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I)Constats
A)Contexte
- démarche de résilience.
B)Objectifs
-maîtriser, adapter les dispositifs de réponse mais aussi d’anticipation, de détection du risque.
II)Du risque
A)Essai(s) de définition(s)
-champ d’application est très vaste.
Le risque « résulte de la superposition d’un aléa avec un enjeu. ON entend par aléa la manifestation
d’un phénomène naturel. Un aléa est caractérisé par sa probabilité d’occurrence et l’intensité de sa
manifestations. Les enjeux : se sont les dommages directs comptabilisables dès la fin de l’évènement
exceptionnel sur les habitations ou encore les infrastructures commerciales, industrielles… Il s’agit aussi
des perturbations économiques et sociales qui résident essentiellement dans les pertes d’exploitation
(..) ».
B)Essai(s) de catégorisation
1)Le risque métier
-directement lié à l’activité principale, au cœur de métier de l’organisation.
1
2)Le risque concurrentiel
Il s’agit du risque lié à l’activité des entités concurrentes à l’organisation.
3) Le risque financier
Celui-ci est lié à tous les aspects relatifs à la comptabilité et/ou aux investissements des organisations.
On peut définir le risque à la réputation comme « toute action, évènement ou circonstance qui pourrait
avoir un impact positif ou négatif sur la réputation d’un organisme ».
III)De la crise
On peut la définir en étudiant ses causes et ses origines mais aussi en envisageant ses conséquences.
Qualification de crise
Multiples et complexe.
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Section 1 : L’entreprise en difficulté : procédures de prévention
Le droit des entreprises en difficulté s’applique aux personnes physiques, exerçant une activité
commerciale, artisanale, agricole, professionnelle indépendante ainsi qu’aux personnes morale de
droit privé.
Pour les entreprises commerciales et artisanales c’st le tribunal de commerce qui est compétent et le
tribunal judiciaire dans les autres cas.
La cessation de paiements correspond à l’impossibilité pour une entreprise de faire face à son passif
exigible au moyen de son actif disponible.
C)Mesures proposées
1)La procédure d’alerte
Dans le cas où l’entreprise est dans une situation préoccupante, compromettant la continuité de
l’exploitation, l’alerte permet d’attirer l’attention des dirigeants et de les inciter à prendre les mesures
nécessaires afin d’y remédier. L’alerte peut être déclenchée par les associés de SARL ou de SA, par le
comité social et économique (CSE), par le président du tribunal, par le groupement de prévention
agréé auquel l’entreprise a adhéré.
a)Alerte interne
a.1)Alerte du Commissaire aux comptes (CAC)
Le CAC déclenche le processus d’alerte dans le cas où il constate au sein de l’entreprise où il exerce
son activité « tout fait de nature à compromettre la continuité de l’exploitation ».
Le CAC donc déclenche l’alerte pour attirer l’attention des dirigeants sur « tout fait de nature à
compromettre la continuité de l’exploitation qu’il a relevé à l’occasion de l’exercice de sa mission »
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a.2)Alerte du comité social et économique
Le droit d’alerte économique a été reconnu par la loi de 1984 au comité d’entreprise.
L’article L. 2323-78 du Code du travail prévoit que « lorsque le comité d’entreprise a connaissance de
faits de nature à affecter de manière préoccupante la situation économique de l’entreprise, il peut
demander à l’employeur de lui fournir des explications ».
Désormais depuis le 1er janvier 2018, le comité d’entreprise a été remplacé par le comité social et
économique (CSE) qui fusionne les instances représentatives du personnel.
En raison de la fusion des instances, l’initiative d’alerte appartient au seul comité social et économique
(CSE).
Le code prévoit que l’alerte économique peut être déclenchée « lorsqu’il a connaissance de faits de
nature à affecter de manière préoccupante la situation économique de l’entreprise ».
La loi donne l’initiative de déclenchement qu’aux associés non-gérants des sociétés à responsabilité
limitée, aux actionnaires des sociétés anonymes, aux actionnaires des sociétés en commandite par
action détenant au mins 5% du capital social.
Ce droit ne peut ici être exercé que deux fois par exercice.
