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O. INTRODUCTION
La loi relative au finances publiques catégorise les dépenses publiques selon plusieurs classification :
Administrative, politique, Économique financière.
Dit-on aussi en droit positif congolais nous avons les dépenses courantes groupés en 6 titre, les
dépenses en capital groupés en deux titres ainsi que les près et avance groupé d'un seul titre. Dans cette
classifications nous serons intéressé par les dépenses en capital qui sont encore appelés dépenses
d'investissement(. L'analyse de notre sujet va nous poussé jusqu'à faire une dissertation quand à ce
sujet et la dissertation va nous amener jusqu'à confronté les dépenses d'investissement au dépenses de
fonctionnement. Les deux étant dit du classification économique ça nous amène à une confusion.
Notons que les dépenses qui ont pour résultat l’entrée d’un bien destiné à rester durablement dans le
patrimoine de la collectivité constituent des immobilisations et sont imputé de dépenses
d'investissement.
Nous serons obligés de mettre un peu de critiques quand à l'application de cette loi en le confrontant à
la théorie, malgré que la pertinence résulte encore du fait que la loi en question ne plus en vigueur. Mais
nous allons essayer de ne pas nous limité à la loi soit à l'identification des dépenses d'investissement
mais plutôt faire entré nos idées jusqu'à l'application des dites dépenses.
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1. PLAN DU TRAVAIL
Notre travail est subdivisé en 2 chapitre et les deux chapitres seront suivis des sections.
Section.
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Introduction
Notons que, L’article 34 de la loi n° 2015-1785 du 29 décembre 2015 de finances pour 2016 a élargi le
bénéfice du FCTVA aux dépenses d’entretien des bâtiments publics et de la voirie réalisées depuis le 1er
janvier 2016. Des comptes dédiés ont été créés en section de fonctionnement afin d’identifier de façon
certaine ces dépenses.
Cette fiche a pour objet de vous présenter les critères de distinction entre dépenses de fonctionnement
et d’investissement et de vous permettre d’appréhender les subtilités de la réglementation afin de vous
aider à optimiser le montant de votre fonds de compensation pour la TVA (FCTVA)
Les dépenses qui ont pour résultat l’entrée d’un bien destiné à rester durablement dans le patrimoine
de la collectivité constituent des immobilisations et sont donc imputées en investissement. Il peut s’agir
d’immobilisations corporelles ou incorporelles.
Sont ainsi pris en compte en investissement les terrains, les constructions, les œuvres d’art, ainsi que les
études préalables à la réalisation d’une dépense d’investissement.
Les adjonctions à un bien immobilisé constituent également des immobilisations, dans la mesure où
elles entraînent un accroissement de la valeur de l’immobilisation initiale.
Les travaux effectués sur des biens immeubles existants peuvent représenter soit des adjonctions au
bien, soit des travaux de remise ou de maintien en l’état.
Sont des dépenses d’investissement les travaux ayant pour effet une augmentation de la valeur d’un
élément d’actif ou une augmentation de sa durée probable d’utilisation. Sont également des dépenses
d’investissement les travaux ayant vocation de permettre une diminution des coûts d’utilisation ou une
production supérieure.
Ainsi, les dépenses d’amélioration sont considérées comme des dépenses d’investissement. Les
améliorations peuvent provenir soit du remplacement d’un élément usagé par un élément neuf, soit de
la réparation d’un élément existant. De ce fait, par exemple, le remplacement d’une installation de
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chauffage par une autre plus moderne constitue une dépense d’investissement. A contrario, le
remplacement à l’identique (une fenêtre par une autre identique) ne constitue pas une dépense
d’investissement mais de fonctionnement.
.ou les travaux d’entretient être posé quand à ses deux sections ; Comment appréhender le cas des
biens meubles pouvant être imputés soit en section d’investissement, sous certaines conditions, soit en
section de fonctionnement ?
