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En tant qu'étudiante en industrie, ce stage représente une étape cruciale dans mon parcours académique en me permettant de mettre en
pratique les connaissances acquises au cours de ma formation.
Ce rapport de stage vise à présenter en détail mon expérience au sein du service de maintenance. Tout d'abord, je décrirai brièvement
l'entreprise elle-même, en mettant en évidence son domaine d'activité, sa taille et son importance dans l'industrie. Ensuite, je me concentrerai
sur les objectifs spécifiques que j'ai poursuivis pendant mon stage, notamment en ce qui concerne l'acquisition de compétences techniques, la
compréhension des processus de maintenance préventive et curative, ainsi que l'interaction au sein d'une équipe dédiée.
Patente 3403649
ICE 002862086000086
CNSS 2680772
Identification fiscale 50351028
2.3. Organigramme générale de l’entreprise :
2.4. Produits fabriqués par Activ agro :
La pate à tartiner : Est un aliment fluide de consistance plus ou moins visqueuse, composé en grande partie de graisse, de sucre ,et noisette, et
généralement destiné à être consommé étaler sur du pain (ou ses variantes : pain grillé, biscotte, crêpe, gaufre, etc.).
On peut distingue trois type de pate à tartiner produit par activ agro à base de noisette :
Boite en plastique :
Il contient presque 9OOg du la pâte noire, il doit être conserver à une température de 20 °C.
Boite en verre :
Type 1(mono) :
Il contient presque 700g de la pâte noire.
Type 2 (Dio) :
Il contient presque 700g de la pâte noire et blanc.
Pépite de chocolat : Les pépites de chocolat sont de petites pépites solides de chocolat souvent utilisées en cuisine pour ajouter une touche de
saveur et de texture aux desserts, aux pâtisseries et à d'autres créations culinaires. Ces morceaux sont conçus pour fondre partiellement à la
chaleur, tout en conservant leur forme caractéristique, ce qui les rend parfaites pour incorporer du chocolat dans différentes recettes.
Un bâtonnet de chocolat :est une forme solide de chocolat généralement moulée sous la forme d'une barre allongée ou d'un cylindre. Il est
généralement conçu pour être cassé ou coupé en portions individuelles pour la consommation. Les bâtonnets de chocolat sont disponibles dans
différentes tailles, épaisseurs et types de chocolat
Vérmicelle : ‘’Pâtes alimentaires’’, sont une variété de pâtes alimentaires en forme de fils fins, souvent utilisés dans les potages. Ils sont
abondamment utilisés dans la cuisine asiatique. Le terme dérive d'un mot latin, ‘vermiculus’, par l'intermédiaire de l'italien ‘vermicelli’,
’vermisseaux’. En Suisse, le mot sert à désigner un dessert à base de purée de châtaignes pressée sur un biscuit croquant, le tout servi dans un
petit pot.
L’entreprise activ agro produit le vermicelle dans les différentes couleurs et le noir.
Pistolet chocolat : Une "pistolet de chocolat" fait référence à une petite pièce discoïdale de chocolat, souvent utilisée en pâtisserie et en
chocolaterie. Ces pistolets sont pratiques car elles fondent rapidement et rapidement. Elles sont donc privilégiées par les professionnels pour
réaliser des préparations nécessitant du chocolat fondu, comme le tempérament ou la confection de ganaches.
L’entreprise activ agro produit des Pistolets en noir et en blanc
Tablette chocolat : une tablette de chocolat, ou plaque de chocolat, est la forme courante sous laquelle est conditionné du chocolat pour la vente
aux particuliers. C'est un parallélépipède rectangle, de taille variable et de poids généralement compris entre 80 et 200 grammes, formé d'un
nombre variable de carrés moulés qui en facilitent la découpe.
Les chocolats bonbons : ce sont de délicieuses confiseries créées à partir de chocolat et généralement fourrées avec diverses garnitures, comme
des noix, des fruits secs, des crèmes, des pâtes à tartiner, des caramels, et bien d'autres. Ces douceurs sont souvent conçues pour offrir une
expérience gustative variée en combinant la richesse du chocolat avec une grande diversité de saveurs et de textures.
3) Généralité sur le chocolat :
La consommation du chocolat :
Le chocolat est un aliment dérivé de la fève de cacao et est apprécié dans le monde entier pour son goût sucré et sa texture riche.
Histoire et Origine : Les fèves de cacao étaient utilisées par les anciennes civilisations d'Amérique centrale et d'Amérique du Sud pour
créer des boissons chocolatées. Le chocolat tel que nous le connaissons aujourd'hui a évolué au fil des siècles grâce à des techniques de
transformation et de production.
Types de Chocolat : Il existe plusieurs types de chocolat, notamment le chocolat noir, le chocolat au lait et le chocolat blanc. Le chocolat
noir est fabriqué à partir de pâte de cacao et de sucre, sans ajout de lait, et il contient généralement une plus grande quantité de cacao. Le
chocolat au lait contient du lait en poudre ou du lait condensé, ce qui lui donne une saveur plus douce. Le chocolat blanc est fabriqué à
partir de beurre de cacao, de sucre et de lait, sans cacao solide.
Consommation Mondiale : La consommation de chocolat varie à travers le monde. Les pays occidentaux ont tendance à avoir une
consommation plus élevée de chocolat, en particulier pendant les périodes de fêtes comme Pâques et Noël. La Suisse, la Belgique et
l'Allemagne sont parmi les plus grands consommateurs de chocolat au monde
Tendances : Au fil des années, il y a eu des innovations dans le domaine du chocolat, comme l'introduction de chocolats aromatisés, de
chocolats santé et de chocolats artisanaux de haute qualité. Les tendances en matière de consommation de chocolat évoluent également,
avec un intérêt croissant pour les produits biologiques, équitables et à faible teneur en sucre.
D’OÙ PROVIENT LE CACAO ?
Le cacao provient du cacaoyer. Le cacaoyer, arbre du genre Theobroma est une espèce tropicale endémique originaire des forêts équatoriales au
climat chaud et humide. Les cacaoyers poussent naturellement sous l’ombrage d’autres espèces végétales. Ils produisent des milliers de petites
fleurs blanches, dont seulement quelques-unes seront fécondées et donneront des fruits. Nommées cabosses de cacao, ces fruits poussent sur les
branches principales de l’arbre, ou directement sur le tronc. Un cacaoyer produira ses premiers fruits, les cabosses de cacao, minimum 3 ans
après sa plantation.
Poursuivons avec un peu d’étymologie : le mot « cacao » en français est emprunté au 16ème siècle au mot espagnol « cacao », lui-même issu du
mot aztèque « cacahuatl ». Car entre 1522 et 1560, les conquérants espagnols ont envahi les régions mayas et aztèques et ont importé
massivement à leur retour en Europe des fruits, des légumes et des plantes dont des fèves de cacao et des cacaoyers.
Aujourd’hui, le terme « cacao » est usuellement utilisé pour désigner tous les produits issus du cacaoyer : cabosse de cacao, pâte de cacao, fève
de cacao, poudre de cacao, beurre de cacao, teneur en cacao etc.
