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Introduction
I. Présentation de l’entreprise
A. Historique
B. Fiche d’identité
C. Organigramme de la société
D. Logo de l’entreprise
A. Services d’Import
B. Services d’Export
C. Services de Transport
D. Services de Comptabilités
Conclusion
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Remerciement
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Dans le cadre de la préparation du DUT logistique et transport, je suis amené à
effectuer un stage d’un mois au sein de la société Oriental African Logistics
dont le but est initier l’étudiant dans le milieu professionnel afin de mettre en
pratique ses connaissances purement théorique et de constituer un dossier de
rapport de stage.
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A.L’historique d’Oriental African logistics
A propos du Manager
Mr ROBLEH MOHAMED BARREH, né à Djibouti le 13 Novembre 1971, a fait ces
études de sciences en France. Il commence ses premiers pas au sein du
ministère des Affaires Etrangères pour une durée de six mois. Très intéressé
par le secteur du privée sur tout par le domaine de la logistique et du transport
qui commençait à connaitre un réel essor suite à la guerre Erithro-Ethiopienne
qui a dévié le fret à destination de l’Ethiopie vers le port de Djibouti, Mr
ROBLEH décide de démissionné de son travail au ministère pour aller rejoindre
l’entreprise COMAD qui à l’époque était un acteur très important dans le
secteur de la logistique et qui avait fort besoin de sang neuf pour répondre au
besoin plus que palpable du secteur.
Très vite il réussit à connaitre une carrière ascendante et finit par devenir le
Directeur de l’International Transit Service, branche du transit de l’entreprise
COMAD.
Après douze années de carrière il décide de se lancer dans son compte propre
en devenant son propre employeur. C’est en 2008 qu’il crée une entreprise de
transit et de transport qu’il appelle ORIENTAL AFRICAN LOGISTICS. Très vite
l’entreprise connait un décollage accéléré qui continue jusqu’à nos jours .
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A propos de l’entreprise
Son Activité est principalement concentrée sur le transit (import et export) des
marchandises à destination et en provenance de l’Ethiopie, mais également sur
le transport qui est une activité qui connait une croissance de plus en plus
forte.
Comme on peut le constater sur les données des cinq dernières années, la forte
corrélation entre l’augmentation du volume de l’activité et la hausse des
investissements et du recrutement donnent une idée très claire sur la volonté
affirmée d’une démarche progressiste axée sur les résultats et l’avancée, de la
qualité managériale de Mr ROBLEH MOHAMED BARREH.
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B. Fiche d’identification DE L’ENTREPRISE
RAISON SOCIALE :
SIEGE SOCIAL :
Salines ouest
DATE DE CREATION :
Janvier 2008
N° du registre de commerce :
8728/SARL
ACTIVITE :
Transit et transport
EFFECTIF :
40 employés
Projet d’extension :
Transport
DIRECTEUR GENERAL :
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C. Organigramme de la société
Directeur General
ROBLEH MOHAMED
BARREH
Direction
Administrative et
Direction d'operation
financiere DARAR
MOHAMED BARREH
services d'export
facturaction LOULA
MAHADI MOHAMED
services de transport
caissier IFRAH
MOHAMED
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D. Logo de la société
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A. Services Import
Le service import s’occupe de l’acheminement de marchandise en provenance de l’étranger par
l’intermédiaire de notre port, puis qui sera transporté vers l’Ethiopie avec des camions.
Ce service possède une équipe sur le terrain qui s’occupe de toutes opérations afin de faire sortir les
marchandises du port de Djibouti et la suite de l’acheminer le plus vite possible vers la destination finale.
La société fait plus d’import que l’export, car ceux-ci s’explique par la forte croissance flux de trafic
destinée en Ethiopie.
Étant donné qu’à l’heure actuelle, l’Ethiopie est le premier client de Djibouti.
La société Oriental African Logistics récupère le bill of loading et procède à l’ouverture de dossier en
attendant toujours du navire.
L’ouverture de dossier se fait à partir des instructions figurant dans le connaissement. Les instructions
figurant dans le connaissement sont le suivant :
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L’arrivée du navire
Une fois que le navire accoste au port et que les conteneurs sont déchargés, on se lance à
récupère le bon de livraison et le deliver ordre (DO) auprès de l’agence maritime original.
Le bon de livraison est un document émis par l’agence maritime concernée, permettant
au transitaire de récupère le conteneur car sans le bon de livraison la société ne peut pas
prendre en possession de la marchandise.
Il faut que l’agence maritime mentionne sur le bon de livraison le nom de la société disant
que les marchandises doivent être livrées à tel à tel société.
