problématique d’évaluation des modèles de connaissance en IC est rendu à notre

connaissance, très rarement étudiée dans la littérature. Ceci est peut être dû à la
complexité de la tâche d’évaluation en général qui est accentuée par la complexité de
l’objet à évaluer, L’un des rares travaux d’évaluation des connaissances en ingénierie de
connaissances est celui de [Wielingaet al., 1994] où cinq critères ont été définis :
151
Evaluation des
Critères de Wielingaet
connaissances
• La complétude Il s’agit de vérifier si tous les éléments de la connaissance ont été

recueillis et formalisés : les concepts, les relations entre les concepts, les tâches, les
inférences, les rôles de connaissances, etc.
• L’exactitude Il s’agit de vérifier si les différents modèles de CommonKADS ainsi que les
composantes de ces modèles sont interprétées correctement. En ce qui concerne les
inférences, par exemple, il s’agit de vérifier si les définitions des inférences
correspondent à celles existantes dans la bibliothèque des inférences. Vérifier si les
entrées et les sorties de chacune des inférences sont correctes, etc. En ce qui concerne les
concepts, il s’agit de vérifier si les relations hiérarchiques entre les concepts sont
correctes.
152
Evaluation des
Critères de Wielingaet
connaissances
• Non-contradiction Des contradictions peuvent apparaître au niveau de l’ordre des tâches,

des entrées/sorties au niveau des inférences et des relations hiérarchiques entre les
concepts. Il s’agit donc de détecter et de résoudre ces contradictions.
• Non-ambiguïté Il faut éviter les ambiguïtés dans les noms des concepts, tâches et
inférences. Deux éléments différents doivent avoir des noms différents.
• Cohérence D’autres aspects de la cohérence, comme ceux relatif à la terminologie,
doivent être définis et vérifiés.
153
OUTILS DE LA GESTION DES
CONNAISSANCES
154
Outils de gestion des
connaissances
Capture et création des Partage et diffusion des Acquisition et application

connaissances connaissances des connaissances
Création de contenu Technologies de communication et Technologies de

• Outils de création de collaboration l’intelligence artificielle
• Templates • Email • Systèmes experts
• Annotations • Groupware • Systèmes de
• Data mining •Wikis recommandation
• Blogs • Analyse de texte
• EPSS, DSS
Technologies réseaux
Gestion de contenu • Intranets Technologies e-learning
• Classification • Extranets • CBT, WBT
• Archivage • Serveurs web, navigateurs
• Référentiel de connaissances
155
Outils de gestion des Outils de capture et création
Création du contenu
connaissances des connaissances
• Les outils de création sont les plus couramment utilisés, ils contiennent les outils
générales (par exemple, traitement de texte) et les outils plus spécialisés (par exemple,
logiciel de conception de page Web).
• Annotations : Les technologies d'annotations permettent de joindre des commentaires
courts à des sections spécifiques d'un document texte, souvent par de différents auteurs.
Cela permet de créer et de conserver un "commentaire courant". Les annotations peuvent
être publiques (visibles pour tous ceux qui ont accès au document) ou privés (visibles
uniquement pour l'auteur).
156
Création du contenu
• Exploitation de données : Le processus d'exploration de données extrait automatiquement

des informations prédictives à partir de grandes bases de données en se basant sur l'analyse
statistique. L'exploration de données détecte des modèles cachés et des relations subtiles
entre les données et infère des règles qui permettent de prédire les résultats futurs.
• Blogs : Un blog est un terme qui désigne un journal Web. Un journal Web est une forme de
contenu populaire et assez personnelle sur Internet. Les blogs sont devenus beaucoup plus
fréquents, comme les entreprises, les politiciens, les décideurs politiques, et même les
bibliothèques et associations de bibliothèques ont commencé à bloguer comme un moyen de
communiquer avec leurs clients et électeurs.
157
Gestion de contenu
• La classification automatique (ou semi-automatique) d'information utilise des logiciels

