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AFFOSSOGBE JESSICA UE 120

COMPTABILITE APPROFONDIE

DEVOIR 1

Exercice 1 :

1)L’actif est un élément identifiable du patrimoine générant pour l’entreprise une valeur économique
positive pour l’entité c’est-à-dire un élément générant une ressource que l’entité contrôle du fait
d’évènements passés et dont elle attend des avantages économiques futures .

2)Enregistrons l’acquisition au journal :

01/03/N

2154 Matériel industriel 180000

44562 Tva /immobilisations 36000

404 Fournisseurs d immobilisation 108000

512 Banque 108000

S/ acquisition de la grue

3- Tableau d’ amortissement de la grue

Déterminons la base amortissable (BA) :

BA = 180000 – 60000

BA = 120000

Années Valeurs d origine Dotation Amortissement Valeurs nette


cumules comptable
N 120000 21000 21000 159000

N+1 120000 22800 43000 136200

N+2 120000 27600 71400 108600


N+3 120000 24000 95400 84600

N+4 120000 20400 115800 64200

N+5 120000 4200 120000 60000

4-Enregistrons les opérations :

01/03/N+5

675 Valeur comptables des éléments d actifs 60000

28154 Amortissement du matériel industriel 120000

2154 Matériel industriel 180000

S/ cession de la grue

462 Créances sur cessions d’ immobilisation 54720

775 Produits des cessions d’ éléments d’ actifs 45600

44571 Tva collectée 9120

S/ cession

5-les conditions à respecter pour activer les couts d’emprunt :

-Les coûts d’emprunts doivent concerner la période de production de l’actif ,jusqu’à la


date d’acquisition ou de réception définitive ,

- ils doivent se rapporter à un actif éligible ,c’est-à-dire qui exige une longue période de
préparation ou de construction avant de pouvoir être utilisé ou vendu .

6-Les règles à appliquer :

- Amortissements : Les en-cours de production ne sont pas amortis, car ils ne sont pas encore
prêts à être utilisés ou vendus. Les amortissements ne commencent qu’une fois que l’actif
est prêt à être utilisé ou vendu.
- Charges d’administration générale : Les charges d’administration générale ne sont pas
incluses dans le coût des en-cours de production, car elles ne sont pas directement liées à
l’acquisition, la construction ou la production de l’actif.
- Intérêts d’emprunt : Les intérêts d’emprunt peuvent être inclus dans le coût des en-cours de
production si les conditions d’activation des coûts d’emprunt sont respectées.

7-Enregistrons aux journal les écritures :

N N+1 N+2
Matières premières 52200 144000 55200
Charges directes de 61200 207000 70800
production
Charges indirectes de 27000 70200 37200
production
Quote part de charges 1272 2568 2310
administratives
Amortissement 3240 9720 4860
économiques
Amortissement - - -
dérogatoires
Charges financières 2520 4617 -
TOTAUX 147432 438105 170370

31/12/N

213 Construction 140400

722 Production immobilisée sur immobilisation corporelle 140400


S/ travaux d’ inventaire

31/12/N

681 Dotation aux amortissements d’exploitation 3240


2813 Amortissements des immobilisations corporelles 3240
S/ travaux d’ inventaires

31/12/N+1
213 Constructions 421200
722 Production immobilisée sur immobilisation corporelle 421200
S/ travaux d’ inventaires
31/12/N+1

681 Dotations aux amortissements d’exploitations 9720

2813 Amortissements des immobilisations corporelles 9720


S/ travaux d’ inventaires

8 ) Passons l’écriture relative à la vente :

01/07/N+2
661 Charges d’ intérets 2520
164 Emprunts 140000
512 Banque 142520
S/ travaux d’ inventaires

661 Charges d’ intérets 4617


164 Emprunts 180000
512 Banque 184617
S/ travaux d’ inventaires

31/12/N+2
675 Valeur nette comptable 108600
28131 Amortissement
71400
2131 Bâtiment 180000
S/ cession
512 Banque 1 296 000
775 Cession 1 080 000
44571 Tva 216 000
S/ produits des cessions

31 07 N+2
6811 Dotation aux amortissements 64 257
28131 Amortissements sur bâtiment 64 257
S/ dotation

Exercice 2
1) Déterminons le montant du brevet le 01/04/N :

