Académique Documents
Professionnel Documents
Culture Documents
18
02 Anomalie de la Miction au prix d’efforts considérables ou sans effort (pas de poussée
abdominale),
Et de positions diverses (penché en avant, cuisses fléchies, pression
miction : manuelle sur l’abdomen…).
Signe de lutte : hernie, hémorroïde
1
III. Diagnostic - Tumorales (rhabomyosarcome, kystes régionaux)
A. Positif : 2. Dysurie chez l’homme jeune :
- Est facile par la clinique a. Les étiologies les plus fréquents : rétrécissement urétraux acquis
L’interrogatoire : persistance consciente d’une difficulté mictionnels - Infectieux :
La débimétrie : Un débit maximal (Q max) inférieur à 10-15 ml par Gonocoque : comportement sexuel à risque
seconde BK
B. Gravite: Autres germes
- Altération de la qualité de vie du patient : score I-PSS sévère ou mauvaise - Parasitaires : Bilharziose
- Impossibilité d’uriner avec une envie vif d’uriner + douleur - Traumatiques :
C. Différentielle Fracture du bassin : accident du scooter
- Ne pose pas de diagnostic différentielle Traumatisme périnéal
D. Etiologies : Traumatisme endocanalaire
- Les étiologies sont classe selon l’âge et le sexe du sujet : ++ iatrogène (sondage)
Les dysuries chez le petit garçon b. Les autres causes :
Les dysuries de l’homme jeune - Les dysuries aigue
Les dysuries de l’homme après A50 Prostatite aiguë
Les dysuries chez la femme Lésions infectieuses aiguës pelviennes
Affections neurogènes aiguës
1. Les dysuries chez le petit garçon : - Vessie neurogène :
a. Les étiologies les plus fréquents : malformation obstructive du bas appareil Traumatismes vertébro-médullaires
- Les dysuries intermittente ± brusque Compressions et lésions médullaires : Tumorales, Infectieuses
Diaphragme urétral Affections dégénératives : SEP, Myélites
Atrésie urétrale segmentaire
Sténose du méat 3. Dysuries chez l’homme + A50 :
Replis trigonaux a. Les étiologies les plus fréquents : dominées par les pathologies prostatiques
Urétérocèles ectopiques
- HBP+++
- Dysuries lentement progressive ± chronique: - Adénocarcinome prostatique
Phimosis
Vessie neurogènes congénitales
- Prostatite chronique et maladie acquise du col vésical
Spina bifida b. Les autres causes :
Malformations sacrées - Les pathologies vésicales
Valve de l’urètre postérieur Calcul de vessie
Diverticules uretraux Papillome du col
b. Les autres causes : Tumeurs infiltrantes (col et trigone)
- Les dysuries post traumatiques - Vessie neurogènes : Acquises
Post-corps étranger urétral ou sondage Traumatismes vertébro-médullaires
Traumatisme périnéal Compressions et lésions médullaires
Fracture du bassin Affections dégénératives du névraxe (SEP, myélites, tabès)
Neuropathie diabétique
- Les dysuries aigues
Lésions des nerfs périphériques (chirurgicales)
Corps étranger urétral
Calcul urétral, vésical
Dysfonctionnement vésico-sphinctériens d’origine cérébrale (Parkinson,
Maladies neurologiques aiguës (myélites, polio)
accidents vasculaires cérébraux, lacunaires)
Méningites aiguës - Rétrécissement urétraux :
Appendicite pelvienne Post infectieux
Post-traumatiques
Iatrogènes (endocanalaires) ++
- Maladies du col
Tumoraux
2
- Rq : chez les sujet âgé cause idem + fécalome
d. Agés:
- Cause idem femme adulte+ fécalomes
IV. Conclusion
- La dysurie symptôme fréquent chez les hommes, la démarche Dc est guidé par l’âge et
le sexe et l’EP