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B. WALTER, B. BAUMANN,
H. BARTHéLéMY
Chirurgiens-dentistes
R
Les échecs thérapeutiques doivent- ecréer l’esthétique d’un
ils conduire à une réflexion et à leur sourire naturel est un défi
analyse critique ? quotidien. Les moyens
Quelles sont les limites d’indication pour y parvenir sont nom-
breux, et nous n’avons que
des facettes collées dans le secteur
l’embarras du choix.
antérieur ?
Il suffit de suivre l’évolution des pro-
Quels sont les critères à considérer cédés et des matériaux en dentisterie
lors de la prise de décision esthétique pour se rendre compte de
thérapeutique ? l’éventail de solutions auxquelles se
Comment mettre en œuvre les trouve régulièrement confronté l’omni-
systèmes céramo-céramiques pour praticien dès lors qu’il s’agit de pren-
couronnes unitaires dans ce secteur ? dre une décision thérapeutique pour
recréer un sourire. Et dans certains cas,
malgré tous les moyens susceptibles
1 2
Description
du cas clinique
Motif de la consultation
Dans cet article, nous nous proposons de
décrire les circonstances qui ont amené
cette jeune patiente à notre consultation,
d’analyser la situation et les raisons qui ont
vraisemblablement contribué à l’échec du
traitement par facettes et enfin d’apporter
les arguments et les critères décisionnels
quant au choix de la solution de la restau-
ration prothétique proposée et finalement
réalisée.
Cette jeune fille âgée de 19 ans, étudiante
en droit, consulte car les facettes réalisées
il y a quelques mois à peine au maxillaire et
à la mandibule, se décollent très régulière-
3 ment. À son problème esthétique s’ajoute
un problème de sensibilité dentinaire.
Pendant l’interrogatoire, elle laisse entre-
d’être mis en application, le résultat du voir au maxillaire :
Fig. 1 Photo de la patiente
traitement peut être un échec. La situa- • les 11, 21, 22 et 23 qui sont d’un aspect
âgée de 12 ans.
tion mérite alors d’être analysée avec dis- correct,
Fig. 2 Sourire avant cernement et pragmatisme. • à côté, 12 et 13 qui paraissent courtes,
traitement.
Nous avons fait le choix d’évoquer le cas • de part et d’autre, des prémolaires forte-
Fig. 3 Vue endobuccale. d’une jeune fille qui se plaint d’avoir perdu ment tachées de blanc qui rappellent une
son sourire. Les facettes qui recouvrent forme d’anomalie tissulaire.
ses dents antérieures ne cessent de se Les dents mandibulaires antérieures sont
décoller et l’empêchent de vivre norma- bien moins visibles.
lement sa vie d’étudiante. Elle demande C’est pour masquer cet effet disgracieux
avec insistance qu’une solution soit rapi- de taches blanches qui touchait les incisi-
dement trouvée car le préjudice moral ves et les canines maxillaires et mandibu-
et l’inconfort fonctionnel qu’elle subit à laires, que la jeune patiente, à sa majorité
cause d’un sourire ébréché sont impor- et avec quelques économies, a pris la déci-
tants. C’est pour elle une angoisse de sion de faire recouvrir toutes ces dents.
chaque instant de tout à coup sentir une Des documents photographiques, appor-
facette se dérober de son support. tés par la patiente, qui la représentent à
l’âge de 12 ans, nous permettent d’ap- de faible hauteur sont choquantes par
précier l’état initial de la denture dans leur déséquilibre avec les facettes sur les
le secteur antérieur, avant traitement dents contro latérales 22 et 23 selon un
orthodontique et prothétique (fig. 1). rapport de 1 sur 2. Cela signifie que seule-
Examen clinique exobuccal ment la moitié de la facette sur 22 repose
Nous observons un visage bien propor- sur la dent préparée !
