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REMERCIEMENT..........................................................................................................................................3
INTRODUCTION............................................................................................................................................4
CHAPITRE I : HISTORIQUE ET OBJECTIFS...........................................................................................6
I- HISTRORIQUE DE LA SUCAF- CI...................................................................................................6
II. MISSIONS, OBJECTIFS ET VALEURS DE LA SUCAF-CI...........................................................7
III- LES DOMAINES D’ACTIVITE.......................................................................................................9
CHAPITRE II : FONCTIONNEMENT ET ORGANISATION DE LA SUCAF-CI......................................10
1- L’ORGANISATION GENERALE DE LA SUCAFCI.......................................................................10
A- L’Organisation Administrative...................................................................................................10
B- La Direction Générale.................................................................................................................10
C- Les différentes directions techniques et supports........................................................................10
A-TRAVAUX EFFECTUÉS..........................................................................................................................15
B-REMARQUES ET SUGGESTIONS..........................................................................................................17
B-1-Remarques...........................................................................................................................................17
B-2-SUGGESTIONS.................................................................................................................................17
CONCLUSION..............................................................................................................................................18
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REMERCIEMENT
Ce travail d’un mois (01) a vu la participation de personnes généreuses que nous tenons ici à
remercier.
Il s’agit :
Du Ministre de l’Enseignement Technique, de la Formation Professionnelle et de
l’Apprentissage
De Monsieur/ madame le Directeur du CIDFOR et de son personnel
De Monsieur/ Madame le Directeur General de la SUCAF-CI
De Monsieur Tape Yoffo Alain Inspecteur en Génie Mécanique
De Monsieur Diallo Souleymane Directeur du Lycée Professionnel de Ferkessédougou
Nous tenons à remercier également les différents chefs ou directeur de la SUCAF-CI en particulier
Monsieur DIARRA chef des maintenances de la SUCAF-CI FERKE I
Monsieur KONATE Losseni chef de l’atelier de fabrication et de soudure.
Monsieur SORO chef de la cellule maintenance pompe
Monsieur ALIMAN Kouamé, Monsieur GUY et Monsieur Kifori tous des mécaniciens à la cellule
de maintenance sans oublier le personnel de l’atelier de fabrication et tous ceux de près ou de loin
qui m’ont soutenu.
Je remercie tous ceux qui ont contribué à la confection de ce rapport, également ceux dont les noms
n’ont pas été cites.
Que DIEU vous bénisse pour votre soutien
INTRODUCTION
PRESENTATION DE LA SUCAF-CI
CHAPITRE I : HISTORIQUE ET OBJECTIFS
I- HISTRORIQUE DE LA SUCAF- CI
Durant les années 70, sous l’impulsion du président son Excellence FELIX HOUPHOUET
BOIGNY, la Côte d’Ivoire se lance dans la culture et la production de cannes à sucre.
Dans les années 1970, l’Etat met sur pied plusieurs complexes de production à travers tout le pays
notamment dans les zones Nord et Nord-est. Les complexes de SEREBOU, ZUENOULA,
BOROTOU KORO, MARABADIASSA et FERKESSEDOUGOU voient le jour et deviennent
ainsi les pionnières de la production sucrière en Côte d’Ivoire. L’entreprise agro-industrielle, société
d’Etat dénommée SODESUCRE (Société pour le Développement des Plantations de Canne à Sucre
de l’industrialisation et la commercialisation de sucre) fut créée pour la gestion des complexes
sucriers.
Situés dans le grand nord du pays, au carrefour des trois (03) régions du HAMBOL, du PORO et du
TCHOLOGO, les deux (02) sites de la SODESUCRE de Ferkessédougou en occurrence FERKE 1
et FERKE 2 entament leur production sucrière respectivement en 1975 et 1979.
En 1984, face à la crise économique survenue en Côte d’Ivoire, les deux complexes furent fermés.
La SODESUCRE avait quatre (4) complexes qui fonctionnaient jusqu’au 31 juillet 1997 mais l’Etat
ivoirien décide de la privatisation à l’égard de certaines sociétés d’Etat.
