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05 MARS 2024
IUT GÉNIE CIVIL ET CONSTRUCTION DURABLE
Mme CAVALLI
Camille PERROT TDA
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IUT Génie Civil-Construction Durable
Camille PERROT TDA
INTRODUCTION
Cette étude se divise en plusieurs parties, débutant par une analyse critique de la conception
existante du logement. Ensuite, grâce au logiciel Pléiade, des simulations thermiques dynamiques et
des calculs réglementaires RE2020 Énergie seront effectué et incluront l'intégration d'éléments
bioclimatiques et de systèmes à énergies renouvelables.
Ce compte rendu sera structuré en trois parties. La première comportera une analyse critique
de la conception du projet. Ensuite, des simulations STD seront effectué pour évaluer les besoins en
chauffage, le taux d’inconfort en été et les gains utiles. Puis, pour comparer les indicateurs Bbio, Cep,
Cepnr, DH et Ic-énergie, aux valeurs maximales autorisé et vérifié la conformité, j’effectuerais des
calcules RE2020.
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L’implantation et l’orientation d’un logement sont des aspects importants à prendre en compte
pour un confort optimal, en été comme en hiver, mais également dans la conception bioclimatique
d’un bâtiment.
Le logement étudié est situé sur le domaine de la Tour Carrée près de Chef de Baie à La Rochelle. Il se
trouve très proche de la mer et à proximité de la station d’épuration de Port-Neuf. Il est impératif de
tenir compte de certaines nuisances générées par cette installation, notamment les odeurs et les
bruits qui sont susceptibles d’impacter les habitants. De plus, étant dans une zone maritime, la maison
est soumise a beaucoup de vent ce qui pourrait permettre de favoriser une ventilation naturelle en
été. Or, placée au milieu d’une résidence, les maisons voisines peuvent couper le vent.
L’orientation permet également d’exploiter les apports solaires et donc économiser les besoins
énergétiques. Sachant qu’en hiver, le soleil se lève au Sud-Est, se couche au Sud-Ouest et est très bas,
alors qu’en été il se lève au Nord-Est, se couche au Nord-Ouest et est plus haut. Le logement étudié
est orienté au Nord-Ouest. N’ayant pas d’autre fenêtres, la bais vitrée de la terrasse est au soleil
seulement lors de son couché. Contrairement, en été, la chambre est au soleil le matin et la terrasse
le soir. Cependant, comme dit précédemment, la maison est entourée de maisons voisines qui
pourraient faire de l’ombre et donc empêcher les apports solaires entrer facilement. De plus, elle est
accolée à un locale non chauffé possédant un étage.
Logement étudié
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2. Choix architecturaux
Les choix architecturaux influent beaucoup sur l’efficacité énergétique.
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acoustiquement le logement des locaux. Cela contribue à réduire la transmission des vibrations et du
bruit de la zone pour améliorer le confort acoustique du logement. En effet, la mitoyenneté des
bâtiments réduit les déperditions thermiques.
3. La compacité du bâtiment
Le facteur de compacité d'un bâtiment est une mesure qui évalue la forme et la distribution des
volumes à l'intérieur de sa structure. Il est défini par :
𝑆 𝑝𝑎𝑟𝑜𝑖𝑠 𝑓𝑟𝑜𝑖𝑑𝑒𝑠
𝐶=
𝑉
De plus, c’est un élément crucial dans la conception bioclimatique, car elle influence directement ses
performances énergétiques et son efficacité thermique.
J’ai comparé le facteur de compacité du logement avec celui d’un cube qui est celui de référence du
point de vue de la construction, afin de voir si le volume est correctement réparti.
Compacité du logement :
J’ai considéré que les parois froides comprennent les quatre murs, le plafond et le plancher
de la maison car le mur est accolé à un local non chauffé et le plancher donne sur un parking qui est
également non chauffé. De plus, le faux plafond est isolé, ainsi la hauteur sous plafond est seulement
de 2,52 m.