5) Introduction à la maintenance :
5 .1. La défaillance d’un system :
Un système peut être défini comme un ensemble de composants interdépendants, conçus pour réaliser une fonction donnée, dans des conditions
données et dans un intervalle de temps donné. Pour chaque système, il importe de définir clairement les éléments qui le caractérisent, à savoir : la
fonction, la structure, les conditions de fonctionnement, les conditions d’exploitation et l’environnement dans lequel il est appelé à opérer. La
norme AFNOR définit la défaillance comme une altération ou une cessation d’un bien à accomplir une fonction requise. L’analyse de la
défaillance est faite non seulement dans le but de réparer ou dépanner un système défaillant, mais également de chercher à éviter la réapparition
du défaut. Une expertise doit permettre, à l’issue d’une défaillance d’un équipement, de déterminer les causes, qui peuvent être soit un processus
intrinsèque ou une imputation externe (accident ou mauvaise utilisation). Elle doit aussi permettre d’identifier la nature de la défaillance, de la
détecter, d’en déduire les conséquences, d’en déterminer l’amplitude et finalement, de comprendre le processus de manifestation qui est
caractérisé par la vitesse de propagation ou le caractère.
Les principaux modes de défaillances sont divisés dans les trois catégories suivantes :
La santé – matière : il s’agit de défauts préexistants dans les pièces en service. Il apparaît par suite d’un défaut, soit lors de l’élaboration
de la matière, soit lors de l’élaboration de la pièce finie, ou lors du montage ;
Les modes de défaillances mécaniques en fonctionnement : il s’agit de plusieurs types de défaillances mécaniques. Elles apparaissent par
suite d’un choc, à une surcharge, à une fatigue mécanique ou thermique, à un fluage, à l’usure, à l’abrasion, à l’érosion ou à la corrosion ;
Les modes de défaillances électriques : ces défaillances surgissent par suite de la rupture d’une liaison électrique, au collage, à l’usure de
contact ou au claquage d’un composant.
Pour remédier à ces défaillances, les concepts de maintenance et de maintenabilité ont vu le jour
5.2. Définition de la maintenance :
Selon la norme AFNOR NF X60-010 : « La maintenance est l’ensemble des actions
Permettant de maintenir ou de rétablir un bien dans état spécifié ou en mesure d’assurer un
Service déterminé ».
Le terme « maintenir » contient la notion de prévention sur un système en fonctionnement
Le terme « rétablir » contient la notion de correction consécutive à une perte de fonction
« Un état spécifié » ou « un service déterminé » implique la détermination préalable des Objectifs à atteindre, avec quantification des
niveaux caractéristiques.
Entretien
Ensemble des travaux ayant pour but de maintenir dans leur état initial des ouvrages ou équipements existants, sans changer leur usage ou
leur fonction. L’entretien peut s’avérer nécessaire plusieurs fois pendant la durée de vie, il limite ainsi les risques de désordre ou de
pannes (composante préventive de la maintenance).
Historiquement, il existe une opposition de sens entre les termes
Maintenance et Entretien.
ENTRETIEN MAINTENANCE
Dépanner, réparer Prévenir, optimiser le cout de possession
Subir le matériel Maitriser
Tâche ingrate : période estivale, improductif Outils spécifiques : fiabilité, GMAO
Activité de faible priorité : Valorisation du métier :
Faible qualification. Participation aux études, à la conception, à
Responsabilité limitée. l’installation et à l’amélioration
Exploitation prioritaire
5.3. Les opérations de la maintenance :
Les opérations de maintenance font référence aux activités et aux tâches entreprises pour assurer le bon fonctionnement, la fiabilité, la
sécurité et la durée de vie des équipements, des machines, des installations et des infrastructures. Ces opérations peuvent varier en
fonction du type d'équipement et du secteur industriel, mais elles visent toutes à maintenir les actifs en bon état de fonctionnement et à
minimiser les temps d'arrêt non planifiés. Voici quelques exemples courants d'opérations de maintenance :
Réparation (extrait de la norme AFNOR X 60-010-1994) :
Action définitive et limitée de la maintenance à la suite d'une défaillance.
Dépannage (extrait de la norme AFNOR X 60-010-1994) :
Action consécutive à la défaillance de bien, en vue de rendre apte à accomplie une fonction requise, au moins provisoirement.
Vérification (extrait de la norme AFNOR X 07-010-1992) :
Confirmation par examen et établissement des preuves que les exigences spécifiées ont été satisfaites
Le résultat d'une vérification se traduit par une décision de remise en service, d'ajustage, de réparation, de déclassement ou de réforme.
Dans tous les cas, une trace écrite de la vérification effectuée doit être conservée dans le dossier individuel de l'appareil de mesure.
Vérification préliminaire (extrait de la spécification E2M n°E/970101/C) :
La vérification préliminaire est une opération de vérification effectuée après l'opération de contrôle fonctionnel et avant toutes autres
opérations.
Contrôle (extrait de la norme ISO 8402-1994) :
Activité, tel que mesurer, examiner, essayer ou passer au calibre une ou plusieurs caractéristiques d'une entité et comparer les résultats
aux exigences spécifiées en vue de déterminer si la conformité est obtenue pour chacune de ces caractéristiques.
Ajustage (extrait de la norme AFNOR NF X 07-010-1992) :
Opération destinée à amener un appareil de mesure à un fonctionnement et à une justesse convenable pour son utilisation.
Calibrage (extrait de la spécification E2M n° E/970101/C) :
Le calibrage consiste à remettre un appareil à un niveau de précision optimale.
Etalonnage (extrait de la norme AFNOR NF X 07-010-1992) :
Ensemble des opérations établissant, dans des conditions spécifiées, la relation entre les valeurs indiquées par un appareil de mesure ou
un système de mesure et les valeurs connues correspondantes d'une grandeur mesurée
Maintenance conditionnelle :
C’est une « maintenance préventive subordonnée à un type d’événement prédéterminé et révélateur de l’état de dégradation d’un bien » (NF
X60-010).
Cette forme de maintenance permet d’assurer le suivi du matériel pendant son fonctionnement dans le but de prévoir les défaillances attendues.
Elle n’implique pas la connaissance de la loi de dégradation et le démontage du matériel. L’intervention préventive n’a lieu que si certains
paramètres mesurables atteignent un seuil critique prédéterminé et révélateur d’une défaillance imminente.
Maintenance prévisionnelle :
C’est une « maintenance conditionnelle exécutée en suivant les prévisions extrapolées de l'analyse et de l'évaluation de paramètres significatifs
de la dégradation du bien ». (Extrait norme NF X 60-319).
Elle consiste à anticiper les besoins de la maintenance en permettant de prévenir les pannes ou les défaillances. C’est la maintenance 4.0, avec
une surveillance en continu des évolutions de certains paramètres, des seuils, des différentes data (logiciel GMAO, etc…), permettant une gestion
précise pour déclencher la bonne intervention en fonction de l’ensemble des paramètres.
5.6. Objectif de la maintenance :
a. Objectif de la maintenance préventive :
La maintenance préventive participe grandement au bon fonctionnement de l’entreprise. Il est nécessaire de mettre en place une stratégie
efficace permettant d’optimiser l’interaction entre les activités de maintenance, son organisation et le flux de production. La mise en
place d’un plan d’action de maintenance préventive n’en sera que plus bénéfique pour l’entreprise. Il permettra notamment :
1) L’augmentation de la durée de vie des équipements
Les équipements étant suivis et contrôlés régulièrement, les défauts mineurs qui pourraient les endommager sont repérés en amont et
éliminés au fur et à mesure de leur apparition. Avec une maintenance préventive bien réalisée, la durée de vie des équipements se voit
considérablement rallonger et leur fréquence de remplacement réduite.
