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BUT 2 SAÉ 4.

Dimensionnement d'un système

Compte rendu SAE 4.4 :


Dimensionnement de systèmes
pour assurer le confort dans
un bâtiment

Giraud Sylvain - TP2


Table des matières

Dimensionnement d'un système.......................................................................................... 1


Introduction............................................................................................................................ 3
Partie 1 : Conception du Projet pour assurer le confort Analyse critique....................... 4
Implantation et orientation :.......................................................................................... 4
Choix architecturaux :...................................................................................................5
Compacité :.................................................................................................................. 5
Valorisation des apports solaires et protection solaires :..............................................6
Performances thermiques des parois opaques et vitrés :............................................ 6
Choix des systèmes énergétiques............................................................................... 7
Partie n°2 :Optimisation du projet Calculs STD & RE2020................................................ 8
Cas de base....................................................................................................................... 8
Optimisation des besoins de chauffage (STD), du Bbio et du DH....................................11
Adopter un scénario de chauffage plus réaliste..........................................................11
Augmenter les performances d’isolation de l’enveloppe............................................ 12
Modifier la surface de parois vitrées...........................................................................13
Rajouter des protections solaires............................................................................... 14
variante optimisée sur l’enveloppe............................................................................. 14
Réduction des consommations d’énergie et de l’impact environnemental.......................16
Solution n°1 : Production d’ECS solaire..................................................................... 16
Solution n°2 : Chauffage par poêle à bois & Chauffe-Eau Solaire pour l’ECS........... 16
Conclusion............................................................................................................................18
Introduction

L’étude porte sur un logement individuel de type T2 faisant parti d’une résidence de
37 logements situés sur le domaine de la Tour Carrée près de Chef de Baie à La Rochelle.
Ce logement B05 sera considéré comme une maison individuelle du point de vue
réglementaire.

La SAE est divisée en deux parties. Dans un premier temps, nous analyserons la
conception du bâtiment à travers les plans du bâtiment. Nous déterminerons si l’implantation
du bâtiment ainsi que son orientation sont optimales. Nous étudierons les choix
architecturaux. Nous calculerons la compacité du bâtiment pour savoir si sa forme est
optimisée en termes de déperdition thermique. Nous chercherons à savoir si les apports
solaires sont valorisés. Nous comparerons les performances thermiques des parois opaques
et vitrés aux prescriptions de la RE2020 et pour finir, nous analyserons les systèmes
énergétiques.
Dans un second temps, sur le logiciel Pleiade, nous testerons différente variante
pour optimiser le bâtiment suivant ces critères : - Bbio
- Cep
- Cep,nr
- DH
- Ic,énergie

L’objectif final de cette optimisation est de mettre aux normes RE2020 le bâtiment construit
sous la RT2012.
Partie n°1 : Conception du Projet pour assurer le confort Analyse
critique.

Dans cette première partie, nous allons étudier la conception du logement selon
plusieurs critères.

Implantation et orientation :
Le logement est situé à sur la côte de La Rochelle dans une zone urbaine. Le
bâtiment est mitoyen sur sa face Est. Sur les autres faces, il est entouré par des bâtiments
assez proches et de même hauteur que lui. Cela n’est pas optimal pour l'ensoleillement car
les bâtiments à côté vont bloquer les rayons solaires ce qui réduira drastiquement
l’exposition du logement au soleil.

On remarque que le bâtiment n’est pas perpendiculaire à l’axe Nord / Sud. En effet,
aucune des quatres faces du bâtiment n’est parfaitement orienté plein Sud. Pour maximiser
les apports solaires, il est préférable d’avoir une face perpendiculaire au Sud et de
préférence, la face la plus vitrés. Dans notre cas, on a une porte seulement sur la face
exposée au Sud. La baie vitrée se situe au Nord-Ouest. Durant les mois d’Octobre à Février,
la baie vitrée ne sera jamais exposée au soleil. Or, ce sont les mois les plus froids donc c’est
à ces moments que l’on a besoin de capter un maximum de chaleur naturelle. Sur la façade
Nord-Est on retrouve une deuxième fenêtre qui elle ne verra jamais la lumière du soleil.
Sans contrainte d’espace, il aurait été préférable d’orienter la face ayant la baie vitrée plein
Sud, de ce fait les fenêtres présentes sur les deux autres murs auraient pu bénéficier en
plus d’une légère exposition solaire.
Choix architecturaux :

