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Le modèle IS-LM

Le modèle IS-LM permet de savoir quels sont les effets d’une politique monétaire ou
budgétaire, qu’elle soit expansionniste ou restrictive. -Une politique budgétaire est une
politique économique qui agit sur le budget de l’État, c'est-à-dire soit sur les dépenses
de l’Etat, soit sur les recettes (principalement les impôts). Une augmentation des dépenses
publiques ou une baisse des impôts est appelée politique budgétaire expansionniste.
L’inverse est une politique budgétaire restrictive. Si on décide d’augmenter les
dépenses publiques ou baisser les impôts, on espère augmenter la demande (de l’État
ou d’autres agents économiques) et in fine le P.I.B. -Une politique monétaire est une
politique qui agit sur l’offre de monnaie.

1.1. La construction du modèle IS-LM

Le modèle IS-LM est représenté dans un repère avec le revenu Y en abscisse et


le taux d’intérêt r en ordonnée.

1.1.1. La courbe IS

1.1.1.1. La construction de la courbe IS

Définition : La courbe IS représente l’ensemble des combinaisons du revenu Y et du taux


d’intérêt r qui assure l’équilibre sur le marché des biens. Elle indique le revenu d’équilibre
pour chaque valeur du taux d’intérêt. En effet, elle indique le revenu déterminé de façon
endogène sur le marché des biens pour chaque valeur du taux d’intérêt qui est exogène à
ce marché puisqu’il est déterminé sur le marché de la monnaie. → Pourquoi existe-t-il une
relation entre le taux d’intérêt et le revenu pour qu’il y ait équilibre sur le marché des biens ?
Pour répondre à cette question, il faut partir de l’équilibre sur le marché des biens.
L’équilibre sur le marché des biens peut s’écrire Y =D. Cela peut se réécrire : Y =
C(Y) + I +G, mais jusqu’à maintenant on posait l’hypothèse que I était exogène car on
observait un seul marché. Maintenant que les deux marchés sont en interactions, on peut
écrire :
Y = C(Y) + I(r)+ G

La courbe IS
1..1.2. La courbe LM

1.1.2.1. La construction de la courbe LM

Définition : La courbe LM représente l’ensemble des combinaisons du revenu Y et du taux


d’intérêt r qui assure l’équilibre sur le marché de la monnaie. Elle indique le taux d'intérêt
d’équilibre pour chaque valeur possible du revenu Y.
En effet, elle indique le taux d’intérêt déterminé de façon endogène sur le marché de
la monnaie pour chaque valeur du revenu qui est exogène à ce marché puisqu’il est
déterminé sur le marché des biens. → Pourquoi existe-t-il une relation entre le revenu Y et le
taux d’intérêt r, pour qu’il y aie équilibre sur le marché de la monnaie ? Il faut partir de
l’équilibre sur le marché de la monnaie (offre de monnaie = demande de monnaie). Plus
spécifiquement, on va s’intéresser à l’offre et la demande d’encaisses réelles : M/P = MD/P.
(L' offre de monnaie, MD : demande de monnaie, P : niveau général des prix). On
sait que la demande de monnaie a une composante (précaution et spéculation) qui varie
avec r. On peut donc réécrire :
M/P = MD/P
M/P = MD(Y,r)/P
1.1.2.2. L’effet d’une politique monétaire sur la courbe LM

Titre 1: Chômage, Inflation et courbe de Phillips

Chapitre I : L’inflation

Définitions : L’inflation est une hausse cumulative et auto-entretenue du niveau général des
Prix.La déflation est la baisse du niveau général des prix et historiquement, la déflation
accompagne, et est liée, la récession/ la dépression .