La procédure comprend une première phase de questions écrites aux dirigeants et les dirigeants sont
obligés de répondre dans un délai d’un mois.
b)Alerte externe
b.1)Alerte par le président du tribunal
Article L.611-2 du code de commerce : le président du tribunal de commerce peut convoquer les
dirigeants des entreprises « lorsqu’il résulte de tout acte, document ou procédure qu’une société
commerciale, un groupement d’intérêt économique, ou une entreprise individuelle, commerciale ou
artisanale connaît des difficultés de nature à compromettre la continuité de l’exploitation »
Il s’agit des associations auxquelles peut adhérer « toute personne immatriculée au registre du
commerce et des sociétés ou au répertoire des métiers ainsi que tout entrepreneur individuel à
responsabilité limitée et toute personne morale de droit privé ».
Article L.611-1 « lorsque le groupement relève des indices de difficultés, il en informe le chef
d’entreprise et peut lui proposer l’intervention d’un expert ».
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2)Le mandat ad hoc
La procédure s’adresse à toute entreprise qui rencontre des difficultés quelle que soit leur nature.
3)La conciliation
L’entreprise en difficulté peut demander en justice l’aide d’un conciliateur pour négocier avec ses
principaux partenaires ou pour préparer une éventuelle cession dans le cadre d’une future procédure
collective.
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Section2 : L’entreprise en difficulté : procédures de traitement
On parle de procédure collective car lorsqu’une procédure est ouverte, elle concerne tous les
créanciers de l’entreprise qui perdent le droit d’agir individuellement et dont le traitement égalitaire
est garanti.
D’autre part, elle doit permettre la poursuite de l’activité de l’entreprise dans les meilleures conditions.
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a.2)L’interdiction des poursuites :
La seconde règle est donc l’arrêt des poursuites individuelles contre le débiteur. Comme l’interdiction
de payer, cette interdiction concerne les créances nées avant le jugement d’ouverture ainsi que les
créances nées postérieurement à l’ouverture de la procédure mais considérées comme non
privilégiées.
Maintenir l’activité de l’entreprise suppose que les contrats en cours soient préservés en dépit de
l’ouverture d’une procédure de sauvegarde.
Article L. 622-9 du code de commerce : « l’activité de l’entreprise est poursuivie pendant la période
d’observation(…) ».
Pour réaliser cet objectif, il y a une condition préalable qui s’impose : la poursuite des contrats en cours
pendant la période d’observation.
Un contrat en cours doit vérifier deux conditions : exister et être en cours d’exécution.
Le maintien du débiteur à la tête de l’entreprise se justifie ici par le fait qu’il n’y a pas encore de
situation de cessation des paiements. Mais concrètement, le débiteur est concurrencé dans l’exercice
de ses pouvoirs même si officiellement il est maintenu comme gestionnaire.
Ici le débiteur reste maître de son affaire. Mais, placé sous protection de la justice, il demeure soumis
au contrôle des organes de la procédure.
L’article L. 622-1 alinéa 1 précise : « Le débiteur continue à exercer sur son patrimoine les actes de
disposition et d’administration, ainsi que les droits et actions qui ne sont pas compris dans la mission
de l’administrateur ».
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La mission de surveillance de l’administrateur implique un contrôle a posteriori de la gestion du
débiteur.
Dans le cadre d’une mission d’assistance, une partie non négligeable des actes de gestion n’est valable
que si ces actes sont signés par l’administrateur et par le débiteur.
Il s’agit des créanciers dont la créance est née avant l’intervention du jugement d’ouverture ainsi que
les créanciers dont la créance est née après l’intervention du jugement d’ouverture mais ne vérifie pas
les conditions d’élection au rang de créance privilégiée.
Deux critères ici aussi : le critère chronologique (=sont admis comme créancier de la procédure ceux
sont la créance est née régulièrement après le jugement d’ouverture de la procédure ; le second critère
est téléologique (=sont élus créanciers ceux dont la créance répond aux besoins du déroulement de la
procédure, de la période d’observation ou en contrepartie d’une prestation fournie au débiteur.
Les licenciements éventuellement envisagés restent soumis aux dispositions du droit commun. (cf
infra)
Il faut bien évidemment avoir une bonne connaissance de l’état du patrimoine du débiteur. Il faut donc
dresser un inventaire dès l’ouverture de la procédure. C’est sur le débiteur que repose cette obligation
d’inventaire.
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Ensuite, la connaissance du patrimoine du débiteur suppose aussi que soient connus les droits de
propriété d’autrui existant sur les biens détenus par le débiteur.
Ce bilan est dressé par l’administrateur avec le concours du débiteur et l’assistance éventuelle d’un
expert. Il permet de dépasser la simple vue patrimoniale de l’entreprise. Il participe à l’appréciation
des causes d défaillance de l’entreprise.