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J’ai pris les mêmes dimensions pour les surfaces de plancher et de plafond. Or, pour la surface
de murs, j’ai respecté la règle suivante : √𝑆𝑝𝑙𝑎𝑛𝑐ℎ𝑒𝑟 = 𝑆𝑐𝑎𝑟𝑟é . Ainsi :
En analysant les résultats des facteurs de compacité, j’ai constaté qu’ils sont très proches. Cela
indique que la conception bioclimatique du logement est bien réalisée, démontrant ainsi que le
volume habitable est bien optimisé par rapport à la surface extérieur.
Les apports solaires proviennent du soleil, une source de lumière et de chaleur gratuite. En
exploitant cette chaleur, les apports solaires contribuent, de manière naturelle, à augmenter le niveau
de confort d'une habitation de manière naturelle. En effet, cela permet de maximiser les bénéfices
des rayonnements solaires, que ce soit pour le chauffage en hiver ou pour la minimisation des
surchauffes en été.
4.2. Orientation
Cette valorisation des apports solaires conçoit d’analyser l’orientation du logement par rapport
au soleil. Cette énergie permet de réduire les consommations d’énergie si les vitrages sont orientés
vers le soleil. Comme dit précédemment, le logement étudié est orienté au Nord-Ouest. N’ayant pas
d’autre fenêtres, la bais vitrée de la terrasse capte le soleil seulement lors de son couché.
Contrairement, en été, la chambre est au soleil le matin et la terrasse le soir mais le débord de toit,
permet d’éviter à la chaleur de rentrer.
La fenêtre de la chambre est positionnée au Nord ce qui valorise les apports solaires en hiver et évite
la surchauffe en été.
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Optimiser les apports solaires dans la conception architecturale implique à tirer pleinement parti
de la lumière et de la chaleur naturelles du soleil, ce qui est peu le cas dans cette maison par l’absence
de fenêtre au sud. Ainsi, il serait préférable que les surfaces intérieures soient claires pour diffuser la
lumière naturelle dans les espaces intérieurs ce qui permettrait de compenser le manque de fenêtre.
5. Performances thermiques
Le calcul des performances thermiques d’un bâtiment est une étape cruciale dans sa conception
car il y a un impact sur le confort des occupants comme sur la durabilité environnementale et
l’efficacité énergétique.
Afin d’obtenir de bonnes performances thermiques, la résistance thermique d’un mur doit être
situé entre 4 et 6 m².K/W. Pour un plafond avec de bonnes performances thermiques, une résistance
thermique serait d'environ 8 à 9 m².K/W, alors que pour un plancher, elle est comprise entre 1,5 et
2,5 m².K/W. Ces performances thermiques dépendent tout de même de plusieurs facteurs,
notamment de la qualité de l’isolation, de l’épaisseur des matériaux utilisés et des conditions
climatiques.
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propriétés thermiques et une faible conductivité thermique. L’ensemble des couches, telles que la
plaque de plâtre BA, la laine de verre, le vide technique faux plafond, la dalle béton, le panneau isolant
en polyuréthane, l'étanchéité, et le substrat, crée une barrière minimisant le transfert de chaleur entre
l’intérieur et l’extérieur du logement ce qui permet d’avoir une résistance élevée de 9,07 m².K/W.
Il est possible d’améliorer ces résistances thermiques en augmentant l’épaisseur des isolant, de
modifier le système d’ITI en ITE et/ou encore en remplaçant les matériaux par d’autre plus
performants, notamment sur les murs donnant sur l’extérieur, le mur donnant sur le local non chauffé,
ou encore le plafond.
La maison étudiée comprend une baie vitrée donnant sur le séjour et une fenêtre dans la chambre.
Comme vu précédemment, la surface vitrée est de 7,82m² en doubles vitrages (4/16/4) avec un
remplissage en argon (90%) et possède un traitement à faible émissivité. Le logiciel PLEIADE permet
de répertorier les coefficients suivants :
Le coefficient Sw s’étend de 0 à 1, plus il tend vers 1, plus la fenêtre permet une transmission
de l’énergie solaire totale. Ainsi, en hiver, il est avantageux d’avoir un facteur solaire élevé pour
bénéficier de plus de chaleur et donc de réduire la consommation de chauffage. En revanche, en été,
un coefficient plus bas est préférable pour éviter la surchauffe. Il faudrait donc protéger les fenêtres
avec des dispositifs tels que des volets, des stores ou des brise-soleils, pour maintenir une bonne
température dans le logement, en été comme en hiver, et contribue à des économies d’énergie en
matière de chauffage.
