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CAS PRATIQUES –
La société X achète le 1er Juillet N un nouvel équipement industriel dans les conditions
suivantes :
Le bien est mis en service le 1er octobre N, sa durée d’utilité est estimée à 5 ans, sa valeur
résiduelle en cas de revente est estimée à 50 000DA et les frais de démantèlement à 20 000DA.
Pour quelle valeur le matériel sera-t-il inscrit à l’actif du bilan de la société.
Supposons que le matériel s’amortisse sur les dix ans en linéaire. Que serait la valeur nette
comptable du bien à l’actif au 1er octobre N+10.
Une entreprise a acquis le 1er janvier N un matériel dont le coût est de 15 000 000 DA. Ce
matériel est amorti en linéaire sur 5 ans et sa valeur résiduelle est considérée comme nulle.
Au 31/12/N+2, le comptable, constatant qu’un nouveau matériel plus performant est maintenant
disponible, décide de réaliser un test de dépréciation (impairement test) sur ce matériel.
La valeur d’utilité est déterminée en actualisant les flux de trésoreries générées par le matériel au
taux de 12% (il s’agit d’un taux avant impôt tenant compte du coût de l’argent sur les marchés et
des risques spécifiques à l’entreprise).
Les prévisions pour N+3 et N+4 sont respectivement de 3 500 000 DA et 3 000 000 DA.
D’autre part, si le matériel était vendu au 31/12/N+2, son prix de vente net serait de 4 500 000
DA.
Le 01/10/N, une entreprise obtient une subvention publique de 1 000 000 DA pour acquérir un actif
amortissable dont le coût est de 1 500 000 DA.
Quels sont les montants des dotations aux amortissements et les reprises des subventions relatives à
cette opération,
Les coûts directs nécessaires à la mise en état d’utilisation du bien (frais de préparation
d’un site, transport, manutention, installation, honoraires des architectes,…) ;
Les frais prévisibles de démontage ou de restauration d’un site qu’il conviendra d’engager à
l’issue de la période d’utilisation de l’actif.
IAS 16 EN BREF
Lorsque le paiement d’une immobilisation est différé au-delà des conditions habituelles, l’actif
est comptabilisé pour son prix au comptant et la différence est considérée comme une charge
financière se rapportant à la période de crédit.
Lorsque le prix au comptant n’est pas fixé, le coût de l’immobilisation s’obtient en actualisant les
paiements au taux d’un emprunt équivalent.
Exemple 1 :
Une entreprise achète le 1er avril N une machine dont le prix est de 650 000 DA en cas de règlement
au comptant. Elle convient, moyennant un supplément de prix de 50 000 DA, de payer 150 000 DA à
la livraison et le solde 12 mois plus tard.
Exemple 2 :
Une entreprise acquiert le 1er octobre N un équipement qui sera réglé en 3 fois, selon l’échéancier
suivant :
- 200 000 DA au comptant ;
- 300 000 DA à 1 ans ;
- 500 000 DA à 2 ans.
Elle aurait pu obtenir un prêt équivalent au taux de 8 %. Passer les écritures comptables
correspondantes à cette opération d’achat à terme
Exemple 3 :
Une entreprise de livraison de colis achète des véhicules de livraison au prix de 3 000 000 DA. Ces
véhicules sont cédés après 3 années d’utilisation pour 25% de leur prix d’achat, alors que leur durée
de vie est estimée à 5 ans. Les frais de revente de ces véhicules sont estimés à 60 000 DA.
La méthode linéaire est celle qui reflète le mieux le rythme de consommations des avantages
économiques. Passer les écritures comptables correspondantes à cette opération d’achat
IAS 16
Les immobilisations peuvent être constituées de plusieurs sous-ensembles ayant des durées
d’utilisation différentes, leur prise en charge comptable se fait séparément selon la durée d’utilité de
chaque élément. Principe posé par IAS 16 est que chaque élément dont le coût est significatif par
rapport à l’ensemble auquel il appartient doit être amorti séparément cas d’un avion qui se
décompose en une carlingue, un moteur et des équipements intérieurs.
