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Chapitre 2 : Alexis de Tocqueville, le penseur de la démocratie

C’est le premier précurseur qui va nous interesser


Ce qui marque ces travaux et ses reflexions c’est l’emergence de societe democratique et c’est au-
tour de cet element la qu’il va produire un certain nombre de travaux et qu’il va deduire la societe
avait minution de son époque

Tocqueville est né en 1805 dans un contexte familial plutôt aisé. Il va se diriger vers des études juri-
dique et il va être influecé par les philosophe des Lumières.
Il appartient au mondede l’aristocratie mais en même temps il est attiré par ces principes nouveaux-
qui émergent de la philosophie des lumieres et des grands principe qui revoient a la liberté des ind.
Cela lui laisse entrouvoir la possibilité d’une nouvelle société. Il va s’interesser à une societe nou-
velle, un nouveau monde, caractérisé par la liberté. Ce nouveau monde se sont les USA. Il va deve-
lopper son interessenment en 1831 quand il va partir au USA dans un systeme d’etude sur le syste-
me penitencier. De retour en France (un an aprés) il va s’attacher a rediger son premier ouvrage « de
la démocratie en amerique ». Dans cet ouvrage on trouve un recit detaillé de ses observation sur le
systeme pol américain et le syst de démocratie representative en place auUSA. Cet ouvrage est ou-
blié en 1835. Ensuite, il va se lancer dansune carrière politique il sere élu député a plusieurs reprise
jusqu’a devenir ministre des affaires etrangere en 1848. Il fera enseuite partie de l’assemblé consti-
tuante , cette experience sera de courte duré car cp d’etat de Nap 3 qui met fin

Deuxieme ouvrage « l’ancien regime et la révolution » 1856 et en 1859 Tocquville meurt.

Tocquville a été assez influencé par la société de son époque et c’est justement parce qu’il est atten-
tif a la société qu’il vas’opposer au systeme monarchique et qu’il va promouvoir la d émocratie.
Pour lui la démocratie americaine est la forme la plus abouti de la démocratie. Il se justifiera par les
avantages qu’offre ce regime.Les avantages :
-Il garantis le bien être aux individus
-Il s’agit d’un sst politique qui permet de renforcer les égalité entre les individus / cette démocratie-
sera capable de faire s’atténuer les arrières entre les différents groupes sociaux (=déplacement pos-
sible sur l’echelle sociale)
Par la minutie de ses info et la methode, mais aussi par la portée de ses travaux sur la démocratie,
on ne peut que considerer Tocqueville comme l’un des précurseur de la pensée sociologique.

1) « De la démocratie en Amerique »

Cet ouvrage va devenir une forme de ref pour tt les partisants du parti libéralisme pol. Il part d’une
hyp, l’avénement prochain irrésistible, universelle de la démocratie dans le monde. L’emergence de
la démocrztie est inéluctable
« Le developpement graduel de l’égalité est un fait providentiel, il en a les principaux caractères, il
est universel, durable ; il échappe chaquejour a la puissance humaine, tous les évènements comme
tous les hommes ont servi à son developpement. Serait-il sage de croire qu’un mouvement social
qui vient de si loins puisse petre suspendu par une génération ? Penses-t-on qu’après avoir detruit
la féodalité et vaincu les rois la démocratie reculera devant les bourgeois et les riches ?S’arretera-
t-elle mtn qu’elle est devenu si forte et ses adversaires si faible ? »

On comprend que la démocrtaie et snonyme d’un nouveau monde, d’une nouvelle page et par l’oc-
casion on comprend que la démocratie n’est pas compatible avec la monarchie. Dexuieme élément
que l’on peut lire a travers cette citation c’est que les société, les ind notament ceux qui detiennent
le pouvoir ne seront pas en mesure de s’opposer a l’avènement d’une societe démocratique. Le pro-
cessus démocratique va s’imposer quoi qu’il arrive car la démocratie porte avec elle ses principes
de liberté et d’égalité qui correspondent a l’inspiration de tt individu.