*Redevance = 600000*0,02 = 12000

Calculons les valeurs actuelles (VA ) :

VA 1= 12000 /(1,1)*1 = 10909

VA2= 12000/(1,1)*2=9917

VA3= 12000/(1,1)*3=9016

VA4=12000/(1,1)*4=8196

VA5=12000/(1,1)*5=7541

*Montant total du brevet = 10909+9917+9016+8196+7541

*Montant du brevet = 45490

2) Comptabilisons les écritures concernant l’acquisition du brevet :


Déterminons le montant de la redevance annuelle

01/04/N

205 Concessions et droits similaires ; brevets 45490

512 Banque 45490

S/acquisition du brevet

3/ Enregistrons l écriture au 31/12/N :

31/12/N

651 Redevances pour concession de brevets 12000


512 Banque 12000

S/ paiement de la redevance

4 )Enregistrons l’écriture au 31/12N+1 :

Chiffres d’affaires =redevance/0 ;02

Redevance =720000*0 ;02

Redevance = 14400

31/03/N+1

651 Redevances pour concession de brevets 14400

512 Banque 14400

S/ acquisition du brevet

5) Enregistrons les écritures aux 31/12N+3 :

.Du 01/04/N+1 au 31/03/N+2 ; chiffres d’affaires =420000

Redevances =420000*0 ;02

=8400

.Du 01/04/N+2 au 31/03/N+2 ; chiffres d affaires =120000

Redevance annuelle =120000*0 ;02=2400

31/03/N+2
651 Redevances pour concession de brevets 8400

512 Banque 8400

S/ acquisition du brevet

31/03/N+3

651 Redevances pour concession de brevets 2400

512 Banque 2400

S/ acquisition du brevet

Exercice 3 :

1) Le banquier souhaite l’intervention d’un expert- comptable car la comptabilité est un


système de l information financière tenue pour les tiers et certains particuliers dont la
banque . De plus ; l expert comptable est un professionnelle indépendant et compétent
soumis a des règles déontologiques qui l obligent donc a tenir la comptabilité et a présenter
les comptes au mieux .
* le banquier souhaite surtout un expert comptable car ce dernier pourra tenir une
comptabilité qui va refléter l image fidèle du patrimoine de l entreprise ; ce qui ne pourra
que conforter la banque dans le suivi financier fait. Il pourra aussi effectue une mission de
conseil qui sera accessoire a sa mission principale de tenue ou de révision des comptes .

2) L’intervention d’un expert- comptable dans cette société ne présente pas un caractère
obligatoire mais elle est fortement recommandée pour assurer une bonne gestion de la
comptabilité de l’entreprise .

3) Les missions a titre contractuelle peuvent être exercer par un expert comptable tandis que
les missions légales doivent être confiées aux commissaires aux comptes .M.Groliere peut
faire appel aux services d’un commissaire aux comptes pour effectuer une mission d’audit en
certifiant que les comptes reflètent une image fidèle de la situation financière de l’entreprise
mais il doit obligatoirement faire appel à un expert- comptable pour assurer la tenue des
comptes de l’entreprise ; de plus ; le commissaire aux comptes ne peut pas remplacer l
expert comptable.
4) Compte tenu des caractéristiques de l’entreprise ; M.Lebarre va effectuer :
-une mission de présentation des comptes annuels ; la tenue de la comptabilité ; une
assistance sociale ; fiscale et juridique ; une mission de conseil .

5) M.Lebarre ne peut envisager cette option car :

- La comptabilité de trésorerie n est pas adapte aux sociétés commerciales dont la SAS mais
plutôt aux sociétés publiques ;

- il doit plus préconiser la comptabilité d engagement .

6) L’ image fidèle est la meilleure traduction de la situation financière de l entreprise et des états
financiers tels que le bilan ; le compte de résultat et l annexe .. L image fidèle ne peut se résumer au
simple et seul respect des principes comptables .

7)Le principe de la prééminence de la réalité économique sur l’apparence juridique n est pas
reconnu en France et n’est pas mentionnée explicitement dans le PCG plan comptable général .

8i/ Non ; les normes IFRS ne sont pas toujours intégrées dans le droit comptable français ;
cependant depuis 2005 les entreprises cotées en bourse et les grandes entreprises doivent respecter
les normes IFRS pour établir leurs comptes annuels .

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