En l’absence de classes de parties affectées, il est assuré une consultation individuelle ou collective des
créanciers. La consultation concerne tous les créanciers ayant déclaré leurs créances (les créanciers
antérieurs au jugement d’ouverture de la procédure ne sont plus les seuls concernés. En effet, s’ajutent
à ces derniers les créanciers postérieurs non élus, ceux dont la créance n’est pas utile au redressement
de l’entreprise).
Les parties affectées par le plan peuvent présenter leur propre projet de plan dans le cadre de la
procédure de redressement judiciaire à l’exclusion de la procédure de sauvegarde.
Une condition du plan de sauvegarde est que l’entreprise ne doit pas être en cessation des paiements.
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C’est l’ordonnance du 15 septembre 2021 (entrée en vigueur le 1er octobre 2021) transposant la
directive « Cadre de restructuration préventive » qui remplace les comités de créanciers en
introduisant les classes de parties affectées.
En conséquence deux hypothèses : soit le plan est adopté à l’unanimité des classes ou par une position
consensuelle, soit il est écarté et doit être adopté par une application forcée interclasse.
Les classes de parties affectées disposent de 21 jours après la transmission du projet de plan pour e
prononcer.
Si le plan est approuvé par chaque classe : le tribunal peut ou non l’arrêter. Il peut refuser de le faire
si le plan n’offre pas de perspective raisonnable d’éviter la cessation des paiements ou de garantir la
viabilité de l’entreprise notamment si tout nouveau financement nécessaire à la mise en œuvre du
plan porte une atteinte excessive aux intérêts des parties affectées.
Si le plan n’est pas approuvé par chaque classe, c’est une application forcée interclasse qui est mise en
œuvre.
Pour l’activité de l’entreprise : le plan peut prévoir la suppression, la cession ou encore l’adjonction de
certaines branches d’activité.
a.3.2)L’apurement du passif
Il s’agit de la partie financière du plan. Ce dernier rend obligatoire les modalités de règlement du passif
prévues par le projet de plan.
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b.1)Les effets du jugement arrêtant le plan
L’adoption du plan n’implique pas l’achèvement de la vérification des créances =article L. 626-24 alinéa
2 prévoit que « Le mandataire judiciaire demeure en fonction pendant le temps nécessaire à la
vérification et à l’établissement définitif de l’état des créances ».
Les modifications du plan sont parfois nécessaires. Ces modifications peuvent être secondaires ou
substantielles. L’appréciation de la notion de modifications substantielles est difficile : elles concernent
« les objectifs ou les moyens du plan ».
En cas d’échec du plan : soit c’est l’inexécution de ses engagements par le débiteur dans les délais fixés
par le plan, soit c’est la survenance de la cessation des paiements pendant l’exécution du plan.
En cas d’inexécution de ses engagements par le débiteur : la résolution du plan reste une faculté
offerte au tribunal.
Le domaine d’application du redressement judiciaire est en principe calqué sur celui de la sauvegarde
(=article L.631-2 alinéa 1 du code de commerce : il s’applique « à toute personne exerçant une activité
commerciale, artisanale ou agricole, à toute autre personne physique exerçant une activité
professionnelle indépendante y compris une profession libérale soumise à un statut législatif ou
réglementaire ou dont le titre est protégé, ainsi qu’à toute personne morale de droit privé »).
L’article L.631-3 dispose que la procédure de redressement judiciaire est aussi applicable aux débiteurs
qui ont cessé leur activité « si tout ou partie e leur passif provient de cette dernière ». Peu importe que
la cessation des paiements intervienne après cet arrêt de l’activité.
Pour un commerçant, la loi prévoit que « l’assignation doit intervenir dans le délai d’un an à compter
de la radiation du registre du commerce et des sociétés » ; pour une personne morale « le délai court
à compter de la radiation consécutive à la publication de la clôture des opérations de liquidations »,
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pour une personne exerçant une activité artisanale, agricole ou une personne physique exerçant une
activité professionnelle indépendante le délai commence à courir à dater de la cessation de l’activité.
Le débiteur et décédé en état de cessation des paiements peut faire l’objet d’une procédure de
redressement judiciaire. En effet, selon l’article L. 631-3 alinéa 2, « le tribunal peut être saisi, dans le
délai d’un an à dater du décès, sur l’assignation d’un créancier, quelle que soit la nature de sa créance,
ou sur requête du Ministère public ».
Prouver la cessation des paiements suppose de démontrer l’impossibilité pour le débiteur de faire face
avec son actif disponible à son passif exigible.