De manière un peu plus general, l’intention de Tocqueville c’est de décrire les transfo générale qui
sont provoquées par la démocratisation des sociétés modernes. Elle renvoi a un élément précis qui
est l’égalisation de la condition des individus.Contrairement aux societes d’ancien régime, l’objectif
de la démocratie n’est pas de reproduire l’ordre social existent qui oppose un groupe de dominant a
une masse de dominé, dans le système démocratique la conditon d’un individu n’est plus hereditaire
et donc chaque individu peu acceder a différentes positions sociales.

Pour lui la révolution démocratique va se fzire et l’élément fondamentale c’est l’émérgence du prin-
cipe d’egalité. Il reste assez prudent sur le principe car selon lui pousser trop en avant se principe
pourrait nuir a la liberté des individus. Si l’objectif d’égalité des condtions est poussé jusqu’au bout
alors pour l’atteindre il se peut que les libertés des individus soient restreintes.

« A quelles conditions une société où le sort des ind tente à devenir uniforme peut-elle ne pas som-
brer dans le déspotisme ? »
En gros comment on peut reussir a favoriser ‹ egalité sans porter atteinte aux principes qui garantis-
sent la liberté.

Il n’est pas la pour fire la promotion de la démocratie americaine, s’il s’interessea celle ci c’est
pzrce ue pour lui elle a reussit a conjuguer slibertés et égalités. Malgrés tt la démocratie n’est jamais
garantie une fois pour toute, il existe une sorte de menace qui pese sur la démocratie

4 grandes menaces qui pèsent sur les systèmes démocratique


L’individualisme : il va considerer que c’est une maladie infantile de la démocratie, il definit
comme étant une sorte de replie sur sois qui va conduire les ind a s’isoler de la masse des ind et qui
vont developper une espece de micro spciété pour satisfaire leur propre intérêt. Pour lui les compor-
tements individulistes génèrent de l’indifférence et mettre en danger à terme la cohésion soc et de-
stabiliser cette soc démocratique. Pour éloigner cette menace,T invite les indà s’investir dans la vie
collective càd les invite à participer à des mvt collectifs qui peuvent être de toute nature (civiles ou
pol) .
L’idée c’est que la démocratie ca se vit, s’entretient.

L’anarchie : elle apparait à partir du moment où une S démo offre une lib totale au point
qu’elle efface toutes les limites, quand toutes les valeurs sociales ne permettent plus de contenir
les individus. On a donc des règles de vie qui vont faire une sorte de régulation sociale qui
permettent d’éviter les débordements anarchiques.
Despotisme : 2 formes :
Démocratique : peut apparaitre dans les systèmes représentatifs. Il se manifeste par le fait que les
individus élisent un groupe d’élus donc la f est de s’occuper du pouvoir, un élu est un représentant
d’une majo or il se peut qu’avec le temps, les élus oublient qu’ils sont que des représentant. Alors
s’il y a oublie on peut ite basculer dans un autre régime qui n’est plus démocratique. De plus il y a
des choses qui doivent être garantie dans une S démo, lib de presse, des opinions individuelles…
De la majorité : il intervient lorsque c’est le principe de la majorité qui détermine les règles de
fonctionnement d’une société si c’est l’opinion générale qui est majoritaire dans la prise de
décision. La majorité ne doit en aucun cas la capacité de décider en permanence de la conduite
des affaires publiques car sinon nous allons tomber dans une nouvelle forme de dictature.
Risque de centralisation : pour AT c’est ce qui conduit a la constitution d’un pouvoir unique
et tout puissance qui distance l’individu de participer a la vie collective. De ce faite il n’a plis besoin
d’y participer donc de réfléchir et de se forger des idées. Pour AT une QS centralisé c’est une S qui
risque de voir ses principes remis en cause.