Suite à la privatisation des entreprises sucrières celles-ci sont reprises par le secteur privé. Ainsi
naissent SUCRIVOIRE et SUCAF-CI :
La sucrerie africaine de Côte d’Ivoire (SUCAF-CI) a été créée le 01 aout 1997 suite à un
programme de restructuration et de privatisation du secteur sucrier ivoirien.
Elle est une filiale du groupe SOMDIAA depuis 2010. Elle est une société anonyme (SA) au capital
de 21 200 000 000 FCFA avec pour siège social FERKESSEDOUGOU.
La SUCAF-CI exploite deux sites. Celui de FERKE 1 situé dans la région du TCHOLOGO et celui
de FERKE 2 dans le HAMBOL. Les complexes sucriers FERKE 1 et 2 assurent à grande échelle la
production de la canne à sucre.
Le complexe de FERKE 1 produit du sucre raffiné blanc et du sucre en morceau tandis que l’usine
de FERKE 2 produit uniquement le sucre granulé roux.
La SUCAF-CI commercialise son sucre sous la marque PRINCESSE TATIE. Le sucre est destiné
au grand public et est vendu sous un packaging adapté aux besoins des consommateurs.
3. Objectif de Production
Sur l’ensemble des deux (2) sites, il est prévu de récolter et broyer un million sept mille treize
(1 021 000) tonnes de cannes pour en extraire cent deux mille deux cent dix (104 261) tonnes de
sucre. Telles sont les prévisions pour la campagne 2023-2024. Soit :
- A FERKE 1, quarante-six mille huit trente-cinq (46835) tonnes de sucre sont attendues ;
- A FERKE 2, ce sont cinquante-sept mille quatre cent vingt-six (57426) tonnes de sucre.
La SUCAF-CI, à l’horizon 2025 ambitionne de produire 125 000 T de sucre et de ramener ses coûts
de revient à 440 000 FCFA/T dans le but d’améliorer la compétitivité.
Valeurs en lien avec la vision et le plan stratégique de la SUCAF-CI, fondent et orientent les
attitudes et engagement des maîtres sucriers. Ces quatre (4) piliers connus sous l’anglicisme <<
CARE >>, << prendre soin, se soucier de >> évoquent la volonté de la SUCAF-CI de prendre soin
de toutes ses parties prenantes : ces valeurs définissent son identité.
c. R- Pour Responsabilité
Notre responsabilité se reflète à travers notre comportement vis-à-vis des personnes, de l’entreprise
et de l’environnement. Nous assumons notre responsabilité et nos engagements et mettons un point
d’honneur à appliquer la loi, les règlements et nos valeurs éthiques. Nous contribuons au
développement local dans une démarche de durabilité. Nous nous faisons un devoir d’offrir un
environnement propice à l’épanouissement personnel et à la responsabilité individuelle.
d. E- Pour Esprit d’Equipe
Pour nous, les hommes et les équipes sont la clé de la performance de la réussite de notre entreprise.
Nous croyons que les différences individuelles sont une richesse. Nous veillons au respect mutuel,
dans un souci d’équité. Nous valorisons le partage des idées et la participation individuelle aux
prises de décision. Nous assumons notre solidarité dans les décisions, les objectifs communs et leur
réalisation
1- Le produit fini
Le produit fini de la SUCAFCI est le sucre. Il est issu de la constitution de masses cuites de jus de
canne à sucre et se présente sous forme de granulés blancs et granulés roux. La gamme de produits
de princesse tatie se distribue sous différents conditionnements ; à savoir :
Par ailleurs, la mélasse est utilisée dans la fabrication de certains alcools et certains autres produits
désinfectants.
La bagasse : c’est le résidu de la canne broyée. Elle est utilisée dans les chaudières pour la
production d’énergétique. L’électricité produite localement est utilisée pour l’alimentation
des unités industrielles de la SUCAF-CI et des villages environnants pendant les périodes de
production.
Les écumes : l’écume est perçue comme étant les déchets de la canne broyée
Elle est répandue ou pulvérisée dans les plantations de canne à sucre comme fertilisants biologique.
