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PREPARATION RESIDANAT DE
CHIRURGIE DENTAIRE

QCM - CAS CLINIQUES

STOMATOLOGIE

« TRISMUS »

QCM A COMPLEMENT SIMPLE
1. Devant l'association d'un trismus et d'une otalgie,
quel est le premier diagnostic à évoquer ?
A. Un tétanos
B. Un accident d'évolution de dent de sagesse
C. Une parotidite
D. Une otite moyenne
E. Un cancer de pointe de la langue
2. Les affections suivantes peuvent être responsables
d'un trismus, sauf une, laquelle ?
A. Une cellulite péri mandibulaire postérieure
d'origine dentaire
B. Un phlegmon péri-amygdalien
C. Un carcinome de la commissure intermaxillaire
D. Une fracture de la branche montante de la
mandibule
E. Une luxation antérieure de la mandibule
3. La cause la plus fréquente des trismus est :
A. Le tétanos
B. L'ankylose temporo-mandibulaire
C. L'accident d'évolution d'une dent de sagesse
inferieure
D. Les cicatrices cutanées rétractiles
E. L'ostéite mandibulaire
4. La cause la plus fréquente des trismus est :
A. Le tétanos
B. L'ankylose temporo-mandibulaire
C. L'accident d'évolution d'une dent de sagesse
inférieure
D. Les arthrites temporo-mandibulaires
E. L'ostéite mandibulaire
5. Quelle est la localisation d'un carcinome
épidermoide endobuccal qui entraîne le plus
volontiers un trismus ?
A. Le plancher buccal
B. La langue mobile
C. Le trigone rétromojaire
D. La gencive.
E. La lèvre
QCM A COMPLEMENT MULTIPLES
6. Un trismus est défini par une limitation de
l'ouverture buccale :
A. temporaire et qui cède lors d'une éventuelle
anesthésie générale
B. dont la cause locale peut être de nature
inflammatoire, tumorale, eu traumatique
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C. pouvant dans d'autres cas rares,
s'accompagner d'une paralysie faciale
D. qui se voit lors d'intoxication par les dérivés de
la phénothiazine et par la strychnine
E. qui s'observe au cours de la rage
7. Le trismus du tétanos :
A. Est symétrique
B. Est douloureux
C. Est d'installation brutale
D. Est irréductible
E. S'accompagne d'une paralysie linguale
8. Les causes locales de trismus sont très variées.
Quelle(s) est (sont), dans ta liste suivante, la (les)
étiologie(s) possible(s) ?
A. Fracture de la branche montante mandibulaire
B. Tumeur T3 du plancher buccal antérieur
C. Péricoronarite de la dent de sagesse inférieure
D. Fracture naso-éthmoido-frontale
E. Phlegmon de l'amygdale
9. Quelle(s) affection(s) donne(nt) une constriction
permanente des mâchoires ?
A. Une ankylose osseuse
B. Un accident d'éruption de la dent de sagesse
C. Un tétanos
D. Une synostose coronoïdo-malaire
E. Toutes ces propositions précédentes
10. Un trismus peut se rencontrer :
A. lors d'une maladie de Parkinson
B. lors d'une intoxication par la strychnine
C. lors d'une intoxication par des neuroleptiques
D. lors d'une intoxication par des dérivés des
phénothiazines
E. lors d'un coma hypoglycémique
11. Un trismus peut se rencontrer :
A. Lors d'un tétanos
B. Lors d'un coma toxique
C. Lors d'un accident vasculaire cérébral
D. Lors d'une méningite purulente
E. Tors d'un syndrome pseudo-bulbaire
12. L'étiologie d'un trismus peut être :
A. Une arthrite temporo-mandibulaire
B. Une péricoronarite de désinclusion de dent de
sagesse
C. Une cellulite en rapport avec une dent
postérieure
D. Un phlegmon de l'amygdale
E. Un cancer de la face interne de la joue

