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COMPREHENSION DE COURS NIVEAU L1

1. DEFINITION DE LA FINANCE PUBLIQUE


 Les finances publiques est l’étude des phénomènes financiers liés à la puissance publique.
 Gaston Jèze, les finances publiques sont l’étude des moyens par lesquels l’État se procure
les ressources nécessaires à la couverture des dépenses publiques et fait la répartition des
charges entre tous les citoyens.
 Pour Pierre La Lumière, les finances publiques sont l’étude des moyens par lesquels l’État
cherche à réaliser des interventions dans le domaine économique et social.

2. LE CADRE D’EVOLUTION DE LA FINANCE PUBLIQUE

Les finances publiques ont évolué dans un triple cadre :

 politique,
 économique et
 bien sûr financier.

Dans chacun de ces trois cadres on retrouve le clivage traditionnel qui oppose deux grandes
catégories : les finances publiques classiques qui correspondent à la période avant les deux-guerres
et les finances publiques modernes correspondant à la période contemporaine.

3. LA DIFFERENCE ENTRE L’ETAT LIBERAL ET L’ETAT PROVIDENCE


 Etat libéral: Les finances publiques classiques se développent dans le cadre d’un État libéral,
c’est-à- dire un État qui laisse le maximum de liberté aux particuliers sur le plan économique.
C’est donc un État «minimalitaire» selon l’expression de Marcel Prélot.

 Etat providence: À partir de la guerre de 14-18, et à la suite de la grande crise de 1929, l’État
va intervenir de plus en plus dans le domaine économique comme dans le domaine social.

4. DEFINITION DU BUDGET

Les recettes et les dépenses qui s’inscrivent dans un cadre financier : le budget. Aussi peut-on dire
que les finances p

ubliques étudient non seulement le budget considéré comme un cadre financier mais aussi le
contenu du budget c’est-à-dire les recettes et les dépenses.
COMPREHENSION DE COURS NIVEAU L3

1. LES DIFFERENTS TYPES DE FINANCEMENTS DU TRESOR PUBLIC


 Les sources intérieures de financement du trésor
 Les sources extérieures de financement du trésor

2. DEFINITION DE SOURCE DE FINANCEMENT INTERNE ET LE SOURCE DE FINANCEMENT


EXTERNE
 On vise par sources intérieures de financement du Trésor l’ensemble des moyens de
financement offerts sur le marché intérieur en francs CFA.

 Les sources extérieures de financement du Trésor désignent les engagements contractuels


de l’État en cours et ayant donnés lieu à un versement par un non-résident au Trésor
ivoirien, comportant une obligation de remboursement du principal avec ou sans paiement
d’intérêts, ou de paiement d’intérêts avec ou sans remboursement du principal.

3. DEFINITION DES SOURCES A CARACTERE NON BANCAIRE ET DES SOURCES A CARACTERE


BANCAIRE. DONNEZ DES EXEMPLES POUR CHACUN DES CAS.
 sources à caractère non bancaire: Ce sont des sources recherchées d’une manière directe ou
indirecte en dehors du circuit monétaire, c’est-à-dire elles ne donnent pas lieu à une création
monétaire. Exemple: les emprunts intérieurs de l’État, produit de la privatisation et le stock
des arriérés de paiement des dettes de l’État.
 Sources à caractère bancaire: on peut distinguer dans cette catégorie, le financement par le
marché obligataire des titres négociables du Trésor et les concours financiers de la BCEAO.

4. LES CONDITIONS D’EMISSION D’UN EMPRUNT


 l’emprunt est fixé à un chiffre déterminé,
 les emprunts sont souvent émis au-dessous du pair, c’est-à-dire, au-dessous de la
valeur nominale d’émission du titre.
 le taux d’intérêt offert par le Trésor, sachant que celui-ci dépend du marché
financier;
 les exonérations fiscales accessibles aux prêteurs des abattements de timbres, de
l’impôt sur les opérations de bourse, ainsi que dans le cadre de l’impôt général sur le
revenu (IGR) ;
 et la durée de l’emprunt.
 la souscription aux emprunts se fait soit à titre volontaire des épargnants soit à titre
forcé par une ou plusieurs catégories d’agents économiques.

