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Introduction 2
Conclusion 36
Bibliographie 37
Introduction
Le Maroc, à la veille de la colonisation, se caractérisait par des disparités régionales qui trouvent
leurs explications dans le caractère contrasté et disséqué du territoire marocain, mais aussi dans
l’héritage historique colonial qui a divisé le territoire national en « Maroc utile » et « Maroc inutile ».
Aussi, l’échec de certains choix politiques publiques et l’absence d’une réelle coordination entre les
différents intervenants viendront consacrer, voire accentuer, après l’Indépendance, ces inégalités
territoriales.
En outre, un contexte international, marqué par la création de groupes économiques régionaux, la
libéralisation élargie des échanges, l’exacerbation de la concurrence internationale, la rapidité de
l’innovation technologique et la révolution soutenue de la communication, ainsi un contexte national
caractérisé par une forte transition démographique, économique, sociale, politique et territoriale.
L’aménagement des territoires à l’échelle locale, régionale, nationale et des unions économiques se
révèle le support de toutes les réponses possibles aux défis internes et externes.
C’est pour cela, que chaque collectivité territoriale est désormais appelée à s’organiser et à inventer
ses propres solutions pour faire face aux changements, et agir en vue d’accroître la compétitivité de
son territoire et de produire les conditions de son développement durable1. Une telle orientation
implique, non seulement la mise à contribution de l’ensemble du potentiel de développement de
chaque collectivité, mais aussi l’intégration des opportunités qu’offre la mobilité des produits, des
hommes, des capitaux et des savoirs inhérente.
La simple vision de l’aménagement territorial s’avère insuffisante vue le changement des conditions
et les exigences de la population qui devient de plus en plus avertie et difficile à satisfaire. Le concept
de l’aménagement territorial, tend vers une étape plus avancée, actualisée et à jour par rapport aux
nouvelles données du pays, à savoir le développement territorial. En fait, le développement
territorial se basent principalement sur des projets qui renvoient à une nouvelle démarche en
rupture avec la vision traditionnelle de la planification au niveau de laquelle, l’ensemble des projets à
réaliser étaient décidés et appliqués par les administrations centrales. Ils reposent ainsi, sur un
nouveau type d’actions impliquant de plus en plus les collectivités et les acteurs territoriaux pour
identifier et réaliser les actions qui correspondent à la mise en valeur des atouts des territoires, en
adaptant les projets au potentiel spécifique du lieu2.
Le développement territorial du Maroc n’a de sens que s’il s’inscrit dans une démarche intégrée de
recherche de performance, d’innovation et de développement durable. C’est pourquoi, tous les
projets d’aménagement du territoire sont basés sur la création de concepts territoriaux favorisant les
projets à grande valeur ajoutée, générateur d’emplois et s’inscrivant dans une démarche de
développement durable, impliquant une approche participative, partenarial pour l’instauration de la
gouvernance territoriale.
D’où notre problématique qui est la suivante : « Dans quelle mesure le Maroc a pu dépasser
l’ancienne conception de l’aménagement territorial vers un développement territorial durable et
intégré ? »
Les hypothèses :
Qui sont les acteurs du développement territorial, et dans quelle contexte juridico-constitutionnel
intervienne-ils ?
Quels outils de planification et de gouvernance pour une politique de développement territorial
durable et intégré ?
Le développement territorial : Quelle réalité pour la région Fès-Boulmane ?
6
Le territoire, précise bien Courlet, ne peut se réduire à l’interaction entre les trois dimensions que
constituent les économies d’échelle, les coûts de transport et les économies d’agglomération.
Les objectifs de l'aménagement du territoire
De manière opérationnelle, en matière d'aménagement du territoire, on retrouve diverses formes
d'objectifs.
Objectifs économiques : Assurer la croissance économique des régions et partant de l'économie
nationale dans son ensemble (support de la croissance), assurer une utilisation optimale de l'espace
et des ressources naturelles et humanitaires ;
Objectifs sociaux : Rechercher la justice sociale par une meilleure répartition des fruits de la
croissance, des équipements, des équipements et des infrastructures socio-collectifs, corriger les
disparités intra et inter spatiales de développement
Objectifs politiques : Résoudre des problèmes de cohésion nationale, éviter les problèmes de
dislocation de l'ensemble nationale, intégrer les localités (régions, communes) à l'ensemble national.