CHAPITRE II : FONCTIONNEMENT ET ORGANISATION DE LA SUCAF-CI
A- L’Organisation Administrative
Le groupe BGI (Brasseries et Glaceries Internationales) acquiert les complexes sucriers de FERKE
1 et FERKE 2 et est représenté par un Directeur Général.
La Direction Générale basée sur le site de FERKE 1 est dirigée par un Directeur Général.
B- La Direction Générale
La Direction Générale s’occupe de la politique générale de l’entreprise et gère la politique
financière, économique, technique. Elle veille à la bonne gestion du budget par un suivi rigoureux
de toutes les activités faites par les unités de production et de gestion afin d’obtenir un bon
rendement.
La Direction d’Usine
La DTA a pour rôle de produire la canne pour la fabrication du sucre. Les plantations sont irriguées
et coupées ensuite transportées vers les usines pour entamer le processus de transformation.
Elle gère les champs de canne à sucre depuis la préparation des sols jusqu’à la récolte passant par le
planting et l’entretien. Elle assure également la gestion des cannes pluviales appelées
communément cannes villageoises.
Elle est chargée de faire les recherches, des études sur le sol et les différentes variétés de la canne à
sucre.
Elle est chargée de la gestion des ressources en eau, des stations de pompage, du réseau souterrain
et matériel de surface.
La DTM autrefois appelée division de motorisation, aujourd’hui est devenue une direction à part
entière. La DTM s’occupe du volet purement mécanique. Elle est en collaboration avec les garages
de FERKE 1 et FERKE 2 qui sont chargés de la mise en condition de marche et de répartition des
engins pour le transport et la culture de la canne. En outre, la DTM a également à sa charge la
maintenance préventive et curative du parc matériel et des groupes électrogènes des pivots
d’irrigation.
DEUXIEME PARTIE
DEROULEMENT DU STAGE
A-TRAVAUX EFFECTUÉS
Atelier de fabrication
B-1-Remarques
CIDFOR
Malgré les encornes taches du CIDFOR, il a pu permettre aux auteurs de la Formation de faire des
stages dite « STAGE D’IMMERSION ». Le CIDFOR fait beaucoup de sacrifices pour les acteurs
de la formation que nous sommes. Mais l’accompagnement ne suit pas.
Atelier de fabrication et de maintenance pompe
Au cours de ce stage, j’ai été impressionné par la qualité d’organisation degré de discipline de ces
ateliers un lieu de travail organisé.
Le personnel est dynamique et forme une véritable famille professionnelle mettant en avant le
respect des consignes de base, le respect des collaborateurs, cependant, il est très important pour
moi de faire certaines suggestions afin d’améliorer les renforcements de capacité pour lesquelles
nous allons en stage.
B-2-SUGGESTIONS
Face aux nombreuse difficultés auxquelles les stagiaires sont confrontés, et dans le but d’améliorer
leurs conditions de stage, je propose les suggestions suivantes :
Pour le CIDFOR :
- Mettre les moyens financiers à la disposition des stagiaires.
- Distribuer des équipements de sécurité (équipement de protection individuel EPI)
- Vérifié que l’entreprise d’accueil apportera les renforcements de capacité.
Pour l’entreprise d’accueil
- Vérifié a sensibilisé les ouvriers sur l’utilité des mesures de sécurité.
- La mise en place d’un planning de maintenance préventive
- La mise en place d’une cellule de graisseur
- La mise à l’atelier de fabrication de nouvelle machines-outils pouvant usiner les pièces
complexes.
Pour le Ministère
De nos jours, dans nos différents ateliers toutes nos machines sont en panne, voir en défection, de ce
fait il faut :
Equiper nos ateliers de nouvelles machines à l’évolution du temps.
Faire des visites d’entreprise avec nos stagiaires de la 1ére ; 2eme et 3eme année au moins deux
fois par ans
Permettre le perfectionnement des acteurs de la formation professionnelle
Adapter les programmes de formation aux besoins réels des entreprises.
CONCLUSION