L’imputation des biens meubles en section d’investissement obéit à 2 critères : les critères techniques et
les critères quantitative
1/ Critère technique :
Les biens meubles fixes (ex. : mobilier scellé) sont considérés comme des immeubles. Il en va de même
pour les biens durables à condition :
que ces biens durables soient énumérés dans la nomenclature annexée à l’arrêté du 26 octobre 2001
relatif à l’imputation des dépenses du secteur public local (annexé à la circulaire de février 2002) ;
que ces biens durables soient inscrits en investissement par l’assemblée délibérante de la collectivité.
Cette inscription se fait à travers une délibération cadre annuelle. Elle permet d’affecter en dépenses
d’investissement certaines dépenses initialement imputées en fonctionnement, mais dont la durée de
vie ou/et d’usage peut justifier d’une affectation en investissement. Cette disposition est prévue par la
circulaire susvisée.
2/ Critère quantitatif :
Les biens d’une valeur de plus de 500 dollars sont automatiquement inscrits en investissement, sans
faire l’objet d‘une délibération spécifique. Ce seuil a été défini par l’arrêté précité.
Les biens n’entrant dans aucune de ces catégories sont imputés en fonctionnement.
Comme nous sommes en droit nous avions appréhender les cas particuliers. Tels que :
L’imputation des dépenses liées aux travaux de voirie fait l’objet de l’annexe 2 de la circulaire du 26
février 2002 relative à l’imputation des dépenses du secteur public local.
section de fonctionnement : entretien régulier, maintien en l’état et réfection de la voirie de telle sorte à
maintenir l’immobilisation à valeur constante, ce qui constitue pour les collectivités une obligation ;
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√Section d’investissement
•Section de fonctionnement
√ Remplacement d’une porte d’un bâtiment communal par une porte de sécurité
• dépense d’amélioration Remplacement de toutes les serrures des portes des bâtiments communaux
par des cadenas
la serrure est une simple pièce d‘un bien immobilisé (porte) dont l’acquisition isolée ne constitue pas
une immobilisation
==> augmentation de la durée de vie du bâtiment qui devrait, sans ces travaux de désamiantage, être
fermé au public Nettoyage de la charpente d’un gymnase
Dépenses de création d’un site Internet de présentation de la collectivité ou pour les besoins internes
(site intranet...)
==> réalisation d’un logiciel Dépenses de maintenance d’un site Internet ==> dépenses d’entretien
Acquisitions d’ouvrages nouveaux ayant pour objet de compléter le fonds documentaire (extension
physique de la bibliothèque, accroissement du nombre d’ouvrages) Dépenses de renouvellement
d’ouvrages usagés visant à maintenir le fonds documentaire dans son état normal de fonctionnement
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disposent pas de marges de manoeuvres financières suffisantes pour faire face, seules, à de telles
charges. Il lui demande donc de bien vouloir lui indiquer quelles dispositions immédiates il envisage de
mettre en oeuvre pour permettre à ces communes d'affecter ces dépenses de réfection de voirie à la
section d'investissement et s'il envisage de modifier la réglementation afin que les travaux importants
de voirie puissent être, à nouveau, inscrit de manière automatique en investissement.
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Chapitre 2.
Comparées à l’année 2019 où les dépenses ont totalisé 7.611,7 milliards de CDF, les dépenses de 2020
sont en augmentation nominale d’environ 400 milliards de CDF.
« En 2019, les dépenses courantes représentaient 93% des dépenses totales contre 7% pour les
dépenses d’investissement. Ainsi, il s’observe un processus de désinvestissement public en 2020 au
détriment d’une expansion des dépenses courantes. Ce qui peut aussi, toutes proportions gardées,
expliquer le ralentissement de la croissance en 2020 (0,8%) contre 4,4 % en 2019 », reconnait le
ministère des Finances dans son évaluation de la politique budgétaire en 2020. Lire la
Conclusion
république démocratique du Congo (rDC) a connu en 2020 sa première récession en 18 ans en raison
des effets néfastes de la pandémie de COVID-19 dans le monde. Le PIB réel de la rDC s’est contracté de
1,7 % en 2020 après avoir augmenté de 4,4 % en 2019 et de 5,8 % en 2018. Cela reflète d’abord le
ralentissement des industries extractives avec une baisse de leur contribution à la croissance, qui est
passée de 0,28 % en 2019 à 0,17 % en 2020. Ensuite, les mesures prises pour contenir la COVID-19, telles
que la fermeture des frontières et les restrictions de transport, ont nui aux activités non extractives dont
la contribution à la croissance s’est effondrée de 4,1 % en 2019 à –1,87 % en 2020. Dans les secteurs de
l’industrie manufacturière, le bâtiment et les travaux publics, le commerce et les services marchands, les
mesures ont entraîné la fermeture de plusieurs entreprises et affaibli la demande locale. Malgré les prix
élevés des produits miniers, le déficit des comptes courants s’est détérioré, passant de 3,8 % du PIB en
2019 à 5,4 % du PIB en 2020. Les dépenses sociales visant à atténuer les effets de la COVID-19,
combinées à la réduction des recettes fiscales, ont entraîné une légère aggravation du déficit public, qui
est passé de 0,8 % du PIB en 2019 à 1,2 % du PIB en 2020. Pour lutter contre l’inflation et la dépréciation
du franc congolais par rapport au dollar américain, la Banque centrale a relevé le taux directeur de 7,8 %
à 18,5 %. Pourtant, l’inflation est passée de 4,5 % en 2019 à 13 % en 2020 en raison des mesures
d’endiguement et de la monétisation du déficit budgétaire. Le franc congolais s’est déprécié de 12,4 %
par rapport au dollar américain entre 2019 et 2020.
Perspectives et risques
Les perspectives économiques de la rDC pour 2021 et 2022 sont favorables si la pandémie est maîtrisée
et si la demande mondiale se redresse. Le PIB réel devrait croître de 3,3 % en 2021 et de 4,5 % en 2022,
grâce à la hausse des prix des principaux produits miniers, tels que le cuivre, et à la reprise de la
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consommation et des investissements. La poursuite des réformes des finances publiques et monétaires
devrait permettre de réduire l’inflation à une moyenne de 11,7 % sur la période 2021–2022, grâce à la
facilitation des importations et à un meilleur approvisionnement des centres urbains. La reprise du
secteur extractif devrait stimuler les exportations minières et améliorer les recettes d’exportation.
Cependant, le compte courant risque de demeurer structurellement déficitaire, avec une moyenne de
4,0 % du PIB sur la période 2021–2022. Les élections de 2022 devraient entraîner une augmentation des
dépenses publiques. En conséquence, le déficit budgétaire devrait se détériorer pour atteindre 1,4 % en
2021 et 2,5 % en 2022. Le déficit du compte courant devrait se réduire à 4,0 % du PIB en 2021 et à 3,7 %
en 2022. En résumé, la croissance du PIB réel par habitant qui a chuté de 4,9 % en 2020, en raison de la
baisse de la production et de la pression démographique, devrait augmenter de 0,1 % en 2021 et de 1,4
% en 2022. Cependant, ce scénario pourrait être bouleversé par la poursuite de la pandémie de COVID-
19 jusqu’en 2021, des troubles sécuritaires et sociopolitiques, la chute des prix des matières premières
ou la diminution de la demande mondiale de minéraux.
BIBLIOGRAPHIE.
Les dépenses en capital sont essentiellement constituées des titres Vll et Vlll,réparties de Ia manière
suivante :
- Equipements : 3.052.002.833.336 FC (Trois mtlle cinquante-deux mittiard deux millions huit cent
trent*trois mitte trois cent trente-six Francs Congolais) : .