L’organisation des pièces intérieures est à revoir. La salle d’eau et la cuisine


devraient être inversées. La cuisine se retrouverait à être exposée Sud-Ouest pour avoir un
maximum de gain solaire et elle serait ouverte sur le séjour. La salle d’eau serait orientée
Nord-Est. C’est une pièce qui n’a pas besoin d’être chauffée en continu. De plus, elle
servirait de barrage thermique pour la partie séjour / cuisine.
Il faudrait installer beaucoup plus de paroi vitrée. Sur la face Sud-Ouest, il y a la
place pour installer une grande baie vitrée qui apporterais de la chaleur et surtout de la
lumière naturelle. dans la partie pièce de vie du logement. Dans la salle d’eau on peut
mettre une fenêtre au-dessus du radiateur sur l’allège le permet pour apporter de la lumière.
De même dans la cuisine, on peut envisager l'installation d’une fenêtre au-dessus des
meubles.
Le local technique est considéré comme un local non chauffé. Dans la composition
de la paroi qui donne vers ce local, l’épaisseur d’isolant a été diminuée. Cependant, un local
non chauffé en hiver se rapproche fortement de la température extérieure. Avoir mis si peu
d’isolant pour ce mur n’est pas un bon choix.

Compacité :

Surface plancher : 40,4m²


Surface toiture : 40,4m²

Longueur des murs : 7,43 m


Largeur des murs : 5,64 m
Hauteur sous plafond : 2,52 m
Surface de murs : 65.87 m²

Surface déperditive totale : 146.67 m²

Volume : 101.8 m³

Compacité : 1,44

On compare la compacité obtenue précédemment avec celle d’un cube.

Longueur des murs : 6,356m

Surface plancher : 40,4


Surface de toiture : 40,4
Surface des murs : 64,07
Surface déperditive totale : 144,87

Compacité : 1,42
Plus la compacité est faible, moins on aura de déperditions, on aura moins besoin de
chauffer.. D’un point de vue constructif, c’est le cube qui est le plus adaptés car ⅙ des
surfaces déperditives est en contact avec le sol. C’est pour cela, que l’on compare la
compacité de notre logement à celle d’un cube.
Notre bâtiment a une compacité de 1,44 et un cube ayant la même surface a une compacité
de 1,42. Les deux compacités sont très proches. Cela signifie que notre bâtiment a une
forme adaptée pour réduire au maximum les déperditions thermiques. En effet, la surface du
logement est un rectangle avec une largeur et une longueur n’ayant pas beaucoup d’écart
ce qui le rapproche d’un carré donc de la meilleure forme possible point de vue compacité.

Valorisation des apports solaires et protection solaires :

Comme dit précédemment, le logement n’est pas bien orienté. La fenêtre principale
n’est presque pas exposée au soleil. La seule surface vitrée présente sur la face Sud-Ouest
est une porte fenêtre de 1,1 mètre de large. Le bâtiment manque cruellement de fenêtres
pour laisser passer la chaleur et la lumière naturelle. Un autre problème, est la présence
d’autres bâtiments autour qui font de l’ombre et bloquent les rayons solaires.

La seule mesure de protection solaire que l’on retrouve sur le bâtiment est le toit de
la terrasse. En effet, durant les mois de mars à septembre, le soleil donne pile dans la baie
vitrée. Cependant, pendant cette période, le soleil est assez haut donc les rayons seront
bloqués par le toit.