Objectifs environnementaux et écologiques : Maîtriser les problèmes de dégradation de
l'environnement, améliorer le cadre de vie, l'espace de vie.7
L'aménagement du territoire assure en effet un rôle de mise en cohérence des différentes
dimensions du territoire en vue d'assurer la compatibilité entre ses diverses fonctions. En mobilisant
diverses disciplines (géographie, l'économie, l'histoire, la sociologie, l'écologie, le droit, etc.) il
cherche à proposer une réponse coordonnée à une problématique, et non autant de réponses que
de regards disciplinaires.
En tant que processus de décisions publiques, l'aménagement du territoire doit intégrer
l'information de la population, sa participation, la concertation entre les acteurs, etc. pour élaborer
des politiques et modalités consensuelles de gestion du territoire. Face à la demande de gestion du
paysage, l'aménagement du territoire se positionne donc comme une discipline et une technique
ouverte aux divers regards scientifiques et sociétaux, à travers une démarche pluridisciplinaire et
concertée.8
Le développement territorial :
Le concept de développement territorial s’inscrit en rupture avec une tradition plus longue d’études
en développement régional et il ne repose pas encore sur un corps de doctrines ou de théories
fortement stabilisées. Il unit d’ailleurs deux notions – développement et territoire – qui sont des
réalités que nous avons grand peine à rendre intelligibles. Mais on peut penser que le territoire ne se
définit pas par son échelle mais par son mode d’organisation et par la manière selon laquelle les
acteurs constitutifs des territoires s’y coordonnent. « Le territoire est avant tout un construit
d’acteurs en vue de résoudre un problème productif » (PECQUEUR, 2000). 9
Le développement territorial vise à rendre les territoires attractifs et compétitifs. C’est une nouvelle
manière de concevoir et d’organiser le devenir des territoires par la valorisation de leurs ressources,
à la rencontre du développement local et régional, de l’aménagement et de la gestion territoriale.
Dans les mutations à l’œuvre, l’intégration communautaire et la décentralisation jouent un rôle
essentiel, obligeant à une gouvernance multi niveaux, invitant à dépasser les frontières et à
renouveler tout à la fois les principes, les outils et les politiques territoriales.10
En somme, le développement territorial solidaire repose sur une meilleure compréhension des liens
d’interdépendance entre les économies rurales et urbaines, sur la reconnaissance du droit des
communautés rurales de se développer en mettant en valeur les ressources disponibles sur leur
territoire.
Cet héritage peu enviable pour l'Etat indépendant lui imposa la nécessité de rompre avec le modèle
de développement économique qui a prévalu durant la période coloniale. Mais la première difficulté
que rencontra le Maroc au lendemain de son indépendance fut la fuite des capitaux et la chute en
volume des investissements en valeur absolue et relative. Ceci découle du fait que le Maroc ne
représentait plus une "terre de refuge" pour les capitaux étrangers en raison du caractère violent de
la lutte pour l'indépendance.11
C'est dans ce contexte socio-économique que le gouvernement d'Union Nationale élabora le premier
plan quinquennal 1960-1964, dans sa première version, qui s'est défini comme un plan de transition
d'une économie coloniale à une économie nationale.
Le second Plan Quinquennal 1968-1972 reprend les mêmes options que le plan triennal 1965-67 en
fixant un taux de croissance de 4,3% par an, la part des investissements publics et semi publics reste
prépondérante : 80%. L'accent sera mis sur l'agriculture tournée vers l'exportation et l'industrie
légère.
Dès l’indépendance, l’aménagement du territoire a bénéficié d’une place de choix, où il est passé
d’une phase de tâtonnements à une phase de raffermissement. Un grand chantier est immergé dans
ce domaine.