2) L’augmentation de la productivité
La productivité des effectifs ne sera plus affectée avec un nombre d’arrêts intempestifs des machines et les risques de pannes complètes
sont considérablement réduites. La maintenance préventive permettra notamment, d’augmenter la vitesse de résolution des problèmes,
d’optimiser le temps de fonctionnement et d’éviter ainsi les retards de production.
3)La réduction des coûts
L’entretien préventif a pour objectif d’éviter des réparations inutiles. Les machines bien entretenues sont beaucoup plus sûres et voient
leur taux d’assurance diminuer. Les coûts de maintenance liés à une panne d’équipement peuvent être très coûteux, surtout, lorsqu’il
s’agit de coûts liés aux réparations d’urgence. De plus, elle permet une optimisation des coûts énergétiques.
4) La sécurité des personnes
Une panne ou un dysfonctionnement soudain peut créer des conditions de travail dangereuses pour vos employés, surtout, s’ils se
trouvent à côté de la machine lorsqu’elle tombe en panne. Cette problématique est centrale et bon nombre d’accidents pourraient être
évités chaque année avec une bonne maintenance.
5) Une meilleure qualité production
Assurer la fiabilité des machines industrielles est la meilleure façon d’assurer un flux de production constant.
6) La diminution des arrêts imprévus
La disponibilité continue des équipements de production est essentielle au bon fonctionnement d’une entreprise. Les temps d’arrêt
imprévus de la chaîne de production entraînent des conséquences désastreuses pour celle-ci, entraînant par ailleurs, une perte de revenus,
de fiabilité, de capacité de production et enfin, un client mécontent. Avec la maintenance préventive, impossible de passer à côté d’une
défaillance sur un équipement grâce aux données remontées par le système. Cela permet alors d’éviter de longs et onéreux arrêts de
production.
b. Objectif de la maintenance corrective :
L'objectif principal de la maintenance corrective est de ramener l'élément défaillant à son état de fonctionnement normal dans les plus brefs
délais afin de minimiser les interruptions de production, les perturbations et les coûts associés aux arrêts non planifiés. Voici les principaux
objectifs de la maintenance corrective :
Rétablir la fonctionnalité : L'objectif premier de la maintenance corrective est de ramener l'équipement ou le système à son état de
fonctionnement normal. Cela permet de minimiser les perturbations dans la production et de continuer à fournir des biens ou des services
de manière efficace.
Réduire les temps d'arrêt : En intervenant rapidement pour résoudre les problèmes, la maintenance corrective vise à minimiser les temps
d'arrêt imprévus. Cela contribue à maintenir une production régulière et à éviter les retards coûteux.
Prévenir les dommages supplémentaires : En agissant rapidement sur les pannes ou les défaillances, la maintenance corrective peut
empêcher que des dommages supplémentaires ne se produisent. Dans certains cas, un petit problème non traité peut évoluer en un
problème majeur qui pourrait nécessiter des réparations plus importantes et coûteuses.
Économiser sur les coûts de maintenance : En intervenant rapidement pour résoudre un problème spécifique, la maintenance corrective
peut être plus économique que d'attendre que le problème s'aggrave. Des réparations mineures peuvent être moins coûteuses que des
réparations majeures.
Réduire l'impact sur la production : La maintenance corrective vise à réduire au minimum l'impact sur la production. Cela peut impliquer
une coordination étroite avec les opérations pour planifier la maintenance de manière à perturber le moins possible les activités en cours.
Collecter des données pour l'amélioration continue : Même si la maintenance corrective vise à réparer rapidement les problèmes, elle
peut également fournir des informations utiles pour améliorer la fiabilité à long terme de l'équipement ou du système. Les données sur les
pannes récurrentes peuvent être utilisées pour identifier des tendances et mettre en œuvre des solutions d'amélioration
Pour les défaillances de jeunesse, de nombreuses défaillances apparaissent en début d’utilisation, puis le nombre de défaillances ainsi que le taux
de défaillance diminuent. Ces défaillances sont dues aux malfaçons lors de la fabrication, à une mauvaise conception du système (défauts de
qualité).
Les défaillances de maturité sont celles dues aux conditions de fonctionnement. Le taux de défaillance est relativement réduit et peut être
considéré comme constant.
Dans la phase des défaillances de vieillesse, le nombre de défaillances est en augmentation au fur et à mesure de l’accentuation des phénomènes
d’usure. Cette période caractérise la fin de vie utile du système.
La durée de vie T correspond, pour un système réparable, à la durée entre la mise en service et le moment où le taux de défaillance est considéré
en augmentation de 10 % par rapport à λ
6) Indicateurs de performances :
6.1. La fiabilité et Le MTBF :
Fiabilité :
La fiabilité est l’aptitude ou la probabilité qu’un bien d’une entité à accomplir une fonction requise sous des conditions données dans un
intervalle de temps donné, son calcul permet de connaître le pourcentage de chances qu’a un équipement de fonctionner sans panne pendant un
temps donné La fiabilité est la probabilité de n’avoir aucune défaillance pendant la durée t. Comprise entre 0 et 1(ou 0 et 100%), elle est notée
R(t) (R pour Reability, fiabilité en anglais)
Un équipement fiable= il tombe rarement en panne.
L'indicateur de fiabilité : MTBF
Le temp moyen entre pannes ou durée moyenne entre pannes, souvent désigné par son sigle anglais MTBF (mean time between faillures), est une
des valeurs qui indiquent la fiabilité d’un composant, d’un produit ou d’un système. C’est la moyenne arithmétique du temps de fonctionnement
entre les pannes d’un système réparable.
Le taux de défaillance :
Le taux de défaillance instantané est le taux de défaillance d’un système ayant fonctionné pendant une durée t, appelé également taux de panne, il
est égal à l’unité de temps sur la MTBF.
1
𝜆=
𝑀𝑇𝐵𝐹
En panne/ minute
La MTTR :
Le temps moyen de réparation souvent désigné par son sigle anglais MTTR (mean time to repair) est une valeur qui indique la maintenabilité
d’un composant, d’un produit ou d’un système, c’est la moyenne arithmétique des durées de réparation d’un système donné.
σ 𝑇𝑒𝑚𝑝𝑠 𝑑𝑒 𝑟é𝑝𝑎𝑟𝑎𝑡𝑖𝑜𝑛
𝑀𝑇𝑇𝑅 =
𝑁𝑜𝑚𝑏𝑟𝑒 𝑑𝑒 𝑟é𝑝𝑎𝑟𝑎𝑡𝑖𝑜𝑛
Par minute
Le taux de réparation µ :
Le taux de réparation il est généralement désigné par µ. Le taux de réparation est défini mathématiquement comme suit :
1
µ=
𝑀𝑇𝑇𝑅
Par Rép/h
6.3. La disponibilité :
La disponibilité est l’aptitude d’un système à être en état d’accomplir une fonction lorsqu’elle est requise dans des conditions données, en
supposant que les ressources externes nécessaires soient mises à disposition.
Les ressources externes nécessaires autres que la logistique de maintenance n’influe pas sur la disponibilité du système, quoique le système
puisse ne pas être disponible du point de vue de l’utilisateur. Cette aptitude dépend de la combinaison de la fiabilité et de la maintenabilité du
système, de l’aptitude au soutien ainsi que des actions de maintenance exécutées sur le système.
