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Soft skills

« Douces compétences »
‘’Le développement des soft skills – un investissement nécessaire !’’

Dans un monde en constante évolution, les soft-skills contribuent à faire la


différence. Fort levier de motivation, ils jouent un rôle dans l’acquisition et la maîtrise
des compétences au sens large. Ils complètent les savoir-faire métiers / techniques et
permettent de s'adapter au changement, d'améliorer la performance individuelle et
collective sur des tâches variées et transversales et d’optimiser les échanges entre les
personnes. Ils contribuent également à la qualité de vie et au bien-être .

Les softs skills sont les compétences de savoir être et ceux du savoir faire.

Le niveau de soft skills d’une personne n’est pas lié a son niveau de quotient
intellectuelle QI mais plutôt a son niveau de quotient émotionnel c’est-a-dire a la
capacité de contrôler ses sentiment, de canaliser ses émotions.

Et le quotient émotionnel ce n’est ni plus ni moins que la maitrise des soft skills.

A l’intérieur des soft skills nous allons donc trouver plusieurs sous catégories de
compétences :

 Leadership : celles qui sont liées à l’influence comme par exemple la


communication

 Efficacité : celle liées a l’action comme bien géré son temps, son énergie, son
tresse….

 Agilité : être créatif et innovant, l’adaptation

 Sociale : la capacité d’écouter, de faire preuve d’empathie, le contrôle des


émotions…

Les soft skills ça s’apprend, ce n’est pas inné.


Leadership
Le leadership est un parcours. Un parcours d’apprentissage tout au long de la vie.
C’est ce qui devrait vous permettre de découvrir qui vous êtes, le monde autour de
vous et les personnes que vous rencontrez. Un autre aspect de ce parcours consiste à
vous fixer un but par rapport à votre vie et à votre leadership. Pour le découvrir, il
vous faut rester ouvert à toutes les opportunités d’apprendre, considérer les défis
comme des portes sur les apprentissages et voir la vie comme une opportunité
d’expérimenter, de réfléchir, d’apprendre et d’agir.

Le développement du leadership est désormais au cœur de toutes nos activités.

Dans chaque secteur de la vie, que ce soit dans le domaine professionnel, de la


politique, du sport et de nos activités bénévoles, nous pouvons identifier des
individus qui sont des leaders.

Toutefois Qu’est-ce qui distingue un leader des autres personnes ? Est-ce que le
leadership est une chose avec laquelle nous venons au monde ? Est-ce qu’il s’appuie
sur des connaissances particulières que nous pouvons acquérir, ou bien comme toute
autre compétence, est-il possible de l’acquérir, le développer et le pratiquer ? Est-ce
que le leadership est quelque chose que :

• nous sommes

• nous savons

• nous faisons?

« Le leadership gagne le cœur et l’esprit des


personnes pour réaliser un objectif commun »
Comment gagnons-nous le cœur des personnes ?

En nous assurant que les personnes nous respectent et nous font confiance.
En les faisant se sentir utiles, valorisées, écoutées et reconnues.
En les rendant fières d’elles-mêmes et de leur travail.
En créant des sentiments d’appartenance, d’implication et d’engagement.
Comment gagnons-nous l’esprit des personnes ?

En indiquant des directions et des attentes claires.


En fixant des limites bien déterminées au cadre de l’action.

Un leader c’est aussi une personne qui est doté des qualités suivantes :

- Confiance en soi : Faculté de connaître, d'exprimer et de dépasser les limites


de ses aptitudes et de ses qualités.
- Responsabilité : Faculté de se sentir personnellement concerné par la bonne
réalisation des tâches, des mandats ou des projets et d'assumer son rôle dans
leur accomplissement.
- Autonomie : Faculté d'exprimer ses idées, de mener ses projets et de réaliser
ses objectifs en limitant les besoins de supervision ou de soutien et les
interférences ou contraintes extérieures.
- Motivation et implication : Faculté de s'investir, d'orienter son action et de
nourrir une satisfaction et un enthousiasme vis à vis d'un groupe, d'un projet
collectif ou d'un objectif personnel.
- Mobilisation de réseau : Faculté de maintenir des relations durables avec les
membres de son réseau, d'en motiver l'activité, et de les solliciter pour un
conseil, un appui, une participation à un projet, etc.