Section 1 : l’analyse traditionnelle des causes l’inflation

1- L’inflation par la demande La hausse des prix s’explique par une demande supérieure à
l’offre.
I. Les causes d’une augmentation de la demande (globale)
A. Consommation
-L’augmentation de la consommation peut être provoquée par une déthésaurisation
-La consommation peut augmenter du fait de l’augmentation des revenus (salaires)
-La consommation peut augmenter suite à l’augmentation des dépenses publiques
-La consommation peut augmenter suite à l’augmentation du crédit liée à une anticipation
d'une augmentation de la croissance future
-La consommation peut augmenter suite à l’augmentation des exportations
B. Investissement
L'investissement peut augmenter du fait d’une prévision d’une augmentation de la
croissance future, cette augmentation de l’investissement peut être favorisée par une
augmentation des crédits.L’investissement est lié aussi à l’augmentation des dépenses
publiques et à l’augmentation des exportations.

III. L’inflation par la demande


L’inflation par la demande s’expliquerait par le fait que l’ensemble des secteurs
ou des branches se trouvaient tous dans des conditions permettant une hausse
généralisée des prix,accompagnée d’un mécanisme perpétuant cette hausse des prix.
La hausse des prix pourrait provoquer une stratégie de stockage de la part des offreurs. Les
ménages peuvent fuir devant la monnaie et acquérir des marchandises s’ils anticipent une
augmentation de l'inflation.
En général, cette analyse de l’inflation par la demande explique plus la hausse de certains
prix ou la hausse des prix limités dans le temps qu’une véritable inflation.
2- L’inflation par les coûts La hausse des coûts de production serait une cause de
l’inflation : le coût des matières premières, les salaires, charges sociales, charges
financières, charges fiscales, TVA sociale. Si ces différents éléments qui constituent les
coûts enregistrent une hausse de leur prix supérieure à leur productivité, cette hausse sera
répercutée sur le niveau général des prix. 3- L’inflation par la monnaie et le crédit MV =
PT (M : masse de la monnaie ; V : Vitesse ; P : niveau général des Prix ; ET :
niveau des transactions) Équation sur la théorie quantitative de la monnaie de Fisher.

Section 2 : L’analyse moderne de l’inflation


1- L’analyse sociologique des causes de l'inflation L'analyse sociologique ou socio-culturelle
a été développée en France par Henri Aujac dans les années 50 et plus tard par Alain
Levaux. L’inflation s’explique par la lutte des catégories sociales pour le partage de la
valeur ajoutée selon les pouvoirs des différentes catégories sociales et la stratégie
et la capacité de l’Etat à organiser les relations sociales, le taux d’inflation sera plus ou
moins élevé.
L’inflation est un moyen de réguler les luttes sociales. Le moyen d’éviter l’inflation pour un
État consiste à augmenter les profits et à diminuer les salaires.
Les structures oligopolistiques sociales expliquent le taux d’inflation plus ou moins élevé en
fonction de la puissance et des équilibres ou non des groupes sociaux en présence.
2- Les structures oligopolistiques des marchés Les entreprises présentes sur les marchés
de la production/commercialisation peuvent présenter des prix plus élevés que ceux qui
pourraient exister. Si le nombre et la puissance de ces firmes caractérisent un marché
oligopolistique alors, les prix peuvent être rigides à la baisse.
Cela s'explique par leur entente explicite ou implicite et surtout par leur volonté d’accroître
leur taux de profit et leur profit pour croître et l’emporter à terme sur leurs concurrents.

3- L’intervention de l'Etat
L'intervention de l’Etat et des institutions publiques dans la création de biens publics et dans
la répartition primaire et secondaire des revenus, mais aussi dans la fixation des prix de
biens publics et de la fiscalité et des salaires des agents de la fonction publique joue un rôle
important dans le taux de variation des prix et cela explique tout au moins la rigidité des prix
à la baisse.
Chapitre II: le chômage

Définition :
Un chômeur est une personne en âge de travailler, disponible pour travailler, au taux de
salaire en vigueur et qui n’a pas d’emploi.

taux de chômage : c’est le nombre de chômeurs par rapport à la population active.La


population active = personnes employées + les chômeurs

Quelques différents types de chômages :