tels que des analyseurs de langage naturels, des résumés de texte et d'autres technologies
pour comprendre une partie de la signification derrière des blocs de texte et pour
l'étiqueter de manière appropriée pour faciliter la récupération. Les classificateurs
automatisés trouvent des modèles dans le contenu textuel, produisent des catégories et
classent le contenu en utilisant ces catégories.
158
Outils de partage et Technologies de
diffusion des communication et de
connaissances
connaissances: collaboration
• Groupware : Un ensemble de logiciels qui aident les groupes de travail qui sont connectés
les uns aux autres par un réseau à organiser leurs activités et à partager leurs
connaissances. Groupware prend en charge la distribution de fichiers, les bulletins
d'information électroniques, etc.
• Wikis : Un logiciel Web qui permet l'édition ouverte. Cela permet à plusieurs utilisateurs
d'éditer et de créer du contenu. C'est une bonne méthode de partage de connaissances,
similaire à Wikipedia.
159
Outils de partage et
diffusion des Technologies réseaux
connaissances
connaissances:
• Référentiels de connaissances : Un référentiel de connaissances diffère d'un entrepôt de

données et des référentiels d'informations principalement dans la nature du contenu
stocké. Le contenu de connaissances comprend généralement un contenu contextuel,
subjectif et assez pragmatique. Le contenu dans les dépôts de connaissances tend à être
non structuré (par exemple Travaux en cours, rapports préliminaires, présentations). Les
référentiels de connaissances ont également tendance à être plus dynamiques que d'autres
types d'architectures, car le contenu est toujours mis à jour et divisé dans des perspectives
variées pour servir une grande variété d'utilisateurs.
160
Outils de gestion des Outils d’acquisition et Technologies de
connaissances d’application des connaissances l’intelligence artificielle
• Les systèmes de recommandation:
- Détectent des similitudes ou des affinités entre différents types d'utilisateurs.
- Font des recommandations de contenu supplémentaire que d'autres ont révélés utiles à appliquer
et à acquérir.
• L’intelligence artificielle automatise les processus tels que la synthèse des textes, la classification
du contenu et la sélection du contenu.
161
Outils de gestion des Outils d’acquisition et Technologies de
connaissances d’application des connaissances l’intelligence artificielle
• Systèmes d'aide à la décision:

- Aident les groupes dans la prise de décision en facilitant les réunions, en encourageant
une participation égale en fournissant l'anonymat.
- Fournissent des outils pour remue-méninges, critiquer les idées, voter.
• Les systèmes électroniques de soutien à la performance (EPSS) et les systèmes experts
aident les travailleurs du savoir à appliquer les connaissances dans leur travail.
162
Outils de gestion des Outils d’acquisition et Technologies e-
connaissances d’application des connaissances learning
• Applications d'apprentissage par ordinateur (CBT) et de formation sur le Web (WBT): La

caractéristique commune est l'environnement d'apprentissage en ligne. Cours livrés via
Internet ou Intranet.
• Les systèmes d'apprentissage en ligne assurent l'apprentissage, la compréhension et une
meilleure compréhension des nouvelles connaissances à acquérir.
163
PROFIL DU KNOWLEDGE
MANAGER
164
Profil du knowledge
Missions
manager
• Collecte des informations utiles pour découvrir les savoir-faire

• Diffusion des connaissance
• Analyser et capitaliser les informations pertinentes
• Gérer les bases de connaissance afin de mettre à la disposition des
utilisateurs des processus et outils d’exploitation
165
Profil du knowledge
Compétences requises
manager
• Savoir-faire technologiques
• Intelligence artificielle (systèmes experts)
• Data mining
• Travail collaboratif et flux de travail
• Bases de données
• Gestion électroniques de documents
• Technologies et application internet, intranet et extranet
166
Profil du knowledge
Savoir-faire généraux
manager
• Gestion de projet
• Esprit d’analyse et de la rédaction de synthèses
• Compréhension des métiers de l’environnement et du fonctionnement de
l’entreprise
• Management
• Conduite d’entretiens
167
Profil du knowledge
Aptitudes comportementales
manager
• Rigueur et méthode
• Faculté d’écoute et d’expression
• Qualités relationnelles et goût du travail en équipe
• Intérêt pour les nouvelles technologies de l’information et leurs enjeux
• Savoir expliquer et valoriser son métier
• Sens du management
168
Références
• Kimiz Dalkir, Knowledge Management in Theory and Practice, 2005, Elsevier Inc.
• Sabiha HOMRI, La gestion des connaissances, du concept à l’application au sein
d’une institution publique : Le Conseil Régional PACA , Aix-Marseille Université,
2013.
• Rabab Chakhmoune, Capitalisation et Evaluation multicritère des connaissances dans
une mémoire projet basée sur une ontologie Application de l’Ingénierie Système dans
une entreprise d’informatique, Ecole Nationale Supérieure d’Arts et Métiers –
Meknès, 2015.
169