Exemple :
Une compagnie aérienne vient d’acheter pour 32 000 000 DA un Airbus A320 dont le coût peut se
décomposer ainsi :
La méthode linéaire reflète le mieux le rythme de consommations des avantages économiques. Les
valeurs résiduelles ne sont pas significatives
Etablir le plan d’amortissement des 5 premières années ainsi que les écritures comptables y
Afférentes
Emis 10 000 actions à 300 DA. La valeur nominale de ces actions est de 100 DA.
Quels sont les différents traitements comptables sur ces opérations de capitaux.
- Les Stocks
L’IAS 2 en bref
Le coût des stocks comprend les coûts d’achat et de transformation ainsi que l’ensemble
Des charges supportées pour amener ceux-ci dans le lieu et l’état où ils se trouvent.
Les sorties de stocks sont évaluées au coût moyen pondéré ou selon la méthode FIFO.
A la clôture de l’exercice, les stocks doivent être évalués à leur coût ou à leur valeur réalisable
Nette si celle-ci est inférieure.
L’exploitation d’un gisement de pétrole a permis d’extraire dans l’année du pétrole brut pour 100
millions DA et du gaz naturel pour 20 millions DA. Le coût de production total à été de 90 millions.
Quelle est la répartition du cout de production sur la production totale ?
Pour les sous-produits de faible valeur, on peut se contenter de retrancher celle-ci du coût du produit
principal.
Au 31/12/N, une entreprise possède plusieurs stocks : un stock de matières premières, un stock de
marchandises et un stock de produits finis. Le comptable se demande si ces stocks doivent être
dépréciés.
(1) le prix d’achat des matières premières utilisées a rapidement baissé lors des deux derniers mois.
Déterminez la valeur nette de réalisation de chacun des stocks ainsi que le montant des éventuelles
provisions à constater.
Faites de même en supposant que le prix de vente à des conditions normales des produits finis est de
1 380 000.
- activités d’exploitation.
- Activités d’investissement.
- Activités de financement.
- soit par la méthode directe, qui fait apparaître directement les encaissements et
Décaissements de l’exercice.
- soit par la méthode indirecte, qui reconstitue le flux net de trésorerie d’exploitation à
Partir du résultat net.
Le tableau des flux de trésorerie doit permettre un rapprochement avec le montant de la trésorerie
Figurant au bilan.
Exemple 1:
Elles possèdent chacune pour 500 000 DA d’immobilisations amortissables. A les amortit sur 10 ans
en linéaire, alors que B, qui pratique l’amortissement dégressif, a comptabilisé en N une charge
d’amortissement de 100 000DA.
Etablir le résultat de l’exercice N, ainsi que le tableau de variation des flux de trésorerie,
Quels sont les conclusions à tirer à travers ces deux états financiers.
- encaissement :
A la clôture de l’exercice, le $ vaut 110 DA quelle est la différence de change non réalisée et
L’écart sur les flux de trésorerie de l’exercice
Exemple :
Une entreprise a pour politique de comptabiliser tous ses coûts de développement en charges au
moment où ils sont encourus. En N, elle décide d’appliquer pour la première fois les possibilités
d’activation offertes par l’IAS 38.
L’entreprise a renoncé à déterminer les coûts activables au titre des exercices antérieurs à N-2, en
raison de la difficulté de déterminer si, à l’époque, les conditions d’activation étaient remplies.
On suppose que :
- les innovations mises au point ne sont pas encore prêtes à être utilisées, de sorte que les frais
de développement n’ont pas encore à été amortis.
IAS 12 EN BREF
La charge fiscale d’un exercice comprend l’impôt exigible au titre de cet exercice ainsi que la
variation des impôts différés au cours de la période.
Les impôts différés naissent des différences temporelles entre la valeur comptable et
la base fiscale des actifs et des dettes.
Ils proviennent également des pertes fiscales reportables sur les exercices suivants.
Les impôts différés relatifs aux différences temporelles sur les participations doivent
être comptabilisés sauf si l’entreprise est en mesure de contrôler la distribution des
dividendes par ces entités et s’il est probable de la distribution de ces dividendes n’aura pas
lieu.