La disponibilité peut être quantifiée en utilisant des mesures ou des indicateurs appropriés et est ensuite appelée performance de disponibilité.
Calcul de la disponibilité :
La disponibilité moyenne sur un intervalle de temps donné peut-être calculée par la formule :
𝑀𝑇𝐵𝐹
𝐷=
𝑀𝑇𝐵𝐹 + 𝑀𝑇𝑇𝑅
Pilier 2 : Maintenance autonome (Autonomous Maintenance) : Ce pilier se concentre sur la formation des opérateurs pour qu'ils puissent réaliser
des tâches de maintenance préventive, telles que le nettoyage, la lubrification et l'inspection des équipements. L'objectif est de réduire les
dégradations des équipements et les temps d'arrêt imprévus.
Pilier 3 : Maintenance planifiée (Planned Maintenance) : Dans ce palier, des activités de maintenance préventive et prédictive sont planifiées et
mises en œuvre pour prévenir les défaillances potentielles des équipements. Cela comprend la surveillance régulière, les remplacements planifiés
de pièces et les révisions.
Pilier 4 : Formation et développement des compétences (Training and Skill Development) : Ce pilier vise à renforcer les compétences des
employés à tous les niveaux pour qu'ils soient en mesure d'entretenir, d'exploiter et d'améliorer les équipements de manière efficace. La formation
continue est essentielle pour développer une équipe compétente.
Pilier 5 : Amélioration de l'efficacité de l'équipement (Focused Improvement) : Dans ce pilier, des équipes travaillent sur des projets visant à
éliminer les causes profondes des pannes récurrentes, à réduire les temps d'arrêt et à améliorer la productivité des équipements.
Pilier 6 : Gestion de la qualité initiale (Early Equipment Management) : Ce pilier se concentre sur la conception et l'installation de nouveaux
équipements de manière à réduire les risques de défaillance et à garantir une performance optimale dès le départ.
Pilier 7 : Sécurité, hygiène et environnement (Safety, Health, and Environment) : La sécurité des employés, la santé au travail et la protection de
l'environnement sont des éléments essentiels de la TPM. Ce pilier vise à intégrer ces aspects dans toutes les activités de maintenance et de
production.
Pilier 8 : Gestion administrative (Office TPM) : Ce dernier pilier concerne la mise en œuvre des principes de la TPM dans les activités
administratives et de gestion. L'objectif est d'améliorer l'efficacité et la productivité des fonctions administratives
6.5.Le TRS :
Le TRS (Taux de Rendement Synthétique) /OEE (Overall equipement effectiveness) est l’indicateur de référence de la TPM, celui-ci est
assurément l’un des indicateurs les plus suivis dans le monde de l’industrie. En un seul chiffre, il vous offre la possibilité d’avoir d’une vision
synthétique et sévère de la performance.
Le TRS est défini par la norme NF E60-182 comme le rapport du temps utile sur le temps requis.il représente donc le pourcentage du temp passé
à faire des pièces bonnes à la cadence nominale, par rapport au temps pendant lequel le moyen était mis à disposition de la production (temps
requis).
Il peut aussi être calculé comme le rapport du nombre de pièces bonnes produites par le nombre de pièces qu’il serait théoriquement possible de
réaliser pendant le temps de production.
: Méthodes de calculs :
Pour calculer ces indicateurs il faut déterminer premièrement les différents temps d’arrêts
(Temps d’arrêts induits, Temps d’arrêts pannes, nombre d’arrêts), en plus : le temps utile, temps requis, temps de bon fonctionnement.
Calculs :
Temps d’ouverture : Temps de référence correspondant à l’horaire habituel de l’atelier (ou du moyen de production), il est défini au
préalable pour chaque moyen ou globalement pour l’atelier.
Temps d’arrêts induits : Temps pendant lequel le moyen ne peut pas produire pour des causes externes : • Défaut d’approvisionnement •
Saturation de pièces • Manque de personnel (attente, absence, réunion, pause, …).
Temps d’arrêts pannes : regroupe les temps d’arrêts liés aux pannes machines.
Nombres d’arrêts : c’est le nombre d’arrêts pannes machines.
Temps Utile : Temps pendant lequel le moyen fabrique des produits bons. Temps non mesurable. Il est calculé en multipliant le nombre de
pièces bonnes par le temps de cycle de référence (temps de cycle théorique, temps de gamme).
Les arrêts de production qui se produisent pendant le temps requis pénalisent directement la disponibilité du moyen (et donc la
Disponibilité Opérationnelle - DO). Ces temps d’arrêt sont de types suivant la cause de l’arrêt : Temps d’arrêt induit : externe au moyen
de production
Temps d’arrêt propre : interne au moyen de production
Temps requis : Temps pendant lequel l'utilisateur engage son moyen avec la volonté de produire au temps de cycle de référence. Cette
volonté se traduit par l'utilisation de moyens Techniques et Humains
= TO-TAI
Temps de bon fonctionnement :
= TO-Temps d’arrêts pannes
D’où TRS=TU/TR
6.7. AMDEC :
Le AMDEC (Analyse des Modes de défaillance, de leurs Effets et de leur Criticité), en anglais : FMECA(Failure Modes,Effects and Criticality
Analysis) est une méthode d’analyse prévisionnelle de la fiabilité qui permet de la recenser les modes de défaillances potentielles dont les
conséquences affectent le bon fonctionnement du moyen de production ,de l’équipement ou du processus étudié ,puis d’estimer les risques liés à
l’apparition de ces défaillances ,afin d’engager les actions correctives ou préventives à apporter lors de la conception ,de la réalisation ou de
l’exploitation du moyen de production, ou du processus.
Typologie AMDEC :
Les types d’AMDEC SONT :
L’AMDEC PRODUIT : Elle sert à assurer la fiabilité d’un produit en améliorant sa conception
L’AMDEC PROCESSUS : Assure la qualité d’un produit en améliorant les opérations de production de celui-ci.
L’AMDEC MOYEN DE PRODUCTION : Elle assure la disponibilité et la sécurité d’un moyen de production en améliorant sa maintenance.
La démarche AMDEC :
Résultat
Hiérarchisation
Etude quantitative
Analyse fonctionnelle
Constitution du groupe de travail :
Cette étape consiste créer un groupe de travail, une équipe regroupant plusieurs secteurs de l’entreprise. En fonction du type d’AMDEC, les
secteurs seront différents. Par exemple, Pour une AMDEC-processus, les secteurs invités peuvent être des personnes du service recherche, des
achats, du marketing, de la maintenance, de la qualité, des méthodes et de la production
Analyse fonctionnelle :
Une défaillance est la dégradation ou la disparition d’une fonction d’un produit. L’analyse fonctionnelle permet de recenser les fonctions
principales du produit, mais aussi les fonctions contraintes et les fonctions élémentaires.
L’analyse fonctionnelle se décompose en 3 phases :
Définir clairement le besoin. Concrètement décrire comment le besoin peut être satisfait ou non.
Définir les fonctions du besoin. Chaque fonction doit répondre à la question : A quoi sert cette fonction ? La réponse doit être formulée
simplement : un sujet et un verbe. (Exemple, la fonction d’une tondeuse. La tondeuse tond. La défaillance pourrait alors être : (Exemple,
la fonction d’une cisaille. La cisaille coupe. La défaillance pourrait alors être : la cisaille ne coupe pas, ou la cisaille ne coupe plus de
façon nette.)