Le chômage frictionnel : chômage lié au délai d’adaptation du marché du travail, c’est le
temps de recherche d’un emploi qui est lié à une information imparfaite ou à une mobilité
imparfaite.
Le chômage conjoncturel (chômage Keynésien) : chômage qui est lié à une demande
globale insuffisante face à une offre rentable excédentaire.
Le chômage structurel ou chômage naturel ou chômage d’équilibre : l’expression
« taux naturel de chômage ne signifie pas que ce taux de chômage est inchangeable/
immuable, il signifie qu’une politique monétaire ou budgétaire de relance peut modifier
momentanément le taux de chômage mais cela ne peut durablement le modifier (le
chômage). Ce taux naturel est lié à une offre inadéquate, à un marché du travail imparfait, à
une information imparfaite. Pour réduire ce chômage naturel, il faut une offre plus
compétitive, plus efficiente que ce soit quantitativement ou qualitativement.

Section 1 : Le marché du travail Une analyse en termes de stock est insuffisante. Il est
nécessaire de connaître les flux des entrants et des sortants sur le marché du travail.
L’analyse en termes de flux montre si le marché du travail est actif ou sclérosé. Le marché
du travail permet la rencontre des offres et des demandes de travail (demande et offre
d’emploi : l’entreprise demande du travail) et donc une allocation et une réallocation du
travail. Une analyse des offres/ demandes permet de distinguer de façon plus
qualitative les composantes de l’emploi et du chômage. Le marché du travail est très
hétérogène et,l’emploi et chômage évoluent en fonction de la qualification de l’âge,sexe…

Section 2 : Emploi et progrès technique Si on analyse à long terme les relations progrès
technique/ productivité du travail et emploi, on constate que, sur une longue période, des
gains élevés de productivité du travail et d’autres facteurs.Ces gains ont un impact positif sur
la productivité du travail et emploi d’autant que les économies d'aujourd'hui sont ouvertes et
soumises à la concurrence internationale.

Chapitre III : La courbe de Philips

La courbe de Phillips a été créée par l’économiste néo-zélandais dans son article entre la
relation entre le taux de chômage et le taux de variation des salaires monétaire.
La relation de Phillips montre qu’il existe une corrélation négative entre le taux de chômage
et le taux d’inflation. En 1960, Samuelson et Solow montrent que cette corrélation permet
d’établir qu’un taux faible de chômage est associé à une demande globale forte et donc à
des revenus salariaux élevés et à une hausse des prix. A partir de là, des principes de
politique économique en sont tirés que l’on peut résumer par un arbitrage entre inflation et
chômage.

Section 1 : L’analyse de la courbe de Philips de Long Terme


La courbe de Phillips de long terme explique l’analyse selon laquelle le chômage ne dépend
pas de la croissance de la monnaie et de l’inflation à long terme. L’accroissement de la
masse monétaire réalisé par la Banque Centrale se traduit par unehausse du taux
d’inflation à production constante.

Titre 2 : La politique économique

Chapitre I : Objectifs et moyens de la politique économique

Les bases de la politique économique moderne ont été construites par John Maynard
Keynes. C'est L'économiste néerlandais Jan Tinbergen qui, en 1952 a défini la
politique économique avec ses objectifs et ses moyens.

Section 1 : la définition de la politique économique


Selon Tinbergen la politique économique réside dans la réunion d’un certain
nombre de moyens pour atteindre certaines fins. La politique économique consiste à
choisir parmi les instruments dont l’Etat dispose (monétaire, budgétaire, action direct), ceux
qu’il mettra en œuvre pour réguler l'ensemble des activités dans le but d’atteindre des
objectifs macroéconomiques. Les buts de la politique économique sont nombreux,
contradictoires (ex : inflation – chômage) et difficiles à définir de manière opérationnel