ANALYSER LA PHRASE SUIVANTE: «le remboursement de l’emprunt public demeure toujours


juridiquement obligatoire»
Le remboursement apparaît comme un critère décisif de l’honnêteté du comportement de
l’État et de la garantie d’une bonne gestion des finances de l’État.

EXPLIQUER LES TERMES SUIVANTS:


 Le produit de la privatisation : Par privatisation, on entend le transfert du capital
d’une entreprise publique à des actionnaires privés. C’est aussi l’optimisation de la
modernisation de l’économie ; - l’allègement des charges du budget de l’État ; - la
plus large ouverture sur l’économie mondiale ; - la limitation et la gestion de la
concentration capitalistique.

 Les bons sur compte capital : Les bons émis en compte capital sont des emprunts à 5
ans réservés aux personnes résidant habituellement à l’étranger et possédant dans
une banque sur le territoire national des disponibilités non transférables au regard
de la réglementation de changes. Cette souscription forcée à ces bons permet à leurs
détenteurs de transférer à l’échéance les sommes souscrites.

LE MARCHÉ DES TITRES PUBLICS

1- Qu’est-ce que le Marché des Titres Publics (MTP


Le Marché des Titres Publics est l’unique marché régional, par adjudication,
exclusivement dédié au financement des Etats membres de l’UMOA. Ces émetteurs
souverains sollicitent, à travers des procédures adaptées, l’émission de titres publics
souscrits par des acteurs spécifiques, soit pour leur compte propre ou pour celui de
tiers. Il est animé par l’Agence UMOA-Titres.

2- Les parties prenantes


1. Les émetteurs
Les émetteurs du Marché des Titres Publics sont les huit (8) Etats membres de l’Union
Monétaire Ouest Africaine (UMOA) ayant en partage une monnaie commune : le
Franc de la Communauté Financière Africaine (FCFA).
2. LES INTERMEDIAIRES DE MARCHE
Il s’agit de l’ensemble des banques et des SGI de la zone UEMOA. Toute
soumission à une émission sur le Marché des Titres Publics doit obligatoirement se
faire par leur biais.
3. LES SPECIALISTES EN VALEURS DU TRESOR (SVT)
Certaines banques et Sociétés de Gestion et d’Intermédiation (SGI) ont le statut
additionnel de Spécialistes en Valeurs du Trésor (SVT). C’est-à-dire que ces
établissements sont agréés par les Trésors Publics des Etats membres comme
partenaires privilégiés mais non-exclusifs d’un ou de plusieurs Etats. Les SVT ont des
obligations particulières dans le cadre des opérations liées au Marché des Titres
Publics, en contrepartie desquelles ils bénéficient de certains avantages exclusifs
4. LES INVESTISSEURS
Le Marché des Titres Publics est accessible à toute personne physique ou morale, quel
que soit son profil, qui souhaite acquérir des titres souverains. Il peut s’agir
notamment de compagnies d’assurances, de Sociétés de Gestion d’OPCVM, de
caisses de retraite, d’investisseurs étrangers, de grandes entreprises, de PME/PMI, de
coopératives ou de particuliers (grand public).
5. LES PARTENAIRES
Les échanges entre les parties sont facilités par des structures d’appui assurant la
régulation et la promotion du Marché des Titres Publics. Ces structures élaborent,
mettent à jour le cadre règlementaire et assistent les Etats et les investisseurs. A ce
titre, aux côtés de l’Agence UMOA-Titres, nous pouvons citer des institutions clés
telles que la BCEAO, le CREPMF, la BRVM, la BAD, la BOAD.

3- Les produits
Bons Assimilables du Trésor (BAT)
Les Bons Assimilables* du trésor « BAT » sont des titres de créances à court terme
émis par l’Etat par voie d’adjudication.

Obligations Assimilables du Trésor (OAT)


Les Obligations Assimilables* du Trésor « OAT » sont des titres de créances à moyen
et long terme, émis par l’Etat par voie d’adjudication.