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Les résultats aux calculs RE2020 indiquent que quelques critères ne respectent pas la
réglementation.
Pour commencer, le facteur du Bbio, équivalent aux besoins climatiques, n’est pas respecté. En effet,
les besoins sont très élevés, notamment celui du chauffage (77,8%), ainsi il y a trop de déperditions
thermiques. De plus, les calculs précédents ont montré que le besoin de chauffage était de 81kWh/m,
or pour être dans les normes, un besoin de chauffage est attendu aux alentours de 50kWh/m². Afin
de réduire le Bbio de ce logement, il est possible de de modifier l’isolant avec de meilleures
performances thermiques (ouate de cellulose, liège) avec un système en ITE par exemple pour réduire
ces déperditions.
Ensuite, les DH, symbolisant la durée d’inconfort de ce logement, sont très importants, plus de 12 fois
supérieur à la réglementation. Cela explique également le taux inconfort excessif dans le
séjour/cuisine/salon, observé précédemment, pouvant provenir des apports solaires très important
en été. Pour réduire ces derniers, il est possible d’utiliser des matériaux à plus forte inertie thermique
et/ou des protections solaires efficaces (casquettes, débord de toit, …).
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L’Ic énergie, l’impact carbone sur le changement climatique, est également supérieur aux valeurs
maximales attendu, près du triple. La décomposition informe qu’il est principalement dû au gaz. En
effet, le système de chauffage et de production ECS se fait par l’utilisation d’une chaudière à gaz à
condensation. Il est donc primordial de modifier ce système par un autre moyen moins émetteur de
carbone, tel qu’une pompe à chaleur certifié (PAC ou COP) ou un chauffe-eau solaire.
Puis, le Cep, consommation en énergie primaire du logement, respecte la norme, assimilée au fait que
la chaudière à gaz utilisée à un rendement correcte. Cependant, le paramètre de Cep,nr ne correspond
pas aux attentes de la RE2020. Cela s’explique par l’utilisation de la chaudière à gaz qui consomme
entièrement l’énergie non renouvelable. Afin d’améliorer ce point, il est nécessaire de changer par un
système moins impactant comme vu pour l’impact carbone.
De plus, nous observons qu’une des exigences de moyens n’est pas respectée, l’article 24. Il exige un
facteur solaire inférieur à 0,5, l’ajout de protection solaire pourra alors jouer sur celui-ci.
Lors du calcul RE2020, un article n’est pas validé, Sw : le facteur solaire qui est de 0.5, la moitié du
rayonnement a été conservé pour l’apport gratuit, donc l’autre moyen a été réfléchie, nous pouvons
donc dire ici que les apports gratuits générés par le soleil pourraient être largement améliorer,
notamment en positionnant mieux nos parois vitrées.
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La première partie a permis de déterminer les points faibles du logement. Ainsi, cette seconde
partie va permettre de présenter des solutions visant à répondre aux normes de la RE2020. Pour
déterminer la solution la plus optimale, chaque variante sera étudiée.
BESOIN ET CONFORT
La première variante étudiée consiste à utiliser un chauffage réaliste avec un fonctionnement par
intermittence qui permettra de réduire la consommation et faire des économies d’énergie. En effet,
le chauffage sera réglé à deux températures adapté au moment de la journée et de la semaine : une
température, dite de confort, fixé à 19°C et une température, plus économique, à 16°C. Pendant les
jours de la semaine, du lundi au vendredi, nous avons choisi de régler le chauffage à 19°C de 7h à 8h
et de 17h à 21h ce qui correspond généralement aux horaires de présences des habitants. Pendant le
week-end, sachant que les week-end les occupants sont plus présents, nous prolongerons la période
de température de confort de 9h à 22h.
Cette partie consiste à analyser les performances d’isolation de l’enveloppe en augmentant les
performances thermiques des parois opaques, d’une part, puis d’autre part, celles des parois vitrées.