Cause et raison d’AT pour justifier la persistance de la société démocratique américaine :


Les causes contingentes : envoient au fait que les EU sont une S toute nouvelle dont les bases
ont été jetées sur un territoire vierge de tout passé, toute institution. Co il n’y avait pas de S
politique, les EU ont pu construire une S démo sans avoir le souci des anciennes.
Les causes culturelles : AT voit dans le peuple américain un esprit de liberté qu’il ne trouve pas
dans les S européennes.
Les causes institutionnelles : elles renvoient a l’organisation administratif de la démo
américaine, AT voit la décentralisation des S américaines.
AT recommande à toutes les sociétés démocratiques de garantir l’existence de contre-pouvoir.
Parmi ces contre-pouvoirs, il y a la presse, les associations ; les croyances. Les croyances peuvent
ainsi être à la base de regroupement d’individus et renvoient à des systèmes de valeurs qui vont
conduire les individus à agir d’une manière ou d’une autre. La croyance ne s’impose pas aux
institutions démocratiques.
La méthode suivis par AT est ce que l’on appellerait adj une démarche de socio-histoire, démarche
qui a la capacité d’analyser une S au regard du contexte dans lequel ses évolutions se sont
produites.
2) L’ancien régime et la constitution.
Il constate que dans l’histoire il y a des cycles qui varie entre révolution et despotisme. Il s’appuie
sur des faits précis, il va donc mettre e // la révolution de 1789 et le coup d’état de N en 1799 puis
la révolution de 1848 avec le coup d’état de NIII en 1851. Cette alternance des cycles va se faire
poser des qq a AT, pourquoi est-ce qu’il est aussi difficile d’établir des institutions libres ? pour AT,
ce qui rend difficile l’affirmation d’institutions libre, c’est la force de l’administration centrale qui
est hérité de la S d’anciens régimes. Les révolutions reversent le pouvoir et renverse des
institutions, mais la révolution ne fait pas tomber toutes les institutions aristocratiques. Certaines
institutions centralisées ne vont pas être renverser mais seulement modifier / adapter et vont
garder des caractéristiques d’anciens régimes. Les mouvements révolutionnaires ne se pas en
capacité de poser les bases de nouvelles institutions libres car la centralisation demeure. Pour AT,
la démocratisation dans un pays comme la France est toujours accompagnée d’une centralisation,
ce qui expliquerai selon lui ses échecs successifs.
Les groupes d’individus on une tendance presque naturelle à ne rechercher que la satisfaction de
leurs intérêts particuliers. Seul une participation à la vie collective peut amener les individus à
œuvrer pour l’intérêt commun afin de limiter l’individualisme. Mais des que la vie collective
commence a s’estomper, les individus ont tendances a se préoccuper à nouveau de leurs propres
intérêts donc la société va se diviser entre les groupes ui dans un premier temps vont être
indifférent les uns aux autres mais qui dans un second temps vont commencer à s’opposer. On a
une société qui ne permet pas d’assurer un minimum de cohésion sociale ni la recherche d’un bien
collectif. En conséquence, pour corriger la situation, il va falloir une intervention extérieure qui va
se matérialiser dans l’intervention du pouvoir centrale. Or ce pouvoir centralisé va très vite devenir
une nouvelle forme de domination / despotisme.
« La raison n’investit pas l’histoire. Ce ne sont pas des institutions nouvelles et meilleur qui
naitront à partir des anciennes. Une force de la nature se fait jour qui ne peut pas progresser mais
seulement se figer dans l’immobilisme ».
Tant que l’on n’aura pas substituer les instituions d’anciens régimes, on sera dans une espèce
d’immobilisme sociale, historique.
On retrouve ici une démarche d’analyse socio-historique, AT analyse l’histoire de la socio. Il
attribue aux institutions mais aussi au H une capa a prod des phénomènes sociaux. Pour faire cela,
AT va recourir un certain nb d’outils comme une travail d’archives avec des docs qui vont
correspondre à des perso politique, ana de textes officiels ; procès-verbaux des diff assemblés. Il
utilise aussi la méthode de la comparaison et il va se lancer dans des études comparatives entre
société aristo et S démo.

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