Obligation synthétique
L’Obligation Synthétique « OS » se définit comme un produit structuré constitué de
plusieurs instruments à remboursement In Fine. Il s’agit d’un panier de titres (BAT
et/ou OAT) choisis parmi les points standards de la courbe de taux.
Le montant emprunté par l’Etat est réparti entre les titres qui composent le panier
dans des proportions définies pour chaque titre. Ainsi, le montant recherché par
l’Etat sur chaque titre est fonction d’un coefficient exprimé en pourcentage du
montant global de l’emprunt.

4- Les voies d’émission


Adjudication ouverte ou ciblée
L’adjudication est une technique permettant l’acquisition d’un bien mobilier ou
immobilier par un système d’enchères.
En finance, c’est une technique d’émissions de bons ou d’obligations. L’adjudication
est ainsi régulièrement pratiquée par les Etats pour assurer le placement de leurs
bons et obligations du Trésor. L’enchérisseur bénéficiaire de tout ou partie de
l’adjudication est appelé l’adjudicataire.
Dans le cadre des émissions de Bons et Obligations du Trésor, les Etats de la zone
UMOA utilisent deux voies d’adjudications :
• L’adjudication ouverte : par cette voie, tous les participants directs ont la
possibilité d’enchérir une partie du titre mis en adjudication par l’émetteur.
Les participants directs à ce jour sont les établissements de crédit, les SGI et
les organismes financiers régionaux disposant d’un compte de règlement
dans les livres de la Banque Centrale (article 3 du règlement
n°06/2013/CM/UEMOA).
Les autres investisseurs, personnes physiques ou morales peuvent souscrire
par l’intermédiaire des établissements de crédit et des SGI de la zone UEMOA.
• L’adjudication ciblée : les Etats peuvent décider de réaliser une partie de
leurs émissions par le biais d’adjudications ciblées. Lors de ces émissions, les
seuls intermédiaires autorisés à porter des soumissions sont ceux justifiant de
la qualité des SVT. Tout investisseur souhaitant acquérir le titre mis en
adjudication, ne peut y souscrire que par l’intermédiaire des SVT de l’Etat
émetteur.
De façon générale, il est procédé à une seule émission par jour sur le Marché des Titres
Publics. Mais il peut parfois survenir plusieurs émissions pour un même émetteur le
même jour ; on parle alors d’émission simultanée.
Emission simultanée
L’émission simultanée est un mode d’émission consistant à procéder le même jour à
plusieurs émissions portant sur un montant globalisé pour le compte d’un même
émetteur.
Dans le cadre d’une émission simultanée, les règles de soumission et de
dépouillement sont identiques à celles d’une émission classique.

5- Les avantages
Les titres publics représentent un investissement sûr, rentable et accessible en raison,
entre autres, des paramètres suivants :
• Une Banque Centrale commune aux huit (8) Etats membres
• Un seul marché comprenant huit émetteurs à différents niveaux de risque
offrant une diversité naturelle et sans risque de change pour les investisseurs
locaux
• Un dispositif mis en place par la BCEAO pour pallier d’éventuels défauts :
le Fonds de stabilité financière
• Des titres publics défiscalisés dans le pays d’émission
• Des coûts de transaction moindres garantis par le processus
de l’adjudication
• Un couple rendement / risque attractif
• Un marché secondaire en développement avec la mise en place
des Spécialistes en Valeurs du Trésor (SVT) et la formation des acteurs
6- Comment investir
Les adjudications des titres publics sont organisées par l’Agence UMOA-Titres, en
collaboration avec la BCEAO qui joue le rôle de dépositaire et de banque de règlement
(DC/BR).
1. Le calendrier annuel des émissions est publié sur le site internet de l’AUT
(www.umoatitres.org ) avec une mise à jour trimestrielle.
2. A l’approche de chaque échéance, l’avis d’appel d’offre spécifique à chaque
l’émission est mise à disposition sur le site internet de l’AUT.
Les investisseurs inscrits à la liste de diffusion reçoivent une notification.
3. L’investisseur, quel que soit le territoire sur lequel il est établi, souscrit aux
adjudications de bons et obligations du Trésor par l’intermédiaire d’une
banque ou d’une SGI de son choix, implantée sur le territoire de l’Union.
4. Les titres peuvent s’échanger sur le marché secondaire via des opérations de
gré à gré, notamment avec les Spécialistes en Valeurs du Trésor.