tionné aux traits réguliers. Les lèvres sont • Les prémolaires et molaires sont indem-
charnues mais un léger sourire laisse nes de carie, de forme et de volume
apparaître l’arcade maxillaire jusqu’aux normaux, mais l’émail présente des ano-
deuxièmes prémolaires (fig. 2). On peut malies de structure et de teinte. Elles se
comprendre la nécessité pour cette toute traduisent par des opacités en marbrure,
jeune adulte d’avoir eu recours à la pro- de faibles pertes de substances puncti-
thèse. formes avec alternance de plages très
Examen clinique endobuccal claires d’émail blanc crayeux sur un fond
Examen des arcades amélaire plutôt grisâtre (fig. 5). Si l’on se
Au maxillaire L’arcade est complète avec réfère à la description de l’amélogenèse
un alignement correct sans malposition imparfaite héréditaire de type hypocalci-
(fig. 3). fiée/hypomature, qui est une anomalie de
• 11, 21, 22 et 23 sont restaurées avec structure qui affecte l’émail d’anatomie
des facettes en céramique de forme et de normale, mais dont la minéralisation et/ou
teinte acceptables, qui, selon la patiente, la maturation matricielle sont défectueu-
sont collées. Elles reconstituent les faces ses, la présomption d’une amélogenèse
vestibulaires, le bord libre et le 1/4 de la imparfaite généralisée de type hypoma-
face palatine. Du côté palatin, le joint avec ture peut être avancée dans ce cas d’émail
l’émail est irrégulier, de mauvaise qualité taché de blanc (1, 4, 7, 12, 15).
et ne répond pas aux critères d’étanchéité.
• 12 et 13 sont réduites à des préparations
pour des facettes qu’on a cessé de recol-
ler ! Ces préparations, exposant la dentine,
sont délimitées par un congé irrégulier
bordé par endroits d’émail, en situation
juxta ou supragingivale, qui s’étend vers
les faces proximales sans passer les points
de contact et qui se termine quasiment à
l’horizontale dans la partie occlusale de la
couronne (fig. 4a et b). Ces préparations
4a b
Le diagnostic différentiel avec des anoma- petite surface avec des limites cervicales
lies d’origine environnementale requiert dissimulées sous la gencive, ne concerne
néanmoins une certaine attention. Une que les faces vestibulaires (fig. 7a et b).
fluorose dentaire (fig. 6) peut être évo- Les principes de préparation pour facet-
quée sur un critère topographique, toutes tes n’ont donc pas été respectés. Toutes
les dents étant atteintes. L’interrogatoire, les autres dents présentes sur l’arcade,
qui ne révèle pas d’exposition chronique les prémolaires et les molaires sont éga-
à des doses élevées en fluorures durant lement atteintes d’anomalies de l’émail et
la période de minéralisation de la denture comme au maxillaire, l’anatomie coronaire
permanente, n’aboutit pas au diagnostic n’est que très peu affectée et les cuspides
de fluorose. L’amélogenèse imparfaite vestibulaires sont à peine émoussées. La
hypomature est confirmée. surface de l’émail est dure, brillante et ne
Fig. 6 Fluorose dentaire montre encore aucune zone d’usure : la
généralisée. À la mandibule L’arcade est également stabilité de la dimension verticale d’occlu-
Fig. 7a Atteinte de complète et l’alignement correct. Les sion semble assurée.
l’intégrité parodontale dents du secteur incisivo-canin sont tou-
du bloc incisivo-canin tes réduites à des formes de préparation Relation intermaxillaire
mandibulaire. qui étaient destinées à des facettes vesti- Rapports dento-dentaires statiques
b Préparations pour bulaires qui n’ont pourtant duré que quel- Dans le secteur postérieur, l’ensemble
facettes des dents ques semaines ! Le manque de précision de ces observations est plutôt en faveur
mandibulaires.
de ces préparations dentinaires, de trop de rapports d’occlusion corrects, stables
et du maintien de la dimension verticale
d’occlusion malgré quelques appuis occlu-
saux plus faibles par endroits, variables en
fonction de l’épaisseur de l’émail (fig. 8).
Dans le secteur antérieur, le recouvre-
ment est important de 11 à 23 (fig. 3). Les
dents 12 et 13 sont en inocclusion avec
les dents mandibulaires.