La loi comprendrait :
la délimitation territoriale des zones de montagne, les mesures incitatives à l’investissement et les
conditions de préservation des ressources ;
la définition des conditions de conception de révision et de mise en œuvre des documents
d’aménagement du territoire, en particulier le schéma directeur d’aménagement et de
développement des zones de montagne qui établit, sur la base des atouts et des contraintes locales,
un plan d’occupation des sols (zoning) de l’espace montagneux , considéré à cet effet, comme
référence destinée à orienter et coordonner les interventions des différents acteurs ;
la création de structures dédiées à l’aménagement et au développement des zones de montagnes :
L’Agence Nationale de développement des zones de montagne et les Comités de Massifs viendraient
appuyer les mécanismes de coordination et de péréquation préconisées par la législation en vigueur
dans le cadre de l’intercommunalité ;
la création d’un fonds national destiné au financement des programmes de développement des
zones de montagne, et qui complétera et renforcera les instruments de financement, actuellement,
disponibles aux niveaux des services de l’Etat, des communes rurales, et des conseils provinciaux et
régionaux. La loi définira, entre autres, les conditions d’éligibilité aux moyens retenus dans le cadre
de la coopération internationale, institutionnelle et décentralisée.
2. Les structures d’aménagement du territoire
La nature transversale de l’aménagement du territoire exige que soient mises en place des structures
chargées de la coordination des options, des interventions et des programmes tant au niveau
national que régional afin d’améliorer l’efficience des investissements et d’éviter les
dysfonctionnements qui peuvent découler de la divergence des visions et des orientations
spécifiques des différents secteurs de l’Etat et des collectivités locales.
2.1 le Conseil Supérieur d’Aménagement du Territoire et du Développement Durable
Il constitue la haute instance qui définit les grandes orientations de la politique nationale
d’aménagement du territoire et du développement durable et approuve les documents généraux et
sectoriels, à l’échelle nationale et régionale, d’aménagement du territoire. Il devra assurer dans une
vision prospective d’aménagement du territoire, l’intégration des différentes options et orientations
sectorielles.
Ce comité est présidé par sa MAJESTE LE ROI et comprend, outre les ministres, les présidents des
deux chambres du parlement et des commissions parlementaires, des partis politiques, des
principales centrales syndicales ainsi que les walis et les présidents de région, les fédérations des
chambres de commerce, de services, d’industrie et d’artisanat, d’agriculture et de la pêche maritime,
les représentants du patronat marocain et du secteur des banques, les directeurs des établissements
publics directement concernés par l’aménagement du territoire et d’autres acteurs désignés par SA
MAJESTE LE ROI.
2.2 la Commission Nationale Permanente d’Aménagement du Territoire et du Développement
Durable
Instance issue du Conseil Supérieur d’Aménagement du Territoire et du Développement Durable qui
lui confère le pouvoir décisionnel pour la mise en oeuvre des orientations nationales en matière
d’aménagement du territoire et du développement durable.24
Cette commission, présidée par le premier ministre, a pour mission de : suivre la mise en oeuvre des
options retenues par le conseil national d’aménagement du territoire et du développement durable
concernant la politique nationale en la matière, instruire les études, coordonner le dialogue et la
concertation entre les différents acteurs.
2.3 la Commission Régionale d’Aménagement du Territoire et du Développement Durable
Cette commission assure les fonctions suivantes :
4 unités territoriales :
Unité territoriale du Prérif;
Unité territoriale du Saiss ;
Unité territoriale du Moyen Atlas ;
Unité territoriale de la haute et moyenne Moulouya ;
L’existence d’une importante infrastructure agro-alimentaire;
L’existence d’un potentiel important en terrains bour pouvant faire l’objet d’aménagements fonciers
(remembrement, immatriculation, défoncement, épierrage, désenclavement…) ;
L’existence de gaps importants à rattraper en matière de productivité et de valorisation des
productions notamment au niveau des principales filières (Olivier, lait, céréales, viandes rouges,
viandes avicoles et les produits de terroirs) ;
L’existence d’un gisement important en matière d’économie d’eau d’irrigation;
L’existence d’un savoir-faire en matière de productions agricoles ;
L’existence d’un tissu d’Organisations Professionnelles des agriculteurs (associations, coopératives,…)
;
L’existence de trois entités d’encadrement agricoles dotées de ressources humaines ayant un
potentiel et une richesse considérable (près de 900 employés et fonctionnaires) ;
L’existence d’une importante infrastructure agro-industrielle privée notamment pour le lait et les
céréales ;
1.2. L’artisanat :
L’un des atouts de la région en matière d'artisanat, est sa localisation dans une zone agricole
importante permettant l'approvisionnement en matières premières nécessaires au secteur, surtout
le cuir, la laine et le bois, en plus de la disponibilité de l’argile. Ceci a permis à certains métiers de
l’artisanat utilitaire de trouver leur éclat; tels que les chaussures les babouches et autres.