L’article L. 631-8 du code de commerce précise que « le tribunal fixe la date de cessation des paiements
après avoir sollicité les observations du débiteur » dans le jugement d’ouverture.
« A défaut de détermination de cette date, la cessation des paiements est réputée être intervenue à la
date du jugement d’ouverture de la procédure ».
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Pour les créanciers : selon l’article L.631-5 du Code de commerce, « lorsqu’il n’y a pas de procédure de
conciliation encours (…) la procédure peut être aussi ouverte sur l’assignation d’un créancier, quelle
que soit la nature de sa créance ».
Mais il y a des conditions à la créance du créancier : elle doit être certaine, liquide et exigible.
Les ordonnance Macron de 2017 (22 septembre) assouplisse les conditions d licenciements
économiques.
Les licenciements doivent répondre à deux types de conditions : tout d’abord des conditions de forme,
selon lesquelles l’administrateur ou le débiteur qui souhaitent licencier doivent au préalable consulté
le comité social et économique ou à défaut les délégués du personnel et informer l’autorité
administrative compétente ; d’autre part s’agissant des conditions de fonds, la loi exige que les
licenciements économiques présentent un « caractère urgent, inévitable et indispensable ».
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Section 3 : Les entreprise en difficultés et la protection de
l’environnement
Lorsqu’ une procédure concerne une installation classée pour la protection de l’environnement,
l’établissement d’un bilan environnemental est obligatoire.
Il revient au débiteur exploitant de fournir dès l’ouverture de la procédure, les documents adressés
par le préfet au titre de la législation relative aux installations classées.
Par la suite, l’administrateur judiciaire ou le liquidateur doit adresser au débiteur un questionnaire qui
pourra être adressées à la DREAL, au préfet, au procureur de la République.
B)La recevabilité des mesures prises par le préfet à l’ouverture de la procédure collective
Le préfet peut être amené à mettre en œuvre diverses prescriptions à l’encontre des responsables.
La notion de cessation d’activité comprend la mise à l’arrêt définitif, la mise en sécurité et si nécessaire
la détermination et l’usage futur du site.
L’autorité essentielle ici est l’Inspection des installations classées qui exerce une mission de police
environnementale auprès notamment des établissements industriels et agricoles.
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A)L’identification du débiteur des obligations environnementales
Dans le cas d’une mise à l’arrêt définitif de l’installation classée, il faut que l’exploitant dépose une
notification dans le but d’informer le préfet de la fin de l’activité.
C’est au mandataire qu’il appartient de se mettre en contact avec les services de l’inspection et avec
la préfecture afin qu’il puisse bénéficier de leur aide et de prendre les meilleures décisions d’agir en
priorité.
b)Mesures d’urgence
-il peut être propose au préfet de faire intervenir l’Agence de transition écologique) pour mettre
définitivement en sécurité le site.
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Section 4 : Aspect(s) au niveau des ressources humaines (cas de
l’obligation de sécurité)
A)Contexte(s)
De puis les années 2000, les pouvoirs publics retiennent une approche plus complète et plus
renouvelée du risque professionnel.
B)Panorama d’obligations
1)L’obligation générale de sécurité de l’employeur
Le principe est qu’il pèse sur l’employeur une obligation générale de sécurité.
Si l’employeur ne le respecte pas il risque : la mise en jeu de sa responsabilité pénale ; des sanctions
civiles ; des sanctions administratives.
-le juge opère ce que l’on appelle une répartition de la charge de la preuve.
=article L.4121-2 du code du travail énumère 9 principes généraux: éviter les risques ; évaluer les
risques qui ne peuvent pas être évités ; combattre les risques à la source ; adapter le travail à l’homme ;
tenir compte de l’état d’évolution de la technique ; remplacer ce qui est dangereux par ce qui ne l’est
pas ou par ce qui est moins dangereux ; planifier la prévention en y intégrant, dans un ensemble
cohérent, la technique, l’organisation du travail, les conditions de travail, les relations sociales et
l’influence des facteurs ambiants ; prendre des mesures de protection collective en leur donnant la
priorité sur les mesures de protection individuelle ; donner les instructions appropriées au travailleur.
Il y a tout d’abord une obligation de sécurité en vertu de laquelle « il incombe à chaque travailleur de
prendre soin, en fonction de sa formation et selon ses possibilités, de sa santé et de sa sécurité ainsi
que celle des autres personnes concernées par ses actes ou ses omissions au travail ».
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Il y a une obligation d’alerter immédiatement l’employeur de toute situation de travail dont il a un
motif raisonnable de penser qu’elle présente un danger grave et imminent pour sa vie ou sa santé ainsi
que toute défectuosité qu’il constate dans les systèmes de protection.