Dans cette variante, nous cherchons à optimiser les parois opaques. Grâce à l’étude du projet,
nous avons déduit qu’il serait intéressant d’utiliser des murs avec un système en ITE plutôt qu’en ITI.
De plus, nous avons cherché à améliorer les performances thermiques de celui-ci, c’est pourquoi, pour
cette variante, nous choisissons d’utiliser un isolant en polyuréthane rigide au lieu de la laine de verre
tout en gardant la même épaisseur, soit de 16 cm. Nous obtenons donc la composition suivante :
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D’après les résultats obtenus sur Pléiades, nous remarquons que le besoin de chauffage diminue par
rapport à la situation initiale. En effet, le système d’isolation en ITE permet de réduire les pertes de
chaleurs puisqu’elle enveloppe la surface de la maison et donc présente moins de ponts thermiques.
En analysant l’étude de la RE2020, nous pouvons remarquer qu’il y a une légère diminution de
consommation d’énergie primaire, Cep, et de degrés heures, DH. Nous pouvons en déduire que cela
s’explique par la diminution du besoin de chauffage qui permet donc de réduire les consommations
d’énergies. Cependant, cette solution reste encore à améliorer.
Il peut être intéressant de modifier les performances des parois vitrées, en améliorant, par
exemple, le Uw. Pour cela, nous avons recherché dans la bibliothèque EDIBATEC, le type de fenêtre
qui correspondrais le mieux au projet. Nous avons donc trouvé des fenêtres en INOX de la marque K-
LINE afin de modifier les caractéristiques des parois vitrées d’origine avec celles-ci.
En observant les résultats STD, nous remarquons une réduction des besoins de chauffage ainsi
que de la puissance de chauffage mais le besoin de chauffage reste tout de même supérieur à la
variante du chauffage.
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Modifier la surface des fenêtres influence le besoin en chauffage et donc les critères de la RE2020.
En effet, plus les parois sont grandes, plus il y a de pertes de chaleurs. C’est pourquoi, nous avons
décider de changer leur dimension et d’en ajouter à des endroits stratégiques.
- En augmentant la surface des parois vitrées, le taux d’inconfort est supérieur à celui de base.
- Cependant, en réduisant la surface, nous remarquons que le taux d’inconfort dans les pièces
principales, a été divisé par deux. En effet, ayant moins de surface vitrée, en été le soleil rentre
moins dans la maison car elle garde la fraicheur. Concernant l’étude de la RE2020, il y a une
baisse, de plus que le Bbio et le Cep sont correctes, mais pas suffisante pour valider tous les
articles.
Sans surprise il est plus avantageux de réduire la surface de fenêtres mais cette solution n’est pas
optimisée. De plus, elle n’est pas agréable pour les occupants puisqu’il y a moins de lumières naturelle
entrante.
D’après l’étude du projet initial, nous avons constaté qu’il manquait de fenêtres au sud,
notamment dans la salle de bain et dans le séjour. C’est pourquoi nous avons fait le choix de réaliser
les calculs en ajoutant des fenêtres à ces endroits.
En analysant ces résultats, nous obtenons un taux d’inconfort très élevé, de 13 %, qui devient très
inconfortable en été car nous les avons orientés au sud, là ou en été le soleil est plus fort.
En regardant l’étude de la RE2020, nous pouvons constater que cette solution n’est pas adaptée à la
réglementation.
L’hiver, l’augmentation de surface vitrées sera considérée comme qui source de perte de chaleur et
donc une augmentation du chauffage. Ces deux arguments explique dons le fait qu’il y a une faible
amélioration au niveau de la RE2020.
Comme nous venu de la voir, les fenêtres situées au sud entrainent un taux d’inconfort important.
Afin d’éviter ce phénomène, nous allons effectuer les calculs en ajoutant une casquette de 1m au sud.
Cette casquette va permettre d’éviter le rayonnement solaire direct pendant les heures où le soleil
est haut dans le ciel, comme en été. Cependant, il laissera passer les rayons solaires lorsqu'ils sont
plus bas, comme en hiver, permettant ainsi de bénéficier des apports gratuits de chaleur.