Performances thermiques des parois opaques et vitrés :


Les murs extérieurs ont une résistance thermique de 6.33 m2.K/W ce qui est très bien
puisque la RE2020 recommande au minimum 3,2 m2.K/W.
Le mur donnant sur le local technique a une résistance thermique de 3,97 m2.K/W. On est
encore une fois au dessus des préconisations.

Concernant la toiture, on a une résistance de 9.24 m2.K/W ce qui est excellent. La


préconisation est à 4,3 m2.K/W.

Pour finir, le plancher bas a une résistance thermique de 5,83 m2.K/W.

Il est préconisé 3 m2.K/W donc on est bon.

Choix des systèmes énergétiques

L'installation d’une VMC simple flux hygro B est un bon choix. En effet, cette dernière
possède plusieurs avantages. Les entrées d’aires et les bouches d’extraction s’adaptent en
fonction de l’humidité. La VMC peut s’adapter à la vie du logement. Ce système permet
aussi de faire une légère économie d’énergie par rapport à une VMC classique. Pour faire
des économies d’énergies plus importantes, il aurait fallu installer une VMC double flux.
Cependant, cette dernière est plus chère à l’achat mais se rentabilise dans le temps. La
VMC simple flux hygroréglable est un bon compromis entre économie d’énergie et d’argent.

La chaudière gaz à condensation est un système qui se développe de plus en plus.


Elle a une consommation de gaz inférieure à une chaudière à gaz classique. Elle peut aussi
récupérer les fumées dues à la combustion pour chauffer de l’eau qui servira ensuite à
alimenter les appareils de chauffage. Cela permet d’atteindre un rendement supérieur à 30%
et de réduire la consommation d’énergie de 30%. Cependant, cette chaudière présente
aussi quelques inconvénients. Il faut la relier au réseau d’eau usée et son entretien est plus
coûteux qu’une chaudière classique. L'inconvénient majeur est qu’elle fonctionne au gaz qui
est une énergie fossile.

Pour conclure, le choix des systèmes énergétiques a été bien réalisé. La VMC simple flux
hygroréglable est pas chère et permet de légères économies d’énergies. Pour la chaudière
gaz à condensation on peut regretter le fait qu’elle consomme de l’énergie fossile mais elle
reste très performante et rentable.
Partie n°2 :Optimisation du projet Calculs STD & RE2020

Cas de base

La première étape est de faire les calculs STD de notre bâtiment de base avant de
commencer à le modifier pour avoir des valeurs de repères.

C’est dans la partie séjour-cuisine-entrée que le besoin de chauffage est le plus important.
Cela est logique car c’est la partie la plus grande du bâtiment, il faut donc plus d’énergie
pour la chauffer. De plus, cette zone ne possède qu’une seule fenêtre orientée vers le Sud
ce qui limite les apports solaires. La deuxième ouverture est une porte fenêtre orientée
Nord-Ouest avec un brise soleil ce qui réduit considérablement les apports thermiques
solaires. Dans cette partie on a un taux d’inconfort de 10,1% ce qui est beaucoup trop élevé.
Dans la chambre, le taux d’inconfort est de 4.3% ce qui est acceptable.

31% des besoins sont couverts par les apports thermiques utiles. C’est une valeur
acceptable, mais on pourrait l'augmenter sans trop de difficulté en apportant quelques
modifications sur le bâtiment.
Les apports utiles représentent 67% des apports totaux. Cela signifie que 33% ne sont pas
absorbés par le bâtiment. On a un tiers de pertes.

Si on regarde la trajectoire du soleil en hiver, on se rend compte que la porte fenêtre de la


cuisine/séjour n’est éclairée que deux heures par jour durant l’hiver. On peut en conclure
qu’en hiver, les besoins couverts par les apports utiles sont loin d’être à 31%. Or, c’est le
moment où l'on a le plus besoin de chauffage.

La deuxième étape est de faire un calcul de RE2020 pour obtenir des valeurs de références
pour ensuite avoir une base de travail et savoir les critères à améliorer.
Comme on pouvait s’y attendre, la plupart des critères ne sont pas respectés. C’est normal
puisque le bâtiment a été construit sous la RT2012 qui était moins exigeantes que la
RE2020.