Les impôts différés actifs ne sont comptabilisés que s’il est probable que l’entreprise
réalisera dans l’avenir des bénéfices fiscaux suffisants pour les absorber.
Les impôts différés générés par des opérations ayant un impact sur le résultat sont
comptabilisés en charges ou en produits.
Ceux relatifs à des opérations n’ayant pas transité par le compte de résultat sont imputés
directement aux capitaux propres.
Exemple :
Elle sera déduite du bénéfice imposable lors du versement de la somme correspondante dans un
organisme financier. Le taux d’impôts est de 25%. Passer l’écriture correspondante
13- Agriculture
IAS 41 en bref
Les actifs biologiques (plantes et animaux vivants) ainsi que la production agricole sont évalués
à leur juste valeur, diminuée des coûts de ventes estimés.
Toute variation de la juste valeur des actifs biologiques et de la production agricole est
immédiatement comptabilisée en produits ou en charges.
Les subventions agricoles liées à des actifs biologiques évalués à leur juste valeur sont
comptabilisées en produits dés qu’elles sont définitivement acquises.
Exercice :
Une entreprise agricole bretonne, qui fait à la fois de l’élevage de traite et de viande et de la culture,
présente dans son bilan au 31.12 de l’année N les éléments suivants :
- en cours de récolte de blé avant moisson, pour 1 000 quintaux : 98 560 DA.
et l’entreprise estime ses coûts de récolte et de vente de blé à 13 450 DA, et de 25 000DA pour les
vaux.
Calculez la valeur des actifs biologiques, présentez les éléments devant apparaître au bilan à la
date de clôture de N, et passez les écritures comptables correspondantes.
Exercice :
Un titre d’obligation sur 10 ans à 6% a été acquis pour 10 000 DA le 15 novembre 2008, date
d’émission de l’emprunt.
Sa juste valeur au 31 décembre 2008 (date de clôture) est de 10 500 DA (baisse des taux du marché
d’environ un quart de points).
1- L’entreprise est un établissement financier « intermédiaire sur les marchés financiers ; le titre
(Instrument de transaction) a été revendu à 10 900 DA en 2009.
2- L’entreprise est un établissement industriel, et son service financier place en titre sa trésorerie
excédentaire ; le titre (actifs financiers disponibles à la vente) a été revendu à 10 900 DA en 2009.
3- L’entreprise avait l’intention de garder le titre jusqu’à l’échéance, mais à la suite d’un événement
majeur qu’elle ne pouvait raisonnablement anticiper ; elle a dû le céder à 10 800 DA en 2009
Proposer le traitement comptable dans chacun de ces trois cas ainsi que les écritures comptables
correspondantes.
Exemple :
Une entreprise dont l’exercice coïncide avec l’année civile a entrepris la construction d’un bâtiment
sans faire appel à un financement particulier.
Les emprunts et travaux en cours au début et à la clôture de l’exercice N étaient les suivants :
Exemple 1 :
Le 1er Avril N, une entreprise dont la monnaie fonctionnelle est l’euro à :
Exemple 2 :
- un matériel dont la valeur comptable est de 10 000 USD. Ce matériel a été acquis le 20/02/N-3.
le $ cotait alors 0,88€.
- Un terrain acquis pour 5 000 USD en N-20(cours du $ à l’époque : 9,00 FF) et réévalué le
31/12/N-2 à 40 000USD. Le 31/12/N-2, le $ valait 0,95€.
- Un stock de marchandises acheté le 04/07/N pour 4 500USD (cours du jour 0,80€) et déprécié
d’1/3 à la clôture de l’exercice N.
- Une créance de 5 000 USD sur un client étranger, qui correspond à une vente effectuée le
10/11/N, alors que le $ cotait 0,92€.
- 800 USD en caisse, figure dans le bilan pour une contre valeur euros de 624.