Le dédouanement
Avant de s’est lancé dans l’opération de chargement de marchandise sur le camion, il faut
tout d’abord présenter la marchandise auprès de douane en payant tout le frais suivant :
Frais du port
Frais de déchargement (terminal à conteneur)
Frais de déchargement (quittance douane)
A cela s’ajoute d’autre frais, si les conteneurs sont déposés au Djibouti dry port, on paye
le frais de DDP.
Par la suite tout ce frais est facturé sur le client avec les frais de commission dont la
société se procure une rémunération.
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Travail que je effectué dans cette services
Dans ce service, j’ai effectué beaucoup des taches tant au niveau théorique que
pratique. La pratique repose sur le travail bureautique, donc il faut faire tout
dans le poste informatique.
Pour cela j’ai procède dans ce service de compléter les ouvertures des
dossiers ; des photocopie du document. , la saisie du dossier ouvert, la mise a
jour du dossier et ainsi la saisie de la déclaration.
Dans cette j’ai effectue aussi certains opération comme par exemple des payé
le facture à l’agent maritime.
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B .Services Export
Djibouti n’est pas un pays exportation, donc elle exporte essentiellement les marchandises
en provenance de l’Éthiopie.
Comme pour le service import, il existe aussi des procédures ont respecté pour l opération
de l export.
Le service export démarre le travail des la réception de shipping instruction qui est envoyé
par le client a la société. Le shipping instruction est un document qui porte toutes
l’information nécessaire sur les parties et la marchandise. Dans un shipping instruction
sont mentionnés tous les détails nécessaires :
Nom du Shipper
Consigner
Notify
Nature de la marchandise
Poids
Destination
La ligne maritime
Nature de marchandise
Destination final
Date d’arrivée
Ensuite, la compagnie délivre le bon de livraison et les agents du terrain reçoivent les
conteneurs vides pour se lance dans l’opération d’empotage de marchandise.
Les conteneurs seront livres soit en ville, soit au terre plein 15 ou qui 15 selon la position
de la marchandise.
Mais cela est précise sur le « release empty « de la compagnie maritime que le port doit
suivre pour livrer le conteneur au transitaire.
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Opération de l’empotage
Avant de passer à l’opération de l’empotage, on fait d’abord entrer le camion au port par
la barrière de transite Éthiopien. L’opération de l’empotage se succède à la suite de
l’opération de dédouanement auprès de la douane de Djibouti.
Une fois que la marchandise est arrivée et que le camion est rentré au port, les agents du
terrain procède au déchargement et par la suite d’en passer à l’opération de l’empotage
dans le conteneur par le docker.
Le gâte passé permet de franchir la barrière du port, sans retirer le gâte passé le camion
ne peut pas renter au port. Avant d’effectuer l’opération de chargement, le chef de
pointeur vérifie que les marchandises sont en bonne état, complet ou incomplet et que si
tous les documents sont prêts.
Les agents du terrain se lance au chargement de camion en faisant une liste dans laquelle
figure la quantité et ainsi que la nature de la marchandise. Lors de l’opération de
chargement, il y’a de marchandise qu’on charge directement dans le conteneur et celle
qu’on fait le dépotage et qui sont ensuite charger sur le camion sans être dans le
conteneur.
Faire le booking
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Faire le booking consiste à donner le numéro des conteneurs à l’agence maritime pour
que ce dernier saisie le conteneur dans la liste d’embarquement qu’elle envoie au service
de planning de terminal à conteneur qui a son tour planifie le chargement des conteneurs.
Il est tout de même préconisé de faire le plus vite possible le booking auprès de
compagnie maritime et au plus tard dans le 24 heures l’arrivée du navire.
Si le conteneur a été livré en ville, après l’opération d’empotage, les agents du bureau
envoient une deuxième le shipping instruction complété avec le numéro de conteneur à la
compagnie maritime pour que celle-ci dans leur livre un bon d’entrer du conteneur dans
le port pour être amener précisément dans le parc du terminal à conteneur et par en
suite l’agent de facturation cette fois ci.
La compagnie maritime n’est pas censé de donner un bon d’entrer car l’empotage
s’effectue à l’intérieur même du port.
Les conteneurs seront par la suite transporter au parc plein du terminal à conteneur en
attendant la date d’arrivée du navire.
Dés que la correction de bill of loading est terminée on l’envoie encore par la même
agence pour récupère le vrai bill of loading.