En étudiant la décomposition du Bbio, on confirme nos valeurs précédentes. Le besoin de


chauffage est très nettement supérieur au reste. En effet, en hiver presque aucune paroi
vitrée n’est exposée à la chaleur naturelle ce qui augmente le besoin de chauffage.
Le besoin de climatisation est très faible puisque le bâtiment ne possède qu’une seule petite
fenêtre au Sud et que la porte fenêtre est exposée Nord-Ouest ce qui réduit son exposition
au soleil et qu'en plus, elle possède un brise soleil.

Le Cep est le seul indicateur qui est validé par la RE2020. Sans surprise, c'est le chauffage
qui consomme le plus devant l’eau chaude sanitaire.

Tous les équipements de chauffages et la production d’ECS sont alimentés par une
chaudière gaz à condensation. Seul, la VMC, l’éclairage et les appareils d'électroménagers
sont alimenté par l'électricité ce qui explique une telle différence entre le gaz et l'électricité.
Optimisation des besoins de chauffage (STD), du Bbio et du DH

Adopter un scénario de chauffage plus réaliste

Dans cette première variante, nous allons mettre en place un système de chauffage
par intermittence.

Au lieu de chauffer le bâtiment toute la journée, nous le chaufferons à partir de 6 heures du


matin pour que la température soit agréable au réveil. Nous laisserons le chauffage une
journée dans le cas où les habitants reviennent manger chez eux a midi. Enfin, nous
diminuerons le chauffage à 22 heures pour le coucher.
Nous avons choisi de diminuer le chauffage de 2 degrés pour le passer à 17 durant la nuit.

Globalement, le besoin de
chauffage a diminué car on
chauffe moins fort durant
plusieurs heures. Cependant,
la consommation a augmenté.
Faire augmenter la
température de chauffage
consomme plus que de la
garder constante.
Cette variante n’a pas eu
d’incidence sur le taux
d’inconfort car on fait varier la
température durant la nuit ce
qui n'impacte pas les habitants.
Augmenter les performances d’isolation de l’enveloppe

Dans cette variante, nous allons mettre en place un ITE avec du polyuréthane. L’ITE
va réduire les ponts thermiques et le polyuréthane est le meilleur isolant thermique. A cela,
nous allons changer les fenêtres pour en prendre des plus performantes. Notre choix s'est
porté sur des fenêtres de la marque K-line ayant un Uw de 1.4 w/m².K, elles sont en double
vitrage remplissage argon.

Cette solution a permis une légère réduction du


taux d’inconfort ainsi que du besoin et de la
puissance de chauffage. En effet, on a moins de
déperditions thermiques à travers les parois
opaques et vitrées. Cependant, la réduction n’est
pas flagrante car on avait déjà une bonne
isolation dans les murs et les fenêtres était déjà
de bonne qualité.
Comme dit précédemment, les performances thermiques du bâtiment étaient déjà correctes.
La mise en place de polyuréthane ainsi que de meilleure fenêtre n'influence pas beaucoup
les critères RE2020. On remarque quand même une diminution de tous les critères, mais
trop faible pour les valider.

Modifier la surface de parois vitrées

A présent, nous allons augmenter la surface de paroi vitrée du bâtiment. Nous nous
attendons à réduire drastiquement nos critères RE2020 car d’après nos analyses réalisées
en partie 1, le manque de fenêtre est un problème majeur dans la composition du bâtiment.

Le besoin de chauffage a diminué. On a


plus d’exposition au soleil donc plus
d’apports gratuits. Cependant, le taux
d'inconfort a considérablement augmenté.
atteignant 26% dans la partie
séjour-cuisine et 11.1% dans la chambre.
En augmentant la quantité de surface
vitrée, on augmente l’exposition à de
fortes chaleurs en été ce qui augmente
l’inconfort dans le bâtiment.