D’un autre côté, la région se trouve être qualifiée en matière de développement de la production
d'articles d'art, notamment la broderie, les tapis, les ouvrages en cuivre et la poterie, sans oublier
l'artisanat de service, tels que les coiffeurs et les forgerons entre autres.
1.3. Le tourisme :
La région de Fès-Boulemane recèle des potentialités et des atouts touristiques remarquables
pouvant jouer un rôle de premier choix dans la promotion de la vie économique et sociale. La
typologie des produits touristiques qu’offre la région se présente comme suit:
le tourisme culturel: la région jouit d’un patrimoine très riche et très diversifié composé, entre
autres, de m’darssas, mosquées, hôtels traditionnels, portes, murailles et souks traditionnels qui
reflètent la créativité de l'artisan local;
le tourisme de montagne: grâce à l'existence dans la région d'atouts importants et diversifiés
notamment: la diversité naturelle, la multiplicité des sites, la présence de sources, des lacs, de forêts
et de cascades;
le tourisme thermal: grâce à la présence de plusieurs sources minérales et stations thermales,
notamment celles de Moulay Yacoub et Sidi Hrazem.
1.4. L’industrie :
Les potentialités naturelles que recèlent la région et l’infrastructure d’accueil dont elle dispose lui
permettent de participer amplement à la promotion économique et sociale du pays. En effet, la
disponibilité d’une structure d’accueil et d’une main d'œuvre qualifiée, la présence de ressources et
de matières premières diversifiées, en plus de sa localisation stratégique, sont autant de facteurs
susceptibles de faire d’elle un pôle d’attraction des investissements nationaux et étrangers, et une
locomotive pour le développement régional.
Par ailleurs, la ville de Fès constitue le principal pôle industriel de la région, puisqu’elle recèle
d’importants atouts, notamment sa localisation stratégique à l’intersection de deux axes principaux :
le premier reliant Casa à Oujda et le second Tanger à Errachidia, et l’abondance de la main d’œuvre.
2. Les contraintes et dysfonctionnement de développement de la région:
Les dysfonctionnements relevés concernent deux niveaux : le premier concerne le milieu rural qui
présente la fragilité de l’activité agricole et la dégradation des ressources naturelles. Le deuxième
concerne le déséquilibre des agglomérations urbaines ainsi que tous les phénomènes de la crise
urbaine.
La coopération métropolitaine doit se limiter aux actions stratégiques vraiment déterminantes et qui,
vraisemblablement, ne peuvent pas être réalisés autrement que par une action commune.
Dans une première phase les actions proposées de cette collaboration sont au nombre de 7.
la Réintroduction de l’eau,
la Réhabilitation et extension du patrimoine végétal,
la Réhabilitation du système hydraulique et du bâti historique
la reconstitution du bâti de service.
4. La station d'épuration des eaux usées de Fès
Le projet de la station d'épuration des eaux usées de Fès vient parachever les efforts menés par les
pouvoirs publics pour la sauvegarde de l'environnement de Fès et la mise à niveau de son système
d'assainissement Liquide (réhabilitation et extension des réseaux, installations de prétraitement …).
Le système adopté à boues activées, comporte deux filières de traitement distinctes :
une pour les eaux
une pour les boues.
5. La dépollution industrielle : Condition de réussite de l'épuration
L'objectifs est de Réduire la charge polluante industrielle de Fès en éliminant les matières
décantables et les matières toxiques : afin de ne pas compromettre le bon fonctionnement de la
future station d'épuration. Le projet vise la Réalisation d'ouvrages (stockage tampon, bassins de
décantation ou de régulation, extension de la station d'évaporation des margines), l'Organisation de
collecte par camion, la Régulation et homogénéisation pour éviter les chocs hydrauliques ou
biologiques et la Réduction à la source des rejets toxiques (dinanderies). Le coût global de
l'investissement est de 50 Millions de DH, 40% financé par la FODEP, 20 % par l'agence du Bassin
Hydraulique de Sebou et les 40 % restantes par les industriels.