Rapports dento-dentaires
dynamiques
Le recouvrement important associé au
mauvais rapport dent-support/facette (1
sur 2 au maxillaire) est une hypothèse
dans le décollement fréquent des facettes
lors de la mastication. La protrusion est
7a b
préparée pour une facette), dans les cas • Considérons maintenant les dents et
Fig. 9 Status rétro-
alvéolaire. d’amélogenèse imparfaite, hyperminérali- les rapports occlusaux. Dans le secteur
sée, elle rend l’efficacité du collage moins antérieur les dents 12 et 13 ainsi que les
prédictible. D’autre part, l’amélogenèse dents mandibulaires sont courtes et l’es-
imparfaite, quel qu’en soit le type (hypo- pace prothétique réduit (fig. 3). La dimen-
plasique, hypocalcifié, hypomature) est sion verticale d’occlusion est maintenue
une atteinte ultrastructurale de l’émail dans les secteurs latéraux (fig. 8). Dans la
avec des anomalies de cristaux et une mesure où la patiente n’avait pas souhaité
exposition de la matrice organique. Le faire recouvrir les prémolaires et les molai-
collage sur l’émail hypomature, dont la res, la restauration prothétique devait s’in-
minéralisation et la maturation matricielles tégrer dans ce contexte occlusal serré.
sont défectueuses, n’est pas sans risque La hauteur avant préparation était déjà
et les imperfections engendrées sont sus- faible et la surface dentinaire vestibulaire
ceptibles de créer des faiblesses dans le destinée à recevoir la facette pouvait
joint de colle. Le collage est ainsi reconnu d’emblée être estimée (fig. 4a). Le rap-
difficile et incertain. Certains auteurs vont port surface de collage/taille totale de
jusqu’à préconiser de préparer la surface la facette est donc défavorable dans la
amélaire avec une solution d’hypochlorite mesure où celle-ci doit répondre à des
de sodium à 5 % pour en dénaturer les critères esthétiques acceptables pour le
protéines et entamer la couche externe secteur antérieur.
aprismatique afin d’optimiser le collage S’agissant du secteur antérieur, les fonc-
(5, 14). Face à ces difficultés et à ces tions incisives et canines sont principale-
incertitudes, l’intérêt et l’indication du col- ment assurées par les facettes. Dans ce
lage de facettes sur ce type de substrat contexte de dents courtes et serrées, le
doivent inciter à la prudence d’autant que désengrènement des secteurs posté-
la littérature manque encore actuellement rieurs est pris en charge par la portion
de consensus sur ce sujet. Et pour ne non soutenue de la facette qui subit des
citer que Magne (11), doué d’une expé- contraintes de flexion. Seul le collage
rience qui n’est plus à prouver, pour ces de la partie soutenue permet de mainte-
cas de malformation des tissus durs, il se nir la cohésion des structures. Mais si la
contente le plus souvent de simples pré- contrainte mécanique est trop élevée, la
parations périphériques pour couronnes. fracture voire le décollement de la facette
En conclusion à cette observation, on peut se produire (3).
peut dire que les facettes n’étaient pas Cet échec a été encore précipité par le
indiquées. non-respect des principes de préparation :
•manque de précision des épaisseurs manger sans souffrir. Elle demande que
et des limites placées dans un émail de les secteurs incisivo-canins soient restau-
mauvaise qualité créant un joint de colle rés rapidement en préservant au mieux
défectueux, les structures dentaires restantes et, pour
• des retours palatins placés dans les des raisons financières évidentes, ne sou-
zones d’occlusion des faces palatines qui haite pas d’intervention sur les prémolai-
augmentent la fragilité des facettes (10, res et les molaires,
16), • les conditions dento-parodontales qui
• des retours linguaux plats et sans pré- font état :
paration, - de dents vitales courtes, très sensibles
• des limites proximales trop discrètes déjà partiellement préparées,
qui se finissent sur une face vestibulaire - d’un parodonte inflammatoire en regard
courte, sans passer sous le point de des préparations,
contact, - d’un contexte occlusal serré déterminé
• des limites sous-gingivales mandibulai- par une dimension verticale d’occlusion
res qui font douter de la qualité du collage bien calée sur les secteurs latéraux.
(fig. 7a).
Pour conclure, de l’ensemble de ces obser- La solution thérapeutique pérenne qui
vations, nous avons tenté de dégager les répond le mieux à ces exigences consiste
causes de l’échec des facettes. On peut en la réalisation de restaurations par cou-
dire que la seule surface préparée sur la ronnes unitaires en céramique sur dents
face vestibulaire paraît véritablement trop vitales de 13 à 23 et de 33 à 43.