Etablir l’arbre fonctionnel. C’est un ensemble de fonctions principales, de sous-fonctions ou résultants de fonctions élémentaires.
Etude qualitative des défaillances :
Cette étude consiste à identifier toutes les défaillances possibles, déterminer les modes de défaillances, identifier les effets, analyser et déterminer
les causes possibles ou probables. On utilise l’analyse fonctionnelle pour déterminer les causes et les effets de chaque mode de défaillance. En
utilisant l’exemple d’une cisaille défaillante :
On peut envisager qu’une défaillance serait que la tôle ne soit pas coupée ou mal coupée. A partir de ces deux modes de défaillance, on peut
définir l’effet de la défaillance.
L’exhaustivité de l’étude est ce qui garantira son succès. Le but de l’AMDEC est donc de mettre en évidence les points critiques, les éliminer et
prévoir un mode de prévention.
Etude quantitative :
C’est une estimation de l’indice de criticité des trois notions cause-mode-effet de la défaillance étudiée. On peut utiliser différents critères pour
déterminer l‘indice de criticité. En principe la défaillance est jugée plus importante si :
C= G x O x D
Hiérarchisation :
Cette étape permet de décider des actions à mener en fonction de leur priorité. La hiérarchie est faite par ordre décroissant et en fonction de la
note de criticité : (C>100 ; 100>C>50; 50>C>20; C<20).
Recherche d'actions préventives et correctives :
Après avoir catégorisé les modes de défaillances en fonction des scores de criticité, le groupe choisira un responsable pour mener les actions
correctives et préventives. Dans cette situation on utilise les outils typiques tels que Ishikawa, Pareto, brainstorming et autres travaux de groupe.
Le but étant bien sûr d’agir de manière à diminuer les “scores” de chacun des indices (réduire la gravité, l’occurrence et l’inefficacité de détection
de la défaillance).
Suivi des actions menées et réévaluation de la criticité :
Pour permettre de vérifier la pertinence des actions menées, un nouveau calcul de la criticité est nécessaire. Ce nouvel indice de criticité, parfois
appelé risque résiduel, est donc primordial pour mesurer l’efficacité, la performance des choix.
7) La maintenance et l’industrie agroalimentaire :
7.1. L’industrie agroalimentaire :
L’industrie alimentaire, encore appelée « industrie agroalimentaire » (en abrégé IAA) est l'ensemble des activités industrielles qui transforment
des matières premières issues de l’agriculture, de l'élevage ou de la pêche en produits alimentaires destinés essentiellement à la consommation
humaine. Ainsi, l’industrie alimentaire ne comprend pas l’agriculture qui élève les produits vivants, cultive les plantes et fruits, et les fournit à
l’industrie agroalimentaire.
Huit grandes familles composent ce secteur :
L'industrie de la viande : abattage du bétail, de la volaille, charcuterie, conserverie de viande.
L'industrie laitière : fabrication du lait, du beurre, des yaourts, des fromages, du lait en poudre ou concentré, « crackage » du lait pour l’industrie
alimentaire (caséine, lactose, protéines ultra-filtrées.), fabrication de crèmes glacées et glaces.
L'industrie sucrière.
La fabrication de produits alimentaires élaborés : fruits, légumes, poissons, plats cuisinés et confitures.
La fabrication de produits à base de céréales : farine, pain et pâtisserie industriels, biscuits, biscottes, semoules et pâtes alimentaires, malt,
amidon, fécules et produits dérivés, aliments pour animaux d’élevages et domestiques.
La fabrication d’huiles, de corps gras et de margarines.
La fabrication de produits alimentaires divers : chocolat, confiserie, café et thé conditionnés, épices, herbes aromatiques, condiments, vinaigres,
sauces préparées, aliments diététiques, aliments pour bébés, produits de régime, petits déjeuners, entremets, desserts, bouillons, potages, levures,
etc...
La fabrication de boissons et alcools : vins, eaux de vie, distillation d’alcool, apéritifs, champagne, bière, cidre, jus de fruits et de légumes, autres
boissons non alcoolisées, eaux minérales.
7.2. Les risques de la maintenance dans l’industrie agro-alimentaire :
La maintenance dans l'industrie agro-alimentaire comporte certains risques particuliers en raison des normes strictes de sécurité alimentaire,
d'hygiène et de réglementation qui y sont associées. Voici quelques-uns des principaux risques liés à la maintenance dans ce secteur :
Contamination croisée : Lorsque des travaux de maintenance sont effectués sur des équipements qui traitent différents types d'aliments, il
existe un risque de contamination croisée. Cela peut entraîner des mélanges indésirables entre les produits alimentaires, ce qui
compromettrait leur sécurité et leur qualité.
Risque microbiologique : Les équipements non correctement nettoyés et désinfectés après la maintenance pourraient abriter des bactéries,
des virus ou d'autres agents pathogènes. Ces contaminants pourraient se propager aux aliments lorsqu'ils sont remis en service.
Non-respect des réglementations : Si la maintenance n'est pas effectuée conformément aux réglementations strictes de l'industrie agro-
alimentaire, l'entreprise risque des sanctions légales et réglementaires. Cela pourrait non seulement entraîner des amendes, mais aussi
nuire à la réputation de l'entreprise et à la confiance des consommateurs.
Interruption de la chaîne de production : Une mauvaise planification de la maintenance peut entraîner des temps d'arrêt non planifiés de la
production. Cela peut avoir un impact sur la disponibilité des produits sur le marché et causer des perturbations dans la chaîne
d'approvisionnement.
Sécurité des travailleurs : La maintenance dans les environnements agro-alimentaires peut impliquer des risques pour la sécurité des
travailleurs, tels que le travail en hauteur, l'utilisation d'outils électriques, etc. Des procédures de sécurité rigoureuses doivent être suivies
pour éviter les accidents.
Utilisation de produits chimiques : Certains travaux de maintenance peuvent nécessiter l'utilisation de produits chimiques de nettoyage ou
de désinfection. Une manipulation incorrecte de ces produits peut entraîner des risques pour la santé des travailleurs et des contaminations
potentielles des aliments.
Pannes après la maintenance : Si la maintenance n'est pas effectuée correctement, elle peut en réalité augmenter les risques de pannes
ultérieures. Cela peut être dû à une mauvaise réparation, au remplacement de pièces par des pièces de mauvaise qualité ou à d'autres
erreurs.
Gestion des déchets : Les déchets générés lors des travaux de maintenance doivent être éliminés correctement pour éviter toute
contamination ou pollution environnementale.
Optimisation de la maintenance préventive : La GMAO permet de planifier et de suivre les activités de maintenance préventive sur les
équipements et les machines utilisés dans la production agro-alimentaire. Cela réduit les risques de pannes inattendues et d'arrêts de
production coûteux.
Amélioration de l'efficacité opérationnelle : En identifiant les besoins de maintenance en temps opportun, la GMAO contribue à
minimiser les temps d'arrêt non planifiés. Cela aide à maintenir les lignes de production en marche, à éviter les perturbations de la chaîne
d'approvisionnement et à optimiser la capacité de production.
Gestion des stocks et des pièces détachées : La GMAO permet de suivre les pièces détachées et les fournitures nécessaires à la
maintenance. Cela garantit que les pièces nécessaires sont disponibles lorsque des réparations ou des remplacements sont nécessaires,
évitant ainsi les retards liés à la recherche de pièces.