13. Quel(s) élément(s) en face d'un trismus
oriente(nt) vers le diagnostic de tétanos ?
A. Incubation silencieuse de 2 à 10 jours après
une blessure
B. D'abord simple gêne, à peine douloureuse à la
mastication et à l'ouverture de la bouche
C. Puis contracture permanente, douloureuse
Bilatérale
D. La vaccination antitétanique est inexistante
E. Les examens ORL et stomatologiques ne
retrouvent pas de cause locale
14. Un trismus peut être d'origine :
A. Infectieuse
B. Malformative,
C. Traumatique
D. Tumorale
E. Toxique
15. Quelle(s) affection(s) ne donne(nt) pas une
constriction permanente des mâchoires ?
A. Une ankylose osseuse
B. Une myosite post-traumatique du masséter
C. Un tétanos
D. Une fracture du malaire non réduite
E. La rage
16. Un trismus peut être causé par :
A. Une fracture de la branche montante de la
mandibule
B. Un coma
C. Un carcinome de la commissure intermaxillaire
(ou postérieure de la joue)
D. Une luxation antérieure bilatérale des
articulations temporo-mandibulaire
E. Une synostose coronoïdo-malaire
17. Quelle(s) affection(s) donne(nt) une constriction
permanente des maxillaires ?
A. Une ankylose osseuse
B. Un accident d'éruption de la dent de sagesse
inférieure
C. Un tétanos
D. Une synostose coronoïdo-malaire
E. Aucune des propositions ci-dessus
18. Les causes locales de trismus sont très variées.
Quelle(s) est (sont), dans la liste suivante, la (les)
étiologie(s) possible(s) ?
A. Fracture de la branche symphysaire de la
Mandibule
B. Tumeur T3, de la commissure intermaxillaire
C. Péricoronarite de la dent de sagesse inférieure
D. Fracture naso-éthmoido-frontale
E. Phlegmon de l'amygdale
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19. Un trismus :
A. Se définit comme une impossibilité définitive
d'ouvrir la bouche
B. Doit faire évoquer en premier lieu un tétanos
C. Doit faire éliminer une constriction osseuse
articulaire
D. Doit faire éliminer une constriction osseuse
extra articulaire
E. Doit faire éliminer une constriction cicatricielle
des parties molles
20. Un trismus peut être provoqué par :
A. Une arthrite temporo-mandibulaire
B. Une péri-coronaire de désinclusion de dent de
sagesse
C. Un tétanos
D. Un phlegmon de l'amygdale
E. Une intoxication par neuroleptiques
21. Parmi les lésions traumatiques ou infectieuses
suivantes, Indiquez celle(s) pouvant être à l'origine
d'un trismus :
A. Arthrite temporo-mandibulaire
B. Hypertrophie des coronés
C. Cellulite en rapport avec une molaire
inférieure
D. Luxation temporo-mandibulaire
E. Fracture de la branche horizontale de la
mandibule
22. Le trismus :
A. Est une constriction permanente des
maxillaires
B. Peut se voir dans certains syndromes
bulboprotubérentiels
C. Les trismus de cause locale sont plus fréquents
que les trismus de cause générale
D. Est souvent dû à un accident de désinclusion
de la dent de sagesse supérieure
E. L'intoxication par la strychnine peut donner un
trismus
23. Quelle(s) affection(s) ne donne(nt) pas une
constriction permanente des mâchoires ?
A. Une ankylose temporo-mandibulaire
B. Une myosite post-traumatique du masséter
C. Un tétanos
D. Une fracture du malaire non réduite
E. La rage
24. Une constriction permanente des mâchoires est
provoquée par :
A. Une ankylose temporo-mandibulaire
B. Un accident d'éruption de la dent de sagesse
C. Une synostose coronoïdo-malaire
D. Un tétanos
E. Une subluxation chronique des ATM