ANALYSE ET COMPREHENSION
1- «le remboursement de l’emprunt public demeure toujours juridiquement obligatoire»
Réponse: Le remboursement apparaît comme critère décisif de l’honnêteté du
comportement de l’État et de la garantie d’une bonne gestion des finances de l’État.

2- «Les souscripteurs primaires doivent prendre toutes les dispositions nécessaires pour que
ces comptes soient suffisamment approvisionnés en vue d’assurer le règlement des titres qui
leur sont alloués pour leur propre compte ou pour le compte de leur clientèle».

Réponse: Selon l’article 9 du Règlement n°06/2013/CM/UEMOA, le règlement des achats de


bons et obligations du trésor par les souscripteurs primaires s’effectue par débit de leur
compte de règlement auprès de la Banque Centrale, à la date de valeur de l’émission de ces
titres. Les souscripteurs directs ne disposant pas d’un compte de règlement auprès de la
BCEAO effectuent, au plus tard à la date de valeur de l’opération, leur règlement de bons et
obligations par ordre de virement ou par chèque libellé à l’ordre du Trésor émetteur.

Vrai ou faux

1- Une adjudication à la Française est une méthode d’émission qui consiste à servir des titres au
prix ou au taux effectif de soumission. Les offres des soumissionnaires dont les prix sont les
plus élevés sont servies en premier et celles de niveau inférieur le sont ensuite, jusqu’à
hauteur du montant souhaité par l’émetteur. Faux
Réponse: c’est plutôt l’adjudication à la Hollandaise.
Pour l’adjudication à la Française, après le dépouillement des ordres d'achat, l'émetteur fixe
le prix minimum à partir duquel les ordres seront servis. Ainsi, les soumissions retenues
seront servies au même prix et pour le même montant. En effet, l’émetteur retient les
soumissions aux taux les moins élevés jusqu’au total qu’il se propose de mettre en
adjudication. Le taux marginal retenu est le taux appliqué à l’ensemble des soumissions
servies.

2- Le marché primaire des titres publics est celui sur lequel sont échangés entre investisseurs
des titres financiers. Ce marché assurant la liquidité des investissements financiers et
l'évaluation des titres financiers. Faux

Réponse: Le marché secondaire des titres publics est celui sur lequel sont échangés entre
investisseurs des titres financiers déjà créés (sur le marché primaire). En assurant la liquidité
des investissements financiers, le marché secondaire assure la qualité du marché primaire et
l'évaluation des titres financiers.

CAS 1

Le tableau présente un état des fonds mobilisés et remboursés par les différents pays émetteurs sur
le marché primaire des titres publics au mois de Mai 2022.

Notre analyse sera axée sur :

o Le besoin de mobilisation de fonds


o Le choix des instruments,
o La capacité de remboursement des dettes,
o La force financière des Etats de l’espace UEMOA

Au regard de la configuration du tableau, les observations suivantes peuvent être retenues :

 On note la présence des huit (8) Etats membres de l’espace UEMOA sur le marché des titres
publics (MTP) dont six (6) émetteurs,
 Les instruments exploités sont au nombre de deux (2) : Bon Assimilable au Trésor et
Obligation Assimilable au trésor (OAT)
 Ces Etats émetteurs de titres ont mobilisé un montant total estimé 458 Milliards F CFA,
 La Cote d’Ivoire à elle seule représente près de la moitié des fonds mobilisés soit une
estimation de 45%
 Le Sénégal et le Bénin viennent en seconde position
 Le Mali et le Niger n’ont émis aucune demande de mobilisation de fonds, ils se sont juste
contentés de rembourser les dettes antérieures,
 Les huit (8) Etats membres ont tenté de satisfaire les souscripteurs par un remboursement
total estimé à 387 Milliards de F cfa,
 La Cote d’Ivoire a le taux de remboursement le plus élevé estimé 59% tandis que la Guinée-
Bissau et le Togo ont des taux insignifiants qui se présentent respectivement par 0,35% et
1,87% .