Documentation et suivi des interventions : La GMAO enregistre les détails des interventions de maintenance, des réparations effectuées et
des pièces utilisées. Cela crée une traçabilité essentielle pour des raisons de conformité réglementaire et d'audit.
Prévention des risques alimentaires : Dans l'industrie agro-alimentaire, la sécurité alimentaire est primordiale. La GMAO peut aider à
s'assurer que les équipements et les installations sont régulièrement inspectés, nettoyés et entretenus pour éviter toute contamination
croisée ou tout risque pour la qualité des produits.
Analyse des performances des équipements : La GMAO fournit des données sur la fréquence et la nature des pannes, ce qui peut aider à
identifier les équipements les plus sujets aux problèmes. Ces informations permettent d'adopter des approches d'amélioration continue
pour renforcer la fiabilité des équipements.
Planification budgétaire : En surveillant les coûts associés à la maintenance, la GMAO aide les entreprises à établir des budgets plus
précis pour la maintenance et à allouer efficacement les ressources financières.
Suivi de la conformité : L'industrie agro-alimentaire est soumise à des réglementations strictes en matière de sécurité alimentaire,
d'hygiène et d'environnement. La GMAO peut faciliter la documentation des activités de maintenance conformément aux réglementations
en vigueur.
Reporting et prise de décision : Les données recueillies par la GMAO peuvent être utilisées pour générer des rapports sur les
performances de la maintenance. Ces rapports fournissent des informations essentielles pour la prise de décision stratégique et
l'optimisation des processus.
Dans l'ensemble, l'utilisation de la GMAO dans l'industrie agro-alimentaire permet d'améliorer l'efficacité opérationnelle, de garantir la qualité et
la sécurité des produits, et de minimiser les interruptions de production, contribuant ainsi au succès et à la conformité de l'entreprise dans ce
secteur exigeant.
Dès que les fournisseurs livré les matières premières le responsable de la qualité contrôler les matières premières
Réception Physique : Les matières premières, telles que les noix, le chocolat, le sucre, les huiles, les émulsifiants, etc., sont livrées à
l'usine de production. Les camions de livraison sont déchargés et les matériaux sont déplacés vers une zone de réception.
Vérification de la Quantité : Les quantités des matières premières reçues sont vérifiées en comparant les informations sur les bons de
livraison avec les quantités réelles déchargées. Cela permet de s'assurer que les quantités correspondent aux commandes.
Vérification de la Qualité : Des échantillons représentatifs de chaque matière première peuvent être prélevés pour des tests de qualité.
Ces tests peuvent inclure des contrôles visuels, des tests de goût, d'odeur et des analyses physico-chimiques pour garantir que les ingrédients
répondent aux normes de qualité requises.
Conformité aux Spécifications : Les matières premières doivent respecter les spécifications préalablement établies pour assurer la
cohérence et la qualité des pâtes à tartiner finales. Cela peut inclure des exigences telles que la teneur en matières grasses, en sucre, la taille des
particules, etc.
Documentation : Toutes les informations relatives aux matières premières sont documentées, y compris les informations sur les
fournisseurs, les numéros de lot, les dates de réception, les résultats des tests de qualité, etc. Cette documentation est essentielle pour la
traçabilité.
Stockage Approprié : Les matières premières sont stockées dans des conditions appropriées pour prévenir tout dommage ou
contamination. Les zones de stockage doivent être propres, sèches et bien organisées.
Préparation de la pâte :
Il se fait dans un moulin sous les étapes suivantes :
Pesage et Dosage des Ingrédients : Les ingrédients principaux tels que le chocolat, les noix, le sucre et les huiles sont soigneusement pesés et
dosés selon les recettes spécifiques. Cette étape est essentielle pour obtenir la bonne proportion d'ingrédients et garantir la cohérence du produit
fini.
Fusion et Mélange : Les ingrédients tels que le chocolat et les huiles sont fondus ensemble à une température contrôlée. Ce mélange est réalisé
avec précision pour que les ingrédients se combinent de manière homogène et sans grumeaux.
Incorporation des Saveurs : Si des ingrédients supplémentaires comme des arômes, des extraits de vanille, des épices ou des additifs sont
nécessaires, ils sont incorporés à ce stade pour enrichir la saveur de la pâte à tartiner.
Stockage de la pâte :
Après la préparation de la pâte dans le moulin, la pâte est stockée dans un Tank pour ce stabilise, généralement la durée de stabilisation dépasse
3h, plus que la pâte est stable, plus leur performance est grande.
Remplissage de la pâte dans les pots :
Il se fait à l’aide d’une remplisseuse semi-automatique ou automatique régler par la quantité précise de pâte à tartiner que doit contenir dans
chaque pot. Avant le remplissage des pots, il faut assurer qu'ils sont propres et stérilisés pour garantir la sécurité alimentaire, après on Place les
pots vides sur la ligne de production.
Étiquetage des pots :
Après le remplissage de la pâte à tartiner dans les pots, l’ouvrier met les pots devant une Étiqueteuse, l’étiquette doit contenir :
Nom du produit : Incluez le nom de la pâte à tartiner de manière claire et lisible. Assurez-vous qu'il soit facilement identifiable.
Liste des ingrédients : Énumérez tous les ingrédients utilisés pour fabriquer la pâte à tartiner, du plus grand au plus petit en termes de quantité.
Cela aide les consommateurs à identifier les allergènes potentiels et à faire des choix éclairés.
La pate à tartiner de la marque noisel contient les ingrédients suivants :
Sucre, matières grasses(palme), huile végétale (tournesol), poudre de cacao, lactosérum en poudre émulsifiant, lécithine de soja(E322), arome
noisette et vanilline.
Contient du lait et soja.
Allergènes : Mettez en évidence les allergènes courants, tels que le lait, les noix, le soja, etc., en les mettant en gras ou en utilisant une police
différente. Vous pouvez également inclure une mention comme "Contient : [liste des allergènes]" en dessous de la liste des ingrédients.
Informations nutritionnelles : Fournissez les informations nutritionnelles par portion, notamment les calories, les glucides, les lipides, les
protéines, les fibres, les vitamines et les minéraux. Cela aide les consommateurs à comprendre la valeur nutritive du produit.
Informations du fabricant/distributeur : Incluez le nom et l'adresse de l'entreprise responsable du produit. Cela permet aux consommateurs de
contacter l'entreprise en cas de questions ou de préoccupations.
Code-barres : Intégrez un code-barres sur l'étiquette pour faciliter le suivi et la gestion des stocks.
Datage des produits :
Après mettre une étiquète dans les pots, l’ouvrier place les pots devant la dateuse, qui doit contenir la Date de fabrication ou Date de lot et Code
de lot, il est écrit comme suit :
"Fabriqué le : [date]"
"Date de lot : [numéro de lot] - Fabriqué le : [date]"
"Lot : [numéro de lot] - Date de production : [date]"
"Date de fabrication : [date] - Lot : [numéro de lot]"
Mettre le film thermorésistant :
Il se fait à l’aide de Machine Fardeleuse après la mise en place de la baquette cette dernière doit être propres et prêtes à être utilisées, ainsi il faut
vérifier que les pots de pâte à tartiner sont correctement scellés et étiquetés. Cette étape sert à maintenir la fraîcheur et à protéger les produits
pendant le transport et le stockage.