Le harcèlement sexuel comme le harcèlement moral sont de graves comportements illicites qualifiés
pénalement de « délits » qui sont d’ailleurs interdits au travail comme dans les autres activités sociales.
3.2.1)Harcèlement sexuel
-la loi interdit aussi les « agissements sexistes » ou encore les « outrages sexistes ».
Deux types de harcèlement sexuel sont encadrés : la première forme repose sur une répétition
d’actes ; la seconde forme de harcèlement sexuel repose sur un acte unique d’une intensité
particulière.
3.2.2)Harcèlement moral
Il faut trois éléments cumulés pour qu’il y ait harcèlement moral : une répétition d’actes; une
dégradation des conditions de travail ; des conséquences avérées ou potentielles de la dégradation sur
le salarié.
3.2.3)Prévention du harcèlement
- mettre en place les dispositions nécessaires pour prévenir le harcèlement ; le contenu du règlement
intérieur ; le rôle des représentants du personnel en matière de harcèlement.
3.2.4)Contentieux du harcèlement
La loi prévoit un assouplissement de la charge de la preuve. Le demandeur doit seulement établir des
éléments de fait laissant supposer l’existence d’un harcèlement.
Les organisations syndicales peuvent aussi exercer toutes les actions en la matière.
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3.2.5)Cas des référents
La protection des salariés contre le harcèlement sexuel repose sur l’obligation pour l’employeur de
désigner un référent chargé de les orienter, de les informer et de les accompagner ; il y a aussi
l’obligation pour le comité social et économique d’élire parmi ses membres un tel référent et cela
quelle que soit la taille de l’entreprise.
Le stress au travail fait l’objet de deux accords collectifs. Le premier (au nveau européen « accord cadre
européen sur le stress au travail du 08 octobre 2004) et le second (interne : accord national
interprofessionnel sur le stress au travail du 02 juillet 2008).
Ils définissent le stress comme étant « le déséquilibre entre la perception qu'une personne a des
contraintes que lui impose son environnement et la perception qu’elle a de ses propres ressources pour
y faire face ».
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Section 5 : Cas particulier des conflits collectifs : la grève
Elle peut se définir comme « un arrêt collectif et concerté du travail en vue d’appuyer des
revendications professionnelles ».
Il y 5 conditions cumulatives pour qu’un mouvement soit juridiquement qualifié de grève : d’abord la
cessation totale du travail ; puis il faut la cessation collective du travail; puis il faut la cessation
concertée du travail ; puis il faut l’exigence de revendications professionnelles; enfin , il faut la
connaissance des revendications professionnelles par l’employeur.
-cette qualification empêche les salariés ayant participé de se prévaloir de la protection au bénéfices
des salariés gréviste et en conséquence, le pouvoir de sanction de l’employeur est total envers eux.
Il y a une conception restrictive : « ce n’est qu’au cas où la grève entraîne ou risque d’entraîner la
désorganisation de l’entreprise qu’elle dégénère en abus ».
L’exercice du droit de grève suspend le contrat de travail dont l’exécution reprend dès la fin du
mouvement.
Le salarié se trouve donc délié de son obligation de fournir la prestation de travail. En contrepartie,
l’employeur est en principe délié de son obligation de verser les salaires afférents aux jours de grève.
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2)Autres effets
Les périodes de grève ne sont pas assimilées à un temps de travail effectif pour l’appréciation du droit
au congé annuel.
Les accidents survenus au cours de la suspension du contrat de travail due à une grève ne sont pas des
accidents du travail puisque le gréviste n’est pas sous l’autorité de l’employeur.
Les grévistes ne peuvent pas être sanctionnés ou licenciés en raison de l’exercice normal du droit de
grève.
L’employeur ne peut pas décider librement de procéder à l’arrêt temporaire de l’activité par la
fermeture de l’entreprise ou d’un établissement à l’occasion d’un conflit collectif.
Un gréviste ne peut être sanctionné et a fortiori licencié que pour faute lourde. Or la notion est difficile.
Le juge donne deux indices : d’une part la faute lourde en matière de grève est une faute personnelle
; puis, la faute lourde doit être d’une intensité toute particulière.
-engager la responsabilité pénale des grévistes (soit sur le fondement d’infractions de droit commun,
soit sur le fondement d’une infraction relativement spécifique appelée « délit d’entrave à la liberté du
travail » : ce délit est constitué par le « fait d’entraver, d’une manière concertée, la liberté du travail,
soit à l’aide de menaces, soit à l’aide de coups, violence, destructions ou dégradations (…) ».