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GESTION DES

• Du point de vue de la science cognitive ou de la science de la connaissance:

• Perte d’un capital immatériel

Gestion de document et de l’information

Science cognitive Science organisationnelle

• La gestion des connaissances est importante pour toutes les organisations.

Individu Groupe Organisation

Individu Groupe Organisation

• Développe des compétences professionnelles

• Résolution plus rapide des problèmes

Les connaissances organisationnelles ne sont pas destinées à remplacer les connaissances

• 80% Culture organisationnelle et facteurs humains.

• Comprendre la différence entre les données, l'information, la connaissance et la

• Contenu qui représente des données analysés.

• L’information prenant un sens spécifique dans un contexte spécifique.

• Savoir utiliser ses connaissances pour atteindre un objectif souhaité.

Il existe deux types majeures des connaissances:

• Tout ce qui n’est pas formalisé.

• L’information est clairement affichée, exprimée et expliquée.

Exemple: Le code de la route, modèle pour fabriquer un produit, procédure.

Connaissances tacites Connaissances explicites

• La socialisation (tacite à tacite) consiste à partager la connaissance de façon naturelle et à

• L’externalisation (tacite à explicite) est substantiel dans la création de connaissance.

• La combinaison (explicite à explicite) est le processus de combinaison des éléments

• L’internalisation (explicite à tacite) est l’appropriation des informations par l’individu.

• Connaissance procédurale: Elle représente comment un problème est résolu. Elle

• L’approche de Wiig (1993)

Construire Acquisition Obtenir Apprentissage individuel et en Détection des Repérer les

Intégration des connaissances Actualiser les

Mettre à jour Acquisition et Contextualiser

• La conversion d’une connaissance de valeur de la forme tacite à la forme explicite s'appelle

Gorge irrité malade

malade Bien portant

• Taxonomies du savoir : C'est un processus par lequel la connaissance est partitionnée et

• Durant la transition de la capture / création de connaissances au partage/diffusion des

• La connaissance est contextualisée pour être compris ("acquisition") et utilisé

• L'application de connaissances fait référence à l'utilisation réelle des connaissances créées

• La modélisation des connaissances revient à construire un modèle abstrait du système

• La méthode CommonKADS est la méthodes de référence en ingénierie de connaissance

• Etude de la portée et la faisabilité

• Etude des impacts et des améliorations

• Décrire les aspects organisationnels:

Fabrication Propriétés du produit commercialisation

Boucle d'apprentissage des réactions Préférences du

MODÈLE DE L’ORGANISATION OM1- CONTEXTE, PROBLÈMES ET SOLUTION

Identifier les parties

Figure2: Approche de PARIS dirigée par les parties prenantes

MODÈLE DE L’ORGANISATION OM2: STRUCTURE D’UNE USINE DE CRÈME GLACÉE

Conception Assurance Développement 67

Figure3: Structure d’une usine de crème glacée

• Permet d’étudier les sous-processus d’affaires

Résumé Développer le Description Produire les

• Après la construction du modèle de tâches, le modèle d’agents décrit les caractéristiques

• Contient les résultats de la modélisation du contexte

• Un modèle de connaissances comprend trois catégories de connaissances:

• Un modèle de connaissances contient les éléments suivants:

Les catégories de connaissance dans un modèle de connaissances

INFÉRENCE ET RÔLE DE CONNAISSANCE

• Les E / S d'inférence sont décrites en termes de rôles fonctionnels - noms abstraits

EXEMPLE DE RÔLES DE CONNAISSANCE

CONSTRUCTION DU MODÈLE DES CONNAISSANCES

ÉTAPE I: IDENTIFICATION DE LA CONNAISSANCE

• Sélectionner une tâche de connaissance et les éléments de connaissance principale liés à

ÉTAPE II: SPÉCIFICATION DE LA CONNAISSANCE