Stockage du produit
Il se fait en respectant la température du stockage (20°C) qui permet de garder la texture de la pâte
Sous forme des lots, ainsi on doit la conserve dans un endroit frais, sec, et sans odeur.
par la Pâte
>ĞƐďĂƌƋƵĞƩ ĞƐĞŶĐĂƌƚŽŶƐ
DésignB5:D70ation
QT
Machine DES
E
Moteur de
Moulin
(Malaxeur) 7
Résistance 14
Moulin à Billes de chocolat
Circulateur
d'eau 7
Pompe de
transfert 7
Moteur 3
Résistance 6
Tank de stockage (1,2,3) Circulateur
d'eau 3
Pompe de
transfert 3
Tank de stockage(4,5) Moteur 2
Résistance 4
Circulateur
d'eau 2
Pompe de
transfert 2
Moteur 2
Résistance 2
Tank de stockage (6,7) Circulateur
d'eau 2
Pompe de
transfert 2
Moulin à Sucre Moteur 1
Monte charge Moteur 1
Moteur 6
Turbine à dragée
Ventilateur 6
Moteur
Malaxeur 1
Moteur 1
Machine vermicelle chocolat Moteur
convoyeur 1
Compresseur
Frigorifique 1
pompe
hydraulique 1
Moteurs
Rempliseuse Pâte À Tartiner Noir et Blanc convoyeur 1
Pompe
circulateur d
Ligne de chocolat bonbon
eau 2
Résistance 2
servomoteur 2
Moteur
Malaxeur 1
Moteur
convoyeur
tunnel 1
Compresseur
Frigorifique 2
vibreur 2
Machine de
conditonneme
nt 1
Moteur
tempéreuse +
tunnel
Johnson 1
Résistance 2
Ligne de chocolat Tablette
Compresseur
Frigorifique 1
Machine de
conditionnem
ent Bopack 1
Machine Fardeleuse Moteurs 1
Moteur
Malaxeur 1
Pompe de
transfert 1
Ligne de fabrication barres de chocolat
Résistance 2
pompe
hydraulique 1
pompe de 1
circulation eau
vibreur 2
moteur
convoyeur 2
moteur tunnel 1
Machine de
conditionnem
ent 1
compresseur
frigorifique 1
servomoteur 2
Moteur 1
Résistance 1
Circulateur
d'eau 1
Ligne chocolat patissier(pépite paillette) Moteur
convoyeur 1
Moteur
découpe 1
Compresseur
Frigorifique 1
Moteur tunnel 1
Moteur
Malaxeur 1
Machine de
Ligne de chocolat patissier tablette 2Kg et 5KG
conditionnem
ent 1
compresseur
frigorifique 1
Ligne de chocolat patissier Moteur de 1
dosage
Résistance 1
moteur tunnel 1
Compresseur
Chambre froid Frigorifique 2
Compresseur d air Moteur 1
Compresseur
Frigorifique 1
Groupe froid
pompe de
circulation eau 1
Moteur
dosage 2
Résistance 1
Moteur
Malaxeur 1
Machine à gaufrettes(cigarette) Moteur
moulin 1
Moteur Four 1
Moteur Four 4
Motoventilatio
n 1
Évaluation des risques : Identifiez les équipements les plus critiques pour vos opérations et évaluez les conséquences potentielles en cas de
défaillance. Cela vous aidera à hiérarchiser les activités de maintenance en fonction de leur impact sur la production.
Voici logigramme de la hiérarchisation des mesures à prendre dans la maintenance :
Définition des intervalles : Déterminez à quelle fréquence vous allez effectuer la maintenance préventive pour chaque équipement. Cela peut être
basé sur le temps (hebdomadaire, mensuel, trimestriel, annuel) ou sur l'utilisation (nombre d'heures de fonctionnement, nombre de cycles, etc.).
Création de check-lists : Après l’élaboration des fiches de maintenance préventive des machines, et afin d’inspecter et contrôler les travaux
préventifs, des check-lists de ces travaux préventifs ont été élaboré.
Documentation des procédures : Rédigez des procédures détaillées pour chaque tâche de maintenance. Incluez des instructions pas à pas, des
images ou des schémas si nécessaire, ainsi que des informations sur les outils requis et les précautions de sécurité.
Affectation des ressources : Identifiez les personnes responsables de la mise en œuvre de chaque tâche de maintenance. Assurez-vous que les
techniciens sont formés et compétents pour exécuter les tâches de manière efficace et sécurisée.
Planification des activités : Créez un calendrier de maintenance préventive en tenant compte des intervalles définis. Intégrez ce calendrier dans le
planning général de l'entreprise pour éviter les conflits avec d'autres activités.
Suivi et enregistrement : Mettez en place un système pour enregistrer toutes les activités de maintenance effectuées, y compris les dates, les
tâches accomplies, les pièces remplacées, etc. Cela permettra d'avoir un historique des interventions et de planifier des améliorations futures.
Analyse des données : Utilisez les données collectées pour analyser les tendances de défaillance, les coûts de maintenance et l'efficacité du plan.
Si nécessaire, ajustez les intervalles et les procédures en fonction des résultats obtenus.
Amélioration continue : Revoyez périodiquement le plan de maintenance préventive pour l'adapter aux changements dans les opérations, les
technologies ou les besoins de l'entreprise. L'objectif est d'assurer que le plan reste pertinent et efficace
Plan de
maintenance Les machine de préparation du chocolat
préventive
Période Respons
ables de Observ
Éléments Opérations 1 1 3 6 1
2 5 l'intervent ation
S M MMA A A ion
Moteur de Technicie
n En
Moulin Mainten march
Moulin à Billes de chocolat
Moteu Mainten à
r Vérifier les systèmes de contrôle ance l'arrêt
Technicie
n
Mainten à
Effectuer les tests de fonctionnement ance l'arrêt
Technicie
n
lubrifier les composantes qui Mainten à
nécessite une lubrification ance l'arrêt
Technicie
n
Mainten à
Vérification des dispositifs de sécurité ance l'arrêt
Résistance Utilisez un multimètre pour tester la Technicie à
continuité des résistances n l'arrêt
Mainten
ance
Technicie
n
Mainten à
Vérification de la résistance ohmique ance l'arrêt
Technicie
n
Examiner les résistances pour repérer Mainten à
tout signe de surchauffe ance l'arrêt
Technicie
n
Vérification des connexions Mainten à
électriques ance l'arrêt
Circulateu Technicie
n
r d’eau Assurer que la zone autour du Mainten à
circulateur et du tank est propre ance l'arrêt
Technicie
Examiner le circulateur de près pour n
détecter tout signe de fuite , de corrosion Mainten à
ou de dommage physique. ance l'arrêt
Technicie
n
Mainten à
Vérifier les joints et les raccords. ance l'arrêt
Technicie
n
Mainten à
Lubrifier les roulements ance l'arrêt
Assurer que le débit et la pression Technicie à
d'eau sont exacte. n l'arrêt
Mainten
ance
Effectuez des tests de fonctionnement Technicie
pour que le circulateur fonctionne n
correctement et que l'eau circule Mainten à
comme prévu. ance l'arrêt
Technicie
Examinez la pompe de près pour n
repérer tout signe de dommage, de Mainten à
fuite ou de corrosion ance l'arrêt
Technicie
Assurez-vous que la zone autour de la n
pompe et du tank est propre et Mainten à
dégagée de tout débris ou obstacles. ance l'arrêt
Technicie
Pompe de Assurez-vous que les joints et les n
transfert raccords sont en bon état et ne Mainten à
présentent pas de fuites. ance l'arrêt
Technicie
n
Vérifier les systèmes d'amorçage et Mainten à
d'étanchéité ance l'arrêt
Technicie
n
Mettez la pompe en marche et Mainten à
effectuez des tests de fonctionnement ance l'arrêt
Moteur Assurez-vous que la zone autour du Technicie
moteur de monte-charge est propre n
et dégagée de tout débris ou Mainten à
obstacles. ance l'arrêt
Technicie
Examinez le moteur de près pour n
détecter tout signe de dommage, de Mainten à
corrosion ou d'usure ance l'arrêt
Nettoyage du moteur Agent de à
ménage l'arrêt
Technicie
n
Vérification des connexions Mainten à
électriques ance l'arrêt
Technicie
n
Monte charge
Technicie
Examinez le ventilateur de près pour n
détecter tout signe de dommage, Mainten à
d'usure, de corrosion ou de fuite. ance l'arrêt
Technicie
n
Vérification des connexions Mainten à
électriques ance l'arrêt
Vérifiez que le ventilateur est Technicie
correctement équilibré pour éviter les n
vibrations excessives et les bruits Mainten à
anormaux ance l'arrêt
Technicie
n
Mainten à
Vérification des systèmes de sécurité ance l'arrêt
mettez la turbine à dragée en marche Technicie à
et effectuez des tests pour vérifier n l'arrêt
que le ventilateur fonctionne Mainten
correctement et que l'air est bien ance
circulé.