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-engager la responsabilité de l’état.
3 types de conséquences si les grévistes se maintiennent dans les lieux : possible licenciement pour
faute lourde ; possible condamnation au paiement de l’astreinte lorsque le juge des référés assorti son
ordonnance d’une telle mesure, possibilité de condamnation au paiement de dommages et intérêt au
profit de l’employeur.
Ici, il faut concilier le droit de grève avec d’autres principes : la continuité des services publics qui a
valeur constitutionnelle..
Trois spécificités : la règle du préavis obligatoire ; règle de la prohibition des grèves tournantes ; la
règle de la possibilité d sanctions disciplinaires à l’égard des fonctionnaires ou agents publics.
-retenue sur salaires, interdiction de faire grève dans certains corps, possibilité de réquisition…
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Section 6 : Procédures de règlement pacifique des conflits collectifs
(aperçus)
I)Éléments communs
A)Structures concernées
Ces procédures s’appliquent : aux employeurs de droit privé ainsi qu’à leurs salariés ; aux
établissements publics à caractère industriel et commercial ; aux établissements publics assurant à la
fois une mission de service public à caractère administratif et à caractère industriel et commercial.
B)Contexte(s) de recours
Deux hypothèses : soit lorsque les conventions ou accords collectifs applicables comportent des
dispositions à cet effet ; soit lorsque les parties intéressées prennent l’initiative.
II)Les procédures
A)La conciliation
Tous les conflits collectifs de travail peuvent être soumis aux procédures de conciliation.
Les conflits qui n’ont pas été soumis à une procédure conventionnelle de conciliation peuvent être
portés devant une commission nationale ou régionale de conciliation.
B)La médiation
Elle peut être engagée soit après l’échec d’une conciliation ; soit directement dans certains cas.
C)L’arbitrage
Une procédure d’arbitrage peut être prévue par la convention ou l’accord collectif, soit à défaut d’un
commun accord devant un tiers.
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Section Annexe : cas particuliers (Aperçu(s) du Plan de gestion de
crise(s))
I)Un plan avant tout nécessaire
Il permet d’anticiper, de mettre en place des actions de remédiations et d’atténuer les effets
potentiellement délétères d’une crise (quelle que soit son type).
Il faut susciter la « sensibilité » de la gouvernance mais aussi des éventuelles parties prenantes
connexes qui peuvent exercer une pression sur l’organismes.
En théorie, la plupart du temps la crise est imprévisible (cf critères forces majeures).
Elle comporte donc deux structures distinctes : une structure opérationnelle assortie d’un groupe
d’experts et une structure opérationnelle.
Chaque direction est représentée par un titulaire qui doit désigner deux suppléants afin de pouvoir,
dans la durée, maintenir à la fois des capacités physiques et psychiques.
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Il lui appartient de prendre la décision de déclarer que l’organisme entre en mode de gestion de crise.
Le coordinateur doit disposer d’une vision suffisante de l’organisme et de ses orientations stratégiques
pour pouvoir appréhender les enjeux de la crise.
c)La « main-courante »
Il s’agit d’une mission où une personne se voit chargée de consigner l’ensemble des informations
relatives à la crise ainsi que les décisions stratégiques associées.
d)L’anticipation
Une personne a pour mission d’être vigilant à l’évolution des évènements en lien avec les orientations
prises et éclairer la cellule décisionnelle sur les évolutions possibles de la situation.
Elle est composée des fonctions opérationnelles ayant pour mission la mise en œuvre opérationnelle
des décisions stratégiques prises par la cellule de crise décisionnelle.