 Autres observations…….

Interprétations

 Ce tableau montre que la Cote d’Ivoire est le pays le plus actif sur le marché primaire en
raison des fortes sommes mobilisées et remboursées. Ce qui prouve une forte confiance des
bailleurs de fonds en la gestion des affaires intérieures du pays, une économie dynamique en
pleine croissance.
 La non mobilisation des fonds par le Mali en Mai 2022 peut être justifiée par l’instabilité du
pays par le putsch et le terrorisme. A cela s’ajoute également les sanctions de la CEDEAO.
D’où une perte de confiance des investisseurs.
 Le cas du Niger peut être rattaché à une volonté de ne pas mobiliser les fonds.

CAS 3

ODR (Obligations de Relance)

Dans l’optique d’atteindre les niveaux de croissance antérieurs à la pandémie de la COVID-


19, les Etats n’ont cessé de mettre en place des plans de relance ambitieux qui nécessitent
des financements adaptés. Pour accompagner cette relance économique, le Marché des
Titres Publics de l’UEMOA animé par UMOA-Titres en partenariat avec la BCEAO a mis en
place des instruments intitulés les Obligations de Relance (OdR).

Les OdR sont des Obligations Assimilables du Trésor de maturités moyenne et longue (3 ans,
5 ans, 7 ans, 10 ans, 12 ans voir plus), qui sont émises tout au long de l’année 2021 par voie
d’adjudication ouverte sur le Marché des Titres publics de l’UEMOA. Dématérialisés, ils sont
tenus en compte courant dans les livres de la BCEAO.

Par cette nouvelle mise en place de mécanismes ingénieux, UMOA-Titres prouve une
nouvelle fois son engagement à accompagner les Etats pour la relance de leurs activités
économiques.

BSR (Bons de Soutien et de Résilience)

Pour conforter la reprise économique en cours et l’asseoir sur des bases solides, les Etats membres
de l’UEMOA ont décidé de mobiliser des ressources sur le marché financier régional par l’émission
des bons dénommés «Bons de Soutien et de Résilience», en vue de financer les opérations prévues
dans leurs budgets de l’année 2021.
L’analyse du calendrier

 Le calendrier d’émission par voie d’adjudication des Etats émetteurs est établi sur trois (3)
mois, Septembre, Octobre et Novembre.
 L’émission de la CI est le plus élevée, suivi du Sénégal
 La Guinée Bissau présente l’émission la plus faible
 On note l’utilisation de 2 instruments, le couple BAT et BSR et les ODR
 L’ODR est l’instrument qui est plus exploité pour les émissions par les 8 Etats membres.

CAS 2 :

Le tableau présente une répartition de l’encours de la dette de marché par émetteur au cours du 2 ème
trimestre 2018.

Notre analyse sera axée sur :

o Le besoin de mobilisation de fonds


o Le choix des instruments,
o La répartition de l’endettement
o La comparaison de la force financière des Etats de l’espace UEMOA

Au regard de la configuration de l’histogramme, les observations suivantes peuvent être retenues :

 Tous les Etats membres de l’espace UMOA sont concernés par l’encours de la dette estimé
à….. (calculer la dette totale)
 On note l’exploitation de deux instruments qui sont des voies d’émission (adjudication et
syndication) dont le plus utilisé est ……… (calculer et comparer). Ainsi, le choix des Etats est…
 La CI est le pays qui a l’encours d’endettement le plus élevé …….. (montant)
 Le Bénin, le Mali, Togo et Sénégal indique un encours moyennement élevé établi
respectivement….
 La Guinée Bissau présente l’encours d’endettement le moins élevé
 Tous les Etats membres ont exploité les 2 instruments sauf la Guinée Bissau qui mobilise un
faible montant par voie d’Adjudication.

Interprétation

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