Assurez-vous que la zone autour de la Technicie
machine est propre et dégagée de n
tout débris, résidus de chocolat ou Mainten à
autres contaminants. ance l'arrêt
Technicie
Examinez le moteur malaxeur de près n
pour détecter tout signe de Mainten à
dommage, d'usure ou de corrosion. ance l'arrêt
Technicie
n
Vérification des connexions Mainten à
Machine vermicelle chocolat
Mainten à
Vérification des filtres ance l'arrêt
Technicie
n
Mainten à
Vérification des systèmes de sécurité ance l'arrêt
Résistanc Assurez-vous que la zone autour de la Technicie
résistance est propre et dégagée de n
e tout débris, résidus de chocolat ou Mainten à
autres contaminants. ance l'arrêt
Technicie
Examinez la résistance de près pour n
repérer tout signe de dommage, de Mainten à
corrosion ou d'usure ance l'arrêt
Technicie
n
Vérification des connexions Mainten à
électriques ance l'arrêt
Vérification des systèmes de contrôle Technicie à
thermique n l'arrêt
Mainten
ance
Technicie
n
Vérification des éléments de Mainten à
protection thermique ance l'arrêt
Assurez-vous que la zone autour du Technicie
servomoteur est propre et dégagée de n
tout débris, résidus de chocolat ou Mainten à
autres contaminants. ance l'arrêt
Technicie
Examinez le servomoteur de près pour n
repérer tout signe de dommage, de Mainten à
servomote fuite, de corrosion ou d'usure ance l'arrêt
ur Technicie
n
Vérification des connexions Mainten à
électriques ance l'arrêt
Technicie
n
Vérification des paramètres de Mainten à
contrôle ance l'arrêt
Assurez-vous que la zone autour du Technicie
moteur malaxeur est propre et n
dégagée de tout débris, résidus de Mainten à
chocolat ou autres contaminants. ance l'arrêt
Technicie
Examinez le moteur malaxeur de près n
Moteur pour repérer tout signe de dommage, Mainten à
malaxeur d'usure ou de corrosion ance l'arrêt
Technicie
n
Vérification des connexions Mainten à
électriques ance l'arrêt
Vérification des composants Technicie à
n
Mainten
mécaniques ance l'arrêt
Assurez-vous que la zone autour du
moteur du convoyeur tunnel est Technicie
propre et dégagée de tout débris, n
résidus de chocolat ou autres Mainten à
contaminants. ance l'arrêt
Technicie
Examinez le moteur du convoyeur n
Moteur tunnel de près pour repérer tout signe Mainten à
convoyeur de dommage, d'usure ou de corrosion ance l'arrêt
tunnel Technicie
n
Vérification des connexions Mainten à
électriques ance l'arrêt
Technicie
n
Vérification des composants Mainten à
mécaniques ance l'arrêt
Assurez-vous que la zone autour du Technicie
compresseur frigorifique est propre et n
dégagée de tout débris, résidus de Mainten à
chocolat ou autres contaminants. ance l'arrêt
Compress Examinez le compresseur frigorifique Technicie
de près pour repérer tout signe de n
eur dommage, de fuite, de corrosion ou Mainten à
Frigorifiqu d'usure. ance l'arrêt
e Technicie
n
Mainten à
Vérification des connexions ance l'arrêt
Vérification du niveau de fluide Technicie à
n
Mainten
frigorigène ance l'arrêt
Technicie
n
Vérification des filtres et des Mainten à
échangeurs de chaleur ance l'arrêt
Technicie
n
Mainten à
Vérification des systèmes de contrôle. ance l'arrêt
Assurez-vous que la zone autour du Technicie
vibreur est propre et dégagée de tout n
débris, résidus de chocolat ou autres Mainten à
contaminants. ance l'arrêt
Technicie
Examinez le vibreur de près pour n
repérer tout signe de dommage, de Mainten à
corrosion ou d'usure ance l'arrêt
vibreur Technicie
n
Vérification des connexions Mainten à
électriques ance l'arrêt
Technicie
n
Vérification des composants Mainten à
mécaniques ance l'arrêt
Assurez-vous que la zone autour de la
machine de conditionnement est Technicie
Machine propre et dégagée de tout débris, n
de résidus de chocolat ou autres Mainten à
contaminants. ance l'arrêt
conditionn
Examinez la machine de Technicie à
conditionnement de près pour n
repérer tout signe de dommage, Mainten
d'usure ou de corrosion. ance l'arrêt
Technicie
n
Vérification des connexions Mainten à
électriques ance l'arrêt
Technicie
n
Vérification des composants Mainten à
ement mécaniques ance l'arrêt
Technicie
n
Mainten à
Vérification des systèmes de contrôle ance l'arrêt
Technicie
n
Vérification des éléments de scellage Mainten à
et d'emballage ance l'arrêt
Assurez-vous que la zone autour du
moteur de la tempéreuse et du tunnel Technic
de Johnson est propre et dégagée de ien à
Ligne de chocolat Tablette
Technicie
n
Vérification des connexions Mainten à
électriques ance l'arrêt
Technicie
n
Vérification des composants Mainten à
mécaniques ance l'arrêt
Vérification des systèmes de contrôle Technicie à
n l'arrêt
Mainten
ance
effectuez une inspection visuelle
complète du moteur malaxeur. Technicie
Recherchez les signes d'usure, de n
fuites d'huile, de pièces desserrées ou Mainten à
endommagées ance l'arrêt
Technicie
Vérifiez les points de lubrification et n
assurez-vous que le moteur malaxeur Mainten à
est correctement lubrifié ance l'arrêt
Nettoyez soigneusement le moteur
Ligne de fabrication barres de chocolat