Section 2 : les caractéristiques élémentaires de la politique économique


Les objectifs sont nombreux et évoluent avec les changements économiques, sociétaux et
techniques. Le carré magique Nicholas K. est explicitement l’objectif de la politique
économique des Etats-Unis, c’est la loi Humphrey – Hawkins (1978) et qui a
pour objectif : le plein emploi, la croissance, la stabilité des prix, l’équilibre budgétaire
et l’équilibre de la balance des paiements.Le traité de Lisbonne a les objectifs suivants (pour
les européens) : le développement durable de l’Europe fondé sur une croissance
économique équilibrée, sur la stabilité des prix, une économie sociale de marché hautement
compétitive qui tend au plein emploi et au progrès social. Ces objectifs nombreux ambitieux
doivent être associés à des instruments macroéconomiques, microéconomiques et
institutionnels.
1- Les instruments macroéconomiques
Ce sont ceux liés à la politique budgétaire, donc au budget, à la politique monétaire, donc à
la monnaie et au crédit, et à la politique des changes.
2- Des instruments microéconomiques.

Ils concernent les éléments fiscaux, juridiques, les transferts ; ex : structures


des prélèvements obligatoires, lois qui régissent l’entreprise, les subventions, transferts
sociaux et les choix
d’investissements publics.

Section 3 : Choix et politique économique

Lorsque l’Etat ou le gouvernement définit des objectifs économiques, les 4 objectifs du carré
magique. Cela signifie que ces objectifs sont chiffrés/ ciblés. Donc chaque objectif est
associé à une cible spécifiée. Pour Jan Tinbergen, les n objectifs doivent être
associés à un instrument mais le nombre p d’instruments peut être différent de n. ainsi,
souvent la politique économique des Etats est conduite avec n > p, c'est-à-dire avec un
nombre d’objectifs > nombre d’instruments.

Section 5 : la redistribution des revenus Elle a pour objectif d’atteindre une équité,
l’économie de marché peut atteindre un optimum de Pareto sans assurer la justice sociale.
L’efficacité économique n’est pas nécessairement équitable.
La définition de l’équité nécessite des normes des critères normatifs, des références et ces
références sont des outils pour pouvoir déterminer une répartition équitable.Deux voies sont
possibles pour comparer 2 répartitions différentes de revenus en relation avec l’efficacité
économique.
1) On peut tenter d’améliorer l’équité définie selon certaines normes et, qui
seraient indépendantes de la recherche de l’efficacité. Il y aurait donc dichotomie entre
efficacité et équité.
2) On peut tenter d’améliorer l’efficacité économique tout en essayant d’être plus équitable.

Chapitre 2: la politique budgétaire

Grande dépression des années 30, le budget a pour objectif d’assurer le financement des
services publics par nature comme la sécurité, la justice, l’administration, l’armée. Le budget
devait être équilibré et n’était pas censé influencer le niveau d’activité de l’économie
nationale : il devait être neutre.

Section 1:Les objectifs de la politique budgétaire

La politique budgétaire vise à réguler la conjoncture et à rechercher des grands équilibres.


Cette régulation peut consister en la mise en place de relance de l'activité économique par
la demande et l'investissement.

La politique budgétaire a aussi un objectif de justice sociale et d'équité dans la mesure où le


budget est un moyen de lutter contre les inégalités les plus criantes par le biais des
prélèvements fiscaux et de l'aide aux plus démunis.

Section 2 :Les instruments de la politique budgétaire


a. Les recettes
Les recettes fiscales constituent 90 % des recettes de l'Etat. Elles se composent des impôts
indirects (TVA...), et des impôts directs (impôt sur le revenu des personnes physiques, impôt
sur les sociétés, impôt de solidarité sur la fortune...).
En cas de déficit budgétaire, c'est-à-dire lorsque les dépenses de l'Etat sont supérieures aux
recettes, l'Etat peut recourir à l'emprunt.
b. Les dépenses
Les dépenses de fonctionnement sont les dépenses qui permettent aux administrations de
remplir leur mission. Une grande partie de ces dépenses est affectée au paiement du salaire
des fonctionnaires.