J’ai procède dans ce service de compléter les ouvertures des dossiers ; des
photocopie du document. La saisie du dossier ouvert, la mise à jour du dossier
et ainsi la saisie de la déclaration.
J’ai effectué aussi certains opération comme par exemple de payer la facture à
l’agent maritime et de récupéré le plombe pour l’utilise pour ferme le
conteneur après l’empotage dans le conteneur.
C. Services de Transport
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Le transport se définit par l’action consistant à transporter une marchandise ou
une personne d’un point A à un point B, ce métier est exposé en permanence
aux différentes natures de risques, prévisibles ou pas, et avec des impacts sur
les entreprises plus ou moins importants.
Le transport est une activité qui connait une croissance de plus en plus forte.
Le but de ces services est de transporter une quantité des marchandises pour le
compte du client soit de le transport du port jusqu’aux entrepôts des clients.
Pour effectuer cette tâche le client met à la disposition de la société toute ces
document suivants :
Déclaration
Gate pass
Soudenya
Delivred order
D .Services de comptabilité
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Le service de comptabilité est chargé d’établir la facture de paiement de frais
de transport de marchandise expédié en Ethiopie ou transporter à l’intérieur
du territoire Djiboutien.
J’ai été affecté au service de la comptabilité dans lequel j’ai effectué un travail
de gestion, qui consiste à faire la saisie des dossiers concernés.
Mais aussi des vérifications les « bons des commandes ». J’ai aussi appris dans
ce service que les prix de l’opération du transport des marchandises
dépendaient de la distance parcourue.
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Il n’existe pas encore a l’heure actuelle de définition du terme « risk manager » ou «
gestionnaire des risques » dans aucun des grands dictionnaires ou encyclopédies français :
Larousse, Robert, Universalis.
Le « risk manager » applique les théories de « risk management » et met en oeuvre toutes
les actions qui s’appuient sur une méthodologie intégrant l’analyse, la réduction et/ou le
transfert de risques. Il assimile les pratiques qui caractérisent chaque entreprise pratique en
intégrant le retour d’expérience.
Une attention particulière et grandissante est portée à la gestion des risques dans les
entreprises. La gestion globale des risques s’inscrit au cœur du métier, le « risk manager » en
est le concepteur et l’animateur.
Le « risk-manager » ne travaille pas pour une société d’assurance mais pour une entreprise.
Il conseille la direction générale sur la meilleure façon de gérer les risques fortuits et les
dangers liés à des décisions stratégiques.
L’ensemble de la démarche consiste à offrir aux décideurs les éléments d’informations
nécessaires qui peuvent leur éviter de faire fausse route. Il sensibilise le personnel aux
questions de sécurité et le forme à l’utilisation des systèmes de prévention, de continuité
d’activité et de gestion de crise.
Le « risk manager » identifie, analyse et quantifie les risques que peut générer l’activité
d’une entreprise, il essaie de prévoir quel type d’incident, d’accident, d’aléas, peut survenir,
son taux de probabilité et ses conséquences.
Il doit apporter sa contribution pour modéliser les risques avant qu’ils ne se produisent. Il
imagine des scénarios catastrophes à l’aide de reconstitutions et de simulations et met au
point un plan de continuité pour que l’entreprise puisse continuer à fonctionner
normalement après sinistre.
Il observe l’activité de l’entreprise dans ses moindres détails et propose une politique de
prévention et de financement des risques et des sinistres potentiels.
Le « risk manager » est une personne de terrain, en relation étroite avec les opérationnels, il
se doit de connaitre de nombreux domaines :
la sécurité des installations, équipements et locaux ;
les problèmes environnementaux et sociétaux (DD, RSE) ;
les contrats avec les fournisseurs et prestataires de service ;
la protection des ordinateurs, salle informatique et réseaux de communication ;
la protection et la sécurité du personnel (salariés et intervenants extérieurs) ;
la gestion de crise ;
les normes et les contraintes réglementaires ;
les obligations légales ;
les plans de prévention des locaux et globaux ;
Introduction
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Au cours de mon stage de formation effectué au sein de l’établissement Oriental African
Logistics plus particulièrement au cours d’acheminent de la marchandise, j’ai réalisé une
action qui s’intitule «gestionnaire des risques » au sein de la société qui est une PME.
Nous constatons que dans les PME de transport routier de marchandises représentées à 97%
par des sociétés de moins de 50 salariés, les acteurs connaissent très bien le cœur de métier
et gèrent les risques quand ils se présentent à eux. Leur expérience, leurs capacités
d’anticipation, les obligations érigées par le législateur ainsi que les polices d’assurances
souscrites leur permettent de passer outre les nombreux risques qui caractérisent la
profession.