IAS 17 en Bref
Définition
- le contrat prévoit que la propriété du bien sera transférée au locataire au terme du contrat ;
- ou le bien loué est d’une telle spécificité que seul le locataire peut l’utiliser.
Tous les autres contrats de location relève de la location simple (operating leases).
Le bailleur ne bénéficie pas des avantages procurés par le bien loué. Il n’en assume pas les
risques. Le bien ne doit donc pas figurer à son bilan, bien qu’il en soit juridiquement
propriétaire.
En début de bail, les droits (actif) et obligations (emprunt implicite) du locataire sont
comptabilisés à la plus faible :
La valeur actuelle des paiements minimaux se calcule en utilisant le taux d’intérêt implicite du
contrat ou, à défaut, le taux marginal d’endettement du locataire.
Le taux d’intérêt implicite est le taux d’actualisation tel que, à la signature du contrat, la valeur
actuelle des loyers versés majorés de la valeur résiduelle réelle du bien à la fin du bail, soit
égale à la juste valeur du bien loué.
Le taux marginal d’endettement est le taux d’intérêt que le locataire aurait à payer pour
emprunter sur une durée équivalente les fonds nécessaires à l’acquisition de l’actif.
- un remboursement des fonds investis par le bailleur dans l’acquisition du bien loué
(amortissement de l’emprunt implicite) ;
Seule la seconde composante constitue une charge pour le locataire. La première vient en
déduction de l’emprunt implicite comptabilisé au début du contrat.
Le bien loué est amorti selon les mêmes modalités que les actifs de même nature de
l’entreprise.
S’il est certain que le locataire deviendra propriétaire à la fin du bail, le bien est amorti sur
sa durée d’utilisation. Sinon, il sera amorti sur la durée du bail, si celle-ci est inférieure à la
durée d’utilisation.
Le bailleur qui ne bénéficie pas des avantages procurés par l’actif et qui n’en supporte pas les
risques doit être considéré comme un prêteur rémunéré et remboursé par les loyers prévus au
contrat.
En début de bail, le bailleur investit dans l’acquisition d’un bien qui fera l’objet de la location.
La valeur de l’investissement réalisé qui correspond généralement à la valeur de marché du
bien acheté est comptabilisée en créances.
Exemple
Une entreprise a conclu le 01-04-N un contrat de crédit-bail, portant sur un matériel dont la
Valeur de marché est de 100 000 DA, dont les termes sont les suivants :
Le caractère dilutif ou non de la dette dépend de l'impact respectif de 'ces deux éléments sur le
résultat par action.
Exemple :
Le résultat attribuable aux 100 000 actions ordinaires s'élève à 800 000 da.
Il existe 40 000 obligations de 1 000 da échangeables chacune contre une action.
Conformément à l'lAS 32, ces obligations ont été décomposées en deux éléments.
Elles figurent actuellement au bilan pour les montants suivants:
Quel est le résultat dilué par actions dans les cas suivants :
IAS 12
Exemple 1:
Un matériel acquis pour 100 000 DA au début de l'année N est, en comptabilité, amorti sur 3 ans.
La durée minimale d'amortissement admise par le fisc est de 5 ans.
Etablir le tableau qui décrit l’évolution de la valeur comptable et de la base fiscale du matériel,
ainsi que la différence temporelle correspondante :
Début
Années N N+1 N+2 N+3 N+4
N
Base fiscale de l'actif
Valeur comptable
Différence temporelle
Exemple 2:
Une provision de 50 000 a été constituée en N. Cette provision n'est pas admise par le fisc, la
dépense correspondante n'étant déductible qu'au moment de son paiement, c'est-à-dire en N+2.
En N et N+ 1, la provision n'étant pas admise par le fisc, sa base fiscale est nulle.
En N+2, la dette est fiscalement admise, de sorte que la différence temporelle disparaît.
Exemple 3 :
À la clôture de l'exercice N, l'entreprise a comptabilisé pour 100 000 da de frais de
développement à l'actif. Ces frais sont amortissables sur 5 ans. Fiscalement, ces dépenses sont
considérées comme des charges de l'exercice N.