Section 3: Les effets de la politique budgétaire

a. Effet anticyclique
Les politiques budgétaires peuvent avoir un effet anticyclique. Cela signifie qu'elles ont un
rôle régulateur sur l'activité économique. En période de récession, l'Etat augmente ses
dépenses afin d'éviter l'effondrement de la production. A l'inverse, au moment où l'expansion
s'accélère et risque de provoquer une « surchauffe » et de l'inflation, l'Etat ralentira ses
dépenses pour freiner l'expansion.
b. Effet d'éviction
Les économistes libéraux estiment que la politique budgétaire peut avoir des effets pervers,
notamment lorsqu'elle se traduit par l'existence d'un déficit budgétaire. Pour eux, le recours
à l'emprunt consécutif à ce déficit détourne l'épargne des agents économiques vers le
secteur public au détriment du secteur privé. Autrement dit, la demande de crédit de l'Etat
sur les marchés entraîne une hausse des taux d'intérêt préjudiciable à l'investissement des
entreprises. C'est ce que l'on nomme l'effet d'éviction.

Chapitre 3: la politique monétaire

Section 1: Objectifs de la politique monétaire

La banque centrale de chaque pays forme cette politique avec un objectif. Bien sûr, ils
veulent augmenter le flux de monnaie dans l’économie, mais cela ne peut pas être le seul
objectif. Outre le fait d’assurer suffisamment de liquidités dans le pays, cette politique
poursuit deux objectifs fondamentaux.
Contrôle de l’inflation
L’objectif principal de cette politique étant de garantir des liquidités suffisantes dans
l’économie, il se trouve que les consommateurs disposent d’un pouvoir d’achat accru grâce
auquel le pays souffre finalement de l’inflation. L’inflation affectant le PIB du pays, elle
devrait être maîtrisée au bon moment.

Section 2: Outils de la politique monétaire

Les banques centrales utilisent divers outils pour mettre en œuvre leurs politiques
monétaires. Les outils de politique monétaire largement utilisés comprennent:

1-Ajustement du taux d’intérêt


2-Opération d’un marché ouvert (open market)

Section 3: Les types de la politique monétaire

Il existe deux types de politique monétaire

1-Politique monétaire restrictive

La politique monétaire contractuelle peut être définit comme une stratégie qui oblige les
banques à appliquer des taux d’intérêt plus élevés, entraînant ainsi une contraction de la
masse monétaire.

2-Politique monétaire expansionniste

Une politique monétaire expansionniste est un type de politique monétaire


macroéconomique qui vise à augmenter le taux d’expansion monétaire pour stimuler la
croissance de l’économie nationale. La politique expansionniste contribue à encourager la
croissance économique en augmentant la masse monétaire, en abaissant les taux d’intérêt
et en augmentant la demande globale.

Conclusion et limites

Le modèle IS-LM est un outil simple permettant d’estimer les effets des différentes politiques
conjoncturelles. Il fut notamment la matrice de justification des politiques économiques
durant les Trente Glorieuses. Cependant un tel modèle reste tributaire de ses hypothèses. Il
s’agit d’un modèle de court terme et il ne permet donc pas de visualiser les effets néfastes à
long terme d’une hausse des taux d’intérêt. De plus, puisque les prix sont supposés rigides,
le modèle IS-LM néglige les phénomènes inflationnistes générés par les politiques
économiques expansives. Enfin, étant fondé sur un raisonnement en économie fermée, le
modèle ne permet pas d’analyser les conséquences de ces politiques sur la structure de la
balance des paiements et sur le taux de change de la devise nationale. Le modèle AS-AD
permet d’intégrer l’analyse des effets inflationnistes à l’étude des politiques économiques et
le modèle IS-LM- BP enrichit le modèle IS-LM en permettant l’analyse des politiques
conjoncturelles dans le cadre d’économies ouvertes.

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