Néanmoins, n’ayant pas de fenêtre à cet endroit de la maison, nous observons une très légère
diminution des besoins et de la puissance de chauffage par rapport à la situation de base. Nous
remarquons un taux d’inconfort de 10% dans le séjour qui es légèrement élevé mais reste raisonnable.
En effet, au-dessus de 10% le taux d’inconforts en été est beaucoup trop important et devient
intenable pour les habitants.
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5. Conclusion variantes
Afin d’optimiser l’Ic énergie que nous n’avons pas validé grâce à la variante que nous avons trouvé
la plus optimisé, nous pouvons effectuer d’autres variantes avec l’utilisations d’énergie renouvelable
et non fossile. C’est pourquoi, nous utiliserons un système d’ECS solaire dans cette variante. En effet,
un système d'ECS solaire exploite l'énergie solaire pour chauffer l'eau sanitaire, offrant ainsi une
source d'eau chaude renouvelable et économique pour les besoins domestiques.
Pour ce système, étant à la Rochelle, l’inclinaison du capteur à 45° et est orienté 0°, c’est-à-dire, au
sud. À la suite des résultats de la RE2020, nous observons une réduction de la consommation d’énergie
renouvelable car c’est un système qui réduit l’impact environnemental et donc qui réduit également
Ic.
Tout comme nous l’avons vu précédemment, nous cherchons à réduire l’Ic énergie. Celui-ci étant
toujours trop élevé avec l’utilisation un système d'ECS solaire, nous allons observer les résultats ave
l’utilisation d’un ballon solaire. Il s'agit d'un réservoir d'eau thermiquement placé sur le toit, qui utilise
l'énergie solaire pour chauffer l'eau. Ces capteurs solaires absorbent la chaleur du soleil et la
transmettent à un liquide caloporteur qui circule puis transfère sa chaleur à l'eau stockée dans le
ballon. En utilisant cette méthode, les ballons solaires peuvent fournir de l'eau chaude sanitaire de
manière écologique et économique en exploitant l'énergie renouvelable du soleil.
En observant les résultats de la RE2020, nous constatons que cette solution (ballon solaire) vérifie tous
les critères, réduisant la consommation d'énergie primaire, en minimisant le besoin bioclimatique, en
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améliorant le confort d'été et en réduisant les degrés heures de chauffage, grâce à son utilisation
efficace de l'énergie solaire.
Le ballon solaire a réduit la dépendance aux sources d'énergie traditionnelles du gaz, pour chauffer
l'eau sanitaire en utilisant l'énergie solaire et donc réduit le Cep. Ainsi, en contribuant à chauffer l'eau
avec une source d'énergie naturelle et gratuite, le ballon solaire réduit la dépendance aux systèmes
de chauffage conventionnels, ce qui contribue donc à réduire le besoin bioclimatique du bâtiment.
De plus, le ballon solaire, en réduisant la consommation d'énergie liée au chauffage de l'eau, permet
de limiter les surchauffes estivales dues à l'utilisation intensive des systèmes de chauffage
conventionnels ce qui explique la réduction du Ic énergie.
CONCLUSION
Pour conclure, notre étude souligne et nous a permis de comprendre l'importance de combiner
plusieurs solutions pour améliorer les performances thermiques et énergétiques d'un bâtiment. Il est
clair qu'aucune solution unique ne peut garantir une efficacité optimale. Nos résultats mettent en
évidence les approches les plus efficaces pour répondre aux normes de la RE2020. Cela inclut le
renforcement de l'isolation thermique, l'adoption d'une isolation extérieure pour une étanchéité
accrue en toute saison, l'utilisation de systèmes de chauffage performants, et la priorisation des
énergies renouvelables comme le bois ou le solaire avec les chauffe-eaux et les panneaux solaires.
Toutefois, nous avons également noté l'importance de tenir compte des caractéristiques spécifiques
de chaque bâtiment, telles que son orientation, son implantation, et la disposition des espaces
intérieurs. Chaque bâtiment est unique et nécessite une approche sur mesure. Ainsi, une étude
préalable est essentielle pour déterminer la combinaison de solutions optimale répondant aux besoins
spécifiques de notre bâtiment.
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