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Section introductive : risque et/ou crise ................................................................................................. 1
I)Constats............................................................................................................................................. 1
A)Contexte ....................................................................................................................................... 1
B)Objectifs ....................................................................................................................................... 1
II)Du risque .......................................................................................................................................... 1
A)Essai(s) de définition(s) .................................................................................................................... 1
B)Essai(s) de catégorisation................................................................................................................. 1
1)Le risque métier ........................................................................................................................... 1
2)Le risque concurrentiel................................................................................................................. 2
3) Le risque financier ....................................................................................................................... 2
4)Le risque légal............................................................................................................................... 2
5)Le risque social ............................................................................................................................. 2
6)Le risque image ............................................................................................................................ 2
7)Le risque environnement et sanitaire .......................................................................................... 2
8)Le risque sûreté-sécurité .............................................................................................................. 2
III)De la crise ........................................................................................................................................ 2
Section 1 : L’entreprise en difficulté : procédures de prévention........................................................... 3
I)La notion d’entreprise en difficulté................................................................................................... 3
A)Personnes concernées ................................................................................................................. 3
B)Cas particulier de la cessation de paiements ............................................................................... 3
C)Mesures proposées ...................................................................................................................... 3
1)La procédure d’alerte ............................................................................................................... 3
a)Alerte interne ....................................................................................................................... 3
a.1)Alerte du Commissaire aux comptes (CAC) ................................................................... 3
a.2)Alerte du comité social et économique ........................................................................ 4
a.3)Alerte des associés ........................................................................................................ 4
b)Alerte externe ...................................................................................................................... 4
b.1)Alerte par le président du tribunal................................................................................ 4
b.2)Alerte des groupements de préventions agréés ........................................................... 4
2)Le mandat ad hoc ..................................................................................................................... 5
3)La conciliation........................................................................................................................... 5
Section2 : L’entreprise en difficulté : procédures de traitement ............................................................ 6
I)Caractéristiques communes aux procédures .................................................................................... 6
II) La procédure de sauvegarde (prévention) ...................................................................................... 6
A)La période d’observation ............................................................................................................. 6
1)La double fonction de la période d’observation ...................................................................... 6
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a)La protection de l’entreprise ................................................................................................ 6
a.1)L’interdiction des paiements ......................................................................................... 6
a.2)L’interdiction des poursuites : ....................................................................................... 7
b)Le maintien de l’activité de l’entreprise .............................................................................. 7
b.1)La poursuite des contrats en cours ............................................................................... 7
b.2)La gestion de l’entreprise .............................................................................................. 7
b.2.1)En l’absence de l’administrateur............................................................................ 7
b.2.2)En présence de l’administrateur ............................................................................ 7
2)Le sort des partenaires de l’entreprise .................................................................................... 8
a)Le sort des créanciers ........................................................................................................... 8
a.1)Cas des créanciers déchus : ........................................................................................... 8
a.2)Cas des créanciers élus : ................................................................................................ 8
b)Sort des salariés ................................................................................................................... 8
B)Élaboration et adoption du plan de sauvegarde.......................................................................... 8
1)Élaboration ............................................................................................................................... 8
a)Évaluation des potentialités du débiteur ............................................................................. 8
a.1) Évaluation du patrimoine du débiteur ......................................................................... 8
a.2)Bilan économique, social, environnemental ................................................................. 9
b)Implication des créanciers ................................................................................................... 9
b.1)Consultation des créanciers en l’absence de classes de parties affectées ................... 9
b.2)Consultation des créanciers en présence de classes de parties affectées.................... 9
2)Adoption et exécution du plan de sauvegarde ........................................................................ 9
a)L’adoption du plan de sauvegarde ....................................................................................... 9
a.1)Les conditions de l’adoption du plan : .......................................................................... 9
a.2)Les modalités d’adoption du plan ............................................................................... 10
a.3)Les objectifs assignés au plan de sauvegarde ............................................................. 10
a.3.1)La réorganisation de l’entreprise ......................................................................... 10
a.3.2)L’apurement du passif .......................................................................................... 10
b)Exécution du plan de sauvegarde ...................................................................................... 10
b.1)Les effets du jugement arrêtant le plan ...................................................................... 11
b.2)Le devenir du plan ....................................................................................................... 11
III)Le traitement judiciaire curatif ..................................................................................................... 11
A)Ouverture du redressement judiciaire ...................................................................................... 11
1)Les conditions substantielles.................................................................................................. 11
a)La qualité du débiteur ........................................................................................................ 11
a.1)La cessation volontaire d’activité ................................................................................ 11
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a.2)Le décès du débiteur, personne physique .................................................................. 12
b)Exigence de la cessation des paiements ............................................................................ 12
b.1)Démonstration de la cessation des paiements ........................................................... 12