peu étendue comparée à la hauteur des La céramique est le matériau esthétique
facettes. Cette disproportion laisse augu- par excellence qui doit dans ce cas être
rer de l’importance des contraintes en utilisé :
traction et en cisaillement sur la jonction • pour optimiser l’esthétique du secteur
prothétique. antérieur, en s’affranchissant de toute
Le matériau céramique n’a ici a priori pas structure métallique,
eu d’incidences sur les causes de l’échec, • pour respecter les contours gingivaux en
il a en effet présenté suffisamment de plaçant les limites cervicales en situation
résistance pour ne pas se fracturer. juxtagingivale, sans que le bord cervical
Le tableau clinique tel qu’il s’est présenté de la restauration devienne visible.
pouvait bien être la conséquence d’une En présence ici de supports dentaires
analyse préprothétique insuffisante sur courts, l’utilisation de la forme tout céra-
les plans esthétique et fonctionnel, qui mique exige de réaliser de préparations
n’a tenu compte ni de la qualité des tissus qui assurent la rétention, la stabilisation et
malformés, ni de la petite taille des dents, la résistance mécanique de la céramique
ni du contexte occlusal. Le non-respect aux contraintes de cisaillements inhérents
des principes de préparation, sans doute au secteur antérieur. La seule préparation
aggravé par un assemblage inapproprié et appropriée est la préparation corono-péri-
un manque de rigueur dans l’exécution, a phérique avec un congé à angle interne
dans ce cas abouti à un échec. arrondi.
Pour des raisons esthétiques évidentes,
Proposition notre choix s’oriente vers un système
thérapeutique tout céramique en mesure de satis-
La décision thérapeutique dans cette faire les effets optiques souhaités dans
situation clinique doit prendre en considé- ce contexte de dents claires, blanchâ-
ration un certain nombre de critères psy- tres sans pour autant être en trop grand
chologiques, esthétiques, fonctionnels, contraste avec l’émail taché nettement
parodontaux et mécaniques : visible à partir des prémolaires lorsque la
• la notion d’urgence est imposée par patiente sourit.
les 19 ans de la patiente qui désire tout Pour des raisons de restauration fonc-
simplement sourire en toute sérénité et tionnelle ce système doit répondre à des
10a b
Fig. 15 Détail de
l’empreinte en technique
de double mélange.
Fig. 16a Chapes en
e.max ® Press.
b Chapes maxillaires sur
leurs dies.
c Chapes mandibulaires
sur leurs dies.
Fig. 17a Essayage des
chapes en bouche.
b Détail au maxillaire,
noter la précision de la
limite.
15
16a b c
18a b
c d e
et enfin les contacts occlusaux. Dans la • une forte adhésion à la dentine, sans
Fig. 18a Céramiques
maxillaires glacées mesure où tous ces points donnent satis- mordançage à l’acide orthophosphorique,
et maquillées, vue faction, l’assemblage sur les piliers est évitant le risque d’agression de l’organe
vestibulaire. décidé. pulpaire,
b Vue palatine. Assemblage (fig. 19a à f) • une bonne mouillabilité,
Les restaurations en matériau céramique • une faible solubilité,
c Céramiques
mandibulaires glacées et peuvent être assemblées de diverses • un relargage continu de fluor,
maquillées. manières, sans aucune exclusivité. Le col- • une bonne radio opacité,
lage trouve toute son indication pour l’as- • une très bonne fluidité,
d Translucidité et rendu
esthétique. semblage des couronnes à infrastructure • une faible « épaisseur du film de
en céramique pressée. ciment »,
e Détail du maquillage et
Néanmoins, l’apparition de matériaux • pas d’utilisation de la digue, donc pas de
de l’intrados.
hybrides tels que les CVIMAR permet un risque de traumatisme parodontal.
mode d’assemblage efficace, durable,
sans préjudice esthétique, et surtout sim- Les excès de ciment sont ensuite enle-
plifié. vés très méticuleusement. La première
Ils trouvent par ailleurs leur indication en impression de la jeune patiente est le
présence de préparations périphériques contact lisse et agréable de la céramique.
sous-gingivales (2). Pour ce cas nous Le sourire est radieux (fig. 20). Lors d’une
avons sélectionné le Vivaglass® Cem PL. visite de contrôle, elle exprime son bon-
Il s’agit d’un ciment de scellement verre- heur d’avoir tout simplement des dents
ionomère, autopolymérisant avec : qui ne sont d’aucune gêne et qui sont plus
• une haute translucidité, belles qu’elle ne l’espérait (fig. 21a et b).
19a b c
d e f
20 21a b
lectures conseillées
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