6. Projet d’aménagement urbain de Fès
Un important projet d’aménagement a été lancé dans la ville de Fez par S.Mle roi Mohamed 6, ce
grand chantier d’un investissement de 5 milliards de Dirhams devrait être opérationnel d’ici 5 ans.
Ce projet, situé sur un terrain communal, sera réalisé sur une assiette foncière de 32 ha dans le cadre
d'un partenariat public-privé associant la commune urbaine de Fès, Al Omrane Fès et le groupe
Addoha.
Parmi les objectifs stratégiques du projet figurent le repositionnement de Fès dans l'armature
urbaine nationale et dans la compétition entre les grandes villes du Royaume en terme, notamment,
d'attraction des investissements.
Conclusion :
Depuis l’avènement du gouvernement de l’alternance, de nombreux chantiers de reforme et de
modernisation de la société marocaine sont ouverts et programmés. L’aménagement du territoire
fait partie de ce chantier29. Il traduit une prise de conscience de la nécessité de définir un projet
politique novateur de développement territorial fondé sur des valeurs de solidarité, d’harmonie et de
compétitivité en vue de faire du Maroc d’aujourd’hui et de demain un pays prospère, réconcilié avec
ses territoires et ouvert sur le monde.
Tout au long de notre travail, nous avons essayé de répondre à la question d’identification des
facteurs qui ont favorisé la transition d’un simple aménagement territorial vers un nouveau concept
de développement territorial dans le cas marocain, en l’occurrence la région Fès-Boulemane.
On constate que le Maroc a certes entreprise plusieurs projets favorisant le développement d’un
nouveau lien territorial, d’un nouveau sens de la responsabilité locale, orienté vers le
développement. Cependant, quelque soit la précision, la clarté et l’efficacité des choix et des
orientations de développement, la réussite des projets dépend des conditions favorables à leur
réalisation.
Bibliographie
OUVRAGES :
Olivier Duperon, « Transport aérien, aménagement du territoire et service public », Edition
Harmattan, 2000.
Délaubadère : « Droit Public Economique ». Précis Dalloz, réed. 1993, Paris.1987
Claude Courlet, « L’économie territoriale », Grenoble, PUG, 2008
Catherine Dubois, « Le paysage, enjeu et instrument de l’aménagement du territoire », Biotechnol.
Agron. Soc. Environ. 2009
Guy Massicotte, « Sciences du territoire : perspectives québécoises», Presses de l'Université ́ du
Québec, 2008
Instance centrale de prévention de la corruption, « Gouvernance entre la situation actuelle et les
dispositions de la nouvelle Constitution de 2011 », Maroc, Juin 2011
RAPPORTS EL MEMOIRE :
« CHARTE NATIONALE D’AMENAGEMENT DU TERRITOIRE ET DU DEVELOPPEMENT DURABLE »,
Ministère de l’Habitat, Urbanisme et de politique de la ville, Royaume de Maroc.
Rapport, « Prospective « Maroc 2030 » : éléments pour le renforcement de l’insertion du Maroc
dans l’économie de la connaissance », HCP, Maroc ; 2006
HCP, « La gestion de l’espace urbain au Maroc entre les logiques administratives et les logiques des
populations »
Etude de synthèse sur la stratégie de Développement de la région Fès-Boulemane, Groupe Caisse de
Dépôt et de Gestion, Avril 2005
Ahmed Nouijai& Isabelle Attané, « Bilan de l’expérience marocaine »,HCP, Maroc
Etude de synthèse sur la stratégie de Développement de la région Fès-Boulemane, Groupe Caisse de
Dépôt et de Gestion, Avril 2005
Région Fès-Boulemane : Eléments introductifs, Ministère de l’aménagement du territoire de l’eau et
de l’environnement, Inspection Régionale de l’aménagement du Territoire et de l’environnement de
la région Fès-Boulemane, 2006, PP : 44-45
Webographie :
http://www.territoires.gov.ma
http://www.institut-numerique.org/
http://www.mawarid.ma/
http://om.ciheam.org/