De tout ce qui est susmentionné on présume que le leader et une personne


d’influence et cette influence se fait sentir particulièrement à travers la
communication.

 Une action de communication ne peut être efficace que lorsque l’émetteur et


le destinataire comprennent l’information transmise de la même façon. Dans
l’environnement d’aujourd’hui, où les informations et les technologies se
trouvent démultipliées, il est plus important que jamais de posséder de
bonnes compétences en communication. Un message maladroitement
transmis peut être mal interprété et par conséquent provoquer des tensions
entre collègues.
 La communication corporelle
 La communication visuelle.

( La posture, le ton, le sourire, le contact visuel, le corporel)


 Être un leader n’est pas une fonction mais un
ensemble de comportements.

 Efficacité

A ce niveau il ya lieu d’aborder que le développement des compétences personnelles


implique d’élaborer des solutions pour atteindre des objectifs personnels et
professionnels. La gestion du temps, la prise de décision et la gestion du stress
constituent des compétences essentielles au succès et aident à atteindre un meilleur
équilibre entre vie professionnelle et vie personnelle.

 Agilité

De nos jours, le mot “agile” est sur toutes les lèvres. On parle de “d’organisation
agile”, de “méthode agile” ou encore de “leadership agile”, mais qu’est-ce que cela
signifie au juste ?

Être agile veut simplement dire que la personne dispose d’une très bonne capacité
d’adaptation pour faire face à un environnement sans cesse en changement.

Cette capacité implique un savant mélange de dynamisme pour évoluer et en même


temps suffisamment de stabilité pour ne pas perdre les acquis durement gagnés.

Devenir agile est un atout à maîtriser par tous, puisqu’avec le progrès technologique,
des situations exceptionnelles (crises financières, pandémies…) et l’évolution des
normes sociales, il est important de ne pas être dépassé par les événements et savoir
rebondir quand il le faut.

Plutôt que de réagir aux soudains changements, il


s’agit d’anticiper pour surfer sur la vague et non
d’être emporté par elle.
C’est dans ce cadre là qu’on peut parler de l’innovation et de la créativité.

Un leader agile c’est aussi celui qui quand il le faut il se trouve créative et
remarquablement innovant.
La créativité c’est la capacité à imaginer et concrétiser des solutions nouvelles, en
dehors des standards.

L’agilité c’est être flexible mentalement, elle est la capacité à mieux faire face aux
événements imprévus et à un monde en changement perpétuel. Plus que des
méthodes miracles, il s’agit surtout de comprendre que notre environnement
professionnel et notre état d’esprit contribuent largement à nous donner la flexibilité
nécessaire pour gérer les nouvelles responsabilités.

Être en bonne santé psychologique et dans un cadre propice, sera forcément un


atout à la fois dans notre vie personnelle et professionnelle.

 Sociale

Les connaissances, compétences et expériences techniques sont à la base de votre


activité. Cependant la capacité à comprendre et à travailler efficacement avec des
personnes issues d’autres environnements vous permet d’appliquer ces compétences
de manière encore plus efficace.

L’empathie a toujours été une compétence essentielle pour les leaders, mais elle
prend une nouvelle dimension et devient prioritaire. Loin d’être une approche douce,
elle peut générer des résultats significatifs.

Alors que nous traversons des périodes difficiles, que nous luttons contre
l’épuisement professionnel ou que nous avons du mal à trouver le bonheur au travail,
l’empathie peut être un antidote puissant et contribuer à des expériences positives
pour les individus et les équipes.