Début
Années N+1 N+2 N+3 N+4 N+5
N+ 1
Base fiscale de
l'actif
Valeur comptable
Différence
temporelle
Report du déficit
Base imposable
Une entreprise possède un immeuble acquis pour 500 000da et amorti pour 300 000 da. .
N'en ayant plus l'usage et désireuse de s'implanter dans de nouveaux locaux, elle échange
Cet immeuble contre un vaste terrain constructible situé en périphérie de la ville.
Comptabilisez l’échange
Exemple 2 :
Une compagnie aérienne vient d'acheter pour 20 millions d'euros un avion dont le prix
peut être décomposé ainsi:
Compte tenu de la difficulté de telles prévisions, il semble préférable d'amortir chaque élément
sur sa durée de vie, plutôt que sur sa durée d'utilisation par l'entreprise.
- PRODUITS
IAS 18
Exemple 1 :
40 % à la signature du contrat,
40 % 1 an plus tard,
Exemple 2 :
Considérons une vente de 1 000 000 DA payable à 60 jours ou au comptant avec un escompte de
règlement de 1,5 %.
Quel est le traitement comptable préconisé dans ce cas de figure, par le SCF
Exercice
Le coût d'un haut fourneau s'élève à 1 300 000 DA et sa durée d'utilisation est de 50 ans;
Le revêtement en brique de ce haut fourneau doit être changé tous les 10 ans, le coût de cet
entretien périodique étant de 300 000 DA.
41
Mme S.SERAOUI - Formatrice SCF
SYSTEME COMPTABLE & FINANCIER
CAS PRATIQUES –
Une entreprise (le preneur) a conclu le 2 janvier N un contrat de crédit-bail avec une société
spécialisée (le bailleur) portant sur un matériel industriel. A cette date, la juste valeur du matériel
est estimée à 200 000DA. Les modalités du contrat sont les suivantes :
Versement initial (dépôt de garantie restituable si l’option n’est pas levée) : 10 000DA.
Le bien a une durée de vie estimée de 5 ans. Nous estimons sa valeur résiduelle à l’issue
du contrat à 40 000 DA.
Pour quelle valeur le bien doit-il être comptabilisé à l’actif du preneur le 2 janvier N ?
42
Mme S.SERAOUI - Formatrice SCF
SYSTEME COMPTABLE & FINANCIER
CAS PRATIQUES –
Au 31.12.N+1, l'entreprise réalise des tests de dépréciation aux termes desquels il s'avère
que l'ensemble terrain et bâtiment a subi des modifications de valeur:
L’année N+2, des tests de dépréciation font apparaître une augmentation de la valeur
du terrain, évalué à 340 000 da.
(1) Valeur nette du 1.01.N+1 est de (470 250) diminuée de l'amortissement de l’exercice N (24 750).
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Mme S.SERAOUI - Formatrice SCF
SYSTEME COMPTABLE & FINANCIER
CAS PRATIQUES –
Provisions pour charges suivantes apparaissent dans la balance en fin d'exercice selon le PCN
1975.
Les dirigeants du groupe ont annoncé après la clôture de l'exercice une restructura dont
le coût est estimé à 8 750 345 DA.
L’entreprise verse par ailleurs à ses salariés primes lors de leur départ à la retraite et
à l'occasion des remises de médailles du travail.
Travail à faire :
Quelles sont les régularisations à faire en fin d'exercice 2009, année de passage au S.C.F ?
Quelles sont les provisions à comptabiliser et les écritures comptables à passer?
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Mme S.SERAOUI - Formatrice SCF
SYSTEME COMPTABLE & FINANCIER
CAS PRATIQUES –
-Opérations en capital
-Correction d’erreurs
-Autres produit/charges
-Opérations en capital
Solde au 31/12/N
Exercice :
Coûts de production: 220 DA par pièce (dont 160 pour les matières premières achetées, 30 pour
l'amortissement et 30 pour les salaires de production).
Autres charges opérationnelles: 112 850 DA (redevances versées, pertes sur cessions
D’actifs, dons).
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Mme S.SERAOUI - Formatrice SCF