b.2)Détermination de la date de cessation des paiements............................................... 12
2)Les conditions procédurales................................................................................................... 12
a)La saisine du tribunal.......................................................................................................... 12
b)Ouverture du redressement judiciaire............................................................................... 13
B)Sort des salariés ......................................................................................................................... 13
Section 3 : Les entreprise en difficultés et la protection de l’environnement ...................................... 14
I)La protection de l’environnement à l’ouverture des procédures ................................................... 14
A)Les obligations de déclarations et d’analyse (panorama) ......................................................... 14
1)Les obligations du débiteur .................................................................................................... 14
2)Les obligations des organes de la procédure ......................................................................... 14
B)La recevabilité des mesures prises par le préfet à l’ouverture de la procédure collective ....... 14
II)Les conséquences environnementales de la cessation d’activité .................................................. 14
A)L’identification du débiteur des obligations environnementales .............................................. 15
B)Identification du contenu des obligations environnementales ................................................. 15
1)Les modalités de mise en sécurité du site ............................................................................. 15
a)Mesures classiques............................................................................................................. 15
b)Mesures d’urgence............................................................................................................. 15
2)Cas de l’insuffisance des mesures de mise en sécurité ......................................................... 15
Section 4 : Aspect(s) au niveau des ressources humaines (cas de l’obligation de sécurité) ................. 16
I)Les obligations légales liées à la prise en compte de la santé et de l sécurité au travail ............... 16
A)Contexte(s) ................................................................................................................................. 16
B)Panorama d’obligations ............................................................................................................. 16
1)L’obligation générale de sécurité de l’employeur.................................................................. 16
2)Les principes généraux de prévention s’imposant à l’employeur ......................................... 16
3)Aperçu des obligations du salarié en matière de santé au travail ......................................... 16
3.1)En matière de santé ........................................................................................................ 16
3.2) Prohibition du harcèlement ........................................................................................... 17
3.2.1)Harcèlement sexuel.................................................................................................. 17
3.2.2)Harcèlement moral .................................................................................................. 17
3.2.3)Prévention du harcèlement ..................................................................................... 17
3.2.4)Contentieux du harcèlement ................................................................................... 17
3.2.5)Cas des référents ...................................................................................................... 18
3.3)Les risques psychosociaux ............................................................................................... 18
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3.3.1)Le stress au travail .................................................................................................... 18
3.3.2)La violence au travail ................................................................................................ 18
Section 5 : Cas particulier des conflits collectifs : la grève .................................................................... 19
I)Grève et secteur privé ..................................................................................................................... 19
A)Définition(s) ............................................................................................................................... 19
1)La grève .................................................................................................................................. 19
2)La notion de « mouvement illicite »....................................................................................... 19
3)Les formes d’ « exercice anormal » du droit de grève ........................................................... 19
a)La grève abusive ................................................................................................................. 19
b)Les actes illicites accomplis par les grévistes à l’occasion de la grève ............................... 19
B)Les effets de la grève ................................................................................................................. 19
1)La suspension du contrat de travail ....................................................................................... 19
2)Autres effets ........................................................................................................................... 20
II)Les réactions patronales ................................................................................................................ 20
A)Limitation générale du pouvoir de direction et du pouvoir de sanction par la prohibition des
discriminations .............................................................................................................................. 20
B)Limitations spécifiques au pouvoir de direction en matière de remplacement des grévistes ou
d’arrêt temporaire de l’activité ..................................................................................................... 20
C)La limitation du pouvoir de sanction : la faute lourde revisitée ................................................ 20
D)Cas des réactions impliquant une intervention judiciaire ......................................................... 20
1)Les actions en responsabilité ................................................................................................. 20
2)Les actions aux fins d’expulsion des grévistes ....................................................................... 21
III)Grève et service public .................................................................................................................. 21
A)Modalités communes du droit de grève .................................................................................... 21
B)Règles spécifiques à certains services publics : ......................................................................... 21
Section 6 : Procédures de règlement pacifique des conflits collectifs (aperçus) .................................. 22
I)Éléments communs ......................................................................................................................... 22
A)Structures concernées ............................................................................................................... 22
B)Contexte(s) de recours ............................................................................................................... 22
II)Les procédures ............................................................................................................................... 22
A)La conciliation ............................................................................................................................ 22
B)La médiation............................................................................................................................... 22
C)L’arbitrage .................................................................................................................................. 22
Section Annexe : cas particuliers (Aperçu(s) du Plan de gestion de crise(s)) ........................................ 23
I)Un plan avant tout nécessaire ........................................................................................................ 23
II)Le plan de gestion de crise ............................................................................................................. 23
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A)Composition de la cellule de crise ............................................................................................. 23
1)La cellule de gestion de crise décisionnelle ........................................................................... 23
a)La direction de crise ........................................................................................................... 23
b)La coordination de crise ..................................................................................................... 24
c)La « main-courante » .......................................................................................................... 24
d)L’anticipation...................................................................................................................... 24
2)La cellule de gestion de crise opérationnelle ......................................................................... 24
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