A cet effet, nous allons d’abord analyser la nature des différents problèmes existants lors du
transport de la marchandise et ensuite nous essaierons d’apporter les solutions possibles à
entreprendre pour y remédier à ce présent problème en vue d’amélioration éventuelle.
B. Diagnostic
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Tableau : outil d’analyse et d’identification des problèmes
Dans une société de transports, les risques sont surtout d’ordres opérationnels, liés à
l’exploitation de véhicules de transport et à la manutention des marchandises, il est plus
logique de rattacher la fonction au directeur d’exploitation ou de la logistique.
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d'expériences variées exercice à renouveler brainstorming
régulièrement
Brainstorming créer des liens, risque de discussion cette méthode est
approche ludique, sur des informations en applicable dans une
cohésion du groupe commun plutôt que sur PME de transports, où
la recherche de les gens se
solutions originales. connaissent bien mais
autocensure par peur demande d'être
du ridicule, de conflit encadrée, dirigée d’où
un travail de
préparation en aval
Delphi riche et abondant longue, coûteuse, ne convient pas à une
fastidieuse PME de transports ou
alors sur des points
très précis
Six sigma démarche structurée nécessite d'être expert ne convient pas au
basée sur des données en statistique et de type d'activité d'une
chiffrées disposer de données PME de transports
chiffrés
Diagramme d'Ishikawa axé sur les faits méthode permet de travailler sur
complémentaire de les informations et
l'approche des risques l'historique disponible
dans la société, bonne
base de travail pour le
brainstorming
On peut tout d’abord distinguer trois grandes familles à l’intérieur desquelles nous
détaillerons l’ensemble des risques existants ou possibles :
Le conducteur : le personnel de conduite, le véhicule, la marchandise, la circulation,
chargement et déchargement ;
Le siège : l’exploitation, la direction, la comptabilité, les clients, les fournisseurs,
l’état ;
L’entrepôt : entreposage, manutention, mécanique
Le Conducteur :
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Le Conducteur conséquences possibles
Prise du véhicule
documents conducteur
permis de conduire amende+blocage
Documents véhicules
cornières litige
Equipement chauffeur
gants blessure
Attelage
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utilisation de la sellette accident
dételage accident
béquilles accident
suspension pneumatique
Mise à quai
chargement / déchargement
bruits
trouver l'adresse du client retard
litiges facturation
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Arrimage, sanglage, calage
conduite
assurance circulation
kit mains libres accident+ amende
Embouteillage retard
grèves retard
accident retard
malaise accident
panne retard
ponts accident
travaux retard
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Le siège
exploitation
équipement
travail sur écran fatigue + performance
psychosociaux
stress santé + fatigue + performance
informatique
sauvegarde activité stoppée
affrètement
choix affrété satisfaction client
ressource humaine
grève social
maladie social
maladie du dirigeant
arrêt de travail social
Géo- social
localisation
absentéisme social
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L’entrepôt
Charriot élévateur
bruit
fumée échappement
accès personne extérieure accident
manœuvre accident
atelier
compresseur accident
fosse accident
cric accident
meuleuse accident
pompe à gasoil
parking accident
manœuvre accident
éclairage accident
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zone de stockage
chute de palettes accident
Comme on peut le constater, les risques présents dans une PME de transport sont très
nombreux. Bien entendu certains d’entre eux ont une probabilité infime de se présenter et
d’autres au contraire arrivent régulièrement mais ont un impact faible sur l’activité, toutefois la
fréquence a également sont importance
C .solutions préconisés
Une fois que l’on a identifié les risques et que la cartographie est mise en place, la société mettra en
œuvre différentes méthodes qui lui permettront de traiter les risques.
La prévention comprend toutes les actions qui ont pour effet de diminuer la fréquence du risque, la
probabilité qu’un sinistre se déclare, le but étant d’éviter qu’un problème arrive. On agit donc sur les
causes du risque. Cette action est d’autant plus efficace que la probabilité est élevée. Il n’y a pas d’intérêt
à agir sur la fréquence d’un sinistre qui a peu de possibilité de se produire. La prévention doit donc
s’appliquer surtout aux risques de fréquences, ce sont les risques dont la probabilité d’apparition est
élevée et la gravité relativement faible.
La protection regroupe toutes les actions qui diminuent la gravité du risque. Elle a pour effet de limiter les
conséquences d’un risque lorsqu’il apparaît. Elle est donc réservée aux risques dont les conséquences du
sinistre sont élevées. Ce sont les risques qui peuvent mettre en péril la continuité de l’activité : les risques
de gravité, risques majeures aux conséquences extrêmes et dont la probabilité est très faible.