25. Parmi les lésions traumatiques ou infectieuses
suivantes, Indiquez celle(s) pouvant être à l'origine
d'un trismus :
A. Arthrite temporo-mandibulaire
B. Fracture zygomato-malaire avec déplacement
C. Cellulite en rapport avec une molaire
inférieure
D. Luxation temporo-mandibulaire
E. Fracture du rachis cervical
26. Le trismus fait intervenir :
A. Le muscle temporal
B. Le muscle stylo-hyoïdien
C. Le muscle masséter
D. Le muscle ptérygoïdien interne
E. Le muscle ptérygoïdien externe
27. Le trismus se caractérise par une contracture des
muscles masticateurs. Parmi les muscles suivants,
lesquels ont pour fonction d'élever la mandibule ?
A. Le muscle temporal
B. Le muscle stylo-hyoïdien
C. Le muscle masséter
D. Le muscle ptérygoïdien interne
E. Le muscle buccinateur
28. En pratique stomatologiques, quelle(s) est (sont)
la (les) étiologie(s) la (les) plus fréquente(s) d'un
trismus ?
A. Toxique
B. Tumorale
C. Traumatique
D. Infectieuse générale
E. Infectieuse locorégionale
F.
CAS CLINIQUE 1
Observation
Stéphane B., âgé de 7 ans, est adressé en consultation
par son médecin traitant pour avis concernant une
gêne à l'ouverture de la bouche.
Une analyse des antécédents permet de retrouver, à
l'âge de 5 ans, un accident sur la voie publique ayant
entraîné un traumatisme cranio-facial avec dégâts
dentaires.
L'examen clinique note une asymétrie faciale avec une
déviation du menton vers la droite et impression
d'hémi atrophie mandibulaire, une limitation nette de
l'ouverture buccale, apparue progressivement, de
5mm entre les incisives centrales supérieures et
inférieures avec diduction et propulsion presque
nulles.
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1. Quel diagnostic évoquer (CS)
A. Trismus sur arthrite temporo-mandibulaire
B. Syndrome du premier arc branchial
C. Luxation du condyle
D. Ankylose temporo-mandibulaire
E. Synostose coronoïdo-zygomatique
2. Il est inutile de demander pour préciser le
diagnostic : (CM)
A. Radiographie panoramique dentaire
B. Scintigraphie osseuse
C. Scanner de la région temporo-mandibulaire
D. Incidence radiologique de Blondeau
E. Téléradiographies de face et de profil
3. Quelle topographie affecteriez-vous à cette lésion ?
(CS)
A. Unilatérale gauche
B. Unilatérale droite
C. Bilatérale
D. Bilatérale à prédominance gauche
E. Bilatérale à prédominance droite
4. Quel est le principe du traitement visant à rétablir
une ouverture buccale normale ? (CS)
A. ouverture buccale forcée sous anesthésie
générale
B. kinésithérapie mandibulaire seule
C. chirurgie seule
D. radiothérapie anti-inflammatoire
postopératoire.
E. traitement chirurgical associé à une
kinésithérapie
F. mandibulaire postopératoire.
5. Quel(s) est (sont) I’(les) origine(s) possible(s) d'une
hémi atrophie mandibulaire ? (CM)
A. Syndrome de Pierre-Robin
B. Ostéoarthrite temporo-mandibulaire
C. Trisomie 21
D. Séquelle post-traumatique
E. Séquelle postradiothérapique
CAS CLINIQUE 2
Observation
Devant Lucien I., un enfant de 8 ans présentant uné
ankylose temporo-mandibulaire unilatérale évoluant
depuis l'âge de 4 ans : vous vous posez les questions
suivantes.
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1. Quelle(s) est (sont) I’(les) étiologie(s) possible(s) ?

(CM)
A. Fracture condylienne
B. Anomalie génétique
C. Carence vitaminique
D. Inclusion dentaire
E. Arthrite temporo-mandibulaire

2. Que comporte le tableau clinique ? (CM)

A. Limitation de l'ouverture buccale
B. Latérodéviation à l'ouverture
C. Asymétrie faciale
D. Prognathie mandibulaire
E. Anomalie morphologique du pavillon de
l'oreille

Réponses :

Cas clinique 1
1/D
2/A/C/E
3/B 4/E
5/B/D/E
Commentaire
5. D : par fracture condylienne passée inaperçue.

Cas clinique 2
1 /A/E
2/A/B/C
3/B/C/E
4/A
Commentaire
4. A : chirurgie suivie de rééducation précoce et active.

Cas clinique 3
1/B/C
2/A/B/C
3/A/C
4/C/E
Commentaires
1. C la plus classique est la fracture condylienne
négligée ou mal traitée.
4. C : se voit surtout en l'absence d'une rééducation
correcte

Cas clinique 4
1/A/B/C/E
2/A/B/E
3/A/B/E
4/A/C
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