En termes de critère RE2020, on en est


toujours au même stade. Seul le Cep est
validé.
Rajouter des protections solaires

Nous allons repartir de notre variante précédente et ajouter des casquettes sur
chacune de nos fenêtres et jouer sur le facteur solaire des parois vitrées.

L’ajout de protection solaire a fait chuter le


taux d’inconfort. Cependant, on reste à
8.9% dans le séjour-cuisine ce qui est trop
élevé. On remarque aussi que le besoin de
chauffage n’a presque pas changé. En
hiver, le soleil est plus bas dans le ciel ce
qui permet au rayon de passer sous les
casquettes et donc de chauffer les pièces.

En réduisant le taux d'inconfort, nous avons validé le critère Bbio.


variante optimisée sur l’enveloppe

Désormais, l’objectif est de créer une variante optimisée à partir des variantes test
effectuées précédemment. Nous allons combiner les deux variantes qui nous sont les plus
bénéfiques. Nous aurons une ITE en polyuréthane, des fenêtres double vitrage remplissage
argon, plus de surfaces vitrées possédant des casquettes et un facteur solaire plus
important.

Le taux d’inconfort est passé à 6.7% dans


la partie séjour-cuisine. Cette valeur est
acceptable mais pas parfaite. En revanche,
dans la chambre on est à 2.7% ce qui est
très bien. Les besoins de chauffage et de
puissance de chauffage sont bien inférieurs
au cas de base. On a réussi à réduire
l’inconfort ainsi que les consommations.

Avec cette variante optimisée on a réussi a validé 4 critères sur 5. On a une


meilleure isolation et plus d’apport solaire gratuit donc on consomme moins ce qui a permis
de valider le Cep,nr et le DH.
Réduction des consommations d’énergie et de l’impact environnemental

Dans cette partie, on va chercher à réduire la consommation, la consommation


d’énergie non renouvelable ainsi que l’indicateur IC,énergie. Pour cela, nous réaliserons
deux variantes.

Solution n°1 : Production d’ECS solaire

Nous allons mettre en place un chauffe-eau solaire individuel alimenté par une
chaudière à gaz qui assurera aussi la production d’ECS. Les capteurs solaires seront
orientés plein Sud et auront une inclinaison de 45 degrés.

Cette solution a réduit le Cep et Cep,nr ainsi que l’IC,énergie mais pas assez pour le valider.
En regardant la décomposition du IC,énergie, on constate une diminution de l’utilisation du
gaz. Cependant, cette dernière n’est pas assez importante.

Solution n°2 : Chauffage par poêle à bois & Chauffe-Eau Solaire pour l’ECS

Nous allons remplacer la chaudière a gaz par un poêle à bois et l’appoint d’ECS sera
assuré par une résistance électrique.
On valide tous les critères.
Avec cette variante, le
bâtiment est aux normes
RE2020.
En analysant la
décomposition de
l’IC,énergie on se rend
compte que le gaz 612%
par rapport à la variante
précédente.
Le bois est considéré
comme une énergie
renouvelable par Pléiade
ce qui réduit la valeur de
Cep,nr.
Conclusion

Pour conclure, lors de cette Sae nous avons pu analyser un bâtiment existant à
travers ces plans pour comprendre les erreurs réalisé lors de sa conception en étudiant les
styles architecturaux, la disposition des pièces, l’orientation du bâtiment…

Certains paramètres n'étaient pas si loin et parfois même correspondaient aux


normes actuelles comme les résistances thermiques des parois. Cependant, d’autres
paramètres comme les systèmes énergétiques ne sont plus d'actualité.

Après avoir réalisé notre diagnostic, nous avons testé sur Pléiade différentes
variantes pour confirmer nos hypothèses. Ensuite, nous avons gardé les meilleures
variantes pour créer un bâtiment répondant aux normes actuelles.

A travers cette SAE, nous avons compris les systèmes à mettre en place lors de la
création d’un bâtiment pour réduire l’inconfort des habitants et limiter les besoins de
chauffage.

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