La cartographie des risques nous permettra de classifier chaque risque en fonction de la fréquence et de
la gravité et donc d’agir en conséquence. Il est important de trouver un juste milieu dans la réduction du
risque.
En effet, le risque ne peut pas être totalement éliminé, cela coûterait trop cher à
l’entreprise. Mais il ne peut pas être non plus demeuré ignoré.
A chaque nouvelle cartographie le risque résiduel nous permettra de décider de la mise en
place d’actions de prévention et de protection.
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2. Actions de préventions.
La prévention agit sur les causes, donc avant que le sinistre ne se produise : elle diminue la
fréquence de survenance des sinistres.
Les actions de préventions peuvent être très variées et passer par la formation du personnel
de conduite ou d’exploitation sur des sujets comme :
l’entretien obligatoire du matériel ;
l’utilisation de matériel de manutention ;
l’utilisation de produits spécifiques pour la maintenance des véhicules ;
les contrôles techniques obligatoires.
On sensibilise le personnel à l’approche du risque car bien souvent les erreurs sont dues à
une insuffisante formation à celui-ci. On peut intégrer cette approche dans le plan de
formation. Ceci n’entraîne pas de surcoût important mais peut avoir un effet bénéfique très
rapide.
Si le personnel sait ce qu’il fait, doit faire et surtout ne pas faire dans certaines situations
précises, les procédures seront plus efficaces.
Il est également possible pour le matériel de réaliser des opérations préventives. Il est connu
qu’au bout d’un certain nombre de kilomètres certaines pièces devront êtres changés :
le turbo ;
le compresseur ;
le dessiccateur d’air ;
l’embrayage.
En changeant ces différentes pièces à un kilométrage donné, on évite une panne sur la
route, beaucoup plus coûteuse au niveau des frais de réparations et des surcoûts éventuels
pour maintenir la satisfaction des clients. Dans certains domaines comme les pneumatiques,
il est souvent intéressant de transférer le risque à un professionnel du métier qui sera mieux
équipé, nous reverrons le cas de la sous-traitance des risques un peu plus loin dans ce
chapitre. Pour certaines situations extrêmes, lorsqu’une activité est trop risquée pour
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l’entreprise, qu’elle ne détient pas le matériel spécifique à un certains type de transport et
que les solutions de réduction du risque identifiées ont une efficacité insuffisante pour
rendre le risque acceptable, il faudra éliminer le risque en n’effectuant pas le transport.
3. Actions de protections
La protection agit sur les conséquences, donc après le sinistre ; cependant pour être efficace
le moment venu, elle doit être préparée avant celui-ci. Les objectifs sont :
de diminuer la gravité des conséquences du sinistre ;
de permettre la continuité de l’exploitation ;
de faciliter le retour à la normale.
d’accidents une « check list » des actions à mener, des personnes à contacter.
Préparer le suivi des réclamations pour limiter les conséquences juridiques des litiges avec
les clients. En effet, en cas de litige, la manière dont l’entreprise réagit est déterminante
dans l’issue et la gravité finale du litige. Si elle est de bonne foi et si elle agit au plus tôt pour
réparer les préjudices, négocier les indemnisations, en général, elle sera moins pénalisée que
si elle laisse traîner son intervention. Dans ce cas, même si elle génère un préjudice à son
client, celui-ci notera son professionnalisme et maintiendra sa confiance.
Ensuite, un plan de continuité d’activité, peut être élaboré pour les moyens essentiels au
métier :
le matériel ;
les chauffeurs ;
le personnel de bureau ;
les locaux.
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o le plan de continuité, qui correspond à la reprise de l’activité dans un environnement
dégradé, sa durée se compte en jours, semaines ou mois selon la gravité.
o le plan de retour à la normale, qui débute peu après le démarrage du plan de continuité.
Sa durée dépend également de l’ampleur des dégâts.
L établissement de cette stage qui s’est déroule pendant un mois était pour
moi une expérience très intéressant et bénéfique tant au niveau théorique,
pratique qu’au niveau de relation humaine.
En outre, cette stage m’a été aussi profitable car je pu intégrer dans un
milieu professionnel dans lequel j ai acquis des connaissances et des
expériences très vastes concernant les travaux de l entreprise.
Enfin ce stage était aussi une occasion pour moi des tester, d améliorer et d
approfondir mes connaissance ainsi que mon capital humain
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