En arrivant à percevoir les émotions, vous pouvez comprendre votre interlocuteur et


vous comporter avec tolérance en la présence d’autrui.

Les personnes empathiques ont par exemple la capacité de :

 comprendre différents points de vue ;

 comprendre les raisons et actions des autres ;

 accepter une vision du monde différente ;

 aider leur entourage à décrire leurs sentiments, en permettant d’extérioriser


des pensées profondes.
Le leader empathique a également une capacité d’écoute attentive.

À noter que la capacité d’écoute n’est pas innée, elle se cultive. Au lieu de vouloir à
tout prix convaincre votre entourage, vous devez prendre le temps d’écouter sans
interrompre les personnes en face.

En écoutant activement, vous pouvez comprendre l’état de réflexion et d’attention


de vos collègues. De cette manière, vous arrivez à situer facilement la cause des
problèmes et vous pouvez les résoudre de manière efficace. Cela demande bien
entendu une grande patience et une maîtrise de soi, puisque faire preuve d’écoute
sans interruption n’est pas un exercice aussi simple qu’il n’y paraît. Quoi qu’il en soit,
cette qualité est la marque des grands leaders, alors n’ayez pas peur de la
développer.

Suite a ceci et en ayant ces capacités, un leader saurait atténuer des conflits.

La capacité à prévenir des tensions et gérer les conflits entre deux ou plusieurs
parties, implique une analyse, une régulation et une résolution.

Exemples de sous éléments de compétences :

 Faire preuve de non-jugement


 Faire preuve d’objectivité
 Analyser la nature de la tension et du conflit
 Affronter et résoudre des conflits
 Suggérer un compromis en fonction de la situation
 Suivre la mise en œuvre des solutions
 Écouter de façon active pour comprendre les positions des parties
prenantes.

A ce niveau il y’a également le contrôle des émotions et des sentiments.

Dans certain cas, professionnellement parlant le leader ne doit pas se laisser guider
par son cœur, il va falloir :

Appuyer la raison et étouffer les émotions


Comme c’est déjà mentionné le leadership et ces qualités ça s’apprend, pour se faire
il y’a tout d’abord ce qu’on appelle la métacognition.

La métacognition est une forme de connaissance de soi, de ses forces comme de ses
faiblesses, notamment dans la maîtrise de ses propres soft skills.

Apprendre à apprendre

La métacognition est importante pour connaître ses atouts et ses limites. Toutefois
étant donné que nous sommes tous des « apprenants modernes » – débordés,
distraits et impatients, il serait dommage d’en rester à un simple constat. Savoir
apprendre est une compétence qui implique humilité et volonté d’amélioration : sans
tomber dans le perfectionnisme, on reconnaît qu’on ne maîtrise pas tout mais on
cherche à combler ses lacunes : soit pour devenir petit à petit compétent là où on ne
l’était pas, soit pour entretenir une compétence déjà existante.

De nombreuses personnes se contente d’observer et ne ce lance jamais à apprendre


à avancer par peur d’être humilier ou encore froisser.

Nous préférons écouter la voix des peurs, pourquoi ? Car elle cri Pourtant c’est la voix
des peurs. Les anglo-saxons ont un mot très pertinent pour traduire la peur : FEAR.
Pertinent car il veut aussi dire ILLUSION. Et quand on prend le chemin de l’illusion,
on est vite désenchantée

Un jour, au comble du désespoir, une personne a décidé qu’elle voulait être


quelqu’un d’influence, elle a abdiqué ! Elle a cessé le combat intérieur, elle a décidé
d’apprendre a ce faire confiance. Et tout a changé...

En développant progressivement votre confiance en soi,  vous allez amplifier  votre


puissance personnelle.

Et c’est déjà un commencement d’un profile de leadership admirable.


Il faut avoir un esprit ouvert ou la capacité à ne
pas disqualifier ce qu’on ne connaît ou comprend
pas